Moment de complicité entre le roi Baudouin et la reine Fabiola, ici en 1978. Les sourires, les échanges et petits apartés étaient très fréquents entre le roi et la reine lors des cérémonies officielles. Une complicité de presque 33 années jusqu’au décès du roi Baudouin.
frambroiz 07
11 mai 2016 @ 05:20
Le collier est-il un morceau du diadème offert par Franco pour leurs noces ?
ladot Fabian
11 mai 2016 @ 07:29
Je me pose la même question ❓ ça y ressemble..
Richard
11 mai 2016 @ 15:13
Effectivement c’est bien l’un des motifs de la couronne ducale offerte par les époux Franco a doña Fabiola pour son mariage. Les motifs sont détachable c’est ce que j’ai put lire un un blog consacré aux joyaux dès familles royales
DEB
11 mai 2016 @ 06:23
Ils se complétaient tellement bien.
Je me souviens de l’évidence de leur amour.
Alors si, comme on le dit maintenant, leur rencontre a été organisée, la personne qui les a mis en présence était une fine psychologue.
Nico
11 mai 2016 @ 09:54
Véronica ‘O Brian était surtout une fine manipulatrice , qui a bien su mener sa barque et celle du mouvement Charismatique. Après il est vrai que Baudouin, fragile et sensible qu’il était, a su trouver en Fabiola l’écoute, la compréhension et l’encouragement , au prix certes de la mise au placard pure et simple de toute une partie de la famille …
Zorro
11 mai 2016 @ 11:06
C’est une lecture psychologisante des faits (par ailleurs avec un certain parti pris) que je ne partage pas.
Stella
11 mai 2016 @ 11:49
Ah Nico,
Si Véronica O’ Brian était une fine manipulatrice, que diriez vous de Camilla?…(Surtout en précisant qu’elle a bien su mener sa braque!)
Stella
11 mai 2016 @ 11:49
Sa » barque » bien évidement.
Nico
12 mai 2016 @ 10:34
Je vois pas le rapport … mais si vous en voyez un c’est tant mieux pour vous …
Leonor
13 mai 2016 @ 10:24
Moi non plus, , comme Nico, je ne vois pas le rapport.
Stella
15 mai 2016 @ 11:48
Le rapport que j’y vois, c’est que, défendant Camilla à tout bout de champ sur le site, alors qu’elle fut une grande intrigante, il est mal venu de votre part de qualifier de « fine manipulatrice » une personne qui elle, par ses actions, n’a créé aucun malheur autour d’elle.
Tout simplement.
bianca
16 mai 2016 @ 16:11
Bien dit Stella, et peu de personnes ont eu connaissance du contrat de mariage avec le Prince Charles où elle a bien su faire valoir ses conditions (Je n’ai pas su garder l’extrait paru dans une revue…Dommage !!! J’approuve totalement votre commentaire ! bianca
Jean Pierre
11 mai 2016 @ 12:10
Nico, qui était exactement Veronica O’Brian et quel fût son rôle dans tout cela ?
Nico
12 mai 2016 @ 10:36
Voyez le très bon post de Gibbs ci-dessous, il est très éclairant.
Zorro
13 mai 2016 @ 08:35
De Christian Laporte pas de Gibbs et tout le monde sait que Chrstian Laporte est un mauvais journaliste
Haut-Landaise
11 mai 2016 @ 15:24
Vous me fait penser à O Brien la femme de chambre de la Comtesse de Downton Abbey. HL
Robespierre
11 mai 2016 @ 16:43
:)
Severina
11 mai 2016 @ 11:34
Et bien, voyant la fin bien triste de beaucoup des mariages contractés pour amour/passion, qui inévitablement n’est pas éternel, peut être qu’un mariage (bien) arrangé, entre deux personnes vraiment complémentaires, ait une meilleure réussite. Un amour vraiment mûre: tendresse, complicité, respect, soutien réciproque, ce qu’on voyait entre le roi Bauduin et son épouse.
Francois
11 mai 2016 @ 06:58
Regard tellement expressif
Dans la guerre et la paix de Tolstoi il est un très beau passage
Celui de la rencontre entre la princesse Maria et le comte Nicolas Rostov
Celle ci dit Tolstoi savait qu’elle aimait pour la premiere et la dernière fois
Nania
11 mai 2016 @ 21:23
Excellent commentaire!
kalistéa
11 mai 2016 @ 07:05
C’était un grand cardinal Deb.
La reine porte effectivement en pendentif , un motif détaché du diadème offert par le chef d’état de son pays , qui était le général Franco.
