Charlène n’est qu’une épouse « institutionnelle ». Elle n’est présente au côté du prince que lors des évènements monégasques incontournables comme dimanche à la finale des masters de tennis ou lors de manifestations concernant sa fondation.
Sinon Albert mène sa vie sans elle ( visite du musée Thyssen à Madrid, soirée caritative du Monaco Deasese Power, inaugurations ,match de tennis samedi ….week end en Ecosse il y a 15 jours, photo dans le journal local à l’appui etc, etc…).
Peut-être les verrons-nous ensemble dimanche à Rome lors des cérémonies de canonisation des papes.
Voici l’article complet du magazine 7 à Poitiers:
Le Prince Albert II de Monaco débarquera à l’aéroport de Poitiers-Biard en jet privé, au
matin du 26 avril. Il se rendra ensuite au musée municipal de Parthenay, pour y découvrir une exposition consacrée à ses lointains ancêtres.
Le Poitevin Arnaud Clairand en est l’un des commissaires.
Un chef d’Etat dans la Vienne et les Deux-Sèvres ?
Non, ce n’est pas une blague du Gorafi, mais une info très sérieuse. Le Prince Albert II
de Monaco se rendra bien sur la terre de ses lointains ancêtres, en Gâtine, le samedi 26 avril. Il se trouve que Son Altesse Sérénissime descend directement des ducs de La
Meilleraye, fondateurs, au XVIIe siècle, du château éponyme, à Beaulieu-sous-Parthenay. « À partir des années 1630, la famille de La Porte s’est retrouvée sur le devant de la scène politique, Charles étant un cousin de Richelieu. Ils ont été élevés
par une même personne », détaille Arnaud Clairand. Originaire des Deux-Sèvres, le
Poitevin est l’un des commissaires de l’exposition qui se tient actuellement au musée municipal de Parthenay. Laquelle s’intitule « La Meilleraye, destin d’une famille aux XVIIe et XVIIIe siècles ». « En 1639, à la suite de la prise d’Hesdin, Louis XIII a remis à Charles de La Porte son bâton de maréchal, ajoute le chercheur associé au Centre d’études supérieures de civilisation médiévale. Il sera même nommé plus tard surintendant
des finances, l’équivalent du ministre des Finances. »
Première visite d’Etat depuis 1963: Le Duc de La Meilleraye transforme le château primitif et médiéval en somptueuse demeure, avec de nombreuses dépendances (pigeonnier, orangeraie…) et des appartements réservés à Richelieu. A priori, il n’y a jamais séjourné. Aujourd’hui, l’édifice est en ruines et l’exposition est une manière
de « fournir un témoignage de l’époque ». Deux ans de travail ont été nécessaires, sachant qu’une vingtaine d’historiens se sont attelés à la tâche. Monaco, là-dedans ? Eh bien, la Principauté a accepté de prêter l’une des pièces de la collection personnelle
du Prince, en l’occurrence un portrait de Charles de la Porte. De là à faire venir le Prince en personne, il y a un pas que les organisateurs ont réussi à franchir. « Je connais personnellement l’un de ses conseillers, Christian Charlet », explique Arnaud Clairand.
Cette première approche a été complétée par une visite d’Albéric Verdon, autre commissaire de l’exposition, à Monaco. Il y a rencontré Thomas Fouilleron, directeur des Archives et de la bibliothèque du Palais princier. « C’est ensuite quasiment devenu une évidence… » La dernière visite d’un chef d’Etat dans les Deux-Sèvres remonte
à 1963, il s’agissait de Charles de Gaulle. Ce qui rend l’événement du 26 avril d’autant plus extraordinaire.
Je ne comprends pas votre commentaire : la visite n’a pas encore eu lieu et il serait donc difficile d’en mettre une reflétant la visite !!!! Je sais que Régine fait des miracles, mais je ne crois qu’elle a des dons de voyance.
Justement mon commentaire est très claire, pourquoi mettre une photo qui n’a rien à avoir avec le sujet, donc commel la visite n’est pas encore faite quel est l’intérêt de mette cette photo si ce n’est pas pour faire parler les commères qui vont encore dénigrer ce couple, d’ailleurs c’est fait vu les commentaires qui précèdent !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Dans l’article de presse il n’y avait pas de photo du prince mais juste celle de l’un des commissaire. Je ne pense pas que Charlène soit du voyage, elle n’est pas évoquée.
