La Cour d’appel de Bruxelles a décidé de reporter les débats au 28 mars prochain car une audience de 20 minutes seulement avait été initialement prévue. En effet au moment de la fixation de l’audience, il n’était pas encore question du pourvoi du roi Albert II devant la Cour de Cassation.
Maître Alain Berenboom, avocat du roi Albert II, a laissé entendre que son client ne serait pas contre le test de paternité demandé mais indique que cela n’a pas lieu d’être puisque le père de Delphine Boël est toujours Jacques Boël. L’avocat de Delphine Boël soutient en revanche que ce test est nécessaire et « urgent ». En cas de décès du roi, cela compliquera encore la procédure. Les parties se retrouveront donc le 28 mars pour les plaidoiries. L’arrêt de la Cour d’appel sera rendu fin avril. (Merci à Gibbs)
Auberi
15 février 2019 @ 10:56
Évidemment, tout recul possible est exploité par les avocats du roi, et si une virgule manque dans le pourvoi, on en a encore pour des années
Muscate-Valeska de Lisabé
15 février 2019 @ 13:59
Parfaitement bien raisonné, Auberi.
Karabakh
16 février 2019 @ 15:31
Le pourvoi est déposé par le roi (ses avocats), donc je pense qu’ils n’iront pas se tirer une balle dans le pied, en relevant leurs propres erreurs de ponctuation. Ce n’est pas non plus leur intérêt de jouer à cela avec les mémoires déposés par Delphine Boël (ses avocats). Par contre, ils peuvent chercher la petite bête sur un argument imprécis, mais ça c’est le jeu des procédures. Après tout, le roi n’a rien demandé, il n’est l’instigateur de la procédure donc, comme tout intimé initial, il a bien le droit de pinailler un peu.
Philippe Gain d'Enquin
15 février 2019 @ 11:09
Le visage souffrant d’une papassionaria !
Menthe
15 février 2019 @ 13:34
👏Philippe!
Surtout que ce papa n’est pas gai.
Philippe Gain d'Enquin
16 février 2019 @ 08:51
outé, papa ?
Gérard
16 février 2019 @ 16:59
Quand on ne lui parle pas de Delphine ce n’est pas un triste sire.
Muscate-Valeska de Lisabé
15 février 2019 @ 13:59
Bravo PGE!!
Baboula
15 février 2019 @ 14:54
Sa souffrance est évidente,son visage est douloureux ,elle a peut-être simplement manqué le tram 33 .
Philippe Gain d'Enquin
16 février 2019 @ 08:50
Et elle ne m’a pas vu,j’attendais Madeleine… même si cela choque les « Proust-Proust machin! »
Baboula
17 février 2019 @ 09:26
Elle a vu que vous n’aviez pas apporté des bonbons .
Menthe
17 février 2019 @ 11:58
Et le lilas n’est pas encore en fleurs !
Philippe Gain d'Enquin
17 février 2019 @ 19:46
Va savoir…
Karabakh
16 février 2019 @ 15:33
En effet, je pense que la photo est de circonstance ; la presse avait ça dans ses tiroirs, elle l’a ressorti parce que ça colle bien au sujet. Rien de plus. 😉
Claudia
15 février 2019 @ 11:17
Le roi Albert II semble vouloir tout faire pour retarder une décision finale. Il est évident qu’il ne reconnaitra jamais Delphine Boël comme sa fille de son plein gré, cette dernière en est parfaitement consciente mais visiblement elle ne lâchera jamais l’affaire, même après un éventuel décès du roi. Tout ça a quelque chose de pathétique.
Karabakh
15 février 2019 @ 16:51
Au décès du roi, la procédure contre lui n’aura plus lieu d’être. Si Delphine veut continuer, c’est ensuite contre les enfants du roi qu’elle devra se battre. Or je doute que ce soit une bonne idée, puisqu’ils ne lui sont pas hostiles.
Philippe Gain d'Enquin
16 février 2019 @ 10:58
SM le roi Philippe pourrait alors lui conférer un titre – naturellement héréditaire – reconnaissant leur plus que probable parenté.
jackes
16 février 2019 @ 15:30
Vous oubliez la Reine Paola.
