A Ankara, la princesse Akiko de Mikasa a visité le centre culturel japonais inauguré il y a 10 ans puis le mausolée d’Atatürk. La princesse est la fille d’un défunt cousin de l’empereur du Japon. (merci à Alberto)
A Ankara, la princesse Akiko de Mikasa a visité le centre culturel japonais inauguré il y a 10 ans puis le mausolée d’Atatürk. La princesse est la fille d’un défunt cousin de l’empereur du Japon. (merci à Alberto)
Menthe
11 septembre 2018 @ 09:18
Bleu marine et blanc, valeur sûre ! bien que cette tenue est un peu vieillotte !
Leonor
11 septembre 2018 @ 11:29
Akiko de Mikasa à Ankara au mausolée d’Ataturk, ça fait beaucoup de K, tout ça.
Mary
11 septembre 2018 @ 13:00
OK ! Nous en voilà KO :-)
Baboula
11 septembre 2018 @ 11:58
Opérations médiatiques tous azimuts .
June
11 septembre 2018 @ 12:23
Belle tenue de pensionnaire d’un autre siècle 😊
Olivier d'Abington
11 septembre 2018 @ 14:39
La princesse Akiko est une femme très sympathique et discrète.
Mais toujours prête à se mettre au service d’autrui.
Elle a participé, il y a quelques mois à une soirée de gala de charité organisé par une association française à l’Ambassade de France.
Ne parlant pas français elle a semblé s’ennuyer quelque peu, mais elle est restée souriante et disponible pour tous ceux/celles (Japonais comme Français) qui la sollicitaient.
Gérard
11 septembre 2018 @ 18:31
La princesse Akiko de Mikasa est diplômée de l’Université Gakushuin de Tokyo avec un baccalauréat en histoire. Au cours de ses études dans cette prestigieuse université elle a passé une année scolaire au Merton College, Oxford, pour étudier l’histoire de l’art japonais.
En 2004, elle est retournée à Oxford comme doctorante à la Faculté des études orientales. Sa thèse a porté sur la Collection William Anderson au British Museum – Intérêt occidental pour l’art japonais au XIXe siècle. William Anderson (1842-1900) était un chirurgien anglais qui enseigna au Japon et devint un grand connaisseur de l’art japonais. Elle fut doctorante d’octobre 2004 à janvier 2010.
En décembre 2006, la princesse Akiko a aidé l’Université de Tokyo à monter une exposition sur le mouvement artistique du XIXe siècle connu sous le nom de japonisme.
En juillet 2007, elle a participé à un symposium à l’Université Ochanomizu sur la collection d’art de William Anderson. De janvier à mai 2008, elle a étudié au Centre Clark pour l’art et la culture japonais à Hanford, Californie.
En 2011, elle a reçu un D.Phil. d’Oxford, elle fut le deuxième membre de la famille impériale à obtenir un doctorat après le prince Akishino, docteur en ornithologie.
La princesse Akiko a été boursière postdoctorale à l’Organisation de recherche Kinugasa de l’Université Ritsumeikan à Kyoto d’octobre 2009 à mars 2012. Elle a été nommée professeur associé invité spécial à l’Organisation de recherche Kinugasa, de l’Université Ritsumeikan, d’avril 2012 à mars 2013, et a également été nommée professeur associé invité de la même organisation d’avril 2013 à mars 2014 et de nouveau chercheur invité en mai 2014.
Akiko a été nommée chercheur invité à l’Université Hosei, Centre de recherche sur les études internationales japonaises, en mai 2012. Elle est depuis avril 2013 présidente de la Shinyusha, General Incorporated Association. Cette association s’occupe d’inculquer la culture japonaise traditionnelle aux enfants. La princesse a été nommée présidente de la Société nippo-turque en juin 2013 après son père, le prince Tomohito mort en 2012
Elle a été nommée chercheur invité au Centre de recherche archivistique de l’Université des arts de la ville de Kyoto en avril 2014 et a été nommée présidente de l’Association des instructeurs de ski du Japon le même mois. Elle est également présidente du Centre de culture du Moyen-Orient au Japon. La princesse Akiko a également travaillé comme professeur invité à l’Université des arts de la ville de Kyoto. Elle a été chargée de recherche à l’Institut de culture japonaise de l’Université Sangyo de Kyoto, chercheur invité à l’Organisation mondiale d’échanges pour la recherche et l’éducation (GEORE) de l’Université Gakushuin et professeur invité spécial à l’Université Kokugakuin.
En juillet 1998, la princesse Akiko s’est rendue en Turquie pour la première fois avec le Centre de culture du Moyen-Orient, organisation associée à son grand-père.
En juin 2003, la princesse Akiko a effectué une visite guidée du patrimoine turc organisée par son père.
En juillet 2010, elle a également participé à la cérémonie d’inauguration du musée d’archéologie Kaman-Kalehöyük, Institut japonais d’archéologie anatolienne. En janvier 2011, elle s’est rendue en Autriche pour le 19ème congrès Interski à St. Anton.
Le 4 septembre 2013, la princesse Akiko est allé en Argentine pour rencontrer les membres du Comité international olympique en vue de l’élection de la ville hôte pour les jeux d’été de 2020, elle soutenait bien sûr la candidature (qui fut victorieuse) de Tokyo avec la princesse Takamado. Elle a également effectué une visite officielle au Chili du 7 septembre au 12 septembre 2013.
Du 23 avril au 30 avril 2014, la princesse Akiko a visité la Turquie. La princesse a été nommée présidente de la Japan-Turkey Society, un poste auparavant occupé par le prince Tomohito.
Le 6 décembre 2013 elle attendait à l’aéroport avec le reste de la famille l’empereur et l’impératrice qui revenaient de l’Inde et s’est effondrée, elle a été hospitalisée et l’on a diagnostiqué une anémie cérébrale.
Comme elle est célibataire son altesse impériale participe toujours à la vie officielle du Japon.
Leonor
14 septembre 2018 @ 08:52
Mais où est-ce qu’il trouve tout ça, notre Gérard ?
La seule chose qui m’embête, c’est qu’il faut sacrément s’organiser pour le lire :
» Ah, voilà Gérard. Bon, attendez l’ami. Je vais me chercher un café, avec la Thermos pour la recharge, je m’installe commodément avec double coussin ; je vérifie que ma chaise branlante va encore tenir le coup une bonne petite heure. Je ferme les portes et les fenêtres. Je coupe le téléphone, et avertis autour de moi qu’on ne vienne déranger ma concentration sous aucun prétexte.
Voilà. Allons-y. Alors, qu’est-ce qu’il nous dit là, l’ami Gérard ? «
Claudie
11 septembre 2018 @ 21:59
Je ne connaissais pas cette princesse, quelqu’un peut donner quelques informations?
Merci
Gilan
12 septembre 2018 @ 01:05
Un chouia militaire dans l’attitude et dans le vêtement mais très élégante a minima comme toute la famille impériale qui est sans avoir besoin d’être vue.
Françoise
12 septembre 2018 @ 04:57
And so what ?
Val
14 septembre 2018 @ 22:15
Cela nous change des petites neurones de certaines ladies du Gotha Européen !