Et le Poitou c’est : Vendée, Deux-sèvres et Vienne, mais là, l’expo c’est dans les deux-sèvres
je suis du Poitou et c est un bien beau pays la vendee n est pas dans le Poitou il y a la vienne les deux sevres la charente et la charente maritime qui constitue cette region Parthenay est une tres belle endormie dommage parce que tres belle et la melleraie devait etre une merveille qui a connu un bien curieux sort merci pour les explications que vous avez donne c est tres bien qu albert vienne peut etre charlene l accompagera t elle vous etes durs avec ce couple qui doit faire avec ses occupations
Vous confondez le Poitou-Charentes et juste le Poitou. Moi aussi je suis du Poitou, même de Poitiers et j’ai une licence d’histoire. Si vous prenez des anciennes cartes de France, la Vendée fait partie du Comté du Poitou (Vendée, Deux-Sèvres, Vienne). La Vendée a été enlevé des Deux-Sèvres et de la Vienne tout comme Nantes a été enlevé de la Bretagne. Le Poitou-Charentes n’est pas une vraie région, elle fut créé de toute pièce comme les Pays de Loire. On lui a enlevé la Vendée et accolé la Charente et Charente maritime. C’est pourquoi le gouvernement pense dans son redécoupage des région redonner la Vendée aux Deux-Sèvres et à la Vienne.
Que reste-t-il du Poitou ?
Les liens entre la Vendée et les autres départements de la province du Poitou ne sont plus ce qu’ils étaient. Les descendants des Pictons font région à part.
Que reste-t-il du Poitou, si ce n’est un beurre d’appellation, des guides touristiques consacrés au marais poitevin et quelques chapitres dans les livres d’histoire ? Pas grand-chose, estime l’historien Jean-Marie Augustin : « Il n’y a plus de liens aujourd’hui entre les Vendéens et les gens de la Vienne. Plus de liens vivants, en tout cas ; ils appartiennent au passé. »
A croire que l’on peut effacer dix-huit ou dix-neuf siècles d’aventure commune en une Révolution. Dès l’époque des Gaulois, les Pictons occupaient en effet le territoire qui s’étend de la vallée de la Gartempe à la côte Atlantique en couvrant en grande partie les actuels départements de la Vienne, des Deux-Sèvres et de la Vendée. Ce même territoire qui a longtemps formé le comté puis la province du Poitou.
« Les députés envisageaient de créer deux départements »
« La sénéchaussée était à Poitiers pour l’ensemble du Poitou, rappelle Jean-Marie Augustin. Plus tard, à partir de Louis XIII, le gouverneur qui était retenu à la cour était assisté de deux lieutenants généraux à Poitiers pour le Haut-Poitou et à Fontenay-le-Comte pour le Bas-Poitou. La limite entre les deux était formée par les cours du Thouet et de l’Autize. »
Puis la Révolution a fait table rase des institutions de l’Ancien régime et marqué la fin du Poitou : « Les départements sont beaucoup plus rationnels. Au départ, les députés envisageaient pourtant de créer deux départements sur la base du Haut et du Bas-Poitou mais l’offensive des Niortais qui réclamaient la création d’un département intermédiaire a donné naissance aux Deux-Sèvres. »
La Vendée apparaît à ce moment-là pour la première fois comme une entité à part. « Alors que toutes les provinces sont devenues des départements, la Vendée est le seul département qui soit devenu une province », écrit l’auteur régionaliste Jean Yole. C’est que le soulèvement d’une partie des Vendéens en 1793 et la répression qui a suivi ont profondément marqué le nouveau département au point de forger une forte identité locale.
Jusqu’en 1961, la Vendée a pourtant appartenu à l’académie de Poitiers pour l’Éducation nationale. Aujourd’hui encore, elle relève de la compétence de la cour d’appel de Poitiers pour ce qui concerne l’autorité judiciaire. Sous le régime de Vichy, elle a même fait partie de la première région administrative dite « de Poitiers » au même titre que les quatre départements de l’actuelle région Poitou-Charentes dont le découpage a été adopté à la fin des années 1950.