Stella
11 mai 2016 @ 11:51
( Avec, semble-t-il, un effet assez discutable!)
Gauthier
12 mai 2016 @ 13:47
Vu l’état déplorable dans lequel se trouvait l’Eglise de Belgique à la démission du cardinal Suenens (1979), je ne qualifierais pas ce dernier de grand cardinal.
Le vent de la modernité de Vatican II s’était mué en ouragan moderniste, avec rejet de l’autorité du Saint-Siège, relativisme à tout va, j’en passe et des meilleures.
Il est regrettable que le cardinal n’ait pas fait preuve de plus d’autorité envers certains de ses subordonnés.
Marie de Cessy
11 mai 2016 @ 08:29
Ils étaient très beaux ensemble !
Nania
11 mai 2016 @ 21:24
En total accord avec vous!
Gibbs
11 mai 2016 @ 11:12
C’est vers le cardinal Suenens que Bauduin s’est tourné afin de trouver une épouse.
Il considérait la question de son mariage « comme un problème ».
Gibbs
11 mai 2016 @ 11:14
Le Soir 2 mars 1988
« Miss O’Brien, marieuse du trône… grâce à l’autel
En dehors des cercles mariaux et charismatiques qui se confondaient avec ceux (très) proches du cardinal Suenens, seuls quelques initiés connaissaient Veronica O’Brien. Avec la même discrétion, cette étonnante petite femme, qui était née pratiquement avec le siècle en Irlande, vient de mourir, aussi discrètement, voici quelques jours, à Wemmel.
Si on évoque présentement la mémoire de cette pieuse Irlandaise qui fonda la militante Légion de Marie sur le Continent, mais qui fut aussi une consultante très écoutée du Renouveau charismatique, depuis son implantation en Europe dans les années septante, et la cofondatrice d’un mouvement qui insiste énormément sur le chapelet c’est parce qu’elle a joué un rôle inattendu de «marieuse» dans notre pays.
Cette tâche paraîtrait très banale et ne mériterait pas qu’on s’y attardât s’il ne s’agissait pas d’un couple… royal, en l’occurrence celui du roi Baudouin et de doña Fabiola deMora y Aragon.
Le secret de sa mission d’intercession avait pu être longtemps gardé et n’aurait jamais franchi la rampe de l’actualité si, au printemps de 1995, le cardinal Suenens n’avait publié simultanément dans les deux langues nationales «Le roi Baudouin, une vie qui nous parle», un livre qui troubla non seulement le Palais de Bruxelles mais aussi la haute direction de l’Eglise.
L’ancien primat de l’Eglise catholique y confirma non seulement, si besoin en était encore, que notre cinquième souverain fut un roi très catholique, mais y dévoilà aussi, de manière plus surprenante, comment Veronica O’Brien contribua à l’union, en 1960, de Baudouin et d’une jeune femme de la bonne société espagnole aussi pieuse que lui.
Il faut croire que le jeune Roi fut très impressionné par miss O’Brien puisque la première audience qu’il lui accorda dura… cinq heures, au cours de laquelle elle ne cessa de l’appeler «mister King»!
Il reste que le Roi lui demanda de l’aider à trouver une âme soeur pour l’assister dans son «apostolat national».
Veronica O’Brien mit le cap sur l’Espagne et, inspirée par la Vierge c’est du moins ce qu’elle assura… , dénicha une jeune femme pétillante de vie, d’intelligence, d’entrain, de droiture, de clarté . Quelques semaines plus tard, le couple se rencontrait, pour la première fois, dans une ambiance digne d’un roman d’espionnage à la rue de Suisse, à Bruxelles.
«Luigi» et «Avila» ah! la discrétion… se plurent effectivement. Et, pendant 33 ans, Veronica fut l’observatrice discrète d’un couple hors du commun.
CHRISTIAN LAPORTE »
Anne-Cécile
12 mai 2016 @ 15:44
Je ne sais pas si l’histoire de l’entremetteuse est vraie en pleine Europe de la seconde moitié du XXème s , mais en tout cas elle est furieusement calquée sur celle de la recherche de l’enfant dans lequel se réincarne le Dalaï Lama disparu, ou des Rois Mages suivant l’astre.
Albane
12 mai 2016 @ 20:12
Eh bien, je ne sais que penser de tout cela, mais merci, Gibbs !
Leonor
13 mai 2016 @ 10:32
Le terme d’ « entremetteuse » dans son sens péjoratif n’est sans doute pas approprié.
