Il est le frère des princesses Victoria, Elisabeth, Irène et Alix qui devinrent respectivement princesse Louis de Battenberg (mère de lord Mountbatten), grande-duchesse Serge de Russie, princesse Heinrich de Prusse et tsarine Alexandra de Russie.
En 1894, Ernst Ludwig a épousé sa cousine la princesse Victoria Melita d’Angleterre avec qui il eut une fille Elisabeth (1895-1903). Le divorce fut prononcé en 1901.
En 1905, il s’est remarié avec la princesse Eleonore de Solms-Hohensolms-Lich (1871-1937) avec qui il eut deux fils : Georg Donatus (1906-1937) et Ludwig (1908-1968).
Lors de ces funérailles, on peut distinguer sur le passage des saluts nazis. Nul n’aurait alors pu imaginer en ce mois d‘octobre 1937 qu’un mois plus tard, la famille de Hesse et du Rhin sera pratiquement décimée.
Le 16 novembre 1937, le nouveau grand-duc Georg Donatus, son épouse la princesse Cecilie de Grèce (sœur du duc d’Edimbourg), leurs deux fils le grand-duc héritier Ludwig (1931) et Alexander (1933) et sa mère la grande-duchesse douairière Eleonore, perdent la vie dans l’accident de leur avion privé au dessus d’Ostende.
Ils se rendaient en Angleterre pour le mariage de leur frère et fils Ludwig avec l’Honorable Margaret Campbell (1913-1997). Seule survivante Johanna (1936-1939), la fille du grand-duc Georg Donatus, qui n’était pas du voyage.
Ils sont tous inhumés à Rosenhöhe. (Merci à Alberto – Source : JP Depledge sur Facebook.)
Bambou
19 novembre 2020 @ 06:58
Divorce 7 ans après à cette époque….! Quand on est la petite-fille de la reine Victoria, on peut supposer que ce mariage avait été arrangé.
Jean Pierre
19 novembre 2020 @ 13:17
Je trouve déjà bien que Melita ait tenu 7 ans. Elle n’a pas dû souvent profiter du Ludwig. La seconde épouse était moins exigeante.
Elsi
19 novembre 2020 @ 08:26
La vie de ce prince fut parsemee de drames … mort prematuree de sa mere et une de ses soeurs par une pandemie, d´un petit frere de 2 ans mort par accident, de sa fille de 8 ans, d´une de ses soeurs massacree en 1918 etc. La mort lui a evite de devoir vivre cet ultime drame, perte de son fils, de son epouse, de ses petits-fils et de sa belle-mere.
Ludovina
19 novembre 2020 @ 10:01
Drame relaté le mois dernier.
http://www.noblesseetroyautes.com/archives-3-petits-fils-de-la-reine-victoria/
mary 71
19 novembre 2020 @ 10:18
Si je ne me trompe pas, la princesse Johanna est décédée jeune, vers l’âge de 10 ans si mes souvenirs sont exacts.
septentrion
19 novembre 2020 @ 12:18
mary 71,
J’ai l’impression que vous pensez à Élisabeth Marie Alice Victoria de Hesse-Darmstadt, princesse de Hesse et du Rhin (Darmstadt, 11 mars 1895 – Skierniewice, 16 novembre 1903) qui était la fille unique que le grand-duc Ernest Louis de Hesse-Darmsdadt eut de son premier mariage avec la princesse Victoria Mélita de Saxe-Cobourg-Gotha.
Jean Pierre
19 novembre 2020 @ 10:39
Comme si l’extinction de la branche de Darmstadt n’avait pas été assez tragique, de l’assassinat de la tsarine et de sa sœur jusqu’à l’accident d’Ostende, ils y ont aussi associé le déshonneur. Assez viscontien tout ça.
Debora12345
19 novembre 2020 @ 11:11
Pauvre prince Ludwig (son épouse également la pauvre) qui en l’espace d’un mois a perdu son père, sa mère, son frère, sa belle-soeur, leurs deux enfants et comme si cela ne suffisait pas, sa nièce, deux ans après la tragédie.
Jean Pierre
19 novembre 2020 @ 18:48
Dans un sens Ludwig et son épouse Peg ont aussi sauvé l’honneur de la famille de Hesse.
