Le prince Amedeo de Savoie-Aoste, duc d’Aoste décédé le 1 juin 2021, a laissé un grand vide autour de lui. Tout d’abord pour sa veuve la duchesse Silvia avec qui il s’était remarié en 1987.
Le duc a toujours entretenu une relation très proche avec ses enfants la princesse Bianca, le prince Aimone et la princesse Mafalda qui sont restés vivre au moment du divorce avec la princesse Claude de France auprès de lui au domaine du Borro.
Le prince Aimone, nouveau duc d’Aoste a eu des propos en ce sens après les funérailles.
Les relations avec la princesse Claude de France avec qui il fut marié de 1964 à 1982, se sont apaisées avec le temps. Ils sont les grands-parents de 11 petits-enfants. La princesse était présente aux funérailles auprès de ses enfants.
Si les relations ont été fluctuantes mais souvent très tendues avec son cousin le prince de Naples, le duc d’Aoste était en revanche proche de ses cousines dont la princesse Marie Beatrice.
Le duc d’Aoste avait conservé des relations familiales proches avec son cousin le roi Michel de Roumanie, leurs mères étaient soeurs. Il en a été de même avec la princesse Margareta, fille aîné du roi Michel.
Le duc d’Aoste avait une grande affection pour ses cousines la princesse Maria Cristina et la princesse Margherita, filles d’Amedeo, duc d’Aoste. A la mort de ce dernier, le titre revint au père du duc car il n’y avait pas de descendance masculine.
La princesse Maria Cristina est particulièrement touchée par la disparition de son cousin et n’a pu faire le long voyage depuis le Brésil où elle vit. Elle est mariée au prince Casimir de Bourbon-Deux-Siciles. Sa cousine Margherita est la veuve de l’archiduc Robert d’Autriche-Este et mère du prince Lorenz de Belgique.
La princesse Marie Gabrielle de Savoie, fille du roi Umberto, n’avait pas hésité à prendre parti pour son cousin le duc d’Aoste dans sa querelle avec le prince de Naples, son frère.
Le petit-fils du duc d’Aoste, aîné de son fils Aimone a d’ailleurs été prénommé Umberto.
C’est au mariage du prince des Asturies en 2004 que le prince Aimone tomba sous le charme de la princesse Olga de Grèce, fille du prince Michel qui avait été élevé à la mort de ses parents avec les 11 enfants du comte de Paris dont la princesse Claude…
Le roi Juan Carlos avait choisi le duc d’Aoste pour être son témoin lors de son mariage avec Sophie de Grèce.
Comme déjà évoqué, le duc d’Aoste était très proche de son cousin le roi Michel de Roumanie bien qu’il ait 22 ans de plus que lui. Le duc d’Aoste n’a pas connu son père car il était bébé lorsqu’il fut déporté avec sa mère la princesse Irène de Grèce pendant la guerre 40-45 et à la libération, son père était parti tenter sa chance en Argentine où il mourut.
Le roi Michel connut une enfance douloureuse avec les allées et venues de son père le roi Carol sur le trône, et la séparation de ses parents, le privant de l’affection de sa mère la princesse Helene de Grèce.
Régine ⋅ Actualité 2021, Espagne, Italie, Roumanie 66 Comments
Bambou
13 juillet 2021 @ 05:57
Merci pour cet article fort intéressant. Le Duc d’Aoste m’a toujours paru un homme bien et son fils Aimone de même sérieux et pas dilettante…..
Karabakh
13 juillet 2021 @ 12:56
Le duc d’Aoste avait l’amour baladeur et l’humeur fragile mais c’était un homme sympathique, pour qui s’abstenait de le juger hâtivement. Amedeo était bien plus affable que ne l’est Vittorio Emanuele.
miloumilou m
13 juillet 2021 @ 06:04
Bianca Aimone et Mafalda sont bien représentatifs de ces italiens que j’aime tant!
Beaux, élégants et fort discrets!
Cette famille serait plus crédible pour un éventuel et impossible trône!
Vitabel
13 juillet 2021 @ 07:49
La princesse Mafalda est très belle, j’aime bien la deuxième photo, celle de parents apaisés, le duc devait être un homme très sympathique pour partager autant d’amitiés diverses.
Rose
13 juillet 2021 @ 08:08
Merci pour cet article très intéressant ! Le duc d’Aoste était aussi le cousin germain de la reine Sophie, du roi Constantin et de leur sœur Irene.