« Je ne suis pas passéiste »
« A l’époque, le conseil général de la Vendée s’est prononcé pour le rattachement aux Pays de la Loire ; économiquement, le département était déjà clairement tourné vers le bassin nantais, précise Jean-Marie Augustin. Je sais qu’il existe en Vendée un courant très marqué à droite qui continue de réclamer le rattachement du département à Poitiers ; le pendant étant le rapprochement de Nantes et de la Bretagne. Mais il n’y a pas que l’histoire ! La sociologie, l’économie, la géographie, ça compte aussi. Clairement, avant la création de l’autoroute Niort-Nantes, il était difficile d’aller de Poitiers à La Roche-sur-Yon… »
L’historien poitevin se dit « persuadé que les liens n’existent plus » entre la Vendée et le reste du Poitou, en particulier avec la Vienne. « Je suis historien, dit-il. Pas passéiste. »
Jean-Marie Augustin a publié « Histoire du Poitou-Charentes, des provinces à la région », en 2011, chez Geste Éditions ; 614 pages, 49,90 €
REDÉCOUPAGE » Au nord du sud « .
La question du rattachement de la Vendée au Poitou-Charentes se pose à chaque fois que le débat sur un éventuel redécoupage régional revient sur la place publique et dans l’hypothèse où la Loire-Atlantique rejoindrait la Bretagne. Ces dernières semaines, l’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a plaidé à plusieurs reprises pour la constitution d’une grande région. Sans évoquer le cas vendéen, le sénateur de la Vienne souhaite le regroupement des régions Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes. « Il vaut mieux être au nord du sud qu’au sud du nord », aime-t-il dire. Envisagé par Nicolas Sarkozy qui avait confié une mission à Édouard Balladur, le sujet n’est toutefois pas à l’ordre du jour de l’actuel gouvernement.
la phrase
» Même les Deux-Sèvres qui sont un département fait de bric et de broc existent depuis deux cents ans. »
« L’histoire ne s’arrête pas à la Révolution, rappelle l’historien poitevin Jean-Marie Augustin. Aujourd’hui, le socle est républicain ; même les Deux-Sèvres qui sont un département fait de bric et de broc existent depuis deux cents ans. » L’occasion de rappeler que les formules « Moyen Poitou » et « Poitou Intermédiaire » ne sont apparues qu’après la création des départements. Historiquement, il n’y avait qu’un Haut et un Bas-Poitou dont la limite se trouvait au milieu des Deux-Sèvres.
en bref
Un Haut-Poitou très marketing
L’historien Jean-Marie Augustin se souvient que l’on parlait autrefois des vins de Neuville avant que le terme marketing de Haut-Poitou ne s’impose. Historiquement, le Haut-Poitou ne se limitait pourtant pas du tout à la plaine neuvilloise.
Le marais à cheval
Destination touristique qui a valu à la Vendée et au Poitou-Charentes un Guide Vert Michelin en commun de 1986 à l’an dernier, le marais poitevin se trouve à cheval sur deux régions et s’étend sur trois départements.
Les limites des diocèses
Le concordat de 1801 a fixé les limites actuelles du diocèse de Poitiers (Vienne et Deux-Sèvres). En Vendée, le diocèse de Luçon a d’abord été rattaché à celui de La Rochelle et Saintes avant de devenir indépendant en 1817.
Le Poitou (en poitevin Poetou) était une province française, comprenant les actuels départements de la Vendée (Bas-Poitou), Deux-Sèvres et de la Vienne (Haut-Poitou) ainsi que le nord de la Charente et une partie de l’ouest de la Haute-Vienne, dont la capitale était Poitiers.
Il a donné son nom au Marais poitevin, marais situé dans l’ancien golfe des Pictons, sur la côte occidentale de la France, deuxième plus grande zone humide de France en superficie après la Camargue ; le marais s’étend de l’Atlantique aux portes de Niort et du sud de la Vendée au nord de La Rochelle.
Allez encore des commentaires, le prince et la princesse ne sont pas un vrai couple et bla bla …… !! et que dire alors du Roi du Maroc et de son épouse, elle est toujours toute seule a presque toutes les manifestations qui se déroulent loin du pays ou même au Maroc et là silence…… rien à redire !! je trouve vraiment cette fixette sur les princes de Monaco très malsaine. Allez vous faire soigner vilains que vous êtes (certains bien sûr).
