A Paris, la princesse Alexandra de Hanovre a assisté au défilé des créations de Giambatista Valli. La semaine passée, la princesse Alexandra avait applaudi en compagnie de sa sœur Charlotte Casiraghi le défilé de la maison Yves Saint-Laurent. (Copyright photos : Getty images)
O
3 octobre 2017 @ 04:48
Rien de commun entre les deux sœurs … charme, simplicité et sourire pour la princesse Alexandra.
Bambou
3 octobre 2017 @ 05:22
Plus
Bambou
3 octobre 2017 @ 05:23
Plus souriante que sa soeur, cette jeune fille !
ml
3 octobre 2017 @ 06:51
Un certain sourire de sa maman…sinon très Hanovre!
Elle dégage beaucoup de douceur…ce sera son charme …son titre l’aidera beaucoup mais sera aussi cause de désillusions souvent…!
ml
Alinéas
3 octobre 2017 @ 07:14
Ravissante, gracieuse Alexandra dans cette petite tenue aux tons très doux.!
monica
4 octobre 2017 @ 18:39
Son sourire, sa gentillesse, sa simplicité lui apporteront plus de bonheur dans la vie qu à Charlotte qui est pourtant plus jolie
l'Alsacienne
3 octobre 2017 @ 07:27
Chemisier « frou-frouteux » aux manches lourdes, assorti à la jupe. Pas tellement seyant sur la princesse.
Mais toujours souriante et avenante, Alexandra.
berton
3 octobre 2017 @ 07:31
Mignonnette mais très banale.
lidia
3 octobre 2017 @ 11:38
Non, Berton, Alexandra de Hanovre a beaucoup de distinction.
Muscate-Valeska de Lisabé
4 octobre 2017 @ 12:40
Perso,peut-être sera-t-elle jolie,oui,mais distinguée…en aucun cas^^.C’est mon avis Lidia.
Clément II
6 octobre 2017 @ 15:49
Je ne pense pas qu’elle sera « distinguée ». C’est une personne très polie, courtoise et agréable mais aussi extrêmement discrète. Elle gardera sans aucun doute ces traits de caractères mais sans rechercher la distinction. Pour tout vous dire, il n’est même pas certain qu’elle s’amourachera d’un prince en vue, comme beaucoup le croient. Connaissant le mannequin, c’est même très improbable.
ml
3 octobre 2017 @ 12:33
Certes berton…ce ne serait pas la fille de Caroline elle passerait totalement inaperçue…son élégance n’est pas innée non plus comme chez sa mère et sa belle-sœur Beatrice…ses atouts sont sa douceur et certainement sa gentillesse naturelle…et malheureusement son titre qui attirera des personnes souvent mal intentionnées comme pour sa mère Caroline et sa sœur Charlotte !
ml
monica
3 octobre 2017 @ 18:38
Béton, je suis d accordinateur avec vous.
monica
3 octobre 2017 @ 18:39
Pardon Berton d accord avec vous
berton
4 octobre 2017 @ 15:48
;-))))))))) beaucoup ri!
Muscate-Valeska de Lisabé
3 octobre 2017 @ 07:48
Pas maquillée, l’air gentil, habillée comme l’as de pique.
Actarus
3 octobre 2017 @ 12:28
C’est sympa, ce look de grand-mère paysanne. ^^
Muscate-Valeska de Lisabé
4 octobre 2017 @ 12:41
Oui,tiens…pour aller balader mes dogs,dans les oliviers libanais! Ça affriolerait tous les réfugiés syriens du secteur! ;’))
zoemarie
5 octobre 2017 @ 20:17
voila un message qui aurait du interroger le moderateur
Muscate-Valeska de Lisabé
6 octobre 2017 @ 14:57
Il semblerait que non,Zoe,car je vis au Liban et que mon pays d’adoption a agrandi d’un tiers sa population en accueillant des réfugiés syriens.Notre modération connaît cette situation. Ne pas voir le mal partout, et accueillir les mots dans leur contexte.^^Thanks.
Clément II
6 octobre 2017 @ 15:52
Vous avez réellement un problème Zoemarie.
josephie
5 octobre 2017 @ 17:12
fringues identiques « boheme » chez Emmaus moins onéreuses.
JAY
3 octobre 2017 @ 07:49
Elle et de plus en plus mignonne mais coté look et choix des couleurs, …peut mieux faire ….
DUCHESSE
3 octobre 2017 @ 07:58
Cette jeune fille est charmante.
Fraîche et sans fard elle est telle une chrysalide qui va se métamorphoser en un superbe papillon.
bianca
3 octobre 2017 @ 13:04
Je l’ai souvent pensé, laissons-lui le temps d’évoluer…
ml
4 octobre 2017 @ 13:46
A son âge, mes chères…la beauté ou le charme sont en principe au paroxysme !!!
Elle a le charme de la jeunesse, sa fraîcheur, de la douceur et une certaine distinction …son sourire est ravissant…je lui souhaite un bonheur vrai!
ml
DUCHESSE
5 octobre 2017 @ 12:50
En terme de bonheur…en existe-t-il de faux ?
bianca
5 octobre 2017 @ 13:11
Non Madame, au sortir de l’adolescence le charme, la beauté ne sont pas toujours au paroxysme, il faut juste attendre quelques années pour le constater,
et l’avenir le dira, cette Princesse m’est bien sympathique pourtant, un peu de pureté, de naturel ne sont pas négligeables en cette principauté !!!
ml
6 octobre 2017 @ 14:21
Suis de votre avis, Madame bianca, avec la fin de votre com…naturel et pureté grâce à cette jeune chrysalide…en Principauté…cela nous change de la bling et refaite princesse régnante !
ml
Stella
5 octobre 2017 @ 16:04
Non, la beauté n’est pas forcément à son paroxysme à l’âge de la jeune princesse.
Beaucoup deviennent vraiment belles plus tard, lorsque se fait jour le désir de plaire et d’affirmer leur personnalité.
marina.fr
3 octobre 2017 @ 08:02
alexandra est toujours très souriante mais malheureusement elle ne sait pas s’habiller elle devrait demander de l’aide à sa sœur charlotte ou mieux encore àsa belle sœur BEATRICE qui est merveilleuse en toute occasion
Margaux ?
3 octobre 2017 @ 14:43
« elle ne sait pas s’habiller elle devrait demander de l’aide à sa sœur charlotte »
C’est peut-être bien ce qu’elle a fait mais, comme il est probable que la Charlotte ait les mêmes talents en mode qu’en équitation, c’est mauvais…
Stella
3 octobre 2017 @ 17:12
Pour quelle raison cette très jeune fille tenterait-elle d’imiter ces deux femmes de styles si différents?
Qu’elle garde encore sa fraîcheur et prenne le temps de faire ses choix.
bianca
8 octobre 2017 @ 20:16
Exactement Stella !
Blanc Rita
3 octobre 2017 @ 08:09
les filles de Caroline passent elles leur temps dans les défilés de mode ?
Un peu triste quand on sait qu’elles ont les moyens de faire de grandes études, de parcourir le monde et y visiter les coins les plus inaccessibles etc..
Laurent F
3 octobre 2017 @ 12:23
Mais elles ont déjà fait tout ça !
Leonor
7 octobre 2017 @ 10:10
Elles ont déjà fait tout ça ( oui, évidemment), et elles n’en ont rien tiré de plus intelligent à faire que de promener leurs popotins dans les raouts modeux ?
lavaud
3 octobre 2017 @ 08:26
qu’elle belle vie elles ont toutes ces gamines ! elles sont loin de la réalité
Muscate-Valeska de Lisabé
3 octobre 2017 @ 12:39
Oui.
Margaux ?
4 octobre 2017 @ 11:48
Alexandra de Hanovre est sûrement plus proche de la réalité que vous ne le pensez. Charlotte est une oie mais ce trait de caractère n’est pas génétique.
Marie1
3 octobre 2017 @ 09:02
Toujours souriante Alexandra.
Elle a été reçue au bac au mois de juin…et maintenant quelles études ?
Cosmo
3 octobre 2017 @ 11:56
Assister aux défilés de mode demande une certaine compétence, voire une vraie qualification. On peut supposer qu’elle aura un jour un diplôme des Hautes Etudes en assiduité.
