En 1917, l’empereur Charles et l’impératrice Zita d’Autriche en visite à Bolzano dans le Sud du Tyrol qui deviendra italien après la Première Guerre Mondiale. (merci à Alberto)
En 1917, l’empereur Charles et l’impératrice Zita d’Autriche en visite à Bolzano dans le Sud du Tyrol qui deviendra italien après la Première Guerre Mondiale. (merci à Alberto)
Lili.M
22 février 2020 @ 10:16
Je suis passée à Bolzano, il y a une trentaine d’années environ ; j’avais l’impression d’être encore au Tyrol . Certains habitants ont le physique plus autrichien ou allemand qu’italien.
Qix
22 février 2020 @ 12:16
Et c’est encore comme ça aujourd’hui.
Vitabel
23 février 2020 @ 17:13
Et peut-être cela sera aussi demain
Laure-Marie Sabre
22 février 2020 @ 12:28
La population réellement italienne y est très minoritaire et l’allemand y est l’une des deux langues officielles. Si vous êtes en Autriche et que vous regardez les prévisions météo, elles incluent le Haut-Adige…
Menthe
22 février 2020 @ 16:11
Mais c’est que vous étiez, effectivement, au Tyrol!
Bolzano est situé dans le Sud Tyrol ou Tyrol du Sud.
Gérard
22 février 2020 @ 19:03
Mais c’est le Tyrol, le Tyrol du Sud et c’est magnifique.
Baboula
22 février 2020 @ 10:26
La photo est colorisée juste ce qu’il faut pour donner un peu de vie à cette visite .
Philibert
24 février 2020 @ 01:12
« La photo est colorisée » : je me disais bien qu’il était étonnant d’avoir une photo en couleurs en 1917 !
Ode
22 février 2020 @ 10:31
J’ai la nostalgie de ces vrais monarques qui avaient une réelle empathie pour leur peuple.
Les préoccupations esthétiques, la com, le paraître étaient le cadet de leur souci..
La monarchie avait alors tout son sens.
Gatienne
22 février 2020 @ 12:03
Oui mais pour une Zita et un Charles, combien d’autres privilégiaient le paraître en montrant un souci de leur peuple que l’on pourrait qualifier de très relatif ?
Au moins, à notre époque où tout est médiatisé, les royaux peuvent difficilement faire semblant et s’engagent pour des causes auxquelles ils croient, même si on peut en soupçonner certains d’agir avec opportunisme, ils ne représentent pas une majorité.
aggie
23 février 2020 @ 18:30
Opportunisme je ne pense pas mais obligations certainement ; les devoirs de la charge
Giséle
23 février 2020 @ 11:01
A l’époque, les royaux ne sortaient pas de leurs propriétés, restaient entre eux, n’avaient aucun souci de leur peuple. Ils avaient le souci de paraître seulement devant leurs pairs.
La communication n’existait ni pour eux ni pour les autres.
Mary
22 février 2020 @ 10:45
J’aime cette région. Dans les Dolomites, beaucoup de villages (tous sans doute) ont leur nom en italien et en allemand.
Je me souviens de l’un d’eux : Dobbiaco ou Toblach,où nous avions passé de super- vacances,quand j’avais 15 ans.
Ma grande sœur était déjà mariée,mais elle était venue avec son mari et son bébé .
Ghislaine-Perrynn
23 février 2020 @ 10:13
Mary mon mari et moi sommes deux amoureux des Dolomites , c’est une région magnifique .
Marie de Cessy
22 février 2020 @ 10:51
La photo est belle je trouve !
DEB
22 février 2020 @ 10:53
Belle photo.
Jean Pierre
22 février 2020 @ 11:19
Et tout ça s’écroula peu de temps après.
septentrion
22 février 2020 @ 11:38
Merci Alberto pour cette photo.
Ode
22 février 2020 @ 12:25
Ils n’avaient pas besoin de s’entourer de luxe tapageur pour exister.
Leur mémoire traversera les âges.
Catherine
22 février 2020 @ 13:09
Bien dit Ode ….moi aussi j’en ai la nostalgie…
COLETTE C.
22 février 2020 @ 13:51
Heureuse de voir ce couple au destin tragique.
Leonor
22 février 2020 @ 16:07
Bolzano. Tyrol italien. Haut-Adige . Province autonome de Bolzano. Südtirol.
Une histoire très compliquée, donc très conflictuelle, entre l’Autriche, l’Allemagne et l’Italie. Ces tyroliens-là n’ont jamais renoncé jusqu’ici à leur appartenance culturelle au monde germanique .Voire à leur appartenance à l’Autriche. On peut admirer leur fidélité à leurs racines ou, inversement, être agacé au fait qu’ils refusent de se plier aux frontières artificielles des après-guerre . C’est selon; question de point de vue.
