De purs joyaux. C’est le moment d’en acheter, la cote des meubles anciens est au plus bas. D’ici quelques années, lorsque le public sera lassé de l’uniformité Ikea ou Roche-Bobois (suivant les budgets) le moindre fauteuil même Louis-Phillipard vaudra de l’or.
Les estimations en salles des ventes ne sont pas mirobolantes mais les prix d’adjudication les triplent souvent ,pour les belles pièces . cf la vente Ribes .
Oui, c’est triste, Antoine, que des gens qui ont acheté par exemple des sièges Louis XV très cher il y a une vingtaine d’années ne puissent retrouver leur mise. Baboula a sans doute raison pour le très belles pièces, mais dans l’ensemble l’ancien n’a plus la cote, sauf pour l’ Art Deco. Il parait que pour les tapis d’Orient, c’est aussi la débacle.
Effectivement, Robespierre, c’est la même chose pour les tapis. J’ai acheté un grand tapis persan superbe et en parfait état sur ebay, il y a quelques semaines, pour une bouchée de pain. Ce qui a fait dire à mon entourage que ma chatte était très gâtée pour Noël : elle ignore les griffoirs mais raffolent des tapis et des dos de canapés. La vie d’abord…
Vous avez raison : la vie d’abord !
Et puis Paul Morand aurait écrit (à peu de choses près) « Il faut choisir : un chat ou des rideaux »
Heureuses fêtes
Francois
28 décembre 2019 @
11:42
Les prix sont dérisoires
On ne fait même plus la différence entre époque et copie
Ca ne change rien au prix
Sauf meubles exceptionnels signés etc
Le reste 0
C’est difficile à croire si on ne va pas en salle des ventes
Réjouissons-nous, François, puisque cela nous permet de vivre dans ce qu’on aime que de toutes façons nous ne vendrions pas (encore qu’au fil du temps, en ce qui me concerne, ne pas tout garder serait peut-être à considérer…).
Antoine, effectivement la cote des meubles
Anciens est au plus bas mais SEULEMENT
Pour les meubles ordinaires car dès que l’on est » dans le beau » je puis vous assurer que les amateurs sont toujours là et question prix » pas qu’un peu « .
Je ne suis pas certaine que les immeubles actuels soient faits pour les meubles anciens tant pour la hauteur, la masse et le poids.
J’ai un buffet renaissance d’époque qui a vécu dans plusieurs châteaux, n’a ni clou ni visse, et qui pèse environ 300 kg.
Et ce n’est pas le seul.
Comme le style Louis XVI est plutôt Marie Antoinette
Le Louis XV serait plutôt Pompadour
Elle aimait les meubles exquis, Les porcelaines délicates
Les arts sous sa férule atteinrent des degrés inégalés
Les couleurs etaient vives et agréables
Certes de nos jours où n’est que murs blancs , meubles gris ou noirs
Et surtout uniformément identique ce genre de meubkes Et de tissus semblent
faits pour kes musées
Quelle erreur on vit tres bien dedans .
Les chaises que nous voyons proviennent du legs fait en 1986 par son altesse royale la duchesse de Windsor, qui avait certainement quelques raisons personnelles d’aimer Madame de Pompadour.
La duchesse n’était pas spécialement une collectionneuse mais elle avait du goût et elle aimait particulièrement le XVIIIe siècle français. Ses acquisitions avaient été conseillées par Stéphane Boudin de la maison Jansen et Versailles bénéficia de ce qu’elle avait acheté des années 1750, pour l’appartement de la marquise de Pompadour, tandis que ce qu’elle avait acheté des années 1770 alla chez la comtesse du Barry.
Les sièges étaient généralement achetés par paire et recouverts deux à deux de soiries diverses selon le goût des décorateurs.
Mais à Versailles on a recouvert les sièges de manière uniforme dans l’esprit des suites du XVIIIe siècle.
Les soieries ont été offertes à l’instigation des Amis de Versailles par la maison Verel de Belval et les passementeries par la maison Houlès. On n’a pas d’inventaire pour le premier appartement de la marquise qu’elle occupa de 1745 à 1751.
