En 1957, la reine Elizabeth et le duc d’Edimbourg sont en visite d’Etat au Portugal. La reine sans son époux, assiste à une représentation à l’opéra Sao Carlos de Lisbonne en compagnie du président Craveiro Lopes et de son épouse Berta. (Merci à Alberto – Source : Princeps Fidelissimus sur Facebook).
16 janvier 2021 @ 01:24
La rein,en soirée , sans son époux , étrange …
16 janvier 2021 @ 10:58
Pas friand d’opéras, Philipp ?!
16 janvier 2021 @ 16:31
Je cherchais Philip, , bien repérable avec sa haute taille . . .
16 janvier 2021 @ 21:07
Pourquoi la Reine se trouvait seule à l’opéra, ça, mystère et boule de gomme.
Mais, Framboiz, certainement pas pour cause, là, cette fois, de désaccord conjugal : le duc et elle venaient juste de se rabibocher si besoin était.
Voyez le titre du Journal de Neuchâtel du mardi 19 février 1957 :
» Après 125 jours de séparation, la Reine a pleuré de joie en retrouvant son mari. »
http://doc.rero.ch/record/60728/files/1957-02-19.pdf
Et Philip, y est-il dit, a ensuite fièrement arboré une joue barbouillée de rouge à lèvres, pour preuve de la chose . :-))
NB : Oui, j’ai lu, ce numéro de ce journal ne comporte pas que des choses drôles.
17 janvier 2021 @ 10:13
Non le duc d’Édimbourg était bien présent à l’opéra .
Simplement, il n’est pas sur cette photo
16 janvier 2021 @ 09:00
Il était au petit coin….😇
16 janvier 2021 @ 11:35
Que les femmes étaient élégantes.
16 janvier 2021 @ 12:14
Le duc d’Édimbourg a décliné l’invitation ?
16 janvier 2021 @ 12:32
Le duc d’Edimbourg n’aime peut être pas aller à l’opéra, chez moi c’est identique, la reine a eu raison de profiter de cette belle soirée.
16 janvier 2021 @ 13:06
Une de mes amies dont le père était ambassadeur du Royaume-Uni à Lisbonne lors d’un voyage officiel de la reine m’a raconté combien il était difficile d’avoir la souveraine dans ses murs. Sa mère ne savait plus où donner de la tête entre sa présence protocolaire auprès de la reine et la gestion matérielle de cette présence. Un cauchemar !
16 janvier 2021 @ 13:36
quel était l’opéra donné ?
16 janvier 2021 @ 16:21
On dirait la scène de Sissi face à son destin à Milan .
17 janvier 2021 @ 15:00
Très vrai François…sauf que ce ne sont pas ici les domestiques…
J’avais beaucoup aimé cette scène…légende ??? mais toute légende comporte une part de vérité !
19 janvier 2021 @ 08:16
Ce n’est pas une légende , mais les choses se passerent une peu
differemment bien évidemment .
Au cinéma il faut forcer le trait pour faire passer un évènement.
16 janvier 2021 @ 17:51
Cuanta Soledad.. de Isabel II ….
16 janvier 2021 @ 18:30
Les robes, les bijoux …et oh, tous ces longs gants – quel vrai festival de pur luxe !!
16 janvier 2021 @ 20:12
Son époux était- il alité à cause d’ un malaise passager ?
17 janvier 2021 @ 14:39
Ah oui, vraiment ?! 😉
16 janvier 2021 @ 20:42
Ils s’étaient juste rencontrés quelques jours auparavant au bord du Britannia depuis plusieurs mois de séparation, ayant fait une visite privée chez les ducs de Palmela à la Quinta do Calhariz (à Arrábida) avant de commencer la visite officielle. La presse anglaise parlait dejá de cette distance entre le couple royale …
16 janvier 2021 @ 21:12
Peut-être le prince n’aimait pas la musique …
Il y a des photos et un film qui montrent que la duchesse de Palmela (Maria do Carmo) accompagnait la reine, son époux étant ambassadeur du Portugal à Londres, à une époque oú l’Espagne du general Franco avait comme ambassadeur à Londres le duc d’Albe.
17 janvier 2021 @ 12:38
Le duc d’Edimbourg ne s’est pas avancé tout de suite parce que les hymnes nationaux aller retentir sans doute et il a gagné le premier rang à la fin de l’exécution des hymnes. La reine et son mari étaient très heureux de se retrouver après le long périple maritime de celui-ci.
17 janvier 2021 @ 12:38
Allaient…
17 janvier 2021 @ 13:59
Cette visite fut certainement la seule d’un souverain européen au Portugal pendant la période de l’Estado novo compte tenu de l’isolement diplomatique du pays .
Il serait intéressant de savoir si le duc et la duchesse de Bragance ont rencontré la reine à cette occasion . Revenus d’exil en 1952, leur situation était cependant particulière , le gouvernement ayant souhaité qu’ils ne vivent pas à Lisbonne .
17 janvier 2021 @ 13:59
Le général, plus tard maréchal de l’armée de l’air, Francisco Craveiro Lopes et son épouse Berta Ribeiro Artur ont offert au couple souverain britannique au Théâtre national de São Carlos de Lisbonne une représentation de l’opéra bouffe de Joseph Haydn Lo Speziale, appelé en France L’apothicaire, de 1768, sur un livret de Carlo Goldoni.