Je serai curieuse de connaître la position de ces cousins et aussi de toute la royauté exilée avec le roi Umberto au Portugal dans le conflit qui oppose les 2 branches de la famille.
Belle journée
Rose
Karabakh
13 juillet 2021 @ 12:58
Ils ont forcément un avis mais pourquoi le partageraient-ils? Je veux dire que ça ne les concerne pas directement, donc qu’ils n’ont pas, de mon point de vue, à entrer dans ce débat.
Gérard
13 juillet 2021 @ 22:32
Du vivant du roi Umberto il n’y avait pas de conflit.
louise
13 juillet 2021 @ 08:11
belle photo : beaux enfants ;
Leonor
13 juillet 2021 @ 09:08
Intéressant reportage.
Voir des falbalas, c’est distrayant et souvent drôle, rose comme des contes de fées; on en a besoin, mais ça s’arrête là.
Un reportage sur quelques étapes de l’évolution d’une vie, c’est plus intéressant. Tous, nous nous voyons de même prendre de l’âge, traverser des difficultés, éprouver des bonheurs.
Menthe
13 juillet 2021 @ 09:39
Je trouve que sa fille Bianca ressemble à la cousine de son père, Maria Christina (si c’est bien elle en ensemble pantalon rose beige)
cerodo
13 juillet 2021 @ 09:40
il me semble qu’il a eu aussi des enfants illégitimes.
Karabakh
13 juillet 2021 @ 13:00
Il me semble que vous avez la comprenette difficile et l’obsession tenace. Légèrement pathologique…
JAY
13 juillet 2021 @ 09:47
Certes ce monsieur avait de belles valeurs et un esprit de famille mais il faudrait tout de meme parler de ses 2 enfants adultérins et surtout de la période ou cela c est passé.
Dire qu’il avait « x » années de mariage c est bien beau sur les papiers mais c est une belle hypocrisie, un peu comme son cousin Juan Carlos …..
Sans omettre de parler des mères de ces enfants qui furent les compagnes du duc ….
Muriel 83
13 juillet 2021 @ 11:36
les personnes en question ne furent pas ses compagnes, le fils né à l’époque de son mariage avec claude a été reconnu par l’époux de la dame, quant à la
fille née des années après alors qu’il vivait avec sa seconde femme, qui ne l’a pas quittée pour autant, elle est chrisomique, et a été reconnu par le duc.
Karabakh
13 juillet 2021 @ 13:06
Qu’est-ce donc qu’être « chrisomique »? C’est contagieux?
Mayg
13 juillet 2021 @ 13:52
Elle a été reconnue par le duc certes, mais après une bataille judiciaire il me semble ?
Gérard
14 juillet 2021 @ 13:38
Non mais après un test ADN.
Cecicela
13 juillet 2021 @ 15:05
Compagnes ou pas, c’est pas bien joli et je rejoins Jay dans son appréciation. Piero Incisa de La Rochetta n’a que six semaines de différence avec Aimone et a donc été conçu à une époque où le couple Amedeo/Claude semblait encore bien fonctionner; impression renforcée par la naissance de Mafalda en 1969. Manifestement, il n’en était rien, en tout cas pour Amedeo. Une trentaine d’années plus tard, il remet ça avec un autre enfant naturel, pour ce que l’on sait…
Dans ce milieu de la noblesse, les hommes, surement beaucoup plus que les femmes, ont toujours eu des liaisons (Ce que la reine Elizabeth qualifiait de « besoins » quand Diana était venu se plaindre de l’infidélité de Charles) et la chose était, la plupart du temps, largement admise par les protagonistes, d’autant plus que leur éducation les prédisposait, à le faire, avec plus ou moins de discrétion, pour ces messieurs et à le supporter sans rien dire, pour les dames. Les mœurs ont évolué et, avec eux, les mentalités.
Aujourd’hui, on porte un tout autre regard sur ce genre de faits, moins (voire pas du tout) indulgent.
aubert
14 juillet 2021 @ 14:53
Dans la noblesse comme dans tous les milieux quand un homme est infidèle c’est qu’à moins d’être homosexuel il a rencontré une autre femme qui de son côté doit bien tromper quelqu’un.
Jay
14 juillet 2021 @ 00:41
M’empêche pas que le duc a largement et régulièrement trompé ses 2 épouses.
Une a eu le courage de partir, pas l’autre.
Il a eu d autres maîtresses avec qui il n’a pas eu d’enfant.