Elle n’était pas meublée à Versailles par le Garde-Meuble de la Couronne, qui œuvrait pour les résidences royales mais pas à Versailles. On connaît donc l’ameublement de la marquise à Trianon, à Marly, à Choisy, à La Muette, à Compiègne, à Fontainebleau, à Saint-Hubert mais pas à Versailles. On a seulement le livre journal du marchand mercier Lazare Duvaux et l’inventaire après décès de la marquise de 1764.
À cette date depuis 1751 elle occupait à Versailles un autre appartement, au rez-de-chaussée nord du corps central, qui avait été d’abord aux Toulouse et aux Penthièvre. Elle était plus éloignée de l’appartement du roi dont elle était l’amie mais plus la maîtresse.
On a cependant les inventaires de Versailles concernant les appartements des Condé, des Orléans, des Penthièvre, et le mobilier personnel des princes côtoyait des meubles du Garde-Meuble de la Couronne souvent très riches mais parfois démodés.
Comme on a quelques idées sur le goût de la marquise (on l’appelait toujours la marquise mais elle était duchesse à brevet ce qui lui permettait de s’asseoir convenablement en présence du roi), on savait qu’elle aimait particulièrement les lampas à fond vert et c’est ce qu’on a utilisé pour la chambre à coucher. On a donc placé dans cette chambre deux chaises provenant du legs Windsor qui étaient laquées crème et or mais sous la peinture desquelles on a retrouvé un ton vert. Elles ont été rétablies dans cet état vert et or et ont été associées à deux fauteuils de style Louis XV exécutés en complément pour Arturo Lopez Willshaw et qui séparés d’un mobilier authentique légué par celui-ci en 1963, se trouvaient en réserve. Le même rechampi vert et or a été choisi pour le lit.
Il est à noter qu’on trouve dans cette chambre comme ailleurs à Versailles des flambeaux de cuivre doré (qui sont des acquisitions de Louis-Philippe) notamment.
On note sur la commode un groupe en terre cuite L’Amour embrassant l’Amitié qui est une réduction du marbre de Jean-Baptiste Pigalle pour le château de Bellevue en 1758. L’original est maintenant au Louvre depuis 1879.
Gérard, j’ai eu l’occasion de voir les appartements de la du Barry à Versaille vers 1989 avant qu’on les ferme et les réaménage. Je regardais les fauteuiles du legs Windsor et le guide qu’on appelle « conférencier », ironisait sur le mauvais goût de ces fauteuils, mal achetés parait-il, du mauvais Louis XV d’époque et insinuait que la fameuse duchesse s’était fait rouler par les antiquaires n’ayant aucune compétence en la matière. Je vous livre l’opinion d’un homme qui s’y connaissait mieux que moi et n’ai donc aucun avis sur la question. Cependant les fauteuils en question ne m’ont pas frappés par leur élégance.
Les deux fauteuils qui étaient en l’hôtel du Bois de Boulogne sont habituellement présentés dans la salle de bains de l’appartement de Madame du Barry, l’un est estampillé Claude Chevigny, le second lui est attribué. Ils sont beaucoup plus simples.
Gérard
Je ne pense pas qu’il faille faire preuve de beaucoup de goût pour acheter ce genre de meuble.
D’amour du « beau » oui mais de goût, non.
Donner moi le chéquier de » Son Altesse Royale Madame la Duchesse de Windsor » et vous allez voir que je vais avoir beaucoup de « goût » immédiatement ( et sans avoir besoin de » conseiller « ).
Le duc et la duchesse tenaient beaucoup à cette altesse royale. D’autant que le roi George VI et la reine Élisabeth II ne la lui ont pas conférée. Cette altesse royale lui était évidemment donnée dans sa maison et dans tout Paris mais pour Buckingham elle était sa grâce la duchesse de Windsor.
Quant au goût vous m’excuserez mais le chéquier ne suffit pas, il faut être conseillé notamment pour le Louis XVI même si l’on a du goût.