Gérard
16 février 2019 @ 17:15
S’il faut partager à quatre avec une inconnue ils finiront peut-être par lui être hostiles.
Karabakh
18 février 2019 @ 01:47
(je réponds à la suite du message de Gérard)
@PGE
Pourquoi pas ? Ce serait un joli geste qui calmerait les esprits.
@jackes
La reine Paola pourrait faire pression sur son fils mais elle n’a aucune fondement à intervenir dans la procédure. Du reste, je ne suis pas sûr que Philippe se laisserait impressionner sur ce coup-là mais bon, je n’en dirais point trop.
@Gérard
Nul ne sait vraiment mais, honnêtement, je ne pense pas. S’ils avaient dû marquer une quelconque hostilité à son égard, face au risque de devoir partager à quatre, ils auraient déjà exprimé leur sentiment. Même Astrid, pourtant pas réputée pour ses inclinaisons envers Delphine, n’a jamais marqué franchement d’hostilité.
Mais le roi, son frère et sa sœur savent certaines choses que le public ne sait pas et que l’avocat de Delphine ignore. Et c’est justement parce que tout cela n’est pas clairement exprimé que je garde beaucoup de prudence à l’égard de cette affaire.
Gibbs
15 février 2019 @ 11:19
L’attitude du roi Albert II vire à un ridicule spectacle de « cirque ».
Bien évidemment, légalement, Monsieur Jacques Boël est toujours le père de Delphine puisqu’il était l’époux de sa mère au moment de sa naissance.
Ceci c’est la loi.
Il est toutefois bien certain via le test ADN qu’il n’est pas son père biologique.
Il m’est impossible de comprendre comment une personne adulte et saine d’esprit puisse se comporter d’une manière infantile et irresponsable.
J’entends déjà les sirènes « quelle ingrate cette Delphine ! » de renier le « père » qui l’a élevée.
Et bien non.
La relation entre le prince de Liège et la baronne de Sélys-Lonchamps a duré de très nombreuses années et Delphine surnommait Albert « Papillon ».
Delphine cherche à clore ce chapitre douloureux de son existence et à pouvoir dire à ses deux enfants qui est leur grand-père maternel.
Son décès compliquera la donne mais n’empêchera pas un prélèvement morbide (cf. Yves Montand).
Attitude inqualifiable d’une personne qui m’était sympathique à la cour de Belgique et elles ne sont pas nombreuses.
Robespierre
15 février 2019 @ 13:55
chère Gibbs, il y a un aspect de l’affaire que personne n’évoque jamais ici.
M. Boel n’est pas le père parce qu’il a fait le test ADN. OK
Albert soutient qu’il n’est pas le père et il a dit un jour au tel à Delphine (vu à tv française où Delphine le racontait) « je ne suis pas ton père ». OK, c est moche mais c’est dit.
Si ni monsieur Boel, ni Albert ne sont le geniteur de Delphine, cela sous-entend que conjointement avec Albert Madame Sybille voyait en catimini un autre monsieur, donc un troisième homme. Vu que cette liaison a duré dix ans, et traduisait un réel attachement mutuel, le désaveu de paternité est insultant pour un membre de ce couple de la main gauche. Ce n’est pas parce qu’on est la maitresse de quelqu’un que ce quelqu’un a le droit de vous offenser, meme si c’est indirectement. Je crois que derrière lui Albert a un mauvais génie. On peut se séparer et ne plus s’aimer, mais on n’a pas le droit d’humilier celle qu’on n’aime plus.
milou
16 février 2019 @ 08:22
Tant qu’Albert n’a pas fait le test, il reste le présumé père…et c’est bien peu respectueux d’inventer un nouvel amant à sa mère et un potentiel nouveau père…à Delphine, Robespierre!
Si Albert prétend ne pas être le père alors qu’il fasse ce teste et il serait officiellement blanchi…son refus est , à mes yeux, un aveu et surtout la marque d’un être lâche!
ml
Karabakh
18 février 2019 @ 01:50
Non. Le temps qu’il n’a pas fait le test, du moment aussi où la justice ne s’est pas prononcée par défaut, il est présumé n’être rien pour Delphine, en tout cas pas son père.
