Le prince Albert de Monaco a poursuivi sa visite au Portugal par un arrêt dans l’archipel des Açores. A Horta sur l’île Faial, le prince pose devant un portrait de son ancêtre le prince Albert I de Monaco. (Copyright photo : Reuters)
Le prince Albert de Monaco a poursuivi sa visite au Portugal par un arrêt dans l’archipel des Açores. A Horta sur l’île Faial, le prince pose devant un portrait de son ancêtre le prince Albert I de Monaco. (Copyright photo : Reuters)
paulette
11 avril 2010 @ 18:20
où est passé Charlène? Dans sa cage dorée….
Danielle
11 avril 2010 @ 18:44
Paulette, (1) Charlène prépare les manifestations sportives de Monaco, « son prince » voyage, Caroline s’occupe des ballets et Stéphanie choisit les numéros de cirque pour le prochain festival 2011.
marie louise
11 avril 2010 @ 19:09
Ooouh!L anticyclone des Acores n est pas près de nous amener le chaud,semble-t-il?
Vite,Prince,retournez a Monaco,au soleil et avec Charlene!
Jocelyne Choquette:.
11 avril 2010 @ 19:16
C’est vrai ! Cela fait longtemps qu’elle est disparut ! Où est-elle ?
ouinou
11 avril 2010 @ 19:25
La filiation d’Albert II, qui pose ici devant Albert 1er, passe par Marie-Juliette Louvet, lingère (il ‘y a pas de sot métier), épouse du photographe « de genre » Delmaet, avec laquelle Louis II eut une fille adultérine, Charlotte. Charlotte fut reconnue par son père biologique, titrée « duchesse de Valentinois », avec prédicat d' »altesse sérénissime » et mariée à Pierre de Polignac. Elle était la mère de Rainier III. Cette filiation peu orthodoxe dans une maison princière est à l’origine d’une querelle dynastique picrocholine sur laquelle les correspondants – si savants- de ce site pourraient nous éclairer.
Colette C.
11 avril 2010 @ 19:31
Pourquoi y-a-t’il un portrait du prince Albert 1er?
A-t’il fait quelque chose de spécial aux Açores?
Victoire
11 avril 2010 @ 19:49
Arrêtez un peu de parler de Charlene !
Le Prince est un grand souverain, il accomplit de belles choses pour sa Principauté mais on dirait que tout le monde s’en fiche. Si Charlene n’est pas là tout le monde s’en fiche ? Je trouve ça très dommage.
Il était au Portugal, la semaine prochaine il sera à Londres, et la semaine d’après il se déplacera à Moscou. Et alors donc, la seule chose que les gens remarquent c’est l’absence de Charlene ? C’est décevant.
Laurent D
11 avril 2010 @ 21:30
Charlène doit attendre dans sa smart électrique transformée en jacuzzi :)
Denise Alice
11 avril 2010 @ 21:36
Charlène attendra t’elle son prince aussi longtemps
que la princesse Lilian a attendu le prince Bertil de Suède??
Bonne fin de journée à tous.
Dominique Charenton (Royauté2)
11 avril 2010 @ 21:51
Bonjour Paulette,
On peut comprendre l’actuel souverain monégasque, quand on connaît l’histoire des princesses de Monaco depuis 3 siècles et demi !
En effet depuis le mariage de Louis I Grimaldi en 1660 avec Catherine Charlotte de Gramont, les princesses de
Monaco jusqu’à ce jour il y a de quoi être effrayé de convoler en justes noces : la plupart sont ou étaient « roties du balai » comme disait déjà Saint Simon.
Et peut être pense-t-il comme ce poète grec que cite Marguerite Yourcenar : » Le mariage a deux jours exquis seulement : La noce, et quand le veuf conduit l’enterrement « . Pour la période intermédiaire, il doit penser à cette maxime de Napoléon Ier : » En amour la seule victoire c’est la fuite ! »
Cordialement
Dominique Charenton (Royauté2)
11 avril 2010 @ 22:08
Un exemple avec Alice Heine,la seconde épouse d’Albert Ier de Monaco dont le 1er mariage avait déjà été un échec !
« Mais la vie d’Alice Heine fut traversée d’un certain nombre de scandales qui firent d’elle une des femmes de la haute société européenne dont on parlait le plus.
La future princesse de Monaco était née le 10 02 1858 au 902 Royal Street, dans le quartier du Vieux-Carré, à La Nouvelle -Orléans. C’est l’adresse de l’un des sites les plus célèbres de la ville, la maison Miltenberger. Cette belle demeure, avec ses balcons dentelés en fer forgé, a été bâtie en 1838 et elle est un des lieux les plus visités par les touristes. Elle figure sur les cartes postales, souvenirs de la ville, mais aucune mention n’est faite, sur ces cartes , d’Alice Heine .
Elle était la fille de Michael Heine et de Marie Miltenberger. Son père petit fils de Salomon Heine,
le célèbre banquier de Hambourg, avaitb été envoyé aux Etats Unis pour y ouvrir une filiale de la banque familiale. Il s’était installé à La Nouvelle-Orléans, centre de l’industrie du coton du Sud, et il avait épousé Miss Miltenberger, dont la famille occupait une situation éminente dans la ville depuis le XVIIIème siècle.