Milena, le Maroc s’ouvre petit à petit à la condition féminine et on est à mille lieux de cette culture machiste,il me semble,à Monaco!!!
Maintenant que Charlène ne vienne pas dans le Poitou c’est une chose mais quand on aime son mari on est bien avec lui n’importe où,n’importe quand……
Regardez Letizia ou Maxima ou d’autres….les sorties ou voyages officiels ne sont pas des plus intéressants, souvent, mais quand on peut partager à deux…c’est tellement mieux!
Vous plaisantez, Marie-Louise ? On n’a vu Maxima que toute seule la plupart des dernières sorties. Quand à Mary de Danemark, je n’en parle même pas. Letizia et Felipe, là c’est fusionnel, mais à part eux, je me demande bien quel couple est toujours ensemble.
Attention marielouise, dire que le Maroc a une culture machiste peut vous faire identifier comme raciste par certain(e)s internautes de ce site.
Maintenant, aimer son mari est un sentiment international et ne peut être réserver qu’aux pays occidentaux.
Donc la remarque de MILENA est très pertinente.
Pas de politiquement correct ou au deux poids deux mesures.
merci quentin pour le reajustement Poitou et Poitou charentes dans mon elan regional j avais oublie l histoire peut etre nous croiserons nous samedi a parthenay
j21
23 avril 2014 @ 06:11
Charlène n’est qu’une épouse « institutionnelle ». Elle n’est présente au côté du prince que lors des évènements monégasques incontournables comme dimanche à la finale des masters de tennis ou lors de manifestations concernant sa fondation.
Sinon Albert mène sa vie sans elle ( visite du musée Thyssen à Madrid, soirée caritative du Monaco Deasese Power, inaugurations ,match de tennis samedi ….week end en Ecosse il y a 15 jours, photo dans le journal local à l’appui etc, etc…).
Peut-être les verrons-nous ensemble dimanche à Rome lors des cérémonies de canonisation des papes.
Juliette D
23 avril 2014 @ 15:44
Voilà qui pourrait vous attirer les foudres J21, mais voilà aussi ce que je pense depuis toujours. Je partage totalement votre opinion.
Sixtine
23 avril 2014 @ 16:25
A vrai dire, J21 et Juliette, je suis de votre avis…
Bonne soirée !
Milena K
23 avril 2014 @ 18:56
Les « charlènolatres » vont vous tomber (virtuellement)dessus à bras raccourcis!!!Mais votre raisonnement me semble plausible.
ambre
24 avril 2014 @ 08:45
Pas mieux. Mais je crois toujours que Charlène s’est méprise sur le tour romantique que son statut pouvait prendre…
marielouise
24 avril 2014 @ 12:30
Oui j21….je pense comme vous….un couple officiel et pas plus!
monica
24 mai 2014 @ 18:34
Je suis tout à fait d’accord sur tous les 1ers commentaires et ça avant même leur mariage !!!!!!
D E B
23 avril 2014 @ 06:18
Pour le chabichou ?
Je ne me souviens pas que le Prince Rainier voyageait autant.
nour
23 avril 2014 @ 07:33
çà ce n’est pas une visite pour Charlène!!
c’est où le Poitou,,,,?????
Luna
23 avril 2014 @ 07:34
La Princesse ne pourra pas l’accompagner car elle a cours de Français , ce jour là …
JOSEPHINE
23 avril 2014 @ 08:03
Charlène dans le Poitou ! On aura tout vu, j’espère qu’elle a pris ses bottes de caoutchouc!
Gibbs
23 avril 2014 @ 08:11
Rencontrera-t-il la nouvelle ministre de l’écologie Madame Royal ?
Quentin
23 avril 2014 @ 09:37
Voici l’article complet du magazine 7 à Poitiers:
Le Prince Albert II de Monaco débarquera à l’aéroport de Poitiers-Biard en jet privé, au
matin du 26 avril. Il se rendra ensuite au musée municipal de Parthenay, pour y découvrir une exposition consacrée à ses lointains ancêtres.
Le Poitevin Arnaud Clairand en est l’un des commissaires.
Un chef d’Etat dans la Vienne et les Deux-Sèvres ?