Cosmo
monica
3 octobre 2017 @ 18:41
Marie, des études de mode sûrement !
Margaux ?
4 octobre 2017 @ 11:49
Elle n’a jamais communiqué sur cela mais je doute qu’elle reste à « glander ».
Marie1
5 octobre 2017 @ 13:58
Concernant son orientation après le bac, j’ai entendu 4 « rumeurs » différentes, laquelle est la bonne ? Alexandra a abandonné sports-études très rapidement.
Concernant les enfants Casiraghi, à mon avis ils ne sont pas assez persévérants, ils ont tous abandonné leurs études avant d’obtenir un diplôme. J’espère simplement qu’Alexandra ne suivra pas leur exemple. Peut-être que du coté Hanovre c’est différent.
ml
6 octobre 2017 @ 14:22
Suis de votre avis, Madame bianca, avec la fin de votre com…naturel et pureté grâce à cette jeune chrysalide…en Principauté…cela nous change de la bling et refaite princesse régnante !
ml
bianca
8 octobre 2017 @ 20:23
L’avantage dans cette Principauté est que tous ses membres ne se ressemblent pas, ont des physiques et styles vestimentaires différents, des comportements qui ont fait pour certaines la une des journaux ! L’ennui avec cette famille ne risque pas de provenir d’une certaine « uniformité » !!!
Clément II
12 octobre 2017 @ 12:01
Pour être atypiques, c’est clair qu’ils le sont.
ml
6 octobre 2017 @ 14:24
Pierre et Charlotte ont des Master, il me semble, ou au moins des bachelors…on ne parle plus de diplôme, Marie1, à notre époque !
ml
Marie1
7 octobre 2017 @ 15:33
Charlotte après l’obtention d’une licence, a abandonné …de nos jours, et compte tenu de son soi-disant potentiel une licence c’est peu.
Pierre s’était inscrit à l’Université Bocconi à Milan mais a abandonné avant la fin du cycle.
J’ai employé le terme diplôme « terme générique », car ici nous différents niveaux d’études pour Charlotte, Pierre sans parler d’Andrea.
Margaux ?
8 octobre 2017 @ 23:57
Ah non. Le plus haut diplôme chez Casiraghi, c’est la licence (Charlotte) et comme déjà dit, dans notre monde actuel c’est peu.
Clément II
6 octobre 2017 @ 15:59
Charlotte Marie Pomeline Casiraghi a obtenu une licence de philosophie et sait nous le rappeler régulièrement. Autrement, sur la question des « sport-études » il faut savoir que ce dispositif prend fin après la terminale. Au-delà, les personnes qui maintiennent une activité sportive à haut-niveau entrent dans un dispositif différent, même s’il reste la notion d’aménagement horaire. En tout cas, « sport-étude » n’est pas une formation en soi ; c’est forcément adossé à un cursus académique. ?
Je ne sais pas du tout ce qu’elle fait depuis l’obtention de son Bac.
Marie1
7 octobre 2017 @ 15:42
Clement : Alexandra a abandonné sport études, option patinage, à la fin de la 1ere, elle est revenu à Monaco pour passer un Bac Littéraire.
Margaux ?
9 octobre 2017 @ 00:08
A vrai dire, « sport-études » (c’est un vaste terme) n’est pas synonyme d’excellence scolaire – même si d’autant croient le contraire, et qu’en pratique il existe d’excellents sportifs qui sont d’excellents élèves. Je n’ai aucun reproche à faire à cette jeune fille d’avoir quitter le « sport-étude » où elle se trouvait. Au final, elle a continué son cursus vers l’obtention d’un baccalauréat littéraire, obtenu avec une mention.
L’histoire du « sport-étude » pose la question du niveau sportif. Pour l’avoir vue patiner, ce n’est pas une championne du monde mais elle est loin d’être moyenne, médiocre ou que sais-je. Toutes proportions gardées, elle est meilleure patineuse que sa sœur n’est cavalière.
Clément II
10 octobre 2017 @ 00:18
Marie1, je n’avais pas suivi jusque là. J’ose quand même espérer qu’elle a continué vers des études supérieures (indépendamment du sport).
Arielle
3 octobre 2017 @ 09:17
Charmante, adorable Alexandra.
vieillebranche
3 octobre 2017 @ 09:36
bien; un maquillage invisible qui convient à son âge, une jeune fille qui a l’air d’une jeune fille, ça devient rare.
JOSEPHINE
3 octobre 2017 @ 10:08
Elle devrait mettre un peu de poudre pour empêcher son visage de briller !
Sila
3 octobre 2017 @ 15:39
Voilà, c’est la première impression. Tout brille, et c’est un aperçu de….. « gras » sur la visage. Ou alors c’est un très mauvais photographe, fort possible :)
Muscate-Valeska de Lisabé
3 octobre 2017 @ 19:05
J’espère en tout cas qu’elle avait mis un soutien-gorge…j’ai un doute?^^
zoemarie
5 octobre 2017 @ 09:37
commentaire déplacé.
Muscate-Valeska de Lisabé
5 octobre 2017 @ 15:25
Si c’est juste le commentaire, ça va ;-)).
Leonor
7 octobre 2017 @ 10:12
:-DD ! Bravo, Muscate !
Clément II
6 octobre 2017 @ 16:00
Réaction idiote.
Dorothée
3 octobre 2017 @ 10:10
Charmante Alexandra ! elle a 18 ans, elle en parait 14 !
Trianon
3 octobre 2017 @ 11:51
C’est vrai, et je peux vous dire que paraître plus jeune que son age est un vrai handicap!
bianca
5 octobre 2017 @ 13:13
A cet âge sans doute, mais après… quel avantage !!!
Lorraine 1
3 octobre 2017 @ 10:11
Que cette princesse ne suive surtout pas l’exemple de sa demi sœur !
Muscate-Valeska de Lisabé
3 octobre 2017 @ 12:40
Ou de sa tante.^^
Arielle
3 octobre 2017 @ 12:44
Je dirais, « au contraire, qu’elle suive l’exemple de Charlotte », sur le plan universitaire, mais je doute qu’Alexandra soit aussi douée intellectuellement que Charlotte. Le jour et la nuit entre la licenciée de philo plutôt brillante et la petite patineuse très moyenne.
Margaux ?
4 octobre 2017 @ 12:18
Dixit Wikipédia, Charlotte « intègre le lycée François-Couperin de Fontainebleau » en 2002 ; « elle y passe son baccalauréat en juillet 2004 et obtient alors la mention très bien ». Puis, « elle poursuit ses études en classe préparatoire aux grandes écoles, au lycée Fénelon, dans le but d’intégrer Normale Sup » et « elle échoue au concours d’entrée en juin 2006″… Et il échoit de souligner ici que la demoiselle a eu besoin de quatre ans (!!) pour obtenir son Bac, avant de se casser les dents sur Normale Sup.
De même suite, « en 2007, elle obtient une licence de philosophie à l’université Paris-Sorbonne » et « effectue à la même époque deux stages dans le monde de l’édition : l’un chez Robert Laffont, à Paris, et l’autre au journal britannique The Independent, à Londres ». Et il convient ici de noter que Charlotte n’a pas été au-delà du premier cycle universitaire, dans une discipline où les personnes faisant autorité (journalistes compris) ont toutes au moins un master, souvent bien plus.
Enfin, de ses occupations professionnelles, l’article nous apprend que Charlotte a « écrit » pour deux magazines en 2007 et 2008 ; qu’elle fut rédactrice en 2009 pour « Above » et qu’elle a fondé parallèlement une revue de mode écolo ; puis qu’en 2015, elle a fondé deux événements philosophiques à Monaco, tenu un entretien croisé avec André Comte-Sponville dans Philo Magazine, et qu’enfin elle signe une critique du livre « Défense du secret » d’Anne Dufourmantelle, dans Libération. Et il advient de relever ici que nul ne sait ce qu’elle a fait durant 6 ans, de 2009 à 2015, hormis donner naissance à un gamin…
En France, quatre demandeurs d’emploi sur dix sont diplômés d’un premier cycle universitaire – autrement dit détenteurs d’un diplôme Bac+2/Bac+3. Alors désolée si ça vous défrise mais le parcours de Charlotte Casiraghi n’a rien de brillant.