Henri Heine, dans ses souvenirs, a dit que sa grand mère qu’il a décrite comme ressemblant à « » une abbesse de couvent protestant » », avait été une femme très belle et très distinguée. « » De tous ses enfants, écrivit-il, seuls mon père et mon oncle Salomon ont hérité de sa beauté. Les enfants de Salomon devinrent tous, sans exception, d’une beauté ensorcelante, mais la mort les
enleva à la fleur de l’âge et il n’en reste que deux. Je les ai tous tendrement aimés » »
Cette beauté familiale dont se vantait Henri Heine, alice en hérita aussi. Elle avait seize ans, elle
était mince, et elle avait des yeux bleus d’une grandeur exceptionnelle quand son père l’amena à
Paris. La jeune beauté de La Nouvelle-Orléans explosa dans la haute société française comme une bombe.
Les banquiers de la famille Heine,.., avaient étendu leurs activités sur de nombreuses villes d’Europe…
Ce fut Paule, la duchesse d’Elchingen, qui entreprit d’introduire sa jolie cousine dans la haute
société française, et elle donna des bals en son honneur tant dans son hôtel parisien de la rue
Jean Goujon que dans son château de Rocquencourt, aux environs de Paris.
…..Arthur Meyer, grand chroniqueur mondain de l’époque, écrivit qu’elle était « »ravissante comme
un Tanagra « »
Ce fut au château qu’Alice fut présentée au duc Armand de Richelieu, chef de l’une des grandes familles françaises et un des partis les plus recherchés d’Europe. Comme dans les contes de fées, le duc, qui avait à l’époque vint six ans, tomba également amoureux de l’Américiane, et, bientôt, lui demanda de l’épouser.
Le mariage eut lieu à Paris, le 27 février 1875, deux semaines environ après le dix-septième anniversaire d’Alice. La même année, le 21 décembre, Alice devint mère et le duc au comble de la joie, annonça la naissance d’un héritier. Le graçon fut baptisé Marie Odet Jean Armand de Chapelle de Jumilhac de Richelieu.
Le jeune couple était heureux, et Alice, qui avait une
personnalité très vivante et toujours dynamique, devint bientôt l’une des femmes en France dont les invitations étaient les plus recherchées. Non seulement elle accepta le rôle traditionnel de « Bonne Dame » » pour tous les paysans qui vivaient autour du château du Haut-Buisson, mais encore elle élargit ses activités charitables et s’intéressa vivement aux arts et à la politique.
Nombre de célèbrités de l’époque étaient invitées dans son salon. ….Quatre ans après le mariage une fille Odile naquit au Haut-Buisson. L’année suivante, le duc de Richelieu tomba malade, à Athènes, et, le 28 juin 1880, il mourut, à l’âge de trente-deux ans.
Après l’heureux mariage de sa fille, Michael Heine liquida ses affaires aux Etats Unis et vint s’installer définitivement en France, où il rejoignit son frère Armand,….dont la fille épousa Achille Fould.
Au nombre des clienst personnels de Michael Heine figurait l’amie de sa fille, Sarah Bernhardt.
L’actrice, ravie de la manière dont le banquier faisait fructifier sa fortune l’appelait affectuesment
son « »cochon d’or » »
L’exhubérante Alice, qui n’avait que 22 ans quand le duc mourut, montra bientôt qu’elle n’avait pas l’intention de porter le deuil trop longtemps; sa famille inquiète la poussa à se reposer et choisit Madère où, espérait-on alice n’aurait pas grand chose d’autre à faire qu’à se laisser calmer par le climat sain et le clapotis monotone des vagues sur la rive.
On annonça donc qu’elle se rendait là-bas à cause de sa santé délicate, ce qui devait indiquer à tous qu’elle était ravagée par son deuil récent.
Mais des nouvelles inquiètantes ne tardérent pas à arriver de Funchal, la capitale de Madère, où
Alice s’était installée. Elle voyait un docteur dont les visites n’étaient ni professionnelles, ni
platoniques; elle était tombée amoureuse du docteur qui était juif.
Michael Heine, qui aimait à dire la duchesse de Richelieu quand il parlait de sa fille, fit aussitôt
le voyage jusqu’à Madère, où il réussit à mettre fin à l’idylle . Il ramena Alice à Biarritz pour
qu’elle y achève de s’y rétablir. La même histoire se répéta; une fois de plus le compagnon constant d’Alice était un docteur, et une fois de plus il était juif. La famille ne pouvait pas faire grand chose, non seulement Alice était majeure, mais elle avait héritée de son mari une fortune imposante, près de 15 millions de dollars, ce qui était largement suffisant pour la rendre indépendante. Mais, cette fois, il n’y eut pas besoin d’intervenir; l’idylle s’acheva toute seule et
Alice retourna à son château.
La duchesse se remit à recevoir et partagea son temps entre le Haut-Buisson et un hôtel particulier dans le faubourg Saint Honoré; son salon parisien devint célèbre pour les réceptions intéressantes qu’elle y donnait, au cours desquelles les membres de l’aristocratie se trouvaient mêlés aux politiciens éminents, aux écrivains et aux artistes du jour.
