Eté 1975 au château de Grasten, la reine Ingrid de Danemark réunit pour quelques jours ses petits-enfants qui vivent au cours de l’année à Copenhague mais aussi en Allemagne et à Londres.
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Bambou
16 mars 2022 @ 06:49
J’adore cette photo. La ressemblance d’Isabelle avec son père enfant est frappante !
J’aimerai beaucoup voir plus de photos de ce genre, un peu rétros. (pour nous rajeunir)….😂😂😂
Je préfèrerai, et de loin, ces photos, à celles des soeurs Spencer ou de Maria-olympia montrant en permanence leur « regardez comme je suis trop belle » qui pour moi n’ont aucun intérêt.
En tout cas merci pour cette sympathique photo.
Baboula
16 mars 2022 @ 08:49
Et merci à vous,Bambou,pour ce commentaire positif .
Bambou
16 mars 2022 @ 20:08
Je ne fais pas que des commentaires négatifs, loin sans faut…😁
Roxane
16 mars 2022 @ 10:43
Oui, je vous rejoins, c’est un plaisir de découvrir ce genre d’archives ! En effet, Isabella est le portrait de son père enfant.
Menthe
16 mars 2022 @ 12:05
Je me joins à vous pour le plaisir de voir davantage d’images d’archives de ce genre.
C’est toujours amusant de trouver les ressemblances.
lila ( la vraie )tulipe
16 mars 2022 @ 19:25
Bambou je partage vos impressions et votre nostalgie dans le bon sens du terme .
Oui , Isabella ressemble à son père vraiment dans l’expression du visage .
Benoite
16 mars 2022 @ 07:00
la bien aimée « Mormor » Ingrid, attendait ces vacances là, avec ses petits enfants. Les mères accompagnaient les petits… mais pour la reine Ingrid, c’était là son dessert de la vie. La campagne, les jardins, les jeux, les gouters, ils parlaient tous anglais et Danois. La reine avait sa dernière fille en prédilection, ses maternités souvent décues, et l’exil des rois de Grèce, étaient pour la reine Ingrid ses inquiétudes de mère. Les trois princesses étaient fusionnelles avec leur mère. qui elle même était privée de la sienne Margaret de Suède décédée en 1920.
Charlotte (de Brie)
16 mars 2022 @ 07:51
La reine Ingrid avait une bien jolie farandole de desserts…
Pierre-Yves
16 mars 2022 @ 08:31
On peut reconnaître Paul (à gauche) et Nicolas (à droite) de Grèce, et leur soeur Alexia au milieu (lunettes) entourée des enfants de la princesse Bénédikte, dont la plus jeune, Nathalie, est dans les bras de sa grand-mère.
Colette
16 mars 2022 @ 10:55
Pierre-Yves, si vous appuyez sur « More » vous avez tout ceci et plus en détail…
Pierre-Yves
16 mars 2022 @ 16:46
En effet, j’ai oublié !
Marnie
16 mars 2022 @ 08:48
On notera la ligne de Benedikte après 3 enfants et une dernière grossesse remontant à moins d’un an…
La mode de l’époque était aussi moche pour les enfants de reines et princesses que pour les particuliers :-D
Comme dit Bambou, Isabella est le portrait de son père et j’ajoute que Joachim est le portrait de sa mère, mais on le savait déjà.
Erato deux
16 mars 2022 @ 08:53
Quelle belle photo.
Merci pour ce moment tendresse enfantine autour d’une grand-mère aimante.
Guillaume Boonen
16 mars 2022 @ 08:54
Que le temps passe vite
La vie semblait plus douce dans ces années là
Aldona
16 mars 2022 @ 09:35
De belles journées joyeuses et tumultueuses avec tous ses petits-enfants
Avel
16 mars 2022 @ 10:30
Jolie photo à vous rendre nostalgique.
Michelle
16 mars 2022 @ 10:39
C est vrai que la vie etait douce a cette epoque, pas de sida, pas d internet et tout ce qui s en suit, pas de casque a velo, pas autant de drogue, des vrais medecins de famille, pas de pandemie, pas de guerre et j en passe, et c etait mes vingt ans.
MlleGiuliana
16 mars 2022 @ 12:46
En 1975, on parlait déjà du Sida. Certes moins qu’aujourd’hui mais c’était déjà un gros problème en devenir. 😉
Stéphane G.
16 mars 2022 @ 17:45
en 1975 vous êtes sûre, pas en 82-83 plutôt?
MlleGiuliana
17 mars 2022 @ 15:16
C’est vrai que 1975 est un repère un peu excessif, car la première prise de conscience d’un « problème sanitaire » date plutôt de 1978-79. Lorsque je dis qu’on parlait déjà du Sida à cette époque, ce n’est pas forcément sous ce nom ; le syndrome a été découvert en premier sur des jeunes homosexuels, il a d’abord porté divers noms en lien avec cette communauté, tels que GRID (Gay-Related Immune Deficiency) ou encore gay compromise syndrome. Et ce n’est effectivement qu’en 1982 que le sigle AIDS (Acquired Immune Deficiency Syndrome puis Acquired Immunodeficiency Syndrome) a été utilisé, puis s’est imposé. C’est plus respectueux.