Jacqueline
5 octobre 2017 @ 12:27
Vous vous convertissez à Wikipédia, Margaux? Je me souviens d’une discussion assez enflammée avec Gibbs sur ce sujet, il y a quelques mois…
Si Arielle parle de brillance, c’est parce qu’elle a été sous-admissible ou admissible (je ne sais plus) à l’ENS et que c’est une performance en soi. Je ne comprends pas pourquoi vous parlez de quatre ans pour avoir son bac. Elle l’a eu dans les délais me semble-t-il. Pour les CPGE ensuite, elle a été à Fénelon mais c’est après le bac. Il y a peut-être méprise de votre part sur cette spécificité du système français.
Par contre, arrêter sur une licence après tout ça, c’est quand même décevant et là je suis d’accord avec vous. Elle n’a par exemple même pas le master qui l’autoriserait à passer l’agrégation.
Personnellement, je pense que cette jeune fille a choisi la facilité en se lançant dans le mannequinat. Ce doit être éblouissant au début mais à la longue, sans grand intérêt. La mine blasée qu’elle traîne partout me fait dire qu’elle ne voit pas pour quoi elle se lève le matin. C’est triste à son âge et dans sa position.
Giséle
5 octobre 2017 @ 17:17
Si Charlotte intégre le lycée en 2002, elle finit une première année en 2003, et si elle á son Bac en 2004, je ne compte pas 4 ans. Mais bon, je n’ai pas fait des études de math mais de droit.
Clément II
6 octobre 2017 @ 16:12
Je pense qu’il y a un erreur de recopie car sur la fiche wkp c’est bien marqué 2000. Donc quatre ans pour arriver à 2004.
Margaux ?
9 octobre 2017 @ 00:19
Gisèle, j’ai mal recopié. C’est sûrement l’effet Wikipédia. ?
Au final, entre 2000 et 2004, il lui aura bien fallu quatre ans pour arriver au Bac. C’est quand même amusant pour une nénette qui aujourd’hui, nous rabat les oreilles avec sa philosophie d’arrière-cour.
Jacqueline, je me suis convertie mais juste pour l’occasion, car la Charlotte m’est assez indifférente. Il m’a toujours suffit de la voir à cheval pour être persuadée de sa médiocrité générale et ne pas m’y intéresser.
Les CPGE…
J’ai tout fait pour les éviter mais je connais ce truc. Pour celle qui mène à Normale Sup, ma meilleure amie l’a fait, elle a réussi et honnêtement, pour avoir mis le nez dans ses cahiers, c’est à la portée de tout élève sérieux. Je ne dénigre pas mais je n’irai pas jusqu’à considérer ça comme l’aboutissement d’une vie.
Jacqueline
14 octobre 2017 @ 16:42
Je trouve votre réponse un peu tard Margaux mais j’y réponds quand même. Prétendre que l’ENS est à la portée de n’importe quel élève sérieux relève du grand n’importe quoi. Même à Louis Le Grand ou Henri IV, on ne garantit pas l’intégration à Ulm. Je ne vois pas comment vous, qui vous présentez comme infirmière, pouvez vous croire assez qualifiée pour prétendre cela. Quant à votre copine, j’imagine que c’est comme « votre petite notoriété »… Pas crédible deux secondes.
Margaux ?
25 octobre 2017 @ 12:05
Oui, bien sûr… ?
Alors…
Je suis infirmière anesthésiste (Master/Bac+5), titulaire d’un Doctorat en sciences infirmières (Bac+8) – accessoirement, mon mémoire, ma thèse et les travaux qui en découlent font références dans la prise en charge des enfants en services de chirurgie et d’urgence, ainsi que dans la conception des appareils utilisés par ces services.
Je continue à mener des travaux de recherche autour des pratiques dans les services intra- et extra-hospitaliers et les unités de premiers secours.
Par ailleurs, outre mes activités en service mobile d’urgence, je suis formatrice pour un Centre d’Enseignement en Soins d’Urgences et j’interviens régulièrement dans les cursus infirmiers généralistes et spécialisés, ainsi qu’en faculté de médecine. De même, je participe aux travaux d’un groupe de recherche et développement dédié à la prise en charge des enfants et jeunes adultes handicapés dans les services .
Subsidiairement, je suis également cadre et formatrice bénévole au sein d’un mouvement de secourisme, régulièrement engagé sur les théâtres de conflits et de catastrophes. Ceci m’a conduit à déployer mes « petites qualifications d’infirmière » lors du séisme survenu en août 2016 dans la Haute Vallée du Tronto (Italie), et aussi à deux reprises en Afghanistan, en marge des conflits armés.
Entre autres. ?
Margaux ?
25 octobre 2017 @ 13:15
Continuons… ?
Je crois avoir indiqué ici que je suis très sportive – ce qui n’est pas inutile lorsque l’on « courre » à droite et à gauche pour aider et soigner les gens. Bref. Je pratique donc la gymnastique et l’équitation, à des niveaux assez élevés – et plus jeune, j’ai été membre d’une équipe nationale en gymnastique…
Il me semble également avoir causé de mon « ascendance noble » – terme effectivement clinquant mais pour lequel il me semble difficile de faire plus simpliste. Bref. J’ai donc « quelques » noms prestigieux dans mon ascendance et ceci faisant cela, je suis plus ou moins parente avec une grande partie des personnes auxquelles se dédie ce blog.
En conclusion, sans rentrer dans le détail d’une vie qui ne vous regarde pas – et dans laquelle vous n’auriez de toute façon pas trouvé votre place, je suis effectivement connue, reconnue (ou appelez ça comme vous voulez) à différents titres. C’est ma « petite notoriété »… et je ne vois absolument pas en quoi cela vous pose problème.
A part ça, ma meilleure amie est effectivement diplômée de l’ENS, docteure en lettres et langues… et à mon instar, ses travaux sont des références dans le domaine des littératures et linguistiques romanes.
Il serait d’ailleurs intéressant que vous nous fassiez partager votre « pedigree ». Au regard de vos réflexions, j’imagine qu’il y a matière à s’extasier. Je me trompe ?
Bonne continuation. ?
Jacqueline
29 octobre 2017 @ 09:46
Moi, ma vie, mon oeuvre…
Et vous espérez sincèrement m’éblouir?
Les ENS ont le concours le plus sélectif du pays, supérieur à celui de Sciences Po Paris, de l’ENA, de l’agrégation ou d’HEC. Le niveau de difficulté dépasse de beaucoup ce que vous avez croisé et aboutit, pour de très nombreux reçus, à des carrières nettement plus prestigieuses que la vôtre.
Quant à moi, il va de soi que, pour m’autoriser cette franchise, j’ai une certaine légitimité en ce domaine. Je n’ai pas réussi l’Ecole mais j’ai été reçue, par exemple, à deux des concours cités plus haut et il se trouve, qu’entre autres choses, je prépare aujourd’hui des étudiants à un troisième. Je précise que je ne m' »extasie » de rien, rencontrant régulièrement des personnes ô combien plus brillantes que moi et ô combien plus brillantes que vous, bien entendu.
Tout cela pour dire quoi? L’arrogance des puissants, si elle passe mal en société, est assez grotesque pour ceux qui sont encore dans les échelons intermédiaires. Quelle pitié de trouver sur ce site une version féminine de l’Arrias de La Bruyère…
Christian
30 octobre 2017 @ 02:15
Jacqueline, je trouve que vous faîtes étrangement preuve d’outrecuidance et de hauteur, pour une prétendue diplômée de l’ENA. Je connais une foule d’énarques et de diplômés de HEC ou Sciences Po, et aucun n’est prétentieux ou hautain comme vous l’êtes, que ce soit à propos de son cursus ou de sa condition professionnelle. Ce sont même plutôt des gens discrets, à fortiori conscients de la fragilité de leurs cursus, de plus en plus supplantés par des parcours universitaires et pluridisciplinaires. Ils ont une vraie humilité qui me fait très sérieusement penser que vous n’êtes pas des leurs.