L’un des voisins parisiens d’Alice était le prince Albert de Monaco, qui avait une maison presque la
porte à côté. La duchesse et le prince s’étaient rencontrés brièvement durant le séjour de la
première à Funchal, où le prince dirigeait une expédition scientifique et s’occupait d’expéreinces
de plongée sous-marine autour de Madère; il était un océanographe passionné et mondialement réputé, Alice invita son voisin à une de ses réceptions et le prince fut fasciné à la fois par sa beauté et par sa personnalité vibrante; on commença à les voir beaucoup ensemble
Albert était divorcé. Il avait été marié avec lady Mary Victoria Douglas Hamilton…Ce mariage avait été arrangé par Napoléon III; ce n’était ni d’un côté, ni de l’utre un mariage d’amour. On eut la surprise de voir cinq mois après l’union, la princesse, quoique enceinte, retourner chez sa mère. La rumeur diait que le prince Albert, quand sa femme lui avait reproché
de courir constamment derrière les femmes, l’avait frappée; il était aussi connu sur la Riviera
pour ses nombreuses liaisons.
Une tentative fut faite cinq ans après la séparation pour raccomoder les époux, mais la princesse refusa de revoir son mari. L’église consentit à annuler le mariage et le divorce civil fut également prononcé. La jolie dot apportée par lady Hamilton demeura dans le trésor des Grimaldi.
Le prince Albert était très amoureux d’Alice et voulait l’épouser, mais son père le prince règnant Charles III ne voulait pas de ce mariage…
Alice et Albert devinrent amants, leur liaison était discutée ouvertement. Elle dura plusieurs années et un mois après la mort de Charles III, le couple était uni à Paris.
La princesse Alice apportait plus qu’une bourse bien garnie. Son énergie sans limite redonna bientôt vie à une cour qui était tombée dans le sommeil..
Le prince Albert partageait l’intérêt de sa femme pour le théâtre. En 1892 quand l’opéra fut terminé , Raoul Gunzbourg son directeur travailla en étroite collaboration avec la princesse Alice, laquelle usait de ses talents de persuasion pour faire venir à son opéra les plus grands acteurs, chanteurs, compositeurs et chefs d’orchestre. Grâce à l’enthousiasme et aux encouragements d’Alice, de nouveaux grands ballets et des compositions musicales qui ont enrichi le monde ont
vu le jour à Monte-Carlo.
Il y avait un goût que la princesse Alice ne partageait pas avec son mari c’était l’amour de ce dernier pour l’océanographie. Bien qu’il eut donné son nom successivement à ses deux somptueux yachts, le Alice, 600 tonnes, et le Alice II, 1400 tonnes, elle ne mit même jamais le pied à bord.Elle n’avait aps le pied marin et elle avait le mal de mer même sur un bateau ancré dans un port. Le prince Alber partait souvent pour des expéditions scientifiques.
Le couple se montra fortement uni, cependant , dans l’affaire Dreyfus. La princesse Alice soutenait ardemment le capitaine Dreyfus…Même avant que fut ordonné le révison du procès.
….le prince Albert vit le président de la République Française à ce sujet….Quand le nouveau procès fut ordonné, le prince Albert rendit plus nette encore sa position dans l’affaire en publiant cette lettre qu’il avait envoyée à Mme Dreyfus : » » Vous avez défendu l’honneur de votre mari avec un admirable courage , et une justice imparfaite se prépare à vous accorder une réparation qui vous est due depuis longtemps. Pour aider tous le sgens honnêtes à vous faire oublier toutes vos souffrances, je vous invite, par cette lettre, à venir, vous et votre mari, me rendre visite au
château de Marchais dès que le travail sacré de la justice aura été accompli La présence d’un martyr vers qui la conscience d el’humanité se tourne avec angoisse, honorera ma maison.
Parmi les sympathies qui vont vers vous, Madame, il ne peut y en avoir de plus sincère et de plus respectueuse que la mienne . Albert, prince de Monaco « »
Le comte Boni de Castellane, député et un des principaux défenseurs de l’armée écrivit une lettre
enflammée au prince Albert : « » …Peut être, Monseigneur, êtes vous un parent par alliance du
capitaine Dreyfus, mais, en ce cas, il est prématuré pour vous de triompher….Vous vous mêler d’une affaire qui ne vous regarde en rien, Altesse Sérénissisme. Si vous croyez pouvoir influencer des officiers fançais dans la grave décision qu’ils vont prendre, je vous prie de vous rappeler que la partie n’est pas égale, car aucun de nous ne demanderait la permission d’un prince sous tutelle »
En cette même année, la princesse Alice étaite en butte aux rebuffades de la reine Victoria d’Angleterre. Alors qu’elle hivernait à Nice, la reine reçut un message l’informant qu’Albert désirait lui rendre une visite de courtoisie avec sa femme.La reine fit dire qu’elle était occupée jusqu’à Pâques. Ce qui était une façon polie mais ferme de le repousser. Pour une raison
inexplicable, le prince Albert renouvela sa demande après Pâques. Cette fois, la reine Victoria ne prit plus de gants. Comme elle ne pouvait pas aisément refuser de recevoir un prince règnant, mais qu’elle n’était pas obligée de recevoir sa femme, elle envoya une lettre des plus claires, disant : « » Sa Majesté aura l’honneur de recevoir Son Altesse Sérénissisme le prince de Monaco « » . Aucune mention n’était faite, dans la lettre, de la princesse Alice. Il y eut peu de
courtoisie dans cette visite de courtoisie.
…..Les fortes divergences qui existaient entre la personnalité du prince Albert et celle de la princesse Alice commencèrent lentement à détériorer leur mùariage.Albert avait considéré l’opéra comme une entreprise qui leur était commune, mais Alice prit de plus en plus l’affaire en main.