Gérard
19 novembre 2020 @ 11:45
La petite orpheline son altesse grand-ducale la princesse Johanna Marina Eleonor de Hesse a été adoptée par Ludwig et son épouse Margaret, mais elle est décédée d’une méningite le 14 juin 1939 à l’âge de deux ans. Elle est enterrée au Mausolée familial de
la Rosenhöhe à Darmstadt.
teddy
22 novembre 2020 @ 14:06
ca se soigne la méningite au 21 ème siècle
septentrion
19 novembre 2020 @ 12:05
Très malade, le grand-duc Ernest-Louis espérait encore pouvoir assister au mariage de son fils Louis. Ses funérailles sont impressionnantes par la présence du public massé sur les trottoirs. Pourtant le grand-duché de Hesse était devenu l’Etat populaire de Hesse depuis 1918.
Quelle suite de drames…
Le 16 novembre 1937, l’avion qui a heurté une cheminée à Ostende, avant son atterrissage dérouté vers l’aérodrome de Steene, était un Junkers Ju 52. Il appartenait à la compagnie SABENA. Un modèle semblable est visible au musée royal de l’armée à Bruxelles.
La princesse Cécile, très anxieuse à l’idée de ce voyage en avion, avait accouché pendant le vol du petit garçon qu’elle attendait.
Curieusement, la princesse Alice, après la mort de sa fille, reprend une vie « normale » après la dégradation de sa santé mentale pendant les années qui avaient précédé ce drame.
La petite Jeanne qui n’était pas du voyage en raison de son âge, décéda avant d’atteindre l’âge de 3 ans, emportée par une méningite. Son oncle Louis l’avait adoptée.
La disparition de la famille grand-ducale est mise en scène dans le neuvième épisode (« Paterfamilias ») de la saison 2 de la série The Crown, durant un flashback sur la jeunesse de Philip Mountbatten.
ciboulette
19 novembre 2020 @ 16:27
Je crois que tous les participants de N&R ont été choqués par cet accident d’avion où sont morts plusieurs membres de cette famille . Mais comme le dit très justement Jean Pierre , ils ont choisi le déshonneur en s’affiliant au nazisme . Comme la majorité de la noblesse allemande , ce qui m’a le plus déçue quand j’ai découvert cela . J’avais toujours cru qu’au contraire , la noblesse , portant bien son nom , avait su résister à Hitler au nom des grands principes d’honneur qui auraient dû la guider .
Gérard
20 novembre 2020 @ 18:29
Aucun corps social ne peut sortir indemne d’une dictature sanguinaire dans un pays qui était affaibli et espérait retrouver sa puissance. Beaucoup d’aristocrates furent néanmoins des opposants au nazisme et il me semble plus de catholiques que de luthériens.
Après la défaite de 1918 beaucoup d’Allemands restaient monarchistes et beaucoup ont dû se dire que l’arrivée d’Hitler pourrait être un moment de renouveau pour les monarchies. Cependant ces monarchies Hitler les méprisait ou les haïssait même.
Karl de Wurtemberg en 1998 disait : « Mon père, le duc Philippe, a été en opposition ouverte envers le régime nazi et à cause de cela il a dû quitter sa maison de Stuttgart après les élections de 1944, il a été mis en résidence surveillée à Altshausen. En 1933 il a été mis plusieurs fois en prison à Stuttgart, jusqu’au jour où il a été forcé de quitter Stuttgart en 1934 » et François duc de Bavière a rappelé maintes fois l’opposition ouverte de son grand-père et de son père à la doctrine, à l’idéologie et à la substance même du national-socialisme.
Quand Mafalda de Savoie épousa Philippe de Hesse on souligna sa passion pour l’art et l’archéologie mais il avait des relations fascistes, des tendances nazies et une réputation douteuse, dans le Berlin de l’époque où il partageait son appartement avec un prince russe réputé pervers. Cependant Mafalda tomba très profondément amoureuse de lui.