Non, ce n’est pas une blague du Gorafi, mais une info très sérieuse. Le Prince Albert II
de Monaco se rendra bien sur la terre de ses lointains ancêtres, en Gâtine, le samedi 26 avril. Il se trouve que Son Altesse Sérénissime descend directement des ducs de La
Meilleraye, fondateurs, au XVIIe siècle, du château éponyme, à Beaulieu-sous-Parthenay. « À partir des années 1630, la famille de La Porte s’est retrouvée sur le devant de la scène politique, Charles étant un cousin de Richelieu. Ils ont été élevés
par une même personne », détaille Arnaud Clairand. Originaire des Deux-Sèvres, le
Poitevin est l’un des commissaires de l’exposition qui se tient actuellement au musée municipal de Parthenay. Laquelle s’intitule « La Meilleraye, destin d’une famille aux XVIIe et XVIIIe siècles ». « En 1639, à la suite de la prise d’Hesdin, Louis XIII a remis à Charles de La Porte son bâton de maréchal, ajoute le chercheur associé au Centre d’études supérieures de civilisation médiévale. Il sera même nommé plus tard surintendant
des finances, l’équivalent du ministre des Finances. »
Première visite d’Etat depuis 1963: Le Duc de La Meilleraye transforme le château primitif et médiéval en somptueuse demeure, avec de nombreuses dépendances (pigeonnier, orangeraie…) et des appartements réservés à Richelieu. A priori, il n’y a jamais séjourné. Aujourd’hui, l’édifice est en ruines et l’exposition est une manière
de « fournir un témoignage de l’époque ». Deux ans de travail ont été nécessaires, sachant qu’une vingtaine d’historiens se sont attelés à la tâche. Monaco, là-dedans ? Eh bien, la Principauté a accepté de prêter l’une des pièces de la collection personnelle
du Prince, en l’occurrence un portrait de Charles de la Porte. De là à faire venir le Prince en personne, il y a un pas que les organisateurs ont réussi à franchir. « Je connais personnellement l’un de ses conseillers, Christian Charlet », explique Arnaud Clairand.
Cette première approche a été complétée par une visite d’Albéric Verdon, autre commissaire de l’exposition, à Monaco. Il y a rencontré Thomas Fouilleron, directeur des Archives et de la bibliothèque du Palais princier. « C’est ensuite quasiment devenu une évidence… » La dernière visite d’un chef d’Etat dans les Deux-Sèvres remonte
à 1963, il s’agissait de Charles de Gaulle. Ce qui rend l’événement du 26 avril d’autant plus extraordinaire.
Francine du Canada
23 avril 2014 @ 12:14
Merci Quentin; c’est très intéressant et nous attendrons les photos d’Albert et Charlene. Bonne journée, FdC
Gibbs
23 avril 2014 @ 16:47
Merci Quentin
Kalistéa
24 avril 2014 @ 08:09
Cher Quentin, votre paragraphe est très intéressant et instructif,que Charlène vienne ou ne vienne pas en Poitou.Je vous en remercie.Bien à vous. K.
MILENA
23 avril 2014 @ 10:14
La photo n’a rien à voir avec ce qui est énnoncé en titre de l’article !!!!
Anastasie
23 avril 2014 @ 11:55
Je ne comprends pas votre commentaire : la visite n’a pas encore eu lieu et il serait donc difficile d’en mettre une reflétant la visite !!!! Je sais que Régine fait des miracles, mais je ne crois qu’elle a des dons de voyance.
MILENA
23 avril 2014 @ 18:59
Justement mon commentaire est très claire, pourquoi mettre une photo qui n’a rien à avoir avec le sujet, donc commel la visite n’est pas encore faite quel est l’intérêt de mette cette photo si ce n’est pas pour faire parler les commères qui vont encore dénigrer ce couple, d’ailleurs c’est fait vu les commentaires qui précèdent !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Gibbs
23 avril 2014 @ 16:48
Milena,
Comment voulez-vous que Régine mette une photo d’un événement à venir ?
MILENA
24 avril 2014 @ 09:42
DONC IL NE FAUT PAS METTRE DE PHOTO POUR UN EVENVEMENT QU’ON ANNONCE ou alors juste une photo du prince !!!! et non du couple .
Dorothée
25 avril 2014 @ 10:39
Vous plaisantez, Milena, j’espère ? Sinon, c’est effarant…
Quentin
23 avril 2014 @ 12:24
Dans l’article de presse il n’y avait pas de photo du prince mais juste celle de l’un des commissaire. Je ne pense pas que Charlène soit du voyage, elle n’est pas évoquée.