Quant à Sybille de Sélys de Longchamp, si elle n’avait eu que le roi pour amant, cela se saurait.
LOLA
22 février 2019 @ 21:50
Vous teniez bien souvent la chandelle auprès des couples du Gotha…risible ! pathétique et si mégalo !
Olivier d'Abington
17 février 2019 @ 13:54
Cher Robespierre,
Ce n’est pas parce qu’un homme « dit » « Je ne suis pas ton père » que c’est forcément le cas. C’est même trèèèèès souvent le contraire.
S’il n’était vraiment pas le père, et en avait la certitude, le test ADN aurait été fait depuis longtemps pour le prouver.
C’est bien parce qu’il y a 99% de chance pour qu’il soit réellement le père que le roi « retiré » refuse de se plier à ce simple exercice.
Brigitte - Anne
15 février 2019 @ 14:32
Gibbs, bien d accord avec vous.
Karabakh
16 février 2019 @ 15:56
Avec toute la sympathie que j’ai pour vous, je trouve que le spectacle de cirque tient plus dans la condamnation du roi – « il est le père ! » -, alors que finalement rien ne permet une telle conclusion. Dans l’absolu, Jacques Boël est toujours le père légal de Delphine.
La réponse du roi est d’ailleurs très fine, en ce qu’elle relève ce fait de droit mais ne se lance dans aucune conclusion, quant à la paternité d’un tiers.
Karabakh
16 février 2019 @ 15:59
Ce surnom de « Papillon » ne prouve rien, hormis que Delphine et Albert se connaissent. Ce que le roi ne nie pas.
COLETTE C.
15 février 2019 @ 11:38
Mais, Jacques Boël n’est pas le père de Delphine !!!
Karabakh
16 février 2019 @ 15:59
Et vous n’avez aucun élément qui vous permette d’affirmer qu’Albert II est ce père.
Olivier d'Abington
17 février 2019 @ 13:56
C’est bien pour cela que le test ADN s’impose!
Karabakh
18 février 2019 @ 22:55
Certes mais comme le roi dispose d’une infinité de moyens de s’esquiver, nous n’avons pas fini de danser.
Jean Pierre
15 février 2019 @ 11:51
Tiens comme en France, les procès civils en Belgique sont renvoyés d’audience en audience.
Un avocat qui demande un report est systématiquement entendu.
clement
15 février 2019 @ 13:12
Elle a les traits ravagés d’une personne mal dans sa peau ,quand les preuves seront faites , ira-t-elle mieux ? je lui souhaite .
Trudy
15 février 2019 @ 13:52
Albert 2 sait très bien que Mr. Boël n’est pas le père biologique de Delphine. Lui il a fait le test DNA. L’ex-roi se rend de plus en.plus ridicule. On voit sur le visage de Delphine qu’elle souffre mais J’espère quelle ira jusqu’au bout. Ça fait 20 ans que ça dure et encore Albert s’obstine à ne pas la reconnaitre comme sa fille. Il n’a pourtant rien à perdre à part une bonne réputation s’il ne lea déjà pas perdue. Albert de Monaco a reconnu deux enfants nés de deux relations différentes mais plus personne n’en parle. L’affaire est close et il a sûrement contribué financièrement à leurs éducation.
Karabakh
16 février 2019 @ 16:25
Albert II sait peut-être aussi qu’il n’est pas lui-même le père ; à part lui et Sybille, personne ne sait.
