Photo datant de 1885 représentant la princesse de Joinville, née dona Francisca de Bragance, princesse du Brésil (1824-1898), entourée de sa fille Françoise d’Orléans (1844-1925) et de son époux le prince Robert d’Orléans, duc de Chartres (1840-1910) et de leurs quatre enfants la princesse Marie (1865-1909), future princesse Valdemar de Danemark, la princesse Marguerite (1869-1940), future duchesse de Magenta, le prince Henri (1867-1901) décédé sans alliance et assis le prince Jean, duc de Guise (1874-1940), l’arrière-grand-père de l’actuel comte de Paris. (photo DR – Merci à Charles)
19 octobre 2024 @ 00:45
A quel tempo in foto non si sorrideva
mai
19 octobre 2024 @ 11:15
E’ vero, ma le donne sono bruttissime ed un sorriso non avrebbe cambiato un gran chè.
19 octobre 2024 @ 05:13
Photo très intéressante. Merci Charles. Si vous en avez d’autres.
19 octobre 2024 @ 17:11
Le monsieur c’est le prince de Joinville ou l’époux de Françoise comme mentionné?
On dirait plutôt un vieil homme
20 octobre 2024 @ 12:25
@Elisab, il s’agit du prince de Joinville.
20 octobre 2024 @ 14:57
Merci de votre precision
20 octobre 2024 @ 17:00
Millebourriques, il va falloir surveiller les sites de ventes aux enchères ! 😄
23 octobre 2024 @ 20:32
Pour éviter de croire que les photos sortent de tiroirs ou de greniers, oui 😜
19 octobre 2024 @ 05:37
Manque sur la photo leur cinquième enfant
Robert handicapé et comme souvent à l’époque « invisible »
Il est décédé à l’âge de 19 ans
19 octobre 2024 @ 11:17
Les petits-enfants de Louis-Philippe se sont souvent mariés entre eux..
20 octobre 2024 @ 09:06
Les neveux de Napoléon se marièrent entre cousins germains. Dans les dynasties Rothschild et Pereire, ils se mariaient aussi entre oncles et nièces, un veuf épousant tout simplement la fille de son frère.
20 octobre 2024 @ 12:59
Eh oui.
19 octobre 2024 @ 11:18
Outre le prince Robert, décédé à l’époque de la photo puisqu’il est mort le 30 mai 1885, le duc et la duchesse de Chartres ont eu également un fils mort né en octobre 1870.
19 octobre 2024 @ 05:50
Elle a eu ses enfants à un âge avancé, il me semble.
19 octobre 2024 @ 06:46
Il y avait les 90 ans de la princesse Hélène, j ai vu les photos sur Histoire Royale hier. Toute sa famille réunie et même quelques frère et sœurs sont venus avec certains de leurs enfants.
19 octobre 2024 @ 10:46
les orléans-wurtemberg et les wurtemberg-orléans ont boudé ce bel événement …
20 octobre 2024 @ 15:17
Étaient ils invités…?
20 octobre 2024 @ 17:22
Sophie de Wurtemberg Andigné a eu une petite deuxième, Mathilda cette année.
21 octobre 2024 @ 21:32
Mathilda d’Andigné est née le 4 août dernier.
27 octobre 2024 @ 12:26
Tiens Charles ne nous l a pas dit
19 octobre 2024 @ 12:43
Je l’ai mentionné le 18 sur la rubrique :
Le duc et la duchesse d’Angoulême invités par les souverains belges.
20 octobre 2024 @ 20:28
Merci @Claude Patricia. De nombreuses photos très intéressantes.
Ma préférée est celle sur laquelle figure le prince Robert, comte de La Marche, aux cheveux blancs mais tellement charmant !
Si le prince Michel était accompagné de son épouse et de son ex-épouse, le prince Jacques était absent alors que la duchesse d’Orléans et leurs trois enfants assistaient à cette fête. Manquaient aussi les princesses Isabelle, Diane et Claude ainsi que la duchesse de Montpensier. Il me semble ne plus avoir vu de photo de la princesse Isabelle depuis les obsèques de sa mère. On pourrait presque imaginer qu’elle a rompu tout lien avec sa famille de naissance. Mais à 92 ans, peut-être ne voyage-t-elle plus du tout. Aucune des princesses citées ci-dessus n’était représentée par l’un de leurs enfants. C’est un peu dommage …
19 octobre 2024 @ 07:00
Surprenantes coupes de cheveux de Marguerite et de Jean. Ces espèces franges mal coupées sur le front !