Une opinion sur vous qui est renforcée par votre histoire de préparation à un troisième concours, tant il est curieux qu’une énarque ou même une lauréate de HEC ou Sciences Po soit réduite à former des gens à des concours. C’est typiquement le poste qu’un énarque n’occupera jamais, faute pour son cursus de le destiner à cela.
Quoi qu’il en soit, je trouve bien plus admirable de sauver des vies et réfléchir à améliorer la prise en charge des patients, ou d’oeuvrer pour la diffusion des bonnes pratiques et de la connaissance dans domaines pointus, que d’être scotché derrière un bureau à pondre des circulaires, des notes et des instructions qui seront remises en question dès le premier changement de cap politique ; et je trouve cela d’autant plus bien prestigieux que ces boulots sont exercés avec plaisir, sans rechercher l’appât du gain. Un mérite qui n’entre manifestement pas dans vos considérations.
Vous devriez songer à vous remettre en question et faire évoluer un peu votre laïus, car outre que c’est plutôt vous et votre comportement qui suggérez le personnage de l’Arrias, vous n’êtes pas du tout crédible comme ex-élève d’une grande école (peu importe laquelle).
Jacqueline
30 octobre 2017 @ 20:04
Je m’attendais à ce qu’un internaute inconnu au bataillon sorte du bois pour jouer la Morale outragée. Et puis à deux contre un, on touche au cœur de l’esprit chevaleresque…
Bien évidemment, j’ai le droit à un procès en règle parce que j’avance quelques uns de mes titres en deux phrases mais pour la logorrhée fastidieuse de Margaux, silence radio… Cela ne vous gêne pas le moins du monde qu’à longueur d’articles, elle assène ses grandes vérités sur tout et surtout sur ce qu’elle ne connaît pas. Cela ne vous indispose nullement qu’elle étale sa parentèle comme une parvenue sa rivière de diamants. Et pourtant, ce n’est pas comme si sur le site, il n’y avait pas des gentilshommes d’une exquise élégance. Enfin, l’exhibition XXL de sa générosité relève à vos yeux d’une louable modestie! Quelle géométrie que la vôtre!
Sur le fond, je vais repréciser un point. Je suis une ancienne de la rue Saint-Guillaume et j’ai passé l’agrégation d’Histoire car, vous l’ignorez peut-être, cette école a un excellent département d’histoire contemporaine. J’enseigne aujourd’hui, outre mes charges dans le secondaire, en CPGE ECS. C’est assez pour ne pas m’en laisser compter sur ce sujet par une infirmière. Que je sache, je ne viens pas me mêler de ses soins. Libre à vous d’y voir l’expression d’un mépris de classe, pour ma part, j’estime que chacun doit rester dans son champ de compétence et avoir assez de modestie pour discuter son point de vue s’il en sort. Mais non, Margaux « a tout lu, tout vu »…
Quant à la noirceur de mon âme qui serait incompatible avec une grande école, c’est amusant d’avoir un chantre de la vertu promener une vision aussi candide des écoles du pouvoir. Surtout que Christian n’est pas le prénom d’un jeune homme. Qu’ils doivent être heureux vos amis de l’ENA, d’HEC ou de Sciences Po de savoir dans quelle estime vous tenez leur travail. Sans doute que les contacts doivent être bien épisodiques pour laisser perdurer une telle hypocrisie. Donc, à l’arrivée, je n’ai que faire qu’un esprit boiteux me croit ou non!
Mais continuez… Je sens que, pour exister, vous aurez besoin d’avoir le dernier mot. A moins que vous ne trouviez un troisième larron?
Clément II
30 octobre 2017 @ 20:30
Jacqueline! Que de vulgarité, que de « présomptuosité » dans votre propos! Les diplômés des grandes écoles dont vous prétendez être issue ont une autre envergure et une autre finesse d’expression que vous. Si vous êtes réellement ce que vous dites être, ce dont je doute fortement, il n’est pas étonnant que vous ayez été reléguée à un rôle de « prof ». Il n’est absolument pas possible de confier de hautes missions à des personnes aussi mal embauchées et prétentieuses que vous.
Mais retournez donc vous faire éduquer! Et fichez-nous la paix avec vos éructations rageuses.
Clément II
30 octobre 2017 @ 20:32
« aussi mal embauchées »
(…) aussi mal embouchées (…)
Ceci dit, il est aussi des énarques mal embauchés…
Margaux ?
31 octobre 2017 @ 12:18
Allons Jacqueline, les gens comme moi (ce qui inclut Alexandra et une multitude d’autres) naissent dans la « brillance » et le « prestige », non pas de ce leurs réalisations inexistantes eu égard à leur jeune âge, mais de la gloire et des accomplissements de ceux qui les ont précédés, et cela jusqu’à plusieurs siècles en arrière. Dès lors qu’ils viennent au monde, les gens comme moi sont appelés à remplir un rôle actif auprès des peuples, des territoires et de leurs dirigeants, au-delà des clivages de tous poils ; des missions axées sur et pour l’humain et son environnement, pour lesquelles même le plus fin et le plus diplômé des politiciens n’a aucune légitimité.
Croyez-vous donc que je me borne à soigner les gens, dans ma jolie petite blouse blanche, sous des jolies petites tentes frappées d’une jolie petite croix ? Allons. Atterrissez, ouvrez les yeux et allez à la découverte du monde et de ceux qui le composent. La vie, la vraie ne s’arrête pas à la sortie des ministères et des ambassades, et pas non plus à celle des écoles dont vous vous réclamez prévalez – sans toutefois être réellement crédible, sachez-le.
Madame, je trouve que soigner les gens, former les professionnels de la santé, contribuer au développement ou au redéploiement des politiques sanitaires, améliorer le quotidien des personnes fragiles, et tout bonnement aller au-devant de ceux qui souffrent dans tout leur être, leur apporter au mieux des solutions, au moins une aide, une écoute et un soutien… je trouve que tout ça est autrement plus prestigieux que rester enfermée dans un bureau à « textiférer » sur tout et n’importe quoi, sans n’avoir jamais vu la réalité du terrain et en s’autogratulant d’hypothétiques réalisations, dans l’attente de la médaille.
Madame, voir briller une lueur au fond des yeux de ceux à qui l’on tend une main, par delà la souffrance, ça n’a pas de prix. Vous ne connaîtrez jamais cela et croyez-moi, c’est bien dommage car je pense que ces plaisirs là sont humains, tout simplement.
Bien à vous.
Margaux ?
31 octobre 2017 @ 12:27
Quelques corrections et compléments :
« non pas de ce leurs réalisations »
… non pas de leur réalisations…
« de la gloire et des accomplissements (…) jusqu’à plusieurs siècles en arrière. »
Ce à quoi il faut ajouter : « et dont il nous est fait devoir de nous souvenir pour accomplir à notre tour des actes notables, sinon remarquables. »
« des écoles dont vous vous réclamez prévalez »
… dont vous vous réclamez et prévalez …
Jacqueline
31 octobre 2017 @ 13:22
Trois contre un… Dont le très prévisible Clément II. J’adore vos leçons! Allez encore un effort, trouvez un quatrième qui pourra défouler sa frustration… Plus vous êtes de fous et plus vous faites loulous de banlieue. Moins par moins, cela fait plus! Comme je sais que ce n’est pas moi qui raconte des histoires, cela laisse rêveur sur la réalité de votre profil… Encore des voisins de palier du cousin au 4ème degré du grand-oncle de César! Oh qu’ils sont beaux vos lignages, sangs, mérites professionnels et gestes de charité… Quel dommage qu’on n’ait pas encore eu droit à vos flamboyantes épopées dans un article… Ah mais oui, le voile se déchirerait… Alors il y a les commentaires. Et moi pour le punching ball! Ça va mieux?
Continuez! Je suis sûre que vous avez encore de la réserve…
Christian
1 novembre 2017 @ 00:32
Jacqueline, je doute que vous ayez souvent croisé une infirmière diplômée Bac+8 mais passons.
Que voulez-vous prouver?
Vous prétendez être une ancienne élève de Sciences Po, institut qui possède effectivement un (grand) département d’histoire au sein de son école doctorale ; je déduis donc que vous auriez obtenu un doctorat en histoire de l’IEP-Paris, et que votre niveau d’études est égale à celui de Margaux. Puis vous alléguez avoir obtenu une agrégation, toujours en histoire ; j’en déduis donc que vous avez fait le choix de l’enseignement après avoir bûché pour obtenir votre précédent diplôme, et que vous avez ainsi décidé de régresser vers un concours ouvert aux diplômés Bac+5. Au final, je retiens que vous enseignez dans le secondaire (lycée?) et en CPGE.