D’ailleurs, contrairement à ce que pensent la plupart des gens, il est très difficile, en France comme en Belgique, de contraindre une personne à subir un test ADN. La vie privée est impactée et, même sur ordonnance d’un tribunal, les intimés disposent de voies de refus. Nous ne sommes pas aux USA, où la police exécute les ordonnances par la force…
Et quand bien même la personne se soumet, il lui reste là encore des recours. Il y a plusieurs méthodes de testage ADN, avec chacune des taux de fiabilité très variables et autant d’opportunités de remise en question. Et même sans entrer dans les détails les plus techniques, il suffit d’un couac dans la chaîne de testage pour anéantir tout résultat. Ce n’est pas comme dans la série « Les Experts », ou plus français, la série « RIS », où ils appuient sur des boutons pour obtenir un résultat et accessoirement, se prennent un café au bar d’en-face le temps que ça sorte. C’est plus compliqué que cela…
Bref. Cette affaire n’est pas terminée, et ma rigueur scientifique me conduit à dire que c’est très bien ainsi, car cela démontrera une nouvelle fois, s’il en est toutefois besoin, que la science n’a pas vocation à dire le droit à la place des juges.
Mia Beydon
15 février 2019 @ 14:00
Que l’on soit roi ou autre mais encore plus roi.. Il faut être responsable de ses actes.. Si c’est son père réel pourquoi cet homme refuse t il ce test.. Il sait bien que c’est sa fille.. Cet homme m’est antipathique. Il n’est pas digne d’être dans la lignee des monarques et ses autres enfants pourquoi ne prennent ils pas position.. Ils remonteraient dans ‘otre estime.. Quelle drole de famille et royauté !!!
Karabakh
16 février 2019 @ 16:26
Et si ce n’est pas son père biologique, qu’il en est absolument certain, pourquoi devrait-il accepter le test ?
Leonor
17 février 2019 @ 10:11
Je partage entièrement votre avis, Karabakh. D’abord et simplement parce que c’est la logique même.
Olivier d'Abington
17 février 2019 @ 14:00
Aucun homme ne peut être « certain » de ne pas être le père d’un enfant d’une femme avec qui il a couché! Cette façon de « faire » ne relève que de la conviction personnelle, pas de la réalité des faits.
Seul un test ADN peut le prouver! C’est scientifique.
Actarus
18 février 2019 @ 14:57
Considérons l’affaire avec un peu de recul.
Je ne me suis jamais mis dans une situation par laquelle je pouvais prêter le flanc à une recherche en paternité, mais je vais me mettre à la place du roi Albert II.
Fait incontestable : le roi Albert II, alors prince de Liège, a eu une liaison avec la baronne Sybille de Sélys Longchamps, alors mariée avec Jacques Boël.
Delphine Boël est née en 1968. Si la loi belge est comme la loi française, alors l’enfant est réputé être celui du mari de la mère (de plus en plus de couples n’étant pas mariés de nos jours, en cas de problèmes de ménage je ne peux qu’entrevoir une avalanche de difficultés d’ordre familial…). Pendant près de cinquante ans, Delphine Boël a été, à bien des égards, la fille de Jacques Boël, son père putatif dont elle porte encore le nom.
J’ignore tout de la vie sentimentale de la baronne : si elle a trompé son mari avec un aurtre homme, tout prince qu’il fût, qu’est-ce qui prouve (ou pas) qu’elle n’a pas aussi trompé son amant avec un autre ?
Sur l’opportunité du test ADN que les Fouquier-Tinville de ce blog réclament à grands cris d’orfraie ; de deux choses l’une : ou bien il prouverait la filiation biologique (produirait-elle alors des effets juridiques ?) ou bien ce serait le contraire et il prouverait que la baronne avait une vie amoureuse bien remplie.
Delphine a attendu d’avoir 45 ans pour entreprendre des démarches visant à prouver une filiation présumée. Certains diront qu’il n’est jamais trop tard mais on ne peut que s’interroger sur les motivations réelles. A cet âge-là, quand bien même la filiation serait scientifiquement prouvée, elle ne peut pas espérer rattraper le temps perdu ni obtenir l’amour filial de son géniteur. Albert II n’a jamais considéré Delphine comme sa fille, et ne la regardera jamais comme telle.