Elle dirigeait le théâtre, prenait beaucoup de décisions snas consulter son époux et quand ce
dernier appris qu’elle avait autorisé une dépense de 200 000 francs pour financer une unique représentation d’opéra. Il se mit dans une très grande colère. Il dit à sa femme qu’elle était une propre à rien et qu’elle souffrait de la folie des grandeurs.
Le prince Albert se mit à faire des croisières de plus en fréquentes et de plus en longues….Alice qui n’avait pas quarante ans, était une femme pleine de vigueur, la vie au palais en dehors de la saison l’ennuyait, et elle se mit aussi à passer de plus en plus de temps hors de Monaco. Parfois, elle partait peu avant le retour d’Albert d’une de ses croisières et ne revenait qu’une fois qu’il était reparti.
Une autre source de discorde entre eux était un jeune compositeur britannique, Isidore de Lara – né Cohen – que la princesse protégeait. Il avait été l’idole de la haute société londonniene, où il chantait ses propres chansons dans les salons, et il était l’auteur d’une chanson à succès de l’époque intitulée Garden of sleep.
Avec son enthousiame bien connu, la princesse Alice le prit sous son aile et autorisa le jeune homme à monter des opéras. Comme Albert était maintenant en voyage, même pendant la saison, Lara accompagnait souvent la princesse au spectacle. Elle poussa le musicien à
composer lui-même des opéras et c’est afin de monter sa Messaline qu’elle dépensa les fameux 200 000 francs pour une soirée.
La première d’un autre opéra Amy Robsart eut lieu en la présence de S.A.S la princesse Alice alors qu’Albert était une fois de plus en croisière.L’opéra fut un succès, mais les Monégasques commençaient à voir d’un mauvais oeil leur princesse toujours en compagnie de ce musicien; cela faisiait jaser. La nuit qui suivit la première quelqu’unécrivit à la craie sur les murs du palais : ICI DORT LARA. Quand le prince Albert, apprit la chose, il ne fut pas du tout amusé. Une violente querelle éclata entre les époux et peu après des journaux à sensation laissèrent entendre que la situation conjugale était tendue. Comme aucune dénégation officielle ne vint du palais, les mêmes journaux continuèrent à s’occuper de l’affaire et, cette fois, dirent que le prince allait demander le divorce en mettant en cause le musicien anglais.Alice quitta la palais en effet ,et, en mai 1902, une séparation fut prononcée, mais il n’y eut pas divorce….Elle reprit sa vie mondaine, mais cette fois c’est à Londres et non à Paris qu’elle choisit de tenir salon.
Elle passait la moitié de son temps au Haut-Buisson et l’autre moitié dans son appartement du Claridge à Londres qu’elle gardait toute l’année. Lara était souvent auprès d’elle fournissant de nouveaux aliments aux commérages » »
in G.W .Herald et E.D.Radin : » Monte-Carlo, un siècle de roulette » 1964
veronique
11 avril 2010 @ 22:36
le prince pose tel un prince : je le trouve ridicule !!
Laurent D
11 avril 2010 @ 23:16
Il y a une légende dont j’ai déjà parlé comme quoi les Princesses de Monaco ne seront jamais heureuses en amour et en mariage.
Une sorte de malédiction.
Il y a effectivement une querelle dynastique au sujet du Trône de Monaco.
La question, au début du 20ème siècle, s’est posée lorsque la Princesse Charlotte fut reconnue à sa naissance puis adoptée solennellement par le Prince Louis le 16 mai 1919 (avec l’autorisation du Prince souverain Albert Ier) et devint, à compter de cette date, Princesse de Monaco et Duchesse de Valentinois.
La loi successorale de la principauté, définie par le testament de Jean Ier en date du 8 mai 1454 et l’ordonnance du 8 mai 1882 du Prince Charles III, avait été modifiée à son profit par ordonnance du 30 octobre 1918 d’Albert Ier, afin de rendre possible une succession par adoption dite « solennelle ».
La France, par le traité de Paris du 17 juillet 1918, conclu avec le représentant du Prince souverain, avait négocié que la succession au trône de Monaco s’opérerait à l’avenir éventuellement en ligne adoptive mais nécessairement au profit d’une personne ayant la nationalité française ou monégasque et agréée par le gouvernement français, cela afin d’éviter qu’un Prince allemand (on était à l’époque, juste à la fin de la première guerre mondiale et l’héritier du futur Prince Louis II était le second Duc d’Urach, une branche morganatique de la Maison de Wurtemberg) ne puisse prétendre au Trône monequasque via son ascendance par la Princesse Florestine de Monaco qui en faisait l’héritier légitime du Prince Louis II.
Ainsi, c’est comme cela qu’il fut permis au prince Albert Ier et à son fils, le futur Louis II, de pousser vers le trône, malgré sa naissance illégitime, leur seule descendante la Princesse Charlotte qui renonça au Trône au profit de son fils Rainier.
minou
11 avril 2010 @ 23:17
En attendant , Albert s’amuse avant de rejoindre Monaco ..
ouinou
12 avril 2010 @ 08:20
Merci à Laurent (13) pour ses explications sur les raisons qui ont amené les Grimaldi à choisir cette filiation adultérine peu glorieuse, avec, si j’ai bien compris, l’accord implicite de la France qui se souhaitait pas un prince allemand à Monaco.