Et le Poitou c’est : Vendée, Deux-sèvres et Vienne, mais là, l’expo c’est dans les deux-sèvres
James Waldorf
23 avril 2014 @ 18:59
Habitant dans la Vienne, j’avoue avoir eu une fausse joie à la vue de cette article
racyma
23 avril 2014 @ 18:03
je suis du Poitou et c est un bien beau pays la vendee n est pas dans le Poitou il y a la vienne les deux sevres la charente et la charente maritime qui constitue cette region Parthenay est une tres belle endormie dommage parce que tres belle et la melleraie devait etre une merveille qui a connu un bien curieux sort merci pour les explications que vous avez donne c est tres bien qu albert vienne peut etre charlene l accompagera t elle vous etes durs avec ce couple qui doit faire avec ses occupations
Quentin
24 avril 2014 @ 08:58
Vous confondez le Poitou-Charentes et juste le Poitou. Moi aussi je suis du Poitou, même de Poitiers et j’ai une licence d’histoire. Si vous prenez des anciennes cartes de France, la Vendée fait partie du Comté du Poitou (Vendée, Deux-Sèvres, Vienne). La Vendée a été enlevé des Deux-Sèvres et de la Vienne tout comme Nantes a été enlevé de la Bretagne. Le Poitou-Charentes n’est pas une vraie région, elle fut créé de toute pièce comme les Pays de Loire. On lui a enlevé la Vendée et accolé la Charente et Charente maritime. C’est pourquoi le gouvernement pense dans son redécoupage des région redonner la Vendée aux Deux-Sèvres et à la Vienne.
Quentin
24 avril 2014 @ 09:09
Que reste-t-il du Poitou ?
Les liens entre la Vendée et les autres départements de la province du Poitou ne sont plus ce qu’ils étaient. Les descendants des Pictons font région à part.
Que reste-t-il du Poitou, si ce n’est un beurre d’appellation, des guides touristiques consacrés au marais poitevin et quelques chapitres dans les livres d’histoire ? Pas grand-chose, estime l’historien Jean-Marie Augustin : « Il n’y a plus de liens aujourd’hui entre les Vendéens et les gens de la Vienne. Plus de liens vivants, en tout cas ; ils appartiennent au passé. »
A croire que l’on peut effacer dix-huit ou dix-neuf siècles d’aventure commune en une Révolution. Dès l’époque des Gaulois, les Pictons occupaient en effet le territoire qui s’étend de la vallée de la Gartempe à la côte Atlantique en couvrant en grande partie les actuels départements de la Vienne, des Deux-Sèvres et de la Vendée. Ce même territoire qui a longtemps formé le comté puis la province du Poitou.
« Les députés envisageaient de créer deux départements »
« La sénéchaussée était à Poitiers pour l’ensemble du Poitou, rappelle Jean-Marie Augustin. Plus tard, à partir de Louis XIII, le gouverneur qui était retenu à la cour était assisté de deux lieutenants généraux à Poitiers pour le Haut-Poitou et à Fontenay-le-Comte pour le Bas-Poitou. La limite entre les deux était formée par les cours du Thouet et de l’Autize. »
Puis la Révolution a fait table rase des institutions de l’Ancien régime et marqué la fin du Poitou : « Les départements sont beaucoup plus rationnels. Au départ, les députés envisageaient pourtant de créer deux départements sur la base du Haut et du Bas-Poitou mais l’offensive des Niortais qui réclamaient la création d’un département intermédiaire a donné naissance aux Deux-Sèvres. »
La Vendée apparaît à ce moment-là pour la première fois comme une entité à part. « Alors que toutes les provinces sont devenues des départements, la Vendée est le seul département qui soit devenu une province », écrit l’auteur régionaliste Jean Yole. C’est que le soulèvement d’une partie des Vendéens en 1793 et la répression qui a suivi ont profondément marqué le nouveau département au point de forger une forte identité locale.
Jusqu’en 1961, la Vendée a pourtant appartenu à l’académie de Poitiers pour l’Éducation nationale. Aujourd’hui encore, elle relève de la compétence de la cour d’appel de Poitiers pour ce qui concerne l’autorité judiciaire. Sous le régime de Vichy, elle a même fait partie de la première région administrative dite « de Poitiers » au même titre que les quatre départements de l’actuelle région Poitou-Charentes dont le découpage a été adopté à la fin des années 1950.