Karabakh
13 juillet 2021 @ 13:12
Jay,
Cela vous semblera peut-être dur mais ces femmes n’étaient pas des compagnes pour le duc d’Aoste. Elles n’étaient que des conquêtes éphémères avec lesquelles s’est accompli le miracle de la vie.
Le duc a songé à reconnaître son fils mais la mère ne l’a pas souhaité, l’enfant ayant déjà été reconnu par un homme qu’il considère comme son seul père, et réciproquement. Quant à la petite fille, elle a été reconnue. Alors, la faute est constituée à l’égard des épouses légitimes du duc lors de ces égarements, pas envers les enfants et leurs mères qui ont su, l’une et l’autre, les choix adaptés à leurs situations respectives. On peut lui reprocher l’adultère, pas le délaissement d’enfants.
Gérard
14 juillet 2021 @ 13:40
En effet.
Trianon
13 juillet 2021 @ 20:43
Mais pourquoi souhaitez vous un tel déballage ??
Qu’est ce que ça apporte ?
Jay
15 juillet 2021 @ 00:21
Oui on connaît l’aveuglement de certains que voudraient faire croire que cela n’est qu’un détail tout comme l’affaire Delphine de Belgique .. il en resort beaucoup d’hypocrisie au soin même de ces familles dont les femmes auraient plus de fierté à divorcer au lieu de fermer les eux sur l’immoralité de leur très chrétien époux !
Trianon
15 juillet 2021 @ 11:46
Votre haine vous égare..franchement Jay! Et je ne le dis pas méchamment.
Personne ne dit, en tout cas pas moi, que c’est un détail, mais je rejoins complètement la manière dont Karabakh présente les choses .
Ces histoires pas très belles ne regardent pas tout le monde, seulement les acteurs de celles ci.La laideur ne gagne jamais rien à être étalée sur la place publique , et si j’avais eu la tristesse d’être trompée par mon époux, je serais encore plus ravagée que la place publique s’en repaisse…ce serait ajouter une épreuve à l’épreuve .
Vous ne pouvez profiter de cette l’occasion pour donner un coup de patte sur le côté chrétien des époux concernés , l’adultère a toujours eu lieu, dans toutes les époques et toutes les classes sociales, ainsi que toutes les religions .Certaines ont trouvé la parade et autorisent la polygamie, c’est tellement plus simple…et puis les autres , bah ont donné une ligne de conduite difficile parfois à tenir , et les fidèles sont confrontés à leur erreurs .
C’est tout!
Mary
14 juillet 2021 @ 05:43
On le sait, on le sait… Va – t – on nous parler à chaque fois de ces deux enfants ?
Jay
15 juillet 2021 @ 00:21
En quoi les 3 autres sont plus importants ?
Jean Pierre
13 juillet 2021 @ 09:53
Il me semble que le père du duc d’Aoste n’est pas parti à New York mais à Buenos Aires et est rapidement décédé dans l’hôtel miteux où il vivait avec sa compagne.
Jay
14 juillet 2021 @ 00:51
En effet rien de très romantique dans la fin de ce prince … Après le référendum institutionnel de 1946, à l’issue duquel est proclamée la république, le prince Aymon quitte l’Italie et s’installe en Argentine, où il meurt d’un infarctus dix-sept mois plus tard.
COLETTE C.
13 juillet 2021 @ 10:26
Une famille recomposée qui s’entend, c’est toujours mieux.
Jay
14 juillet 2021 @ 00:43
Ça c’est avant la succession !
beji
13 juillet 2021 @ 11:26
Avec la princesse Claude ça a fini par un divorce mais je trouve sa seconde épouse
très compréhensive d’être restée avec lui bien qu’il ait eu une enfant avec une autre femme.
Esquiline
13 juillet 2021 @ 12:14
Compréhensive, intelligente et belle, la vraie noble Sicilienne.
Ses beaux-enfants semblent lui porter beaucoup d’affection.
Jay
14 juillet 2021 @ 00:42
« Comprehensive « Quel terrible mot dans ce cas !
Anne-Cécile
15 juillet 2021 @ 03:14
Un divorce civil et une nullité religieuse.
Ce qui est amusant c’est que beaucoup s’insurgent sur la dissolution du mariage des Clermont et pas sur celle des Aoste.