Mutatis mutandis, cela rappelle la situation créée par l’abdication d’Isabelle II d’Espagne en 1870 qui avait provoqué la candidature d’un prince allemand au trône espagnol. la France s’y était fermement opposé, ce qui avait envenimé gravement les rapports entre Paris et Berlin.
cyrnaud
12 avril 2010 @ 08:57
C’est un peu terrible de lire systématiquement des critiques à l’égard de la famille Grimaldi. Quoi qu’il fasse, le prince Albert se fait assommer. Il n’est quand même pas responsable des mariages malheureux au 19e siècle, des amours malheureuses des générations précédentes. Si il est photographié lors d’une manifestation non protocolaire, il est en promenade et ne fait rien de son temps. Si il prend la pose, il est ridicule. Si il n’y a pas Charlène on la cherche et si elle est là on se demande pourquoi. Si il représente son état ça ne va pas…… Régine est bien patiente d’oser parler encore de Monaco dans ses reportages. Caroline a tout de même gagné un peu de galon ces derniers temps et Stéphanie brille par son absence et sa discrétion donc on la laisse tranquille. IL y a pourtant bien d’autres états qui pourraient passer au laminoir. Pourtant tout ce petit monde monégasque s’est bien rangé depuis quelques temps. Ah! j’oubliais!! Charlotte n’est pas suffisamment souriante et sa moue ne contente pas certains internautes!!
Dominique Charenton (Royauté2)
12 avril 2010 @ 09:52
Bonjour Colette C
» En 1891, les chantiers navals Green, à Londres, livrèrent au prince de monaco la « princesse Alice » un trois-mâts goélette de 600 tonneuax, équipé d’un moteur auxiliaire de 350 CV et d’un petit laboratoire que le Dr Jules Richard, spécialiste de zoologie, allait diriger pendant plus de vingt ans. C’est avec la « Princesse Alice » qu’au cours de plusieurs campagnes de 1892 à 1897 , des profondeurs de plus de 5000 mètres furent atteintes au sud-ouest des Açores. Les profondeurs ainsi découvertes et explorées reçurent le nom de fosse de Monaco »
in Françoise de Bernardy, Histoire des princes de Monaco, 1963, page 263
Cordialement
paulette
12 avril 2010 @ 10:14
A DOMINIQUE de Charenton(11)
Merci pour tous ces détails concernant Alice Heine je connais un peu l’histoire de cette famille ;pourriez-vous m’éclairer sur une personne ayant vécu dans mon village de naissance et qui s’était mariée avec le marquis du village : Il s’agit d’une grande dame de la Lignée d »Alice Heine: Madame Anne de la Rochefoucauld Néé en 1906 et décédée en 1980 ses parents étaient Gabriel de La rochefoucauld (chateau de Verteuil en Charente) et sa maman Odile de Richeleieu.Après un divorce d’avec le marquis de Gontaut-Biron elle se remaria avec le Marquis Jhon de Amodio tous deux décédés. Merci de m’eclairer dans mes recherches si possible.
Dominique Charenton (Royauté2)
12 avril 2010 @ 10:18
Bonjour Ouinou
La succession de Monaco se faisait traditionnellement dans la postérité mâle des princes, et à defaut de celle-ci dans la descendance en ligne féminine de
ceux -ci.
C’est ainsi que cela se produisit 2 fois, l’une au XIVème siècle avec Claudine Grimaldi l’autre au début du XVIIIème avec Louise Hippolyte Grimaldi.
Ce système fut codifié par une ordonnance de Charles III le 15 05 1882.
Cependant il s’avérait qu’à la veille de la 1ère Guerre Mondiale le prince héréditaire n’aurait pas d’heritier légitime et que le trône monegasque devrait passer à un cousin germain du prince Albert : Wilhelm duc d’Urach et comte de Wurtemberg.
L’ordonnance du 15 05 1882 prévoyait en son article II la possibilité de l’adoption mais uniquement dans le cas ou le prince règnant n’a pas de descendant ou de
parent habile à lui succèder.
Suite aux pressions de la France, Albert de Monaco , adopta une ordonnance le 15 11 1911 approuvant et confirmant la reconnaissance faites par le prince
Louis de sa fille naturelle Charlotte devant l’officier d’état civil de Constantine en 1898 et conférant à celle-ci le titre de Mlle de Valentinois et disposant que
» dans le cas ou notre fils bien-aimé, le prince héréditaire Louis, viendrait à décéder sans enfant né en légitime mariage, Mlle de Valentinois est habilitée à lui succéder dans tous ses droits. »
Le 30 10 1918 afin de renforcer la succession en faveur de Charlotte, le prince Albert modifia l’ordonnance de 1882 en supprimant le passage » où de parent habile à lui succèder » de l’article II prévoyant l’adoption.
Et le 16 03 1919 le prince Louis put donc adopter sa fille bâtarde.
De plus le Traité Franco-Monegasque du 17 04 1918 prévoyait en son article II » devront toujours faire l’objet d’une entente préalable entre le gouvernement
princier et le gouvernement de la République : les mesures concernant directement ou indirectement l’exercice d’uen régence ou la succession à la couronne qui, soit par l’effet d’un mariage, d’une adoption ou autrement, ne pourra être dévolue qu’à une personne ayant la nationalité française ou monegasque et agréée par le gouvernement français »
Ce traité du 17 07 1918 était intégré dans le Traité de Versailles de 1919 dans l’article 436 de la partie XV
Le prince Albert déclarait dans des courriers du 19 07 1913 à son cousin Wilhelm d’Urach que les droits de ce dernier » qui par privilège de naissance comme à ton frère et à tes descendants t’appartiennent sont
consacrés par la loi fondamentale et ne sauraient être primés que par ceux qui appartiennent à des héritiers plus proche du prince règnant » en l’occurence
Charlotte.