Philippe de Hesse a été le seul prince pour lequel Hitler ait toujours eu de la déférence et du respect, et il était proche de Göring qui était très snob, mais Hitler n’a jamais aimé son épouse Mafalda. Hitler détestait les Savoie. Et il disait : « Je me moque pas mal de Mafalda […] Ses qualités intellectuelles ne sont pas telles qu’elle suffisent à vous charmer, sans parler de son physique…». Mafalda fut peut-être exécutée à Buchenwald à titre de représailles contre le passage de ses parents dans le camp des Alliés. La famille royale d’Italie Hitler voulut à la fin de la guerre la faire saisir mais l’arrivée des Alliés l’en empêcha, alors il fit arrêter le prince de Hesse le 8 ou le 9 septembre 1943 et sa femme le 23.
N’oublions pas que les complotistes de 1944 étaient pour plusieurs d’entre eux des aristocrates. Au début de la guerre déjà Hitler disait de Pierre, prince de Schleswig-Holstein-Glucksbourg : « Voyez-vous, ils sont tous ainsi, ces princes, c’est pourquoi je veux les extirper de ma Wehrmacht ».
Philippe Guérin dans Princes et nobles d’Allemagne des années 1920 à l’effondrement du troisième Reich (PUF 2001) évoque Albert Speer qui a fait remarquer que « parmi les mesures prises par Hitler pour étouffer dans l’œuf toute tentative de trahison, il y a eu le limogeage de tous les princes allemands, le roi d’Italie de même que les rois de Norvège et de Grèce ayant échappé aux griffes d’Hitler, celui-ci se vengeait comme il pouvait », c’est ainsi qu’ils obligent Josias prince de Waldeck et Pyrmont, officier supérieur SS, à diriger le transfert d’Antonia princesse de Bavière en camp de concentration. Elle devait mourir en 1954, à sa sortie du camp de concentration d’Oranienbourg elle pesait 35 kg. Après la guerre Josias fut condamné à la détention à perpétuité.
On pouvait voir à Dachau le prince Léopold de Prusse fouiller les poubelles comme Xavier de Bourbon-Parme, le général Delestraint, chef de l’armée secrète française, l’ancien maire de Vienne Schmitz ou le ministre de la guerre néerlandais Van Dyck, ils faisaient partie des invités de choix.
Margherita d’Autriche-Este rappelait après l’attentat de 1944 : « Nous fûmes toutes trois arrêtées et prises en otage par les SS, ainsi que notre tante Irène et son fils Amedeo, l’actuel duc d’Aoste. » Elles étaient la veuve et les filles de l’ancien vice-roi d’Éthiopie. Elles furent conduites à Klein Walserthal où la princesse Anne de France était en contact par l’intermédiaire du curé local avec la résistance autrichienne et donc au courant des événements extérieurs mais la survie des princesses devenait de plus en plus précaire à tel point que le directeur criminel du camp sommé par les Alliés de déposer les armes et d’ouvrir les portes du camp, insista auprès de la princesse pour qu’elle prenne au téléphone l’officier français qui s’adressait à lui. Anne d’Orléans duchesse d’Aoste prit alors le général Durosoy au téléphone qui lui dit en arabe : « Hâtez-vous car ils ont ordre de tous nous fusiller. »
C’est de cette princesse Anne que le négus devait dire : « c’était un véritable gentilhomme ». La princesse parlait arabe comme son frère le comte de Paris, ils l’avaient appris au Maroc espagnol.
Emmanuel de Saxe, l’héritier des rois, écoutait la radio anglaise, il fut dénoncé par un voisin et il était donc passible de la peine de mort mais comme les princesses d’Aoste il eut de la chance, il ne fut condamné qu’à deux ans d’internement et en sortit après l’effondrement du régime. Le sort des princes après la guerre varia selon le lieu où ils se trouvaient. Hermine Reuss, l’impératrice allemande, après la mort de Guillaume II s’était fixée en Silésie, elle avait cherché refuge dans le Hartz. Les Américains occupèrent la région. Elle se croyait en sécurité mais il y a eu des accords entre les Américains et les Soviétiques et les Américains se retirèrent sur un certain nombre de kilomètres. Hermine fut arrêtée et mena une existence misérable de semi-détention jusqu’à sa mort en 1947 du côté de Francfort-sur-l’Oder.