Au final, vous pensez avoir atteint quoi ?
Redescendez. Être professeur de lycée et de CPGE, c’est bien mais ça n’a rien de prestigieux ou brillant. A quoi bon avoir effectué des études fondamentales aussi poussées, pour finir enseignant en lycée et classes prépas? J’ai du mal à comprendre et, ajouté non seulement à votre surprenante hauteur de ton, mais également au fait que vous n’apparaissez dans aucun annuaire de Sciences Po comme alumni du département d’histoire, j’ai quand même toujours du mal à vous accorder du crédit sur votre parcours au sein de cet institut.
D’ailleurs, quelle est cette autre école que vous avez fréquenté, en plus de Sciences Po? L’ENA ne mène pas aux métiers enseignants, ce n’est pas non plus la vocation d’HEC et vous dites ne pas avoir fait l’ENS… Alors?
Dois-je vous rappeler les propos d’Ernest Denis, repris par Jacques Le Goff sur l’agrégation d’histoire?
Croyez-vous qu’une prof d’histoire de lycée (et nous savons tous la haute qualité de ce qui est appris au lycée dans cette matière) soit en mesure de compter quoi que ce soit à des personnes qui donnent des cours en fac de médecine?
Atterrissez, je vous en prie!
Je ne sais pas ce qu’il en est du côté de Margaux (j’imagine quand même vaguement vu le pedigree de la dame) mais, MOI, vous ne m’impressionnez absolument pas. Vous me donnez plutôt envie de rire. Les gens allumés me donnent toujours envie de rire.
Christian
1 novembre 2017 @ 00:45
« Donc, à l’arrivée, je n’ai que faire qu’un ESPRIT BOITEUX me croit ou non! »
Faites quand même bien attention à la nature de vos propos, car « l’esprit boiteux » pourrait cesser de boiter pour vous assigner, puis vous aligner devant un juge pour injure.
Jacqueline
1 novembre 2017 @ 12:15
En fait Christian, contrairement à ce que vous pensez, je ne crois pas du tout avoir atteint des sommets, étant bien consciente de la relativité des choses, des titres, des carrières et autres. De la même façon, le parcours méritant que brosse Margaux vaut tout à fait considération. Je n’en disconviens nullement, ayant moi-même une sœur infirmière et trouvant les métiers qui aident les autres tout à fait nécessaires.
J’ai été tout simplement agacée que, d’entrée, elle minimise la difficulté de l’ENS, alors qu’elle n’a pas, et ce n’est pas injure de le dire, été confrontée personnellement à un cursus aussi sélectif. Une simple consultation des statistiques d’admission ou de la nature très diverse des épreuves peut suffire à convaincre. Par la suite, j’ai pris sa défense comme une manière de m’écraser car, je ne sais si elle en a conscience, mais ses réparties sont quasiment toujours très cassantes et méprisantes, et pas qu’avec moi. Or, il se trouve qu’étant tout à fait familière de ce milieu, je vous prie de me croire, je ne m’en suis pas laissée compter. Mais effectivement, je viens ici, comme vous j’imagine, pour me divertir. Pas pour me lancer dans une guerre d’égo tout à fait stérile.
Pour votre information, car je pense que vous ne connaissez pas si bien que cela ce milieu (et je ne suis pas en train de vous attaquer), quand vous faites une khâgne et que vous allez en licence, vous pouvez entrer à Sciences Po par le concours d’admission en Master. Puis quand vous y êtes, en plus du cursus, vous passez l’agrégation d’Histoire car ce concours est préparé par Sciences Po. Quand vous avez l’agrégation, vous êtes intégré à la fonction publique et en parallèle, vous faites le doctorat. La recherche, c’est bien mais il faut pouvoir en vivre. J’aurais d’ailleurs beaucoup de choses à dire sur les débouchés réels des anciens élèves sur le marché du travail. Pour ma part, j’ai la passion de l’enseignement, un métier très beau qui ne mérite pas les propos méprisants que j’ai pu lire. Quant à la CPGE, elle ne constitue nullement un déclassement. Au contraire. Beaucoup de postes sont aujourd’hui pris par des maîtres de conférences déçus de la fac. Par ailleurs, à mon niveau, je suis aussi impliquée dans des œuvres sociales qui méritent tout autant considération que ce que fait Margaux.
Conclusion, je ne souhaite pas être conflit avec vous mais reconnaissez que votre message était d’une étonnante partialité et que mettre en doute systématiquement ce que je dis, mes intentions, ma moralité, explique en grande partie ma dernière phrase. Mais, si vous souhaitez que nous nous quittions bons amis, j’en serais contente.
Jacqueline
1 novembre 2017 @ 12:37
Ultimes précisions pour Christian:
Pour me voir dans l’annuaire, il faudrait avoir mon identité et ne pas partir du principe que Jacqueline est mon prénom.
Enfin, il y a malentendu sur le sens de mon premier message et peut-être incompréhension des sigles (toujours pas une attaque). La CPGE ECS prépare à HEC.
Clément II
1 novembre 2017 @ 19:25
Jacqueline n’est QUE prof d’histoire, quelle histoire ! ?
Je passe mon tour, la psychiatrie n’est pas dans mes cordes, puis j’ai autre chose à faire que m’abaisser à disputer le bout de viande avec une petite prof agrégée, fut-elle docteure issue de l’IEP (ce qui reste effectivement à démontrer).
Margaux ?
2 novembre 2017 @ 15:26
Jacqueline,
Il me semble utile que vous sachiez que je n’ai pas effectué mes études fondamentales en soins infirmiers dans un établissement français. J’ai été confrontée une sélection, effectivement différente de ce qui se pratique en France mais néanmoins sévère, puisqu’il m’a été nécessaire de produire un travail dit « préalable » dans lequel je démontrais non seulement ma motivation mais également mes capacités à suivre la formation et intégrer la profession. Il n’y a pas de commune mesure avec les lettres de motivation + CV demandés à l’entrée des écoles françaises. Il était attendu plus qu’une simple motivation à piquer des derrières, pour reprendre les termes crûs mais représentatifs utilisés par certaines de mes confrères/-sœurs, en substance de leurs difficultés à mobiliser les étudiants sur des tâches ingrates mais parties intégrantes du métier d’infirmier. Bref. Je respecte totalement le mode de recrutement des étudiants en soins infirmiers tel qu’il est conçu en France, et naturellement j’ai aussi beaucoup de respect pour mes collègues « à diplôme français » ; mais pour ma part, j’ai été amenée à faire plus que cocher des QCM et jouer au Mastermind pour entrer dans le cursus, et je pense que c’est quand même ce qui a fait la petite différence dans la suite de mon parcours, et il ne s’agit pas d’une auto-évaluation mais de ce que pensent les personnes avec lesquelles je travaille au quotidien.
C’est dans ce premier cadre que j’ai été amenée à partir pour la première fois sur le terrain avec le CICR, me permettant ainsi de confirmer la suite de mes projets.
Suite à cela, je me suis donc qualifiée dans les domaines des soins d’urgence d’une part, de la pédiatrie-néonatalogie d’autre part ; puis j’ai obtenu mon premier poste en service d’urgences enfants – ce qui est assez rare pour une infirmière non spécialiste et à peine sortie de son cursus initial. J’imagine sans prétention que mon travail d’études fondamentales m’a beaucoup aidée.
Je me suis spécialisée en anesthésie-réanimation assez rapidement, parce que c’était mon objectif de départ. Mon diplôme est français et, même si j’ai trouvé la sélection plus light, je vous prie de croire que la porte n’est pas ouverte à qui veut bien la pousser. Les jurys sont assez attentifs à la personnalité des candidats, et ils ne prennent pas le risque d’intégrer un élément qui pourrait poser problème ensuite, tant en regard de la déontologie du métier d’infirmier-anesthésiste, que de la sécurité des patients et des professionnels de santé au sens large. Donc, sans y voir une filière de prestige, j’estime que c’est assez sélectif pour être considéré comme bon, voire très bon.
