Le prince Albert et la princesse Charlène de Monaco étaient en visite à Sainte-Agnès où ils ont inauguré les restaurations de l’église locale réalisées grâce à une souscription à laquelle le couple princier a participé. Les liens avec Sainte-Agnès remontent à 1971, date à laquelle le prince Rainier et la princesse Grace avaient offert deux lustres de la cathédrale de Monaco pour l’église agnésoise. Ensuite, le prince et la princesse ont été reçus par les autorités et faits citoyens d’honneur. (merci à Marie Françoise – Copyright photos : DR)
Zeugma
16 janvier 2014 @ 10:26
Le reportage ne précise malheureusement pas où est située cette église. Est-elle sur le territoire de la principauté ? ou ailleurs ?
Danielle
16 janvier 2014 @ 11:17
Bien souriants tous les deux.
Patricia
16 janvier 2014 @ 12:16
Cette église se trouve à Sainte Agnès, petit village sur les hauteurs de Menton
Juliette D
16 janvier 2014 @ 16:14
Voilà pourquoi ils ont été faits citoyens d’honneur. Ce n’était pas clair où se situait cette église.
Caroline
16 janvier 2014 @ 23:26
Patricia,merci pour votre information ‘géographique’!
Charlène est jolie et nette à la fois avec son mari bien décontracté!
Un petit Belge
16 janvier 2014 @ 18:05
Sainte-Agnès faisait-il partie autrefois de la principauté de Monaco (comme Menton)?
Patricia
17 janvier 2014 @ 09:05
Selon la légende, une princesse italienne en voyage, dénommée « Agnès », fuyant un violent orage, aurait trouvé refuge dans une grotte du village.
Perché à 800 m sur un piton rocheux, le château pourrait dater de 1180. Après les découvertes des fouilles de 1993, les assises de la tour remontent à la fin du Xe siècle ou au début du XIe siècle. Les Agnésois ayant encouragé à la résistance leur bourg voisin de Peille, le chevalier de la Fare, gouverneur du comté de Louis XIV, fit détruire le château en 1691. Mais cette destruction ne fut pas totale et la forteresse joua de nouveau un rôle dans la guerre de Succession d’Autriche de 1744 à 1749Note 1.
Il a aussi été l’objet de nombreuses convoitises de la part des comtes de Vintimille, des Maison de Hauteville et Maison de Candie, et des comtes de Provence, de la Maison de Savoie et même des Grimaldi.
Dépendant du royaume de Piémont-Sardaigne, Sainte-Agnès ne fut rattachée à la France qu’en 1860.
En 1932, débute la construction de l’ouvrage de Sainte-Agnès, creusé dans le rocher et doté d’une redoutable artillerie. Ultime maillon de la ligne Maginot, sa force de feu permit de stopper les troupes italiennes