Sur les manoeuvres dilatoires du roi-père pour ne pas se plier au test : soit il se sait (ou à tout le moins se suppose) père biologique de Delphine et ne veut pas risquer d’entacher ses dernières années de vie commune (et de vie tout court) avec son épouse ni de placer leurs enfants dans une position délicate (que ferait Delphine ensuite s’il était prouvé qu’elle était la soeur consanguine du roi Philippe ? Quelle serait sa prochaine revendication ?), soit il sait ou suppose qu’il n’en est pas le père et trouve insultant (et sur ce point je peux le comprendre) d’être contraint à se plier à une telle analyse particulièrement impudique.
Karabakh
18 février 2019 @ 22:56
La science a des limites.
Karabakh
19 février 2019 @ 15:14
Merci Actarus !
Ellen
15 février 2019 @ 15:31
Ignoble , le roi Albert II !
dadouna
15 février 2019 @ 16:30
Je partage le point de vue de Gibbs entièrement. Ce roi a été ridicule à certains moments de sa vie, est ridicule à présent et c’est navrant…quelle hypocrisie……
andré
15 février 2019 @ 16:31
la ressemblance avec l’ex-roi est frappante
Karabakh
16 février 2019 @ 16:31
La ressemblance est encore plus frappante avec… Sybille de Sélys de Longchamp. Je n’ai pas la possibilité de lier les images (les séquences url sont trop longues) mais faites une recherche, vous verrez.
plume
15 février 2019 @ 16:46
L’ex roi Albert II se moque du monde et joue sur les mots. C’est déplorable surtout venant de lui.
Lucile M.
15 février 2019 @ 16:48
S’il voulait attirer l’attention des foules sur cette enfant illégitime il ne s’y prendrait pas autrement. Une reconnaissance discrète et un arrangement successoral lui aurait évité de voir sa vie privée mise à la une en permanence. Cet entêtement à nier l’évidence a quelque chose de pathétique en raison de son âge. Pourtant il faut que justice soit faite.
Karabakh
15 février 2019 @ 16:54
Apparemment, la paternité de Jacques Boël est toujours valable. Paraît-il pourtant que les tests ADN devait mener à l’annulation de la reconnaissance. Encore un effet de manche…
Sissi58
15 février 2019 @ 17:44
Si elle considère son père Jacques Boel comme son vrai père, pourquoi insister à faire reconnaitre le roi pour son vrai pere? Elle dit que ce n’est pas pour l’argent, mais si le roi décéde, elle aura le droit à l’heritage sauf si la loi belge est differente de chez nous.
Leonor
16 février 2019 @ 10:26
C’est un peu court de raisonnement, juridiquement parlant.
C’est tout le problème entre la paternité biologique et la paternité juridique. Le problème a déjà fait produire des quantités de prises de tête juridiques et donc des quantités de textes d’experts juridiques.
Si la paternité biologique donnait ipso facto au rejeton droit à l’héritage, les donneurs de sperme anonymes ou pas auraient du souci à se faire, et je mets ma main au feu qu’il y en aurait encore moins que maintenant. Ce qui, soit dit entre parenthèses, ne serait pas plus mal – mais c’est un autre sujet. Quoique …
Pour qui a envie de se prendre la tête, allez-y :
https://www.dalloz-actualite.fr/flash/l-article-331-du-code-civil-invite-surprise-d-une-action-mystere#.XGfWVehKjIU
Marie2
16 février 2019 @ 14:14
Il n’y a pas une once de gènes communs entre Delphine Boels et son faux père, cela été démontré et reconnu juridiquement alors pourquoi revenir là-dessus ?
Marie2
15 février 2019 @ 18:49
Elle est belle et ressemble beaucoup à la reine Astrid.
marianne
15 février 2019 @ 18:58
€€€€€€€€€€€€…..
Francois
15 février 2019 @ 22:03
C’est sordide tout ça
Vivier
15 février 2019 @ 23:48
Quel manque de courage et de responsabilité de la part du Roi Albert !
framboiz 07
16 février 2019 @ 01:13
La Belgique a son affaire , son feuilleton judiciaire , Albert,la France , son feuilleton Johnny ,dans les deux cas, c’est le père ,qui est la cause des problèmes …
framboiz 07
16 février 2019 @ 01:14
La Belgique a son affaire , son feuilleton judiciaire , Albert, la France , son feuilleton Johnny…
Dans les deux cas, c’est le père ,qui est la cause des problèmes …
Gérard
16 février 2019 @ 17:32
Le parent 1 ou le parent 2 ?