« La majorité des habitants est de langue allemande, parlant généralement un dialecte allemand du groupe bavarois, appelé Südtirolerisch (tyrolien méridional). Un bon quart de la population est italophone tandis qu’une petite minorité emploie une des formes du ladin comme langue maternelle. » in Wkpd.
« (…) région officiellement multilingue. L’italien et l’allemand sont les langues officielles de toute la province, auxquels s’ajoute le ladin dans quelques communes. »
» C’est pourquoi la signalisation est presque entièrement bilingue ou parfois trilingue. Le gouvernement provincial voudrait privilégier la version allemande.
« Chaque citoyen a le droit de s’exprimer dans sa langue maternelle avec l’administration publique, même devant un juge. Les écoles sont séparées pour chaque groupe linguistique. »
Esquiline
23 février 2020 @ 16:02
Il est très difficile de maintenir le bilinguisme dans la province autonome de Bolzano où régulièrement la majorité germanophone, soutenue par l’Autriche, cherche à effacer toute trace d’italianité par des initiatives plus ou moins concrètes comme la suppression de tous les noms italiens de la carte ou l’intention d’obtenir la double nationalité pour les Tyroliens exclusivement.
Malgré le charme austro-hongrois de Bolzano, de Merano ou de Vitipeno, j’évite de m’y rendre.
Le ladin parlé dans la région de Cortina d’Ampezzo et le frioulan plus à l’est sont des langues rétho-romanes soeurs du romanche parlé dans le canton des Grisons. Ces langues ont encore environ 900 000 locuteurs et sont en péril bien que beaucoup d’efforts soient faits pour éviter leur extinction.
Dans ces parties des Dolomites qui appartiennent à la Vénétie et à la Vénétie Julienne, l’italophobie n’existe pas et les montagnes sont plus belles, j’y vais avec plaisir.
Maria
25 février 2020 @ 00:09
Esquiline se ho capito bene lei evita di rendersi nelle zone di Bolzano ,Merano e Vipiteno percheé c’ é poca simpatia nei confronti degli italiani?Forse ho capito male, almeno spero.Se in questa zona ci si sente più austriaci che italiani e volesse
ro essere di nuovo territorio austriaco io trovo sia giusto che ciò avvenga ,con calma e rispetto da parte di tutte le parti interessate.
Caroline
23 février 2020 @ 00:55
Baboula,
Je préfère qu’ on garde l’ original de cette photo en noir et en blanc pour que les prochaines générations sachent qu’ il n’ existait pas encore des photos en couleurs à cette époque!
Baboula
23 février 2020 @ 09:16
Oui Caroline ,mais une de temps en temps, pour que les jeunes voient que cette époque n’était pas sombre .
Manon M.
23 février 2020 @ 02:05
La pauvre Zita. Elle a vécu une vie de misère après la fin de l’empire austro-hongrois. Elle a toute mon admiration pour avoir réussi à élever tous ses enfants sans son mari et avec bien peu de sous pour vivre. Une femme remarquable.
Guy Coquille
23 février 2020 @ 08:52
En 1917, cette ville était nommée Bolzen. Le traité de St Germain l’a donnée à l’Italie contre la volonté de ses habitants, sous prétexte qu’elle faisait partie du Trentin.
Gérard
23 février 2020 @ 18:04
Au dernier sondage 46 % de la population locale, qui bénéficie toutefois de l’autonomie, mais une population à la fois d’origine italienne et d’origine germanique, est pour le rattachement à l’Autriche ou l’indépendance.
Évidemment le score monte si l’on ne tient compte que des germanophones.
Teddy
23 février 2020 @ 20:07
Dommage qu ils n ont pas été couronnè empereur et impératrice d autriche et roi et reine de boheme
Gérard
24 février 2020 @ 14:23
Les empereurs d’Autriche n’ont pas été couronnés (l’empire était récent) mais même après la fin du Saint-Empire, les chefs de cette maison ont été couronnés à Budapest rois apostoliques et reines de Hongrie (8 juin 1867 pour François-Joseph et Élisabeth et 30 décembre 1916 pour Charles et Zita) et par exemple le roi Ferdinand, empereur d’Autriche, le prédécesseur de François-Joseph, a été couronné roi de Hongrie de 28 septembre 1839 à Bratislava (Presbourg) et roi de Bohême 7 septembre 1836 à Prague.
Teddy
23 février 2020 @ 20:07
Cela aurait dû cvluter cher avec la grande guerre
Teddy
23 février 2020 @ 20:08
Coûter
Ode
24 février 2020 @ 14:10
Oui bon enfin.,,,n’y a t il pas une dérive avec la communication à outrance aujourd’hui
Nos princesses de cire, obsédée par leur paraître, avec nez, poitrine et fessier refaits, n’apportent pas forcément plus, qu’un Charles ou qu’une Zita avec leur discrétion et leur humilité. .
Maria
25 février 2020 @ 00:19
Doveri e sacrifiocio per il paese e la famiglia a cui appartenevano