Néanmoins, si cette prise de conscience date de la fin des années 70, les premiers cas d’asthénies, de pertes de poids, ainsi que sarcomes de Kaposi (une forme très rare et très particulière de cancer), dans la communauté homosexuelle sont apparus beaucoup plus tôt ; début des années 70 et peut-être même fin des années 60. Les recherches plus contemporaines ont démontré que des tableaux pathologiques, que l’on rapprocherait aujourd’hui du Sida mais qui ne l’ont, bien sûr, pas été à l’époque, ont existé très tôt dans l’historique de la maladie. Ces mêmes recherches ont également mis au jour que l’attention s’est beaucoup, sûrement un peu trop, portée sur les homosexuels, et que des cas existaient certainement hors de cette communauté. Bref. La maladie était bien présente, dans sa phase la plus évolutive, au sein de la population mondiale, au sens large, avant 1975.
La médiatisation du « problème sanitaire » et l’affectation de la notion d’épidémie sont bien sûr plus récents. Le sigle date de 1982, alors la notion épidémique doit dater de 1983-84, je ne sais plus exactement mais tout s’est enchaîné rapidement après l’acceptation que ce n’est pas uniquement une « maladie d’homos ». Tout sauf le remède mais ça…
Bambou
16 mars 2022 @ 20:14
Oui, les années 70 étaient vraiment de belles et douces années, quand on voit c’est qu’est devenue notre beau pays ! Quelle tristesse infinie !
On a je crois commencé à entendre parler du SIDA au milieu des années 80, du moins pour les gens lambdas.
MlleGiuliana
17 mars 2022 @ 15:19
AIDS en anglais, SIDA en français : le sigle est apparu en 1982. 😉
Marnie
17 mars 2022 @ 14:55
Euh, votre assertion me paraît très étrange, je rejoins Bambou, on a commencé clairement à entendre parler du SIDA au début des années 80… J’étais pour ma part bien jeune, mais je suis juste allée faire un tour sur wikipedia :
« Les premiers signes de l’épidémie remontent à la fin des années 1970, lorsque des médecins de New York et de San Francisco s’aperçoivent que beaucoup de leurs patients homosexuels souffrent d’asthénie, de perte de poids et parfois même de forme rare et atypique de cancer (comme le sarcome de Kaposi). L’existence d’un problème sanitaire est avérée en juillet 1981 »
Donc, si les premiers recoupements quant à l’existence de l’épidémie ce sont faits à la fin des années 70, on pouvait difficilement en parler en 1975, même dans le cercle restreint de quelques médecins américains…
Ciboulette
16 mars 2022 @ 19:25
Et surtout , Michelle , nous étions beaucoup plus jeunes , même si nous le sommes encore !
COLETTE C.
16 mars 2022 @ 10:57
Intéressant de les voir enfants.
Ciboulette
16 mars 2022 @ 14:44
Moi aussi , j’aime beaucoup ces photos d’un temps plus heureux ( nous étions plus jeunes ! ) . Je n’aurais pas reconnu tous les princes et princesses , sauf Frederik .
MlleGiuliana
16 mars 2022 @ 12:49
« Mormor » Ingrid était une belle dame, et assurément une grand-mère des plus fantastiques.
On reconnaît facilement Frederik et Joachim, même s’ils ont bien changé. Oui, Isabelle est vraiment le calque de son père.
Nathalie garde sa petite bouille d’enfant. C’est marrant de la voir enfant et pouvoir comparer avec l’adulte. J’aime beaucoup. 🥰
Alice
16 mars 2022 @ 12:51
J’aime bien aussi ces photos d’archives. Les enfants sont très mignons mais que la mode de l’époque était laide (je remercie ma mère de n’avoir jamais autorisé les chaussettes avec les sandales!)
Leonor
16 mars 2022 @ 13:26
Les photos anciennes, c’est intéressant et sympathique .
Mais pas la nostalgie. Pas la nostalgie, s’il vous plaît.
C’est au présent qu’il faut vivre.nous nne vivons pas si mal. Non ? C’est la seule chose que nous pouvons vivre : le présent. Comme il est.
Et franchement, en Europe, jusqu’à nouvel ordre, nous ne vivons pas si mal. Non ?
Imelda
16 mars 2022 @ 19:00
Oui en Ukraine, ils ne vivent pas mal…dingue ce genre de c….s
Imelda
16 mars 2022 @ 19:02
Oui en Ukraine, ils ne vivent pas mal…dingue de lire ce genre de c….s
Marnie
17 mars 2022 @ 15:16
Je ne suis pas aussi âgée que vous Leonor, mais de toute ma vie, en tant que Française très chanceuse de vivre dans cette partie du monde, et consciente de l’être, je n’ai connu la peur pour des raisons extérieures, pour moi et les miens, que durant la pandémie (surtout les premiers mois évidemment) et qu’en ce moment avec ce fou de Poutine dont on ne sait pas jusqu’où il peut aller. Donc oui je suis très nostalgique de l’avant printemps 2020… Et le présent, j’ai du mal à le vivre.
