En 1938, la princesse Sophie de Grèce est tenue dans les bras de sa grand-mère maternelle la princesse Viktoria Luise de Hanovre, née princesse de Prusse, fille unique du Kaiser. Sa mère la princesse héritière Frederika de Grèce se tient sur le côté.
framboiz07
12 octobre 2021 @ 00:42
Beau bébé aux ancêtres Hanovre , Grèce et enfin Espagne , le chemin de Sophie …
nce
12 octobre 2021 @ 05:27
Sophie de Grèce a une belle ascendance.
Noëlle et Gaël
12 octobre 2021 @ 06:06
La princesse Friederike (écrit à l’allemande), aux racines familiales comme l’on sait, (en simplifiant) du même pays cité (Maison Hanovre je crois) ou autre origine noble allemande, n’étant pas férue en généalogie de la Noblesse et sans temps pour vérifier, semble avoir été, à ce moment-là une bien jolie jeune femme.
Alors que la grand-mère, mon Dieu, un organe nasal digne de ce personnage gascon je crois (je sèche sur le nom) qu’en France on charrie, en raison de son nez très proéminent, joué dans une production par notre « géant » au propre comme au figuré) national du grand écran, Gérard Depardieu.
La reine « mère » Sofia d’Espagne, a bien de la chance de ne pas avoir hérité de cet organe trop proéminent, son nez étant bien plus agréable à regarder, pour qui observe cet aspect superficiel d’un visage.
Noëlle et Gaël
12 octobre 2021 @ 08:30
J’oubliais : Un poupon mignon et attendrissant… Quand on pense, j’extrapole, que les pires des « monstres » de l’Histoire, sont venus au monde selon J.Jacques Rousseau, dans son ouvrage « L’Emile » « bons » j’ajouterais avec le tendre visage d’un bébé.
Difficile à imaginer. Souvent pour devenir aussi méchants, ils ont été en cherchant un peu, tel Saddam Hussein, Kadafi, un Hitler etc. victimes , à des degrés divers, mais graves, de pères voire de mères indignes.
Psy de métier ou pas, la méchanceté subie fait son oeuvre chez les personnes peu résilientes, malmenées dans leur chair ou leur jeune esprit, ayant souffert d’un manque d’affection, voire d’attention. Un célèbre critique gastronomique, a dit un jour à propos d’une restauratrice peu avenante : Je cite « Que cette personne doit être malheureuse pour être aussi « méchante ». Paru dans mon journal régional autour des années début 2000.
Un critique, connu pour qui l’a côtoyé, voire lu, (je suis de ceux-là, de par mon parcours pro, comme personne avenante et modérée
Ainsi les critiques sur les « Psys de comptoir » méritent d’être lues, on ne doit les ignorer, mais ne pèseront pas lourd face à un ressenti forgé par la vie plutôt et un peu « d’intime conviction ».
Il y a, bien sûr des psys pro, des références de la profession, d’autres plus moyens (moins doués pour « ce » métier choisi, le « petit juge » en est un exemple, RIP) ou encore en devenir, comme le jeune maire de ma bonne ville..
Quelquefois, en toute sincérité, d’autres l’auront constaté un jour, « La valeur ne se résume pas au nombre d’années ». L’âge ne « fait » pas toujours les gens talentueux, empreints de sagesse. Mais l’empreinte de toute une vie d’observations, de recul, de vie dans tous milieux, compte aussi.
Notre jeune maire (pas encore 25 ans) bon orateur, sachant communiquer en apparence, mais manquant encore de l’expérience utile en politique, (à qui j’ai accordé ma voix !) en a fait les frais cet été. La ville est davantage connue d’un bout à l’autre de notre département pour les débats houleux et autres démissions lors des conseils municipaux et autres réunions, (soucis d’égos) que pour des résultats forts. Quoique il y a à nouveau un ophtalmo qui manquait et d’autres progrès déjà visibles.
Côté POSITIF : On ne s’ennuie pas dans nos conseils municipaux ! …
Blague à part, perso je me réjouis de toute avancée, fût elle minime. La moindre des choses, vu le travail énorme qu’abattent les édiles en général. Et dans les petites communes surtout, les « sous » sont une maigre compensation. Un grand BRAVO à toutes ces personnes de bonne volonté, qui ne ménagent pas leur peine, parfois au mépris de leurs propres familles et/ou de leurs forces vitales.
HRC
12 octobre 2021 @ 10:42
Le nez Hohenzollern.
Laurent F
12 octobre 2021 @ 11:24
La reine Fréderika était une petite-fille de l’Empereur Guillaume II, sa mère Viktoria-Luise étant la seule fille du Kaiser allemand et de l’Impératrice Augusta-Viktoria
JAusten
12 octobre 2021 @ 09:06
la petite fossette au menton, la marque de fabrique des Hohenzollern
Baboula
12 octobre 2021 @ 09:41
Je ne connais pas l’origine de » nez à piquer des gaufrettes » et vous ?
Zulma
12 octobre 2021 @ 09:43
Très belle photo !
Sophie l’a échappé belle, et ses enfants et petits-enfants aussi. Pour le moment l’héritage nasal est allé chercher ailleurs !
COLETTE C.
12 octobre 2021 @ 10:26
J’aime cette photo où figurent trois générations.
Caroline
12 octobre 2021 @ 11:53
Belle photo d’ archives !
Sofia était bien mignonne !
solenn et donatien
12 octobre 2021 @ 17:27
Vous parlez du Gascon D’artagnan qui avait bien d’autres qualités que son nez
Cosmo
12 octobre 2021 @ 21:12
La reine d’Espagne était un poupon bien mignon…sa grand-mère avait un nez bien long et sa mère n’était pas très jolie. La photo est intéressante.
Sigismond
13 octobre 2021 @ 10:32
Friederike en allemand et Fridériki en grec.
Alors pourquoi “Frederika” ? Un surnom ?
Comment l’appelaient ses proches ?
Cosmo
13 octobre 2021 @ 21:12
Fred…
Leonor
13 octobre 2021 @ 13:04
On peut se moquer du nez à rallonge de Victoria-Louise. Mais pas d’elle.
C’était une forte personnalité.
Elle était née princesse de Prusse, fille de Guillaume II, seule fille entre six frères; un environnement familial qui semble lui avoir forgé le caractère. Elle a tenu à épouser le prince Ernst-August de Hanovre , par amour semble-t-il (*), alors que Prusse et Hanovre étaient comme chien et chat, la Prusse ayant auparavant purement et simplement annexé le Hanovre .
(*) la question reste discutée