Mais en tout cas, toute la presse de l’époque (*) y compris la plus sérieuse relate bien ce que décrit l’article cité par Gibbs.
Et pourquoi pas ? Cela nous paraît aujourd’hui inconcevable. Et pourtant, nombre de gens jusqu’à la fin des années 60 cherchaient chaussure à leur pied par l’intermédiaire de notaires, prêtres, avocats, etc, et ce dans toutes les couches de la société.
(*) pour certaines choses, mon stock concurrence Emmaüs… ;-(
Albane
14 mai 2016 @ 11:17
En tout cas, cette entremetteuse a bien réussie et j’espère qu’elle a bien été remerciée !
beji
11 mai 2016 @ 12:16
je suis toujours heureuse lorsque vous publiez un article sur Baudouin et Fabiola un couple
royal et humain exemplaire.
la mise au placard d’une partie de la famille était la volonté du gouvernement- bien avant l’arrivée de Fabiola-,afin d’éloigner l’ex-roi Léopold III et Liliane de Réthy qui d’eux-mêmes
n’avaient pas eu la délicatesse de déménager de Laeken.
Nico
12 mai 2016 @ 11:15
Leopold et Lilian voulaient quitter Laeken et même la Belgique , dégoûtés par le comportement des politiques à leur égard . C’est Baudouin qui a insisté pour qu’ils restent, afin de préserver un semblant de cocon familial.
Leonor
15 mai 2016 @ 11:21
Oui peut-être, mais plus après son mariage avec Fabiola. Dès le retour de voyage de noces, il y a eu un clash. Sans qu’on en connaisse exactement la teneur. Mais dès ce moment, les relations ont été à peu de chose près coupées .
Cf. le livre » Lilian et le roi », d’Olivier Defra,ce, qui avait été présenté ici sur le site .
http://www.noblesseetroyautes.com/?p=110771
Alain golliot
11 mai 2016 @ 12:40
Look de duegne severe ecoutant l’enfant rapportant une bonne blague, mais complicite ?
Leonor
15 mai 2016 @ 11:23
Pourquoi » duègne » ? Juste parce que Fabiola était espagnole ? Cliché.
Et puis, le roi Baudoin racontant une blague, qui plus est dans les circonstance de la photo, ça semble peu probable. Son frère Albert, oui. Pas Baudoin.
MIKA
11 mai 2016 @ 13:07
Couple parfaitement assorti… Quel chagrin a dû endurer la reine Fabiola au deces de son époux…
Albane
11 mai 2016 @ 20:11
Un couple dont la grandeur était justement de rester simple.
Ce que j’ai beaucoup aimé en eux, au-delà des aspects propres à leur fonction de souverains, c’était leur amour inconditionnel pour les enfants, aussi bien pour les petits Belges que pour leurs neveux.
Caroline
11 mai 2016 @ 23:24
J’aime voir les photos d’archives sur le roi Baudoin de Belgique regarder amoureusement sa Fabiola!
Leonor
12 mai 2016 @ 17:37
Il faut quand même dire que Baudoin n’avait pas eu une vie très heureuse avant son mariage avec Fabiola, circonstances politiques et familiales » aidant ».
A y bien regarder, les mariages » arrangés », ou tout au moins » aidés » en amont, ne sont pas forcément plus mauvais que ça. Quand on voit ce que donnent nombre de mariages dits d’amour …
Un peu des deux, c’est pas mal. Une bonne dose d’amour , et puis une méga dose de raison, sans oublier un zeste d’humour, c’est jouable.
Laura Caligiuri
22 décembre 2017 @ 08:20
Baudouin and Fabiola did NOT have an arranged marriage. They had an arranged first meeting. There is so much wrong information floating around out there about these two wonderful people. Likewise, she was not infertile – she was pregnant 5 times. She could not carry a baby to term. After meeting with Veronica O’Brien for 5 hours one day, as reported above, King Baudouin confided in the Irish religious that he knew he needed to get married. And, he was terribly cut off in the palace, besides that. He told Veronica O’Brien that he was interested in meeting a Spanish young woman of noble heritage who was very religious, as he was. This is exactly the type of person she found in Fabiola. Fabiola, upon hearing the real mission of Veronica O’Brien thought it was a cruel joke and became quite upset and angered and the Pope’s representative in Madrid had to step in an assure Fabiola that it was no cruel joke. Indeed, the King of the Belgians was looking for a very pious Spanish noble woman to meet in the hopes of finding a future wife. Only the initial meeting was arranged or facilitated, is a better way of putting it. It was not a formally arranged marriage.