Cependant en 1924 les Urach cèdérent leur primogéniture à leurs cousins Chabrillan ( ils ne renoncèrent pas à leur droit mais laissèrent passer avant eux les Chabrillan ) . D’ailleurs dans leurs lettres ils indiquent qu’ils gardent leurs droits comme membres de la famille souveraine de Monaco.
En bref la succession monégasque pouvait se faire dans des lignes collatérales mais il fallait l’agrément de la République Française depuis 1918 seule maîtresse
de la succession dans les faits.
Depuis il y a eu un nouveau traité Franco Monégasque et en 2002 le prince Rainier III de Monaco a organisé la succession au trône de sa principauté d’opérette
source principale utilisée :
J.Valynseele , Rainier III est il le souverain légitime de Monaco, 1964
Dominique Charenton (Royauté2)
12 avril 2010 @ 10:37
Ouinou,
Sur la grand-mère maternelle du feu Rainier III :
Marie Juliette Louvet (Pierreval 09 05 1867- Paris 24 09 1930), travaillant dans un « cabaret » épousa le 06 10 1885 à Paris Xème avec Achille Delmaet (1860-1914), photographe de genre comme vous dites c’est à dire de petites femmes en petites tenues…. et en eut 2 enfants
– Georges, né le 01 05 1884 à Paris XVIIIème ( sa mère allait avoir 17 ans ) – décédé le 11 06 1955 à Paris XVIIème marié avec postérité et
– Marguerite née le 28 10 1886 à Paris IXème et décédée le 12 08 1964 à Paris XVIII, mariée 3 fois
Voir l’ouvrage de J.Valynseele et Denis Grando , A la découverte de leurs racines, 1994, page 136 ISBN 2 908 003 03 1
Dominique Charenton (Royauté2)
12 avril 2010 @ 10:45
Lettre du duc d’Urach sur la succession monégasque :
Lettre adressée par Guillaume 2ème duc d’Urach à Aynard comte de Chabrillan :
»
Ravenne, octobre 1924
Mon cousin,
Le fait regrettable et de tout temps sincèrement déploré par nous tous que notre cousin commun, le prince Louis de Monaco, n’ait jamais voulu se marier, ouvre la douloureuse perspective de l’extinction complète, dans un avenir plus ou moins éloigné, de la ligne mâle de la famille de Monaco.
Ma qualité, universellement reconnue, d’héritier légitime le plus proche impose à ma conscience le devoir le plus sacré de faire tout ce qui est humainement possible et de prendre, en temps utile, toutes les mesures pour écarter le danger, malheureusement imminent après la mort du prince Louis, d’une succession illégitime qui violerait, d’une
manière flagrante et scandaleuse, les principes imprescriptibles du droit et de l’honneur.
N’ayant qu’un seul et unique souci, celui de maintenir intact l’honneur de la famille souveraine de Monaco, et me rendant parfaitement compte que seule une succession
française est possible à Monaco, je renonce en votre faveur, mon cousin, qui êtes, après moi et les miens, le plus proche héritier légitime de lignes féminines des Grimaldi, de tout temps appelées à succéder dans la souveraineté de Monaco et en faveur de votre descendance légitime, mâle et féminine, à tous mes droits à la succession dans la principauté de Monaco,
c’est à dire que je vous cède le pas, me réservant, d’ailleurs, comme par le passé, après vous et
les vôtres, ma qualité, officiellement reconnue, de membre de la famille princière de Monaco.
Je fais cette renonciation également au nom de mes enfants mineurs : Albert, Everard et Mahaut
et je joins à cet acte les renonciations de mes enfants majeurs ainsi que celle de mon frère Charles.
Veuillez agréer, mon cousin, l’assurance de mon inaltérable attachement.
Guillaume, duc d’Urach, comte de Wurtemberg.
*****
Les « renonciations » du frère et des enfants majeurs étaient libellées avec quelques variantes :
Je renonce en faveur de mon cousin, le comte de Chabrillan et de sa descendance légitime, mâle
et féminine, à tous mes droist dans la succesion dans la souveraineté de la Principauté de
Monaco, c’est à dire que je leur cède le pas dans la succesion. Je me réserve expressèment ma qualité de membre de la famille princière de Monaco.
Elles sont datées et signées
-1- Stuttgart le 27 08 1924 : Prince Ch.d’Urach, comte
de Wurtemberg
-2- Deutsch Landsberg 22 08 1924 : Elisabeth, princesse
de Liechtenstein, née princesse d’Urach
comtesse de Wurtemberg . Charles prince de
Liechtenstein
avec cette variante : » Je renonce en mon nom et au
nom de mes enfants nés ou à naître »
-3- Munich, 27 08 1924 : Carola Hilda, princesse
d’Urach, comtesse de Wurtemberg
-4- Munich 19 08 1924 : Guillaume, prince d’Urach,
comte de Wurtemberg
-5- Munich 19 08 1924 : Charles Gero, prince d’Urach,
comte de Wurtemberg
-6- Stuttgart 30 08 1924 : Marguerite, princesse
d’Urach, comtesse de Wurtemberg
-7- Lichtenstein 16 08 1924 : Albert, prince d’Urach,
comte de Wurtemberg
avec cette variante finale :… Comme membre de la
famille souveraine de Monaco ( nom,
armoiries, rang, apanages etc….)