La différence entre le mariage n° 1 et le mariage n° 2 c’est que d’une part le Duc a librement choisi son épouse n° 2, dans une période où ‘il n’était plus « tenu » de se marier, et plus encore de souscrire à un mariage dynaste, et que d’autre part l’épouse avait fini de « maturer », replaçant d’elle-même les aventures de son Don Juan de mari à la place correcte où lui-même les plaçait, avec une personnalité solide et éclatante et beaucoup de répondant. Bref Donna Sylvia était taillée pour le mariage avec ce type de specimen masculin., la princesse Claude non.
Gérard
15 juillet 2021 @ 19:54
Oui Claude était jeune et française.
La deuxième épouse était un peu plus âgée et italienne.
Terry
13 juillet 2021 @ 12:09
Que devient la princesse Marie Béatrice de Savoie ?
Jay
15 juillet 2021 @ 00:22
Toujours au Mexique ?
Marie-Saintonge
13 juillet 2021 @ 12:16
Bah ! il n’y a plus de guerre du Trône en Italie.
Mais peut-être que les difficultés affectives du Duc d’Aoste s’expliquent- elles en partie par ses premières années terribles où il fut emprisonné avec sa mère dans un camp de concentration.
Gérard
14 juillet 2021 @ 17:19
La princesse Anne de France ne voulut pas quitter sa famille et fut emmenée en captivité avec ses filles.
framboiz07
13 juillet 2021 @ 12:49
Les hommes polygames ne m’intéressent pas ,il n’est duc que par le titre, pas princier dans la vie,je plains Claude ,qui à l’époque « y croyait » , quelle désillusion …Elle n’a pas eu de chance dans sa vie de femme …
Karabakh
13 juillet 2021 @ 12:54
En Italie, Silvia Paternò de Spedalotto fut, dans la formule, l’épouse du duc d’Aoste. Elle est aujourd’hui, la veuve de feu le duc d’Aoste. Elle n’a jamais été « duchesse d’Aoste », le duché en question n’étant pas souverain.
Ce serait gentil de respecter les conventions.
Gérard
14 juillet 2021 @ 15:28
Pourriez-vous développer ce point ?
Karabakh
18 juillet 2021 @ 15:12
Dans l’histoire italienne, comtes et ducs sont d’abord des princes souverains, à la tête d’états suzerains mais indépendants. Il y a eu peu de comtes/ducs non souverains avant l’unification italienne, et ces titres étaient conférés à titre personnel, et ne se transmettaient pas. Les épouses n’étaient alors pas comtesses ou duchesses mais « épouses du comte/duc ».
L’unification a quelque peu modifié les choses, en permettant notamment de transmettre ces titres non souverains mais dans l’usage courant, on continue de parler des épouses de comtes/ducs lorsque ces derniers ne tiennent pas leur titre d’un ancien fief souverain.
D’autant diront que le duché a été créé au XIVe siècle, ce qui est vrai mais fait l’impasse sur son attachement de tous temps aux Duché puis États de Savoie. Le titre a été conféré plusieurs fois à des princes de la maison de Savoie mais n’a jamais été détaché de cet état, détachement qui l’aurait alors rendu souverain.
Ce ne fut jamais un duché souverain.
La règle s’applique donc : épouse du duc d’Aoste et rien d’autre.
En revanche, par son mariage Silvia est princesse de Savoie voire, si l’on tient les prétentions de son époux pour légitimes, duchesse de Savoie (ce territoire fut souverain).
Karabakh
18 juillet 2021 @ 15:14
* états vassaux tenus d’un suzerain mais indépendants
(pardon)
Jay
15 juillet 2021 @ 00:23
Alors était elle au moins devenue princesse ?
maloumalou s
13 juillet 2021 @ 13:04
j’aime bien cette famille de Savoie mais un trône improbable
Amoriscausa
13 juillet 2021 @ 13:14
De ce que je sais il etait très proche de la FR grecque, la famille de sa mère, notamment SM la reine doña Sofia, qui est allé au mariage du prince Aimone. Ceci dit, ni elle ni personne de la FR espagnole est allé au mariage du prince de Venice.
Jay
15 juillet 2021 @ 00:28
Non et d’ailleurs elle n’était pas non plus au mariage du Prince Albert de Monaco ! Quand on sait que c est le prince Rainier qui a hébergé à Monaco la grand mère de Juan Carlos en prenant tous les frais à sa charge, quel manque d’élégance !
Heureusement Juan Carlos est venu quelques semaines plus tard saluer le nouveau couple princier.