« Je ne suis pas passéiste »
« A l’époque, le conseil général de la Vendée s’est prononcé pour le rattachement aux Pays de la Loire ; économiquement, le département était déjà clairement tourné vers le bassin nantais, précise Jean-Marie Augustin. Je sais qu’il existe en Vendée un courant très marqué à droite qui continue de réclamer le rattachement du département à Poitiers ; le pendant étant le rapprochement de Nantes et de la Bretagne. Mais il n’y a pas que l’histoire ! La sociologie, l’économie, la géographie, ça compte aussi. Clairement, avant la création de l’autoroute Niort-Nantes, il était difficile d’aller de Poitiers à La Roche-sur-Yon… »
L’historien poitevin se dit « persuadé que les liens n’existent plus » entre la Vendée et le reste du Poitou, en particulier avec la Vienne. « Je suis historien, dit-il. Pas passéiste. »
Jean-Marie Augustin a publié « Histoire du Poitou-Charentes, des provinces à la région », en 2011, chez Geste Éditions ; 614 pages, 49,90 €
REDÉCOUPAGE » Au nord du sud « .
La question du rattachement de la Vendée au Poitou-Charentes se pose à chaque fois que le débat sur un éventuel redécoupage régional revient sur la place publique et dans l’hypothèse où la Loire-Atlantique rejoindrait la Bretagne. Ces dernières semaines, l’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a plaidé à plusieurs reprises pour la constitution d’une grande région. Sans évoquer le cas vendéen, le sénateur de la Vienne souhaite le regroupement des régions Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes. « Il vaut mieux être au nord du sud qu’au sud du nord », aime-t-il dire. Envisagé par Nicolas Sarkozy qui avait confié une mission à Édouard Balladur, le sujet n’est toutefois pas à l’ordre du jour de l’actuel gouvernement.
la phrase
» Même les Deux-Sèvres qui sont un département fait de bric et de broc existent depuis deux cents ans. »
« L’histoire ne s’arrête pas à la Révolution, rappelle l’historien poitevin Jean-Marie Augustin. Aujourd’hui, le socle est républicain ; même les Deux-Sèvres qui sont un département fait de bric et de broc existent depuis deux cents ans. » L’occasion de rappeler que les formules « Moyen Poitou » et « Poitou Intermédiaire » ne sont apparues qu’après la création des départements. Historiquement, il n’y avait qu’un Haut et un Bas-Poitou dont la limite se trouvait au milieu des Deux-Sèvres.
en bref
Un Haut-Poitou très marketing
L’historien Jean-Marie Augustin se souvient que l’on parlait autrefois des vins de Neuville avant que le terme marketing de Haut-Poitou ne s’impose. Historiquement, le Haut-Poitou ne se limitait pourtant pas du tout à la plaine neuvilloise.
Le marais à cheval
Destination touristique qui a valu à la Vendée et au Poitou-Charentes un Guide Vert Michelin en commun de 1986 à l’an dernier, le marais poitevin se trouve à cheval sur deux régions et s’étend sur trois départements.
Les limites des diocèses
Le concordat de 1801 a fixé les limites actuelles du diocèse de Poitiers (Vienne et Deux-Sèvres). En Vendée, le diocèse de Luçon a d’abord été rattaché à celui de La Rochelle et Saintes avant de devenir indépendant en 1817.
Baptiste Bize
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2013/05/12/Que-reste-t-il-du-Poitou-1462179
Wikipédia:
Le Poitou (en poitevin Poetou) était une province française, comprenant les actuels départements de la Vendée (Bas-Poitou), Deux-Sèvres et de la Vienne (Haut-Poitou) ainsi que le nord de la Charente et une partie de l’ouest de la Haute-Vienne, dont la capitale était Poitiers.
Il a donné son nom au Marais poitevin, marais situé dans l’ancien golfe des Pictons, sur la côte occidentale de la France, deuxième plus grande zone humide de France en superficie après la Camargue ; le marais s’étend de l’Atlantique aux portes de Niort et du sud de la Vendée au nord de La Rochelle.