Le doctorat est venu plus tard et c’est là-encore un diplôme étranger puisque cette formation n’existe pas en France. Naturellement, je ne vais pas vous apprendre l’existence d’une sélection assez sévère à l’entrée des écoles doctorales – en santé, en histoire ou autres, c’est toujours drastique et normal à ce très haut-niveau.
Ces trois cursus – que je qualifie de fondamental (terme officiel), intermédiaire et supérieur (mes propres termes) – m’ont amenée à travailler dans divers hôpitaux et services, dont certains situés à l’étranger. Dit comme ça, c’est banal mais croyez bien que l’on ne part pas en stage dans un pays étranger sur la seule envie et que pour ça aussi, une sélection est opérée. J’ai de nouveau montré patte blanche en produisant des écrits, en mettant en avant mes pratiques linguistiques, etc. De nouveau, pas de prestige particulier mais la satisfaction d’être en possession de quelque chose de rare, peut-être même précieux, en tout cas reconnu et apprécié.
Ce sont mes cursus intermédiaire et supérieur qui m’ont ouvert les portes d’une collaboration active avec l’armée et diverses ONG, tant sur les théâtre de conflits que dans des cadres plus pacifiques. Mon doctorat m’a ouvert la voie de l’enseignement et je vous avoue bien volontiers que j’aime ça, autant que le reste.
Ceci étant dit, ce serait malhonnête de ne pas avouer que j’en ai sué pour arriver à tout cela. J’en ai déjà parlé sur ce blog, en des termes simples ; mon rêve de gamine aurait été d’être médecin militaire, à l’instar de l’homme qui a le plus compté dans ma vie (ce n’était pas mon père) mais une certaine différence m’a empêchée de réaliser cette envie, et je me suis donc repliée sur le métier d’infirmière en souhaitant donc me spécialiser comme je l’ai fais. Je ne vais pas entrer dans les détails, parce que ça ajouterait des lignes à ce commentaire que je sais déjà long. Je n’ai aucun regret à être devenue infirmière mais je garde le souvenir de préjugés installés dès l’école maternelle, aux termes desquels les gens différents ne réussissent pas et n’ont d’autre avenir que jouer les « larbins » dans des établissements spécialisés. Alors je me suis battue (au sens propre comme figuré), avec l’aide des gens qui croyaient en moi, dont l’homme qui fut à l’origine de ma vocation.
Je ne vous parle pas de mon « milieu favorisé » (pour reprendre des termes utilisés par un commentateur sous un autre billet) où ma raison d’être s’est longtemps cantonnée à ma généalogie, faute de rentrer dans leurs standards de conformité.
J’ai eu plus de chances avec le sport et la musique, qui m’ont d’ailleurs aidée à me construire et à montrer à mes détracteurs que j’étais comme eux, voire mieux qu’eux. Pour autant ça n’a pas été simple tous les jours.
Alors oui, je suis assez fière de moi et de ce que je suis mais il y a des raisons, qu’il me coûte un peu d’exposer publiquement, même de façon succincte. C’est vrai que je suis imbue de mes réussites scolaires/universitaires, sportives et artistiques, et puis aussi de ma « filiation » dont vous parlez en des termes assez peu corrects, dans vos précédents messages. Ils m’ont simplement permit d’exister.
Ne pensez surtout pas que je recherche l’atermoiement de que ce soit. Il y a longtemps que j’ai abandonné l’idée d’apitoyer sur mon sort, finalement assez enviable si j’en crois le comportement actuel de ceux qui m’ont jadis débinée et prédit le pire avenir qu’il soit. Je tenais toutefois à replacer tout cela dans le contexte – d’autant dirait « replacer l’église au centre du village et le coq au sommet du clocher ».
Je conçois que mes écrits puissent agacer, je pense plus pour leur forme que pour leur contenu – et je comprends donc votre sentiment à la lecture de ceux-ci. Nonobstant, je trouve particulièrement dingue d’invectiver les gens comme vous le faites, en vous en prenant aux origines familiales, sociales ou professionnelles. Je n’ai pas souvenir de vous avoir attaquée sur ces points de votre vie. Dès lors, si mes propos vous agacent tant que ça, il aurait été plus convenable de me le dire sur un ton certes sec, mais gardant toutes les proportions de la correction élémentaire ; notion sur laquelle je ne m’en laisserait compter par personne, pas même par le plus « brillant » des hommes vivant en ce bas monde.
Je ne partage pas votre avis visant à estimer que « que chacun doit rester dans son champ de compétence ». La seule définition de la culture générale s’inscrit en faux avec votre estimation. Je sais que certaines personnes ne peuvent – et ce n’est pas leur faute – sortir de ce cadre mais, nous le savons toutes les deux, il est assez commun d’avoir plusieurs centres d’intérêts, en plus de la « matière » à laquelle nous avons consacré nos études. Je suis infirmière donc je suis bien sûre attirée par tout ce qui parle de médecine, de bien-être, etc. Ceci étant j’aime aussi les sciences politiques, l’histoire, l’écologie… et un tas d’autres trucs rigolos et intellos parce que, malgré ma différence physique et mes compétences principales très pointues, je ne suis pas du tout idiote !
Je pense vraiment être quelqu’un de brillant. En tout cas, dans mon entourage, nombreuses sont les personnes qui le pensent et sur le fond, je me dis que si je ne l’étais pas, je n’occuperais pas ma vie comme je l’occupe aujourd’hui. Nonobstant, je considère qu’il y a une multitude de gens brillants sur cette terre. Des profs, des flics, des fonctionnaires… et même des femmes de ménage. Je pense sincèrement que la « brillance » ne se juge pas aux études et aux diplômes, mais qu’elle est un tout et qu’il est souvent difficile de la déceler tant elle peut prendre des formes variées.
Voilà. Très long message – pardon Régine ? – mais je pense qu’il était utile que ça sorte, histoire de remettre les pendules à l’heure.
Sinon, j’aime beaucoup cuisiner et, là aussi (on ne s’en lasse pas), j’ai un certain succès . Il paraît quand même que c’est un truc de fille, allez savoir. Du coup, je vais aller déployer mes talents de cuistot du côté de ma fille, ravie que sa maman soit en vacances pour lui faire des bons petits plats. Il paraît que Papa ne sait rien faire d’autre que les éclairs au chocolat et au café, et aussi « un peu les gâteaux au chocolat – mais n’en disons pas plus, car il paraît aussi qu’il lit ce blog…
Sachez que je ne vous tiens rigueur de rien mais j’espère que nous pourrons avoir des échanges plus cordiaux à l’avenir, sur les sujets qui nous réunissent – car il y en a – ou sur d’autres.
Bien à vous. ?
Clément II
3 novembre 2017 @ 17:44
Jacqueline, le « très prévisible Clément » n’agrée pas du tout votre façon de vous exprimer. En effet, personne ne vous a insultée comme vous nous insultez. S’en prendre à la filiation des gens que l’on apprécie pas (en raison d’un désaccord de point-de-vue), c’est hautement inquiétant. J’espère que vous êtes plus polie avec vos élèves, sinon je les plains sincèrement !
Ce sera mon dernier message sous ce billet, car votre haut niveau de vulgarité et votre condescendance sont tout bonnement insupportables. Une vraie diatribe de « loulou de banlieue », effectivement.
Jacqueline
3 novembre 2017 @ 23:00
Margaux, je vous remercie pour cette réponse. Elle m’a touchée.
Sachez que même si je n’interviens pas à chaque fois, je lis presque tous les articles du site et les commentaires afférents. A force, on finit par se représenter les personnalités des uns et des autres. La vôtre m’a fait, et je vous prie de ne pas m’en vouloir, une détestable impression. J’ai trouvé vos commentaires régulièrement agressifs et fermés à la discussion. Comme en plus vos amis ont à cœur de très vite participer, cela n’améliore rien. Du coup, quand j’ai lu vos observations sur Charlotte Casiraghi, j’ai rédigé ma réponse en tenant compte de cet historique. Je comprends, avec le recul, que cette sortie sans préambule était brutale. Et je comprends surtout mieux ce qu’il y a derrière votre « force de caractère ».