Avel
13 juillet 2021 @ 13:50
Un article très intéressant.
Mayg
13 juillet 2021 @ 13:53
Le duc d’Aoste témoin au mariage de Juan Carlos, quand on sait ce que la fidélité représente pour ces deux là, ils étaient fait pour s’entendre…
Gérard
14 juillet 2021 @ 17:23
Il y a aussi le sang chaud des Italiens et des Espagnols…
Dinora
13 juillet 2021 @ 14:22
Mon mari et moi avons eu la chance d’avoir personnellement rencontré le prince Amedeo duca d’Aosta à l’occasion d’un événement il était notre invité chez nous. Nous nous sommes revus chez un ami commun (officier de la Croix-Rouge italienne) de la duchesse Silvia. Nous avons passé des journées ensemble, à parler de tout, un homme charmant, affable, très gentil, de compagnie agréable qui avait la capacité de vous mettre tout de suite à l’aise devant lui.
Très attaché à sa propre famille.
Une personne que je n’oublierai jamais.
Bambou
14 juillet 2021 @ 14:11
Parlait il français ?
Karabakh
18 juillet 2021 @ 15:15
Oui.
Danielle
13 juillet 2021 @ 14:51
Article très intéressant.
Je me souviens parfaitement de la rencontre d’Aimone et d’Olga de Grèce, que je trouve très bien et de la réflexion d’un invité, il me semble que c’est Michel de Grèce, qui les voyant passer dit « tiens, ils formeraient un beau couple ».
aubépine
13 juillet 2021 @ 14:59
Le duc d’Aoste est mort en Argentine d’une crise cardiaque , vous dites Jean-Pierre qu’il était avec sa compagne mais la princesse Irène n’est pas allée le rejoindre puisqu’elle a appris ce décès par le journal ….. c’est donc qu’il avait une maitresse !
Vieillebranche
13 juillet 2021 @ 21:00
Une famille princière tout simplement …avec un souci permanent de tenir son rang dans une société très éloignée des principes d’origine – Il finit sa vie entourée de très belles femmes les 2 siennes et ses filles et une lignée assurée de haute maniere- Franchement comment comparer avec l’ autre descendant royal italien…qui se croit obligé de tomber dans la TV et la pizza?
Galetoun
13 juillet 2021 @ 22:51
Le duc d’Aoste, Juan Carlos d’Espagne, Michel de Roumanie….leur point commun : des enfances de merd…..
Séparés, privés de leur parents/ famille pour cause de guerre et/ou des raisons dynastiques. L’insouciance de l’enfance sacrifiée, jetée aux orties.
Bambou
14 juillet 2021 @ 14:12
Cela a dû jouer certes…
Gérard
14 juillet 2021 @ 17:24
C’est pas faux Galetoun.
Mary
14 juillet 2021 @ 05:44
On le sait, on le sait… Va – t – on nous parler à chaque fois de ces deux enfants ?
josaint vic
14 juillet 2021 @ 11:31
Vous avez raison Trianon , tout le monde est au courant , point. Nous voyons ici une famille unie et tolérante Jay et autres vous devriez vous en inspirer et cesser les jugements sans appel que vous proférez très souvent
Trianon
15 juillet 2021 @ 11:48
Merci Jo!
Gérard
21 juillet 2021 @ 15:46
Le prince Aimone, duc de Spolète, officier de marine dans l’âme, était un homme sincère et désireux de servir et de mener une vie sereine. Il aimait la danse, le jeu et le beau sexe.
Le commandant Sicherie son aide de camp l’accompagna en Argentine avec son épouse. Le duc comptait rester quelques mois.
Il arriva en Argentine le 8 décembre 1947 sous le nom de Roberto della Cisterna.
En Argentine il reçut beaucoup de monarchistes italiens mais aussi de républicains, de fascistes, d’anti-fascistes, de péronistes et d’anti-péronistes. Il rendit d’ailleurs visite à Juan Perón.
Il aimait particulièrement vouloir suivre l’exemple de son frère Amédée, le duc de fer qui avait fait merveille en Afrique.
Aymon fut suivi en Argentine également par le général Marsengo, le comte Lanfranco di Campello della Spina, lequel devait épouser une riche héritière argentine Isabella Duggan, et l’amiral Garofalo ancien aide de camp du roi Umberto II.
Il s’installa d’abord à Buenos Aires chambre 320 du Plazza, excellent hôtel de la ville, avec une amie. Puis il séjourna dans la villa de José A. Dodero à 90 km au sud de la capitale.