Source utilisée :
Joseph Valynseele : Rainier III est-il le souverian
légitime de Monaco ? 1964
Danielle
12 avril 2010 @ 10:47
Charlène n’est que résidente à Monaco sans statut particulier, donc elle n’a pas à suivre le prince Albert en mission.
Nemausus
12 avril 2010 @ 11:01
en complément du message de Laurent D (13), la famille des Ducs d’Urach avait renoncé à leurs droits au trône de Monaco en faveur des héritiers après eux, la famille Guigues de Moreton de Chabrillan.
Honorine de Monaco (1784-1879), fille du prince Joseph et de Marie Thérèse de Choiseul-Stainville.
ép en 1803 René III de La Tour du Pin 7ème marquis de La Charce (1779-1832),
1a Charlotte (1805-1865)
ép en 1826 comte Charles Guigues de Moreton de
Chabrillan (1796-1883),
2a Hippolyte (1828-1900).
ép en 1864 princesse Anne de Croÿ (1831-1887),
3a Léonor 10ème marquis de Chabrillan (1869-1950),
prétendant au trône de Monaco en 1949 et héritier
légitime du duché de Mazarin et des titres
adjacents.
ép en 1893 Félicité de Lévis-Mirepoix (1874-1948),
4a Anne (1894-1983), prétendante au trône de Monaco.
ép en 1919 comte Armand de Caumont de La Force
(1881-1950),
5a Jean (1920-1986).
ép en 1948 Elisabeth de Castellane (1928-1991),
6a Olivier (1949-2003).
ép en 2001 Kalima Gheilane (1963),
6b Xavier (1963).
ép en 1990 Corinne Borru de Lamotte (1964),
7a Henri (1991).
Certes Monaco est un état souverain étranger et il peut modifier les lois de succession. Les prétentions des marquis de Chabrillan et des Caumont La Force sont théoriques concernant Monaco mais par contre ils sont les héritiers légitimes des titres français transmissibles par les femmes de duc de Rethélois-Mazarin et des autres titres accessoires.
Le port par la famille régnante de Monaco des titres français (ducs de Valentinois, marquis des Baux etc…)n’ont aucune valeur juridique car les titres ne peuvent se transmettre par les enfants illégitimes.
Laurent D
12 avril 2010 @ 11:41
Je n’arrive pas à retrouver la source de cette légende.
Tout ce que je sais, c’est qu’elle date du Moyen-Âge, si quelqu’un en connaît l’origine ?
marie-françoise
12 avril 2010 @ 12:05
Bon, résumons : après avoir lu les explications historiques et passionnantes de Dominique Charenton, ne soyons plus surpris si notre cher prince Albert II ne convole pas en justes noces, il y a de quoi être refroidi ! quant à la malédiction en amour des Grimaldi, je suppose que ça ne concerne que les femmes car Rainier III fut très heureux en épousant Grace Kelly… Les uns et les autres manquent souvent ici d’indulgence envers Albert de Monaco, personnellement je le trouve aimable, sympathique et courtois, très aimé des monégasques, il a juste « un petit problème » avec les femmes qui l’empêche d’accéder au mariage en se choisissant une épouse digne de ce nom pour mener à bien son rôle dans la Principauté, c’est très dommage, mais s’il était vraiment malheureux de son sort, il est probable qu’il aurait changer de tactique depuis longtemps ! donc laissons le un peu tranquille et l’avenir se chargera de nous faire savoir la suite de son destin, ne cherchons donc plus à le contredire constamment !
Colette C.
12 avril 2010 @ 13:17
Merci, Dominique Charenton.
Danielle
12 avril 2010 @ 13:32
Marie Françoise (24) entièrement d’accord avec vous.
Laurent D
12 avril 2010 @ 14:06
Marie-Françoise,
Certes Rainier et Grâce étaient le couple parfait malgré quelques tensions de temps en temps et autres mais regardez le destin de la Princesse Grace.
Catherine(Charente)
12 avril 2010 @ 14:18
Indéniablement Charlene fait parler absente ou pas.
Dominique Charenton (Royauté2)
12 avril 2010 @ 15:55
Pour Paulette
Il s’agit de la petite-fille de la princesse Alice de Monaco, par son premier mariage avec le duc de Richelieu.
Elle avait fondé l’association VMF ( = Vieilles Maisons Françaises )
Voic ce qu’il est écrit dans la Gazette de Drouot au sujet de son second époux John, marquis de Amodio :
» Marquis, Britannique et cosmopolite John-Julius de
Amodio a traversé le siècle dernier témoin de ses
joies et de ses drames.
Au cours de ses études à la vénérable université
d’Oxford, il brille par ses talents d’escrimeur ( il
finança plus tard la nouvelle école d’escrime ); son
charme lui ouvre les portes des salons les plus
huppés. Pendant la guerre, il sert avec honneur dans
la Royal Air Force, puis rejoint le corps
diplomatique. A cette époque, il rencontre et
épouse Anne de La Rochefoucauld. Le couple partage
son temps entre l’hôtel particulier de la rue de
l’Université et le château de Verteuil, demeure
ancestrale des La Rochefoucauld en Charente.