Douce
16 février 2019 @ 04:10
Cette demande d’ADN est assez ridicule et humilie inutilement le roi Albert. Une étude morphologique du visage démontre suffisamment la filiation. Le Prince Laurent avait proposé son propre ADN, qu’en est-il ? Pourtant l’ADN du Prince Laurent (dont la filiation ne fait aucun doute non plus en réalité, puisqu’il y aurait déjà eu un test ADN) aurait suffi. https://www.levif.be/actualite/belgique/le-roi-albert-a-deja-fait-un-test-adn-pour-le-prince-laurent/article-normal-90163.html
On n’aurait tout de même pas osé prétendre après que Delphine Boel serait la fille d’Ado Vastapane.
Leonor
16 février 2019 @ 10:30
Etude morphologique du visage ? Kézekça ?
Ce n’est pas parce qu’un marmot a à peu près les mêmes yeux que le facteur que c’est le fils du facteur.
Jamais entendu qu’une » étude morphologique » serait une preuve juridique !
Faut rester un peu sérieux quand même.
Karabakh
16 février 2019 @ 16:38
L’étude morphologique démontre d’abord la filiation maternelle. Delphine ressemble à sa mère, c’est indéniable et pour le coup, personne ne remet cela en question (maman c’est sûr, papa peut-être). Je vous rejoins sur le caractère humiliant du test, par contre il n’est pas convenable de lui substituer une étude morphologique, encore plus suggestive.
Pauline de Roby
16 février 2019 @ 08:44
Plus le procès dure, plus tout le monde en parle.. Les affaires privées comme celle là devrait se régler en privé.. Mais ce n’est pas la voie choisie par les deux parties.
josaintvic
16 février 2019 @ 13:17
Et bon Gibbs, pour quelqu’un qui hier affirmait ne pas vouloir participer aux commentaires négatifs, vous n’epargnez pas Albert de Belgique !
Actarus
16 février 2019 @ 15:53
La morphologie du visage n’est pas une preuve (cf. homéomorphisme et mon commentaire sous l’article précédent).
Vous connaissez l’adage : papa peut-être, maman sûrement. Or Mme Boël ressemble à la baronne sa mère. Si madame la baronne a eu la cuisse légère, c’était son droit incontestable mais cela ne donne nullement le droit aux internautes de JUGER, sous le prétexte d’une ressemblance morphologique qui ne constitue aucunement une preuve, que le roi Albert II est le père biologique de la dame. Arrêtez de rejouer avec Albert II le procès de Louis XVI et de vous prendre pour des Fouquier-Tinville 2.0 ! ^^
Et pour finir : le roi Philippe ne pourrait-il la titrer « princesse de Boëlgique » ? ;-) Encore que je doute que cela suffise à calmer les ardeurs de celle qui se voudrait fille et soeur de roi…
Auberi
17 février 2019 @ 11:50
Actarus, ’Princesse de Boëlgique’
Hahaha J’adore 😆😆😆
Gérard
16 février 2019 @ 17:13
C’est de l’humour je suppose cette histoire de ressemblance qui ferait preuve…
Ellen
17 février 2019 @ 10:26
S’il est persuadé de ne pas être le père, raison de plus pour qu’il fasse le test ADN et qu’il cloue le bec à tout le monde, MAIS………..MAIS…………je suis sûre qu’en son for intérieur il sait qu’elle est sa fille. Et Paola ne supporte pas cette preuve vivante de l’infidélité de son mari.
Allons Sire ! un peu de courage
Marie2
17 février 2019 @ 12:40
Ellen, on ne sait pas qui a commencé mais sur ce plan ils se tiennent par la barbichette. Qui rendait la monnaie de sa pièce à l’autre, allez savoir… Vrai ou non, il y a eu beaucoup de rumeurs à une certaine époque sur la véritable filiation du prince Laurent. Mais bien-sûr ce n’est pas une preuve ni au fait qu’il n’ait physiquement rien de commun avec son frère et sa soeur…
Mary
18 février 2019 @ 17:03
Vous trouvez ? Il ressemble énormément au roi Albert II !