Un jour il nagea longtemps et fut pris d’un malaise. On l’emmena à Buenos Aires où il fut examiné et soigné puis il s’installa pour se reposer dans une dépendance de l’hôtel Lancaster, propriété de son ami le comte Sergueï Platonovic Zuboff.
Il mourut le 29 janvier 1948 à 22h15 d’un arrêt cardiaque entouré d’amis italiens dans une suite de l’Alvear Palace Hôtel, le meilleur de la ville dit-on, dans le bourg français de Recoleta à Buenos Aires. Des examens post-mortem révélèrent également une tuberculose.
Les témoins de sa mort dirent qu’il mourut en souriant.
Il aurait auparavant fait un clin d’œil à son ami Garofalo au sujet des infirmières qui s’occupaient de lui.
Il fut inhumé au mausolée de Cobo Campello son ami, au cimetière de Recolata. Plus tard on transféra son cercueil en l’église des Italiens de Buenos Aires (Mater Misericordiae), dans la rue Moreno ainsi que le rappelle Ezequiel Toti.
Son fils lle fit ensuite rapatrier en Italie en octobre 1973 et il fut inhumé au cimetière d’Il Borro dans la province d’Arezzo. Le 18 mai 1996 il fut placé dans la basilique de Superga avec son épouse.
Le prince avait envisagé dans sa jeunesse d’entrer dans les ordres. Il fut aussi connu pour avoir été à la tête en Italie des premiers commandos d’hommes-grenouilles qui combattaient sur des scooters sous-marins.
Gérard
22 juillet 2021 @ 10:46
Le prince Aimone, duc de Spolète, officier de marine dans l’âme, était un homme sincère et désireux de servir et de mener une vie sereine. Il aimait la danse, le jeu et le beau sexe.
Le commandant Sicherie son aide de camp l’accompagna en Argentine avec son épouse. Le duc comptait y rester quelques mois.
Il arriva en Argentine le 8 décembre 1947 sous le nom de Roberto della Cisterna.
En Argentine il reçut beaucoup de monarchistes italiens mais aussi de républicains, de fascistes, d’anti-fascistes, de péronistes et d’anti-péronistes. Il rendit d’ailleurs visite à Juan Perón.
Il aimait particulièrement vouloir suivre l’exemple de son frère Amédée, le duc de fer qui avait fait merveille en Afrique.
Aymon fut suivi en Argentine également par le général Marsengo, le comte Lanfranco di Campello della Spina, lequel devait épouser une riche héritière argentine Isabella Duggan, et l’amiral Garofalo ancien aide de camp du roi Umberto II.
Il s’installa d’abord à Buenos Aires chambre 320 du Plazza, excellent hôtel de la ville, avec une amie. Puis il séjourna dans la villa de José A. Dodero à 90 km au sud de la capitale.
Un jour il nagea longtemps et fut pris d’un malaise. On l’emmena à Buenos Aires où il fut examiné et soigné puis il s’installa pour se reposer dans une dépendance de l’hôtel Lancaster, propriété de son ami le comte Sergueï Platonovic Zuboff.
Il mourut le 29 janvier 1948 à 22h15 d’un arrêt cardiaque entouré d’amis italiens dans une suite de l’Alvear Palace Hôtel, le meilleur de la ville dit-on, dans le bourg français de Recoleta à Buenos Aires. Des examens post-mortem révélèrent également une tuberculose.
Les témoins de sa mort dirent qu’il mourut en souriant.
Il aurait auparavant fait un clin d’œil à son ami Garofalo au sujet des infirmières qui s’occupaient de lui.
Il fut inhumé au mausolée de Cobo Campello, son ami, au cimetière de Recolata. Plus tard on transféra son cercueil en l’église des Italiens de Buenos Aires (Mater Misericordiae), dans la rue Moreno ainsi que le rappelle Ezequiel Toti.
Son fils le fils le fit ensuite rapatrier en Italie en octobre 1973 et il fut inhumé au cimetière d’Il Borro dans la province d’Arezzo. Le 18 mai 1996 il fut placé dans la basilique de Superga avec son épouse.
Le prince avait envisagé dans sa jeunesse d’entrer dans les ordres. Il fut aussi connu pour avoir été à la tête en Italie des premiers commandos d’hommes-grenouilles qui combattaient sur des scooters sous-marins.