L’association des vieilles demeures françaises est
créée dans les murs de ce fief pluriséculaire; le
marquis était très fier de posséder la carte n°1.
La générosité du couple passionné de patrimoine ne
s’arrête pas là : l’hôtel particulier parisien
héberge l’association. Les tableaux et le mobilier
garnissant leur appartement parisien vont être
dispersés ce mercredi 7 avril. Des peintures et
quelques meubles anglais se mêlent à des porcelaines
de Sèvres, des tableaux , des sculptures et du
mobilier français…… »
article de Anne Foster in La Gazette de l’Hôtel
Drouot , n° 13 du 2 avril 2004
minou
12 avril 2010 @ 16:36
Après lecture de certains commentaires au sujet du sort malheureux d’Albert I , on peut comprendre l’actuel prince souverain , il est de grande prudence ….
Laissons donc le prince Albert tranquille , c’est lui qui décidera de son propre avenir ….
martine
12 avril 2010 @ 19:43
La France a reconnu par la suite….que Charlotte était »illégitime »pour la succession du trône de Monaco,
Mais sortant d’une guerre(14/18)et ayant réussi à reprendre l’Alsace et la Lorraine aux Allemands,elle allait surement pas,laisser un Allemand sur le rocher.
C’est Albert I qui a exigé que son fils,Louis II »recherche »sa fille naturelle(née en Algérie)et,qui a « titrée »Charlotte…qui avait déjà 19ans,son père »biologie »était depuis belle lurette »à courir d’autres femmes »que sa mère.
Rainier III a changé »l’ordre de la succession »du trône en 2002 ,à cause……de son fils Albert II,car,ce dernier par 2 fois….des enfants illégitimes avec des »divorcées »l’une brésilienne(avec du sang Noir) il a eu 1 fille,puis une autre, cette fois carrément »une Noire »divorcée avec 2 garçons(d’un 1er mariage),dont il a eu Alexandre avec elle.
Rainier III a vu…..rouge de rage et,il était pas question que »ces bâtards »(tels étaient ses mots)soient reconnus de son vivant et »fiston »a obéi à papa,il a « reconnu »ses gosses après la mort de son père(en juillet 2005…2/3 mois après la mort de son père)et,encore,car, sa fille »naturelle »….lui avait demandé.
Albert II peut « changer »à son tour le traité de 2002 par son père…..mais,il ne le fait pas???ainsi ses gosses ne sont pas « sur la liste de succession »cela sera…Andréas,son neveu qui lui succédera,comme Rainier III le voulait en 2002(sic)
marie-françoise
12 avril 2010 @ 19:46
Mais oui arrêtons d’harceler ce prince charmant qui bientôt n’aura plus l’age d’élever une famille nombreuse, laissons le gérer sa vie comme il l’entend…
pierre-yves
12 avril 2010 @ 20:01
Bien dit marie-françoise (33) !
Pierre-Jean
12 avril 2010 @ 20:28
Mais Martine, Caroline succéderait à son frère, à moins qu’elle renonce à ses droits, non?
Danielle
12 avril 2010 @ 21:33
Si tous ceux qui harcèlent ce prince l’étaient, qu’en penseraient ils ?
marie-françoise
12 avril 2010 @ 21:58
Tout le monde s’attend à ce que Andrea, le fils aîné de la Princesse Caroline, succède à son oncle lorsque le temps viendra et sans doute pas avant une trentaine d’années si on table sur une longévité du prince Albert, jusqu’au moins ses 80 ans comme feu le prince Rainier III son père. La princesse Caroline étant l’aînée, je ne vois pas comment elle pourrait succéder à son frère sauf si celui-ci venait à décéder accidentellement….Ce n’est donc pas pour demain que la succession du prince Albert va se poser ! Andrea aura alors…50 ans à son tour ! une solution donc tout à fait acceptable! néanmoins beaucoup d’eau coulera sous les ponts d’ici là et chacun sait que le destin joue toujours des tours et réserve maintes surprises. Qui vivra verra.
paulette
13 avril 2010 @ 10:28
A DOMINIQUE DE CHARENTON
Je vous remercie ,ces recherches complètent un grand nombre de documents reçus où glanés lors de mes voyages.J’ai sous les yeux une image commemorative du rappel à DIEU du marquis de AMODIO le 23 octobre 2003 à BAD RAGAZ. Je crois savoir Que la Marquise avait fait DON aux VMF de l’immeuble 93 97 Rue de l’Université Je comprends ainsi le reglement a du être fait en Avril 2004 comme vous me le signalez.
N’ayant pas de descendance peut-on savoir qui est désormais propriétaire du Chateau de VERTEUIL où je suis allée en Aout 2003.Je ne l’ai visité que de l’exterieur le marquis déjà très malade ne recevait pas.merci encore Paulette
Caroline
13 avril 2010 @ 11:02
A Marie-Francoise,vous avez bien raison pour l’avenir du premier fils de Caroline,mais attendons quand meme que Albert aura un heritier male avec Charlene s’il se mariera avec elle tot ou tard!
chaton
15 avril 2010 @ 22:46
@danielle en te lisant on dirait même que tu es quelqu’un de très proche du palais à moins que tu y travaille
khris
22 avril 2010 @ 16:14
Je crois que chacun a son destin.
chaton
4 mai 2011 @ 07:01
c’est l’automne ou l’hiver aux Açores ?