La duchesse avait beaucoup de défauts mais elle a laissé des fortunes pour l’Institut Pasteur et elle a fait des dons pour les musées français qui lui vaudront toujours notre gratitude.
Somerset Maugham qui fréquentait les Windsor, disait que le duc trouvait toujours moyen en parlant de sa femme de la citer comme Her Royal Highness. Etait-ce une façon subtile d’encourager les autres invités de lui emboiter le pas ? Je le pense.
Bonjour
Quelqu’un pourrait-il me dire de qui est le meuble en marqueterie qui figure sur la photo et qui me semble être une table »à la bourgogne » ou autre meuble mécanique?
Ami des bataves
Je regrette de ne pas avoir connu ce conférencier qui semble ne pas avoir été ami des banalités en matière de jugement. Visiblement, répéter ce qu’il est de bon ton de dire n’est pas sa tasse de thé.
J’ai visiblement la grande prétention de pouvoir me passer de « conseiller » au cas où j’achêterais du « Louis XVI »
J’achête avec mon oeil et mes tripes, je n’ai pas besoin des conseils de tous ces « gars »
dont l’oeil est surtout orienté sur le montant de la commission qu’ils vont empocher sous couvert d’une respectabilité souvent écornée par les tribunaux.
Danielle
23 décembre 2019 @ 11:35
Très beau fauteuil de part sa couleur, ses impressions et boiseries.
marianne
23 décembre 2019 @ 11:40
Que c’ est beau que c’ est beau ! Jamais je n’ oserais m’ asseoir là-dessus !
Antoine
25 décembre 2019 @ 11:44
De purs joyaux. C’est le moment d’en acheter, la cote des meubles anciens est au plus bas. D’ici quelques années, lorsque le public sera lassé de l’uniformité Ikea ou Roche-Bobois (suivant les budgets) le moindre fauteuil même Louis-Phillipard vaudra de l’or.
Baboula
26 décembre 2019 @ 09:49
Les estimations en salles des ventes ne sont pas mirobolantes mais les prix d’adjudication les triplent souvent ,pour les belles pièces . cf la vente Ribes .
Robespierre
26 décembre 2019 @ 13:57
Oui, c’est triste, Antoine, que des gens qui ont acheté par exemple des sièges Louis XV très cher il y a une vingtaine d’années ne puissent retrouver leur mise. Baboula a sans doute raison pour le très belles pièces, mais dans l’ensemble l’ancien n’a plus la cote, sauf pour l’ Art Deco. Il parait que pour les tapis d’Orient, c’est aussi la débacle.
Antoine
30 décembre 2019 @ 11:28
Effectivement, Robespierre, c’est la même chose pour les tapis. J’ai acheté un grand tapis persan superbe et en parfait état sur ebay, il y a quelques semaines, pour une bouchée de pain. Ce qui a fait dire à mon entourage que ma chatte était très gâtée pour Noël : elle ignore les griffoirs mais raffolent des tapis et des dos de canapés. La vie d’abord…
May Plas
31 décembre 2019 @ 23:01
Cher Antoine,
Vous avez raison : la vie d’abord !
Et puis Paul Morand aurait écrit (à peu de choses près) « Il faut choisir : un chat ou des rideaux »
Heureuses fêtes
Francois
28 décembre 2019 @ 11:42
Les prix sont dérisoires
On ne fait même plus la différence entre époque et copie
Ca ne change rien au prix
Sauf meubles exceptionnels signés etc
Le reste 0
C’est difficile à croire si on ne va pas en salle des ventes
Antoine
30 décembre 2019 @ 11:33
Réjouissons-nous, François, puisque cela nous permet de vivre dans ce qu’on aime que de toutes façons nous ne vendrions pas (encore qu’au fil du temps, en ce qui me concerne, ne pas tout garder serait peut-être à considérer…).
Muscate-Valeska de Lisabé
25 décembre 2019 @ 13:39
Féminisme et ravissant!
Desalleurs
25 décembre 2019 @ 14:43
Antoine, effectivement la cote des meubles
Anciens est au plus bas mais SEULEMENT
Pour les meubles ordinaires car dès que l’on est » dans le beau » je puis vous assurer que les amateurs sont toujours là et question prix » pas qu’un peu « .