Francine du Canada
24 avril 2014 @ 15:12
Merci QUENTIN, j’aime bien votre commentaire… le Poitou, vu sous tous les angles. Amitiés, FdC
flabemont8
25 avril 2014 @ 21:06
Merci, Quentin, de ces explications que je découvre, n’étant pas de la région…
Que reste-t-il du Poitou ? Mais le magnifique Baudet !
MILENA
23 avril 2014 @ 18:54
Allez encore des commentaires, le prince et la princesse ne sont pas un vrai couple et bla bla …… !! et que dire alors du Roi du Maroc et de son épouse, elle est toujours toute seule a presque toutes les manifestations qui se déroulent loin du pays ou même au Maroc et là silence…… rien à redire !! je trouve vraiment cette fixette sur les princes de Monaco très malsaine. Allez vous faire soigner vilains que vous êtes (certains bien sûr).
Francine du Canada
24 avril 2014 @ 00:26
J’espère que ça vous a fait du bien MILENA… moi, ça m’a fait beaucoup de bien de vous lire car… vous avez raison. FdC
MILENA
24 avril 2014 @ 09:40
Oui Francine cela me fait du bien, car la méchanceté m’horripile !! je vous remercie de votre commentaire….
ambre
24 avril 2014 @ 08:47
Dans le cas du Maroc, il y a un sacré mieux avec la princesse Salma. On ne voyait pas du tout la précédente épouse du Roi.
ambre
24 avril 2014 @ 08:48
Pardon, l’épouse du précédent Roi, plutôt.
marielouise
24 avril 2014 @ 12:36
Milena, le Maroc s’ouvre petit à petit à la condition féminine et on est à mille lieux de cette culture machiste,il me semble,à Monaco!!!
Maintenant que Charlène ne vienne pas dans le Poitou c’est une chose mais quand on aime son mari on est bien avec lui n’importe où,n’importe quand……
Regardez Letizia ou Maxima ou d’autres….les sorties ou voyages officiels ne sont pas des plus intéressants, souvent, mais quand on peut partager à deux…c’est tellement mieux!
emy
25 avril 2014 @ 10:58
Vous plaisantez, Marie-Louise ? On n’a vu Maxima que toute seule la plupart des dernières sorties. Quand à Mary de Danemark, je n’en parle même pas. Letizia et Felipe, là c’est fusionnel, mais à part eux, je me demande bien quel couple est toujours ensemble.
Francine du Canada
25 avril 2014 @ 13:42
Philippe et Mathilde peut-être! FdC
Milena K
25 avril 2014 @ 16:59
Le Poitou n’est probablement pas assez « glamour » pour SAS Charlène…lol
Marie de Bourgogne
25 avril 2014 @ 12:03
Attention marielouise, dire que le Maroc a une culture machiste peut vous faire identifier comme raciste par certain(e)s internautes de ce site.
Maintenant, aimer son mari est un sentiment international et ne peut être réserver qu’aux pays occidentaux.
Donc la remarque de MILENA est très pertinente.
Pas de politiquement correct ou au deux poids deux mesures.
Bon après midi
MILENA
25 avril 2014 @ 14:42
Oui merci de votre avis .
mamy24
24 avril 2014 @ 13:07
bien dit et merci pour eux!
racyma
24 avril 2014 @ 08:06
pourquoi des bottes de caoutchouc dans le Poitou chez nous aussi il y a des personnes classes
Marie1
24 avril 2014 @ 10:53
C’est une visite privée et une fois de plus express arrivée 11h départ vers 14h30.
http://www.courrierdelouest.fr/actualite/parthenay-le-prince-albert-ii-de-monaco-en-visite-samedi-24-04-2014-160086
Jean Pierre
24 avril 2014 @ 11:52
Charlene et Albert seront accueillis par la famille « Royal » des Deux Sèvres ?
aubert
24 avril 2014 @ 16:00
Vous pensez que les princes des Pays-Bas vont se déplacer jusque là ? Inutile, Ils connaissent déjà les ânes du Poitou.
racyma
25 avril 2014 @ 00:12
merci quentin pour le reajustement Poitou et Poitou charentes dans mon elan regional j avais oublie l histoire peut etre nous croiserons nous samedi a parthenay
Quentin
25 avril 2014 @ 09:15
Malheureusement je ne pourrais y être, je suis en formation à Pau