Rainier de Saxe-Cobourg-Gotha était à Budapest quand les Russes arrivèrent, il fut fait prisonnier on ne le revit jamais. Il est probablement tombé après le 25 mars 1945 à Gyömro près de Budapest et il a été déclaré mort par ordonnance du tribunal de district de Munich le 19 mai 1961 avec effet au 31 décembre 1945.
Le dernier duc régnant d’Anhalt Joachim-Ernest mourut en février 1945 à Buchenwald que les Russes avaient rouvert. Georges duc de Saxe-Meiningen, le père de l’archiduchesse Régina n’a guère eu un meilleur sort. À sa mort, de faim et d’une maladie de cœur, près de Saint-Pétersbourg par un temps glacial le 5 janvier 1946 il fut jeté à la fosse commune à l’est de Saint-Pétersbourg.
Auguste-Guillaume de Prusse fils de Kaiser qui avait été sous-préfet de Ruppin ne fit que deux ans de camp de travail.
Les princes de Hanovre inquiétés après l’attentat de 1944 étaient soupçonnés et surtout Ernest-Auguste junior d’avoir participé au complot ce qui était faux. Son père devait comparaître lui devant la commission de dénazification.
En Bavière les Wittelsbach qui avaient été profondément opposés à Hitler ne furent pas inquiétés et le duc Albrecht eut des funérailles nationales comme s’il avait été roi.
« Dans la lente déchéance morale, physique et politique des princes et nobles d’Allemagne, la pitoyable et pathétique figure d’Hermine, l’impératrice d’Allemagne, reine de Prusse, fuyant pitoyablement les Russes en poussant, à l’identique de milliers d’autres femmes tout autant apeurées, une poussette d’enfant, offre la plus éloquente des conclusions. » (op. cit.)
Elle mourut de malnutrition.
Sa belle-fille la princesse Cécile avait eu un entretien avec Hitler à Postdam au moment où il partait, quelqu’un de son entourage entendit la princesse s’écrier :
« Ouvrez vite les fenêtres ! Cela sent mauvais ici ». Et en ce qui concerne les Hohenzollern catholiques rappelons que Frédéric prince de Hohenzollern-Sigmaringen fut quasiment dépossédé de ses biens pour cause de sympathie envers le roi Michel de Roumanie.
Le duc Max de Hohenberg et son frère cadet Ernst, les fils de la victime de Sarajevo, furent déportés parce qu’ils étaient un obstacle majeur à l’annexionnisme hitlérien de l’Autriche.
Rappelons aussi qu’un fils du Krönprinz, son aîné Guillaume, père de deux petites filles, était tombé près de Valenciennes et mourut trois jours après. À la sortie de l’église à la fin des obsèques son père fut follement acclamé.
Les familles princières allemandes avaient donné 130 combattants héroïques à l’Allemagne pendant la Première Guerre et plusieurs moururent au champ d’honneur et pour beaucoup dans des groupes non combattants en Pologne d’où ils ne pouvaient revenir. Tous les membres des anciennes familles régnantes avaient été expulsés de l’armée.
DEB
21 novembre 2020 @ 09:36
Merci Gérard.
J’ai lu. Très intéressant.
Jean Pierre
21 novembre 2020 @ 10:00
Synthèse très complète cher Gérard, merci.
Je pense que vous avez raison de distinguer entre les maisons princières catholiques et les maisons princières protestantes ou plutôt luthériennes. Je considère personnellement que l’opposition des premières au régime nazi et l’acoquinement des secondes s’expliquent d’abord par leur position face au pangermanisme prôné par idéologie nazie plus que par les autres aspects du régime nazi en matière sociale, raciale ou économique.
Ludovina
21 novembre 2020 @ 11:46
Immense merci Gérard, passionnant !
Je vais conserver précieusement votre récit.
Bon week-end.
ciboulette
21 novembre 2020 @ 16:27
Merci , Gérard .
Jean Pierre
19 novembre 2020 @ 18:50
Septentrion, j’avais aussi lu cette histoire d’accouchement dans l’avion. Est-ce avéré ?
