Animation les 10, 17 et 24 août 2022 à l’apothicairerie de la reine au château de Chenonceau de 13h à 16h. Nathalie Tabary de l’Institut Astarté, répondra à vos questions sur les plantes médicinales et leurs vertus, comment on les transforme en huile essentielle, macérats, hydrolats, le nouveau jardin des plantes médicinales…
Mimine
5 août 2022 @ 00:30
Superbe pièce. Cette animation doit être très intéressante.
Ciboulette
5 août 2022 @ 17:23
Adorable Mimine , bisous !
Mimine
6 août 2022 @ 12:27
😻😸😺
Ghislaine
5 août 2022 @ 07:31
Magnifique endroit ! la visite doit être très intéressante et les informations données précieuses.
Il existe une enclave espagnole en territoire français dans les Pyrénées qui s’appelle LLivia . Dans ce petit territoire espagnol se trouve une apothicairie à visiter , c’est fabuleux.
Beque
5 août 2022 @ 13:54
Ghislaine, c’est étonnant parce que je viens d’entendre parler de Llivia par un monsieur dont le père avait été élève des Frères des Ecoles Chrétiennes (fondés par Saint Jean Baptiste de La Salle) précisément à Llivia !
Par ailleurs, vous parliez récemment du château de Chenonceau que vous aviez « longé » sur le côté gauche (le mot ne convient pas) par un sentier se trouvant dans un sous-bois, c’est ce que nous avons fait la semaine dernière, par hasard. Et on en rapporte des photos des plus romantiques.
Ghislaine
9 août 2022 @ 07:49
Beque ! C’est étonnant ! Llivia voyait souvent la cantatrice Montserrat Caballé chanter dans la petite église de cette enclave .J’avoue avoir beaucoup apprécié le lieu.
Alors donc vous marchez sur mes pas ! Quand vous passez sur le setier près du chateau il y a qq marches et une porte en fer qui terminent en fait les arches . C’est par là que l’on faisait transiter les résistants et aviateurs alliés qui passaient en zone libre . Bonne fin d’été .
JALINE
5 août 2022 @ 07:35
animation qui devrait être intéréssante – la salle est magnifique avec toutes ces poteries –
JAusten
5 août 2022 @ 07:55
Rhooo tous ces magnifiques pots à pharmacies !
Aldona
5 août 2022 @ 08:14
Ce sont des endroits de toute beauté, le bois, les pots, une visite intéressante
Danielle
5 août 2022 @ 13:21
J’adore les apothicaireries et celle ci est très belle, des animations qui me plairaient.
Ciboulette
5 août 2022 @ 17:25
J’ai visité il y a quelques années une apothicairerie et on nous a montré un récipient appelé » Bourdaloue » . Quel était son usage ?
Mimine
6 août 2022 @ 12:37
Sur internet comme vous j’ imagine tout ce que j’ ai trouvé c’est : petit pot de chambre au XVIIIe siècle env. Pour les dames.
???
Beque
6 août 2022 @ 15:49
Ciboulette, j’imagine que l’on vous a déjà répondu.
L’objet a été inventé pour permettre aux dames de la cour de Louis XIV de pouvoir suivre les sermons interminables de l’abbé Bourdaloue, “roi des prédicateurs et prédicateur des rois”, sans devoir s’éclipser pour se soulager. Il leur suffisait de glisser le petit urinoir sous leurs amples jupes, une véritable gageure de discrétion. Madame de Sévigné, parmi d’autres, en avait grand usage.
Louis Bourdaloue entré à la Compagnie de Jésus à l’âge de 16 ans, fut envoyé à Paris, en 1669, à l’église des Jésuites, Saint-Louis (actuelle église Saint-Paul Saint Louis dans le Marais, les bâtiments des Jésuites étant devenus le lycée Charlemagne). Lorsqu’il prêchait, les carrosses encombraient tout le quartier. Mme de Sévigné était assidue à ses sermons. Le 26 avril 1687, l’inhumation du cœur du Grand Condé dans l’église des Jésuites allait être l’occasion d’une solennité exceptionnelle. Mme de Sévigné écrit à Bussy-Rabutin : « Je suis charmée et transportée de l’oraison funèbre de Monsieur le Prince faite par le P. Bourdaloue. Il se surpassa lui-même. »
Sources : « La Vie quotidienne au Marais au XVIIe siècle », de Jacques Wilhelm, Hachette, 1966) ; Correspondance de Madame de Sévigné)
Danielle
6 août 2022 @ 20:39
Ciboulette, je ne connais pas mais je regarderai sur le net mais pas ce soir…
Pascal Hervé 🍄
7 août 2022 @ 08:10
Est-ce ’’ Ignorance ou panneau ? ”
Je crois qu’il s’agit tout simplement d’un pot de chambre ,peut-être un peu adapté à la conformation féminine, dont le nom viendrait de la longueur des sermons du religieux qui rendait cet accessoire indispensable pour les dames de la haute société qui voulaient les entendre intégralement, mais ce n’est sans doute qu’une plaisanterie.
Mais goûter les urines étaient je pense le privilège des médecins.