Par ailleurs, ma propre virulence mérite aussi quelques explications. Je viens d’une famille qui, sans être modeste, ne roule pas sur l’or et qui n’est absolument pas introduite dans l’univers parisien de ces concours. Il a fallu arracher chaque chose avec les dents et il a fallu aussi supporter ce milieu, sa douce cruauté envers les moins riches. Une variation du « standard de conformité » dont vous parliez.
Entre l’acharnement au travail et le combat incessant contre le soupçon d’insuffisance, il y a matière, me semble-t-il, à un rapprochement de nos deux parcours.
Enfin, les différences entre nos deux pays ont nourri quelques malentendus. En France, le concours pour être infirmière est accessible à qui veut bien le travailler sérieusement. Je l’ai vu avec ma sœur qui a été une lycéenne sérieuse et qui n’a pas eu besoin de beaucoup forcer. En Belgique, les choses sont visiblement plus difficiles mais aussi plus abouties (doctorat). Je ne le savais pas. A l’inverse, renseignements pris auprès d’un ami qui connaît votre pays, l’agrégation n’est pas vraiment synonyme d’excellence. En France, autant les agrégés ont toutes les capacités pour faire un doctorat, autant les docteurs n’ont pas forcément celles qui permettent de décrocher l’agrégation. C’est une bizarrerie française.
Dans le fond, je crois que nous sommes deux grandes lutteuses mais qu’à force d’avoir pris des coups, on ne sait plus très bien quand on doit baisser les armes.
J’espère effectivement que nos prochains échanges seront plus sereins mais je prends les paris que oui.
Bonne continuation
Margaux ?
4 octobre 2017 @ 12:25
« petite patineuse très moyenne »
Alexandra n’est pas championne du monde de patinage artistique mais elle est loin d’être mauvaise sur ses patins. En toute hypothèse, il faut comparer ce qui est comparable ; mettre en perspective des études (très moyennes au demeurant) et des résultats sportifs démontre que vous ne connaissez ni l’un, ni l’autre sujet et que, comme beaucoup, vous parlez sans réfléchir. Revenez donc dans quelques années pour comparer les cursus d’études de l’une et l’autre.
Madeleine
4 octobre 2017 @ 14:42
J’ai eu l’occasion de voir et d’écouter Charlotte Casiraghi, invitée sur Arte dans le cadre de l’émission ’28 minutes ». C’est, semble-t-il, une jeune femme aussi intelligente qu’agréable et ravissante.
ml
5 octobre 2017 @ 13:49
De votre avis Madeleine…Charlotte excelle en philosophie !
ml
Margaux ?
9 octobre 2017 @ 00:21
Vous n’avez pas dû faire beaucoup de philo dans votre vie. La philo de Charlotte est juste au-dessus de celle d’un élève de terminale littéraire. Ça peut impressionner au premier abord mais c’est vraiment peu de choses.
monica
4 octobre 2017 @ 18:33
Arièlle, vous ne devriez pas anticiper le futur d Alexandra, si elle a moins de diplômes, elle s en sortira peut etre mieux dans la vie en trouvant un travail qui l intéresse, ce qui n est pas le cas de Charlotte qui s ennuie à mourir à ne rien faire
Margaux ?
9 octobre 2017 @ 00:22
Elle n’a que 19 ans… et elle ne communique pas sur ce qu’elle fait depuis l’obtention du Bac en juin dernier.
Robespierre
3 octobre 2017 @ 18:29
Oui, j’espère qu’elle déménagera moins que Charlotte.
monica
3 octobre 2017 @ 18:42
Lorraine, ah ben ça c’est vrai
Caroline
3 octobre 2017 @ 20:55
Alexandra de Hanovre s’habille joliment comme une adolescente, je crois qu’elle n’a pas trop envie de ressembler à une gravure de mode à cause de sa simplicité naturelle !
Giséle
5 octobre 2017 @ 17:18
Que savez-vous de sa simplicité naturelle?
Margaux ?
9 octobre 2017 @ 00:22
Elle l’a peut-être approchée, comme quelques uns d’entre nous ?
Milena K
3 octobre 2017 @ 11:32
Elle a un physique tres banal mais semble tellement plus sympathique sa soeur qui n est pas non plus si belle que ça.
clement
3 octobre 2017 @ 11:56
Jolie jeune fille qui semble naturelle ,bien dans sa peau ,bien habillée !
Martine
3 octobre 2017 @ 12:33
Elle est gentille mais Mademoiselle Toutlemonde
Mayg
3 octobre 2017 @ 13:15
De plus en plu ravissante cette petite. J’aime bien sa jupe, un peu moins le chemisier.
Jane
3 octobre 2017 @ 14:08
Une jeune fille charmante et simple, au si joli sourire … Et elle est Altesse royale !!!
Juliette d
3 octobre 2017 @ 14:11
La voilà partie pour une carrière de it-girl. Et les études?
COLETTE C.
3 octobre 2017 @ 14:40
Elle fait petite fille.
particule
3 octobre 2017 @ 15:10
Elle n’a rien de la Charlotte sophistiquée et qui a l’air de porter sa vie de luxe comme un fardeau …. Alexandra n’est pas un futur mannequin … elle est une jeune fille ordinaire qui porte un nom ancestral.
Petillante
3 octobre 2017 @ 15:40
Chère Régine
Je viens de voir que lee radziwil,la sœur de Jackie vendait son appartement de Paris.est elle malade ,?il a une deco française que j adore
Anastasia A ?
3 octobre 2017 @ 15:45
Une jeune fille mignonne et simple . On n’a tellement plus l’habitude de voir ce style de jeune que pour beaucoup , elle paraît gamine , fade , banale . Elle est tout simplement normale et certainement mieux dans sa peau que certaines…. Pas de style bimbo ou de pose hautaine . Moi j’apprécie ! Bravo mademoiselle . surtout restez ce que vous êtes
bianca
4 octobre 2017 @ 12:22
Complètement de votre avis Anastasia A !!!
adriana
3 octobre 2017 @ 16:45
charmante !!!
giha
3 octobre 2017 @ 17:43
c’est sur, elle fait plus gaie que sa grande sœur.
Chez Andréa et Charlotte on ressent le poids énorme de leurs privilèges qu’ils doivent supporter sur leurs frêles épaules
Pierre et Alexandra sont plus décontractés et souriants
etalors60
3 octobre 2017 @ 18:48
Vous êtes pas sympa Lorraine 1.
Marie-Françoise
3 octobre 2017 @ 19:00
fraîche, charmante et naturelle, tout le contraire d’une princesse Sophistiquée ! c’est ma préférée de la tribu Casiraghi mise à part la si charmante Béatrice !
Margaux ?
4 octobre 2017 @ 12:47
« c’est ma préférée de la tribu Casiraghi »
Justement, ce n’est pas une Casiraghi mais une Hanovre.
C’est autrement plus prestigieux !
Muscate-Valeska de Lisabé
5 octobre 2017 @ 15:26
Bravo Margaux! ;-))
ml
4 octobre 2017 @ 13:54
J’ai comme vous Marie-Françoise un petit penchant pour cette jeune fille discrète…bien que la beauté de ses frères -soeur Casiraghi soit presque indécente face au commun des mortels !!!!?
ml
bianca
5 octobre 2017 @ 13:19
« beauté indécente » de ses autres frères et sœur Casiraghi ??? ah ? vraiment ???
ml
6 octobre 2017 @ 14:29
Ce n’est que mon avis, chère bianca…je respecte le vôtre qui me semble différent tout comme nos avis qui divergent sur Charles et Camilla…
On ne vous demande rien d’autre que de vous exprimez mais avec des avis réels et non de jouer les suiveuses !
ml
bianca
8 octobre 2017 @ 20:33
Je ne suis pas plus une suiveuse puisque vous retenez aussi des avis que je me permets d’exprimer comme beaucoup de personnes sur ce site ! Je pourrais vous renvoyer à vos commentaires sur la Princesse Charlène qui pourtant représente autre chose que ce couple destructeur !!!
Giséle
4 octobre 2017 @ 16:18
Sauf qu’elle n’est pas une Casiraghi.