STIERNON
25 décembre 2019 @ 17:37
Je ne suis pas certaine que les immeubles actuels soient faits pour les meubles anciens tant pour la hauteur, la masse et le poids.
J’ai un buffet renaissance d’époque qui a vécu dans plusieurs châteaux, n’a ni clou ni visse, et qui pèse environ 300 kg.
Et ce n’est pas le seul.
Francois
25 décembre 2019 @ 21:05
Comme le style Louis XVI est plutôt Marie Antoinette
Le Louis XV serait plutôt Pompadour
Elle aimait les meubles exquis, Les porcelaines délicates
Les arts sous sa férule atteinrent des degrés inégalés
Les couleurs etaient vives et agréables
Certes de nos jours où n’est que murs blancs , meubles gris ou noirs
Et surtout uniformément identique ce genre de meubkes Et de tissus semblent
faits pour kes musées
Quelle erreur on vit tres bien dedans .
Gérard
28 décembre 2019 @ 18:15
Les chaises que nous voyons proviennent du legs fait en 1986 par son altesse royale la duchesse de Windsor, qui avait certainement quelques raisons personnelles d’aimer Madame de Pompadour.
La duchesse n’était pas spécialement une collectionneuse mais elle avait du goût et elle aimait particulièrement le XVIIIe siècle français. Ses acquisitions avaient été conseillées par Stéphane Boudin de la maison Jansen et Versailles bénéficia de ce qu’elle avait acheté des années 1750, pour l’appartement de la marquise de Pompadour, tandis que ce qu’elle avait acheté des années 1770 alla chez la comtesse du Barry.
Les sièges étaient généralement achetés par paire et recouverts deux à deux de soiries diverses selon le goût des décorateurs.
Mais à Versailles on a recouvert les sièges de manière uniforme dans l’esprit des suites du XVIIIe siècle.
Les soieries ont été offertes à l’instigation des Amis de Versailles par la maison Verel de Belval et les passementeries par la maison Houlès. On n’a pas d’inventaire pour le premier appartement de la marquise qu’elle occupa de 1745 à 1751.
Elle n’était pas meublée à Versailles par le Garde-Meuble de la Couronne, qui œuvrait pour les résidences royales mais pas à Versailles. On connaît donc l’ameublement de la marquise à Trianon, à Marly, à Choisy, à La Muette, à Compiègne, à Fontainebleau, à Saint-Hubert mais pas à Versailles. On a seulement le livre journal du marchand mercier Lazare Duvaux et l’inventaire après décès de la marquise de 1764.
À cette date depuis 1751 elle occupait à Versailles un autre appartement, au rez-de-chaussée nord du corps central, qui avait été d’abord aux Toulouse et aux Penthièvre. Elle était plus éloignée de l’appartement du roi dont elle était l’amie mais plus la maîtresse.
On a cependant les inventaires de Versailles concernant les appartements des Condé, des Orléans, des Penthièvre, et le mobilier personnel des princes côtoyait des meubles du Garde-Meuble de la Couronne souvent très riches mais parfois démodés.
Comme on a quelques idées sur le goût de la marquise (on l’appelait toujours la marquise mais elle était duchesse à brevet ce qui lui permettait de s’asseoir convenablement en présence du roi), on savait qu’elle aimait particulièrement les lampas à fond vert et c’est ce qu’on a utilisé pour la chambre à coucher. On a donc placé dans cette chambre deux chaises provenant du legs Windsor qui étaient laquées crème et or mais sous la peinture desquelles on a retrouvé un ton vert. Elles ont été rétablies dans cet état vert et or et ont été associées à deux fauteuils de style Louis XV exécutés en complément pour Arturo Lopez Willshaw et qui séparés d’un mobilier authentique légué par celui-ci en 1963, se trouvaient en réserve. Le même rechampi vert et or a été choisi pour le lit.
Il est à noter qu’on trouve dans cette chambre comme ailleurs à Versailles des flambeaux de cuivre doré (qui sont des acquisitions de Louis-Philippe) notamment.