Gérard
20 novembre 2020 @ 18:59
Cecilie était enceinte de son quatrième enfant et sa grossesse était avancée, on était au huitième mois, l’accouchement eut lieu dans l’avion puisque les restes du nouveau-né ont été retrouvés dans l’épave, c’est ce qui selon l’enquête belge laisse penser que le travail étant commencé, le pilote tentait d’atterrir à Ostende malgré les mauvaises conditions météorologiques. Il y avait donc il me semble 11 morts dont l’enfant.
Georg Donatus grand-duc de Hesse, Cecilie de Grèce et de Danemark, leurs deux jeunes fils Ludwig et Alexandre de Hesse et du Rhin, la mère de Georg, la grande-duchesse douairière Éléonore née princesse de Solms-Hohensolms-Lich, la nurse des enfants, un ami de la famille, le pilote et deux membres d’équipage, ont pris l’avion de Darmstadt à destination du Royaume-Uni. L’avion a percuté une cheminée d’usine près d’ Ostende et s’est écrasé en flammes. Il n’y eut pas de survivant.
framboiz07
19 novembre 2020 @ 13:01
Je me suis toujours demandé si le mariage avait été reculé ou moins fastueux?
Gérard
21 novembre 2020 @ 12:07
https://www.gettyimages.fr/detail/photo-d'actualit%C3%A9/wedding-of-prince-ludwig-of-hesse-and-by-rhine-and-photo-dactualit%C3%A9/503016069
Les mariés étaient en tenue de ville et de deuil. Après ils sont partis pour la Belgique.
COLETTE C.
19 novembre 2020 @ 15:57
Dans quelle ville, ces obsèques ?
Gérard
20 novembre 2020 @ 22:52
Alors que l’avion s’approchait de l’aérodrome de Steene-Ostende il y avait 11 personnes à bord.
Les victimes furent :
1/ le pilote Antoine Lambotte,
2/ l’opérateur radio Philippe Courtois,
3/ le mécanicien Yvan Lansmans,
4/ le grand-duc Georg Donatus et
5/ la grande-duchesse Cecilie et les princes
6/ Ludwig et
7/ Alexander de Hesse,
8/ la grande-duchesse douairière, très récemment veuve,
9/ le baron Joachim Riedesel zu Eisenbach, ami qui devait être le témoin du marié (et sera remplacé par Oliver Chesterton), 10/ Arthur Martens, ingénieur né le 28 mars 1897 à Gilten (Basse-Saxe), recordman du monde de planeur et ami, et
11/ sœur Lina Hahn gouvernante des enfants.
Soit 11 victime outre le nouveau-né.
Le vol de la Sabena sur le Junkers Ju (JU) 52/3m devait aller de Munich à Francfort puis à Bruxelles, Ostende et Londres.
Immédiatement après le mariage les nouveaux époux ont pris l’avion pour Ostende et ils se sont rendus à l’hôpital pour saluer les dépouilles.
https://m.youtube.com/watch?v=jfrEA2dsKyI
C’est dans le parc de la nécropole de Rosenhöhe qui est un jardin magnifique de Darmstadt que reposent côte à côte le grand-duc, son épouse, sa mère et leurs deux fils sous sous la pelouse marquée par autant de croix. Les obsèques ont été célébrées le 23 novembre 1937 en présence du prince Louis de Hesse, du prince Philippe de Grèce et le Danemark, de Gottfried prince de Hohenlohe-Langenbourg, de Philippe de Hesse, de Berthold margrave de Bade, du prince August Wilhelm de Prusse et de lord Louis Mountbatten.
Gérard
20 novembre 2020 @ 23:03
https://www.google.fr/amp/s/royalwatcherblog.com/2019/11/24/funeral-of-the-hesse-royal-family-1937/amp/
Gérard
21 novembre 2020 @ 12:07
https://www.gettyimages.fr/detail/photo-d'actualit%C3%A9/wedding-of-prince-ludwig-of-hesse-and-by-rhine-and-photo-dactualit%C3%A9/503016069
Les mariés étaient en tenue de ville et de deuil. Après ils sont partis pour la Belgique.
Gérard
21 novembre 2020 @ 12:35
https://www.historyofroyalwomen.com/places-to-visit/park-rosenhohe-a-tragic-destiny/
Les lieux d’inhumation.