Au delà des problèmes géo-stratégiques, comment ne pas être nostalgique d’une époque où tout ceux qu’on a depuis perdus étaient vivants ?
Leonor
16 mars 2022 @ 13:27
Sorry pour le bazar dans mon commentaire supra, poyr cause de faute de frappe et … de faim urgente ! ;-)
particule
16 mars 2022 @ 13:47
De ciel que dit elle de Maria Olympia ?
LasSalles
16 mars 2022 @ 13:54
Cela me fait penser à mon enfance… Quelle habitude que d’habiller les frères Danemark et Grèce de la même manière !
FLEUR
16 mars 2022 @ 14:46
En 1975 j’avais 22 ans. Je partage votre avis, Michelle. Concernant internet, s’il est formidable de pouvoir échanger par mail, écouter de la musique à l’envi, trouver des renseignements, échanger sur des sites (ex. N&R), etc.
il y a le côté sombre d’internet facilitant la vie des harceleurs, terroristes, pédophiles, truands de toute espèce etc.
Et perso je déteste devoir régler par internet toutes sortes de démarches administratives, devoir râler pour conserver la version papier de documents etc.
J’ajoute que dans ces années, il n’y avait pas de canicule, qui dans certaines régions rend l’été pénible à supporter.
Gatienne
16 mars 2022 @ 18:19
Le temps enjolive parfois les souvenirs:
1976, une des pires sécheresses que le pays ait connue au XXème siècle, 10%de mortalité en plus dans une vingtaine de departements , des températures caniculaires en Juin, jamais atteintes depuis 1873.
Le journaliste Jean-Pierre Pernault évoque même « les évêques de l’ouest de la France, qui demandent aux curés des paroisses de faire prier dans les églises pour que soit obtenue la pluie, dont l’absence a déjà provoqué tant de dégâts ».
C’est de cette époque que date le premier impôt sécheresse.
(Source France Info.)
Jackie
17 mars 2022 @ 10:06
Oui, enfin 1976 comparée aux dernières canicules (celle de 2003 en particulier), c’était un peu de la roupie de sansonnet, les températures n’ont jamais atteints celles des dernières années. Quant à l’impôt sécheresse, bien sûr, il était bien commode. En vacances en Bretagne cette année là, je ne me souviens pas d’un été particulièrement chaud et ensoleillé. L’année 76 m’a pourtant marquée, j’étais enceinte de mon premier enfant.
Quant aux prières pour la pluie, vous savez bien que les paysans ne sont jamais contents, c’est toujours trop de pluie ou pas assez. Cette remarque n’est pas inamicale, j’ai beaucoup d’admiration pour les paysans.
Baboula
22 mars 2022 @ 14:52
C’était plus une longue période de sécheresse que de la canicule . Et dans le Var c’était tout à fait supportable . Nous avons eu l’impôt sécheresse de Raymond Barre ,non l’impôt canicule .
lila🌷la vraie
16 mars 2022 @ 23:45
Fleur ….vous aviez 23 ans en 1976 et moi 20 ans …je me souviens d’une forte période de chaleur durant l’été 1976 ….chaud vraiment très chaud . Il y eut des canicules de tous temps sauf qu’il n’y avait pas les réseaux sociaux et les médias pour en parler.
En 1975 la vie était différente oui plus douce !
FLEUR
17 mars 2022 @ 16:03
Comme le dit Jackie, la chaleur estivale de 1976 n’était pas comparable à la canicule, (en tout cas chez moi en Alsace), de 2003 (suivie d’étés normaux) ni comparable à la canicule de 2015 à 2021 : tout l’été (parfois de mi-mai à mi-septembre) entre 30 et 40°, parfois 30°, le soir au coucher…
Depuis que je suis née, je n’ai jamais connu en Alsace de températures aussi torrides aussi longtemps. Heureusement que je peux me réfugier en Bretagne durant quelques semaines.
FLEUR
17 mars 2022 @ 16:09
canicules chaque été, de 2015 à 2021. Que 2022 nous en épargne !
Ghislaine
17 mars 2022 @ 10:31
Je suis amusée par les commentaires – En 1975 j’avais comme vie Métro-Boulot-Dodo , 47 heures au moins par semaines. J’ai la faiblesse de trouver que depuis 8 ans , ici , dans le far-ouest si apprécié apparemment , la vie est plus douce . Evidemment depuis 3 semaines , l’enfer ailleurs, est entré dans mon quotidien.
Bambou
17 mars 2022 @ 17:06
L’enfer dans votre quotidien….?
Surtout celui de ces pauvres ukrainiens !