Le prince Albert a assisté à la signature du protocole d’accord entre la Principauté et la France en matière de lutte contre le terrorisme. Ici, le prince entre Robert Gelli, secrétaire d’État à la Justice et Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux.
Le prince Albert a assisté à la signature du protocole d’accord entre la Principauté et la France en matière de lutte contre le terrorisme. Ici, le prince entre Robert Gelli, secrétaire d’État à la Justice et Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux.
🇨🇦 Mer Limpide 🌊
30 mars 2021 @ 00:56
Génial !
Merci, prince Albert 👏🌊
framboiz 07
30 mars 2021 @ 02:04
La France se doit d’aider Monaco,contre ces furieux …Le Prince et son épouse ont toujours fait preuve de beaucoup de compassion, face à nos malheurs .Il présentait ses jumeaux ,au balcon ,le 7.1.2015 , quand eut lieu l’attentat de Charlie Hebdo … Très rapidement ,il présenta ses condoléances à notre pays ,il fut le premier , je crois .
Mary
30 mars 2021 @ 20:02
» Ces furieux », c’est le mot juste !
Jean Pierre
30 mars 2021 @ 08:45
Si accord il y a c’est qu’il devait être nécessaire…..
Ciboulette
30 mars 2021 @ 09:33
Bien , bien .Et concrètement ?
Antoine
30 mars 2021 @ 09:45
On ne craint pas, à Monaco, d’afficher que le catholicisme est religion d’état. La même photo en France et toute la bien-pensance gaucho-bobo s’étranglerait de fureur.
Mayg
30 mars 2021 @ 13:42
Monaco étant une principauté peut se le permettre. La France étant une République laïque, se doit de se montrer neutre en la matière.
aubert
30 mars 2021 @ 16:56
A commencer par les deux personnes qui encadrent le prince.
Danielle
30 mars 2021 @ 12:44
Une très bonne chose.
dradomir
30 mars 2021 @ 12:50
Euh… « Financier » ?
Muscate-Valeska de Lisabé
30 mars 2021 @ 13:46
Moretti🤢🤮
Gérard
31 mars 2021 @ 02:39
Robert Gelli est né à Marseille, il a été procureur de Nîmes puis de Nanterre puis procureur général à Aix-en-Provence avant d’être directeur des affaires criminelles et des grâces puis en 2019 d’être nommé directeur des services judiciaires de la principauté c’est-à-dire d’être ministre de la justice de Monaco et président du conseil d’État.
Il y avait alors 15 ans qu’il n’y avait pas eu un français à ce poste.