On note sur la commode un groupe en terre cuite L’Amour embrassant l’Amitié qui est une réduction du marbre de Jean-Baptiste Pigalle pour le château de Bellevue en 1758. L’original est maintenant au Louvre depuis 1879.
Ami des Bataves
30 décembre 2019 @ 13:51
Gérard, j’ai eu l’occasion de voir les appartements de la du Barry à Versaille vers 1989 avant qu’on les ferme et les réaménage. Je regardais les fauteuiles du legs Windsor et le guide qu’on appelle « conférencier », ironisait sur le mauvais goût de ces fauteuils, mal achetés parait-il, du mauvais Louis XV d’époque et insinuait que la fameuse duchesse s’était fait rouler par les antiquaires n’ayant aucune compétence en la matière. Je vous livre l’opinion d’un homme qui s’y connaissait mieux que moi et n’ai donc aucun avis sur la question. Cependant les fauteuils en question ne m’ont pas frappés par leur élégance.
Gérard
31 décembre 2019 @ 14:39
Les deux fauteuils qui étaient en l’hôtel du Bois de Boulogne sont habituellement présentés dans la salle de bains de l’appartement de Madame du Barry, l’un est estampillé Claude Chevigny, le second lui est attribué. Ils sont beaucoup plus simples.
Desalleurs
29 décembre 2019 @ 12:03
Gérard
Je ne pense pas qu’il faille faire preuve de beaucoup de goût pour acheter ce genre de meuble.
D’amour du « beau » oui mais de goût, non.
Donner moi le chéquier de » Son Altesse Royale Madame la Duchesse de Windsor » et vous allez voir que je vais avoir beaucoup de « goût » immédiatement ( et sans avoir besoin de » conseiller « ).
Ami des Bataves
30 décembre 2019 @ 13:52
C’est ce qu’insinuait le conferencier qui me faisait faire le tour du proprietaire ds les appartements de la belle favorite.
Gérard
30 décembre 2019 @ 23:36
Le duc et la duchesse tenaient beaucoup à cette altesse royale. D’autant que le roi George VI et la reine Élisabeth II ne la lui ont pas conférée. Cette altesse royale lui était évidemment donnée dans sa maison et dans tout Paris mais pour Buckingham elle était sa grâce la duchesse de Windsor.
Quant au goût vous m’excuserez mais le chéquier ne suffit pas, il faut être conseillé notamment pour le Louis XVI même si l’on a du goût.
La duchesse avait beaucoup de défauts mais elle a laissé des fortunes pour l’Institut Pasteur et elle a fait des dons pour les musées français qui lui vaudront toujours notre gratitude.
Robespierre
31 décembre 2019 @ 13:00
Somerset Maugham qui fréquentait les Windsor, disait que le duc trouvait toujours moyen en parlant de sa femme de la citer comme Her Royal Highness. Etait-ce une façon subtile d’encourager les autres invités de lui emboiter le pas ? Je le pense.
Gérard
1 janvier 2020 @ 17:16
Il y tenait en effet peut-être plus qu’elle. Mais la reine mère n’aurait pas supporté cette offense.
Pierre
25 janvier 2020 @ 12:12
Bonjour
Quelqu’un pourrait-il me dire de qui est le meuble en marqueterie qui figure sur la photo et qui me semble être une table »à la bourgogne » ou autre meuble mécanique?
eric pimont
1 janvier 2020 @ 16:29
Ami des bataves
Je regrette de ne pas avoir connu ce conférencier qui semble ne pas avoir été ami des banalités en matière de jugement. Visiblement, répéter ce qu’il est de bon ton de dire n’est pas sa tasse de thé.
J’ai visiblement la grande prétention de pouvoir me passer de « conseiller » au cas où j’achêterais du « Louis XVI »
J’achête avec mon oeil et mes tripes, je n’ai pas besoin des conseils de tous ces « gars »
dont l’oeil est surtout orienté sur le montant de la commission qu’ils vont empocher sous couvert d’une respectabilité souvent écornée par les tribunaux.