Yom
3 octobre 2017 @ 19:54
Elle a l’air adorable cette gamine,elle n’est pas laide,mais pas franchement jolie non plus une gamine sur laquelle on ne se retournerait pas si elle n’etait pas princesse
Claude-Patricia
3 octobre 2017 @ 21:11
elle a l’air adorable, je ne sais pas pourquoi…toute mignone cette petite princesse.
J’ai une cousine qui porte le même prénom et c’est un amour.
Jacqueline
3 octobre 2017 @ 21:12
Elle a l’air sympathique et a de ce fait un petit charme. Elle paraît plus simple d’accès aussi que les Casiraghi. Il doit y avoir des jours où je pense qu’elle regrette d’être une princesse. Aujourd’hui, elle suit les défilés mais je ne serais pas surprise que cela lui passe asez vite.
DENIS
3 octobre 2017 @ 21:22
Tenue qui semble sortir du marché aux puces .
..c’est ça , la mode ? des haillons de luxe ?
Valerielabelle
3 octobre 2017 @ 21:39
Pas très jolie.
claudie
3 octobre 2017 @ 21:59
Si jeune et fréquentant déjà les défilés de mode!
Baboula
4 octobre 2017 @ 18:00
Elle a raison de suivre les défilés de mode car elle va devoir apprendre à s’habiller autrement qu’avec des chutes de rideaux .
Françoise
4 octobre 2017 @ 04:12
Elle est charmante et au moins sait sourire naturellement
Hélène
4 octobre 2017 @ 05:50
Non, rien à faire, je ne parviens pas à la trouver jolie……
Muscate-Valeska de Lisabé
4 octobre 2017 @ 12:43
Moi non plus.Petits yeux…tout est là. Ou plutôt, ça n’y est pas^^.
ml
4 octobre 2017 @ 14:04
C’est sûr qu’en restant objective…elle est mignonne mais pas plus…Hélène!
Son doux sourire me fend le coeur car à son âge il est difficile d’être la fille d’une mère qui fut iconique et d’une soeur à la beauté réelle!
ml
ML
5 octobre 2017 @ 12:29
Je trouve que Charlotte est bien moins jolie que sa mère et ,rien à faire , je la trouve antipathique .
ml
6 octobre 2017 @ 14:30
Votre avis se respecte chère ML car il reste personnel!
ml
Milena K
7 octobre 2017 @ 00:20
Charlotte est,objectivemrny,jolie mais je ne lui trouve vraiment aucun charme.Et à ses frères non plus.
Ontheroadagain
4 octobre 2017 @ 08:42
Peut-être moins jolie que sa emi-soeur aînée, mais visiblement plus sympathique et souriante !!!
Numérobis.
4 octobre 2017 @ 13:09
Bien plus agréable à regarder que sa sœur Charlotte !
bianca
5 octobre 2017 @ 13:23
Qui n’est vraiment pas d’une beauté à s’extasier, sans aucune allure…!!!
Ghislaine-Perrynn
4 octobre 2017 @ 13:21
Pitié, toutes ces jeunes femmes sont luisantes à défaut d’être brillantes . C’est vraiment une catastrophe ces peaux grasses .
nts nt
4 octobre 2017 @ 14:35
Bon l’habillement d’accord c’est pas top-surtout le chemisier trop grand-, mais tout de meme, quel joli sourire. Cette jeune fille est charmante.
COLETTE C.
4 octobre 2017 @ 15:29
Fait-elle des études, quel « bagage » a-t-elle ?
Esquiline
4 octobre 2017 @ 16:53
C’est fou les qualités que l’on trouve à la parentèle des personnes que l’on déteste!
Sœur de Charlotte, Alexandra ne peut être que charmante, élégante, intelligente, douce, sympathique et même jolie (ou en devenir) ….
Margaux ?
5 octobre 2017 @ 15:16
Ce qui est surtout fou (mais commun) c’est l’art avec lequel les gens qui ont un frère ou une sœur bête à manger du foin, parviennent à se hisser et à exister pour ce qu’ils sont vraiment et non pour ce qu’il conviendrait d’être aux yeux de la bonne société.
Esquiline
6 octobre 2017 @ 13:19
C’est du vécu? Alors cordiales salutations aux herbivores de votre famille!
Margaux ?
9 octobre 2017 @ 00:27
Je pensais plus aux ânes de votre parentèle mais je passerai le bonjour à ma famille, ça les fera certainement beaucoup rire, vu leurs cursus… sans aucun doute plus brillants que le vôtre, pour ne pas avoir à passer leurs journées sur un blog people. (et ne cherchez pas : je suis moi aussi hyper-diplômée…) ?
Esquiline
9 octobre 2017 @ 12:36
Pietas …
Margaux ?
13 octobre 2017 @ 00:22
« Pietas », voilà encore un terme que vous utilisez à mauvais escient dans la présente discussion. A force, je vais croire que c’est obsessionnel.
Clément II
10 octobre 2017 @ 00:22
Esquiline, quel propos injurieux !
Je n’ai pas pour principe d’afficher la vie privée des gens mais, dans le cas de Margaux, sachez que les « herbivores de (sa) famille » sont tous docteurs en quelque chose. Je doute que vous soyez en mesure de vous aligner.
Esquiline
10 octobre 2017 @ 12:30
Ma réponse commence par une question, c’est du vécu?
Si la réponse est oui, alors je réitère mes cordiales salutations à la fratrie « bête à manger du foin », ce n’est pas une injure n’est-ce pas?
Si elle est négative, ce que je crois deviner, je suis désolée que l’incompréhension d’une phrase aussi simple ait fait craquer le vernis d’une personne que l’on devine si exceptionnelle.
Je n’ai aucune intention de m’aligner aux haters, trop dure serait la chute!
Margaux ?
12 octobre 2017 @ 01:23
Et d’ailleurs, j’apprécie beaucoup Alexandra de Hanovre.
Clément II
12 octobre 2017 @ 12:15
A votre place, je ne jouerais pas avec « la fratrie » et accessoirement, pas non plus avec la paternité. C’est un terrain miné et vous risqueriez d’y perdre des doigts.
Pour votre information : http://dictionnaire-urbain.fr/?p=242
Je ne vois où Margaux ou même moi (puisque vous me parlez aussi) critiquons tout ce que nous pouvons. La famille de Monaco n’a pas le monopole des propos sur internet, ici ou ailleurs. Chacun est libre de les aimer ou les abhorrer, de leur faire des compliments ou de les critiquer ouvertement. Vous n’êtes pas non plus leur gendarme.
Entre « hater(s) » et « névrose obsessionnelle », vous utilisez des mots que vous ne connaissez pas. Au fond, la culture c’est comme la confiture…
Margaux ?
13 octobre 2017 @ 00:20
Esquiline, vous n’avez rien fait craquer du tout. J’ai toujours pour habitude de remettre les gens malpolis (comprendre en cela : auteurs d’injures – même sous-entendues) à leurs justes places. Vous y êtes très bien, restez-y.
Michèle Lobre
4 octobre 2017 @ 19:04
Très souriante et sympathique pas encore désabusée comme sa demi sœur. J’espere qu’elle fait des études. Toutes les princesses et reines (mis à part sa tante Charlene) sont diplômées en économies, en droit ou en langues: de la reine Maxima à la princesse Victoria de Suede en passant par la Grande Duchesse Stéphanie et la reine Mathilde .
Giséle
5 octobre 2017 @ 17:20
Je ne crois pas que sa tante Stéphanie ait fait des études .
Margaux ?
9 octobre 2017 @ 00:29
Il est question de la Grande Duchesse Stéphanie de Luxembourg.
Aucun enfant de Rainier III n’a fait d’études à proprement parler. ?
Carole 007
4 octobre 2017 @ 19:47
Alexandra est la seule à faire un vrai sourire dans les défilés, et c’est bien agréable.
Elle devrait peut-être changer de coiffure, un carré et une sorte de frange lui conviendrait mieux, me semble-t-il.
Elle semble toujours de bonne humeur, contrairement à ses frères et sœur.
Cosmo
4 octobre 2017 @ 21:05
Souriante et sympathique mais quelconque !
ml
6 octobre 2017 @ 14:32
C’est malheureusement l’exacte vérité pour cette jeune fille…Cosmo!
ml