Il ne faut pas céder aux insinuations gratuites et méchantes.
Ghislaine-Perrynn
17 février 2019 @ 14:42
En son temps , je trouve que le prince Laurent a fait preuve de courage et de gentillesse pour D elphine Boëls.
Cette affaire est navrante et les commentaires que je lis m’étonnent .
Je considère comme un droit le plus strict de savoir d’où l’ont vient .
Ne serait ce que pour ses propres enfants .Question santé par exemple .
Jacques
17 février 2019 @ 18:25
Refuser sous n’importe quel prétexte le test ADN revient à reconnaître la paternité. Triste Sire.
Leonor
17 février 2019 @ 20:19
Vous êtes sûre d’une hypothèse. Curieux raisonnement.
PuceB
17 février 2019 @ 20:27
Ah la la elle dure vraiment depuis longtemps cette histoire. Pourquoi ne fait-il pas le test pour prouver une bonne fois pour toute qu’il n’est pas le père ? Je trouve que le combat de Delphine est juste, et j’espère qu’elle ira jusqu’au bout.
Contrairement à d’autres, je ne crois pas qu’elle soit après un titre ou de l’argent, mais, c’est juste mon avis.
Anne-Cécile
19 février 2019 @ 05:30
L’Echo (Belgique) 05 novembre 2018
« La cour a tout d’abord établi qu’Albert II ne pouvait pas intervenir dans la contestation de paternité de Jacques Boël, demandée par ma cliente », a exposé à l’agence Belga Me Uyttendaele, l’un des avocats de la plaignante. « Elle a ensuite établi que même s’il y a possession d’état, c’est-à-dire qu’il y a eu des liens de père à fille entre Jacques et Delphine Boël, sa demande doit être examinée. Elle a estimé donc que son action était fondée. Elle a ensuite constaté que Jacques Boël n’est, ni en droit, ni en fait, le père de Delphine », a expliqué l’avocat.
« Ainsi, dans les trois mois au plus tard, Delphine Boël ne sera plus la fille de Jacques Boël dans les registres de l’Etat civil. Et, dans ce même laps de temps, Albert II devra se soumettre à un test ADN.
Je pense que si la paternité officielle est tombée entre Mme Delphine Boël et l’ex-époux de sa mère, certes avec l’accord des deux, ce n’est pas tant que le test ADN prouve qu’il n’existe aucun lien biologique entre les deux, que parce que les parties ont apporté des preuves que la filiation (sous couvert du lien marital unissant M. Boël à la mère de Delphine au moment de la naissance de celle-ci) a été volontairement camouflée et qu’en conscience l’époux a endossé une paternité qu’il savait non réelle pour des motifs qui ne peuvent être valables.
En droit, tout homme, marié ou non , peut se déclarer père d’un enfant dès lors qu’une filiation paternelle n’est pas déjà établie.
Mais derrière cette déclaration de naissance ou reconnaissance, il faut justifier de la sincérité de cette démarche et sa volonté d’assumer les conséquences matérielles et affectives de cet acte.
M. Boël s’est-il senti père de l’enfant, a t-il voulu créer une relation papa-fillette et agit en éducateur aimant et attentif?
Si ce fut une reconnaissance pour couvrir les traces de son épouse et de son royal amant et accepter d’assumer les frais d’entretien officiellement de la petite fille, alors oui cette filiation tombe.
Anitra
22 février 2019 @ 06:06
Ah ! Folle génération des années 60 … Mme épouse-Boël se disant ou étant convaincue d’^etre stérile … ensuite on « fricote » allègrement avec le prince de Liège, second prétendant au tr^one, et père de 3 enfants. Belle histoire d’amour sans-doute, mais aucune jugeote ni sens des responsabilités de la part des 2 protagonistes. Et après ? Delphine va faire la révolution (financière de plus), avec son demi-frère Laurent ? Manquera plus que cela …