19 octobre 2024 @ 11:22
A cette même époque la comtesse de Paris, belle-soeur du duc de Chartres, portait également une horrible frange.
22 octobre 2024 @ 16:36
Vous n’avez rien de plus sérieux à dire ….
23 octobre 2024 @ 18:03
Quel est donc votre problème Baboula ?
19 octobre 2024 @ 07:10
Frappée par la ressemblance entre le petit duc de Guise et son descendant Amedeo, le 2e fils d’Aimone de Savoie et Olga de Grèce.
19 octobre 2024 @ 13:54
La bisnonna e la madre di Aimone erano Orleans, e così la nonna di Olga,,,,i giovani Aosta hanno più sangue blu di tutti!
20 octobre 2024 @ 09:06
Ça se voit à l’œil nu .
19 octobre 2024 @ 07:19
Intéressante photo. La mode féminine de l’époque était non seulement inconfortable mais aussi pas toujours seyante, entre tournure agrémentée de lourds volants et petits chapeaux perchés sur des chignons serrés…
19 octobre 2024 @ 07:24
Comme ils ont l’air heureux !
19 octobre 2024 @ 07:49
Extraordinaire photo : on croirait les toucher! Dire qu’ on est si proche de ces générations…leurs manières d’ être, de s’ habiller, de penser?
19 octobre 2024 @ 08:05
La joie de vivre d’une famille dont les membres rivalisent de bonne humeur !
19 octobre 2024 @ 08:43
On est en 1885 et les coiffures des dames sont vraiment vilaines à cette époque. Le personnage qui ici a le plus de prestance et de dignité est le vieux prince de Joinville. La douarière n’a que 61 ans mais en parait 80. Où est passée celle que l’on appelait le petit oiseau du Brésil lors de son mariage ?
Les dames ne sont pas gâtées par la nature. La fille du prince ressemble à une gouvernante de bonne maison, et ses filles avec leur parapluie et leur col marin sont aussi charmantes qu’une porte de prison. Le fils ainé a l’air d’avoir été puni par le proviseur et le gosse par terre, qui a l’air appréhensif, songe peut-être à son illustre descendance qui culmine avec le Roy qui nous enchante sur ce site
.
Je remercie Charles, car il m’a fait passer un bon moment. J’aime les photos.
19 octobre 2024 @ 12:32
Naucratis, D’Italie, et Robespierre, merci à vous également, j’aurais moins aimé cette photo si ne l’aviez si bien commentée 😋
Le photographe a su avec instinct et finesse capter la joie implicite d’une réunion de famille…..😋
19 octobre 2024 @ 17:15
Je connais des dames de 80 ans qui sont plus avenantes que cette princesse prématurément vieillie et d’allure fort rebarbative
19 octobre 2024 @ 09:09
Quel lugubre monde corseté mais il a bien fallu en passer par lui, merci Coco d’avoir détricoté tout ça 😊
19 octobre 2024 @ 09:14
Une légende veut que le prince de Joinville ramenant les cendres de Napoléon de Sainte-Hélène, en 1840, soit passé par Rio de Janeiro mais, si l’expédition partie de Toulon est passée à l’aller par Bahia, elle n’est pas passée par le Brésil au retour. Lors d’une expédition précédante, en 1838, le prince s’était arrêté à Rio de Janeiro pour rendre visite à sa cousine germaine (leurs mères étant sœurs), Marie-Léopoldine d’Autriche (sœur de Marie-Louise), épouse de Pierre 1er de Bragance, roi du Portugal et empereur du Brésil. Francisca avait, alors 13 ans. Il la revit lors d’une autre mission et ils se marièrent, le 1er mai 1843, à Rio.
22 octobre 2024 @ 17:18
Pardonnez-moi @Passiflore mais vous avez commis une erreur dans la rédaction de votre commentaire : le prince de Joinville n’a pu rendre visite à sa cousine germaine puisque l’impératrice Maria Leopoldina est morte en décembre 1826. Peut-être vouliez-vous écrire « les filles de sa cousine germaine » ?
23 octobre 2024 @ 13:41
Oui, excusez-moi, je n’ai pas pris le temps de vérifier les dates (ce que je fais d’habitude)
19 octobre 2024 @ 09:19
J’ai oublié de préciser que Francisca était la fille de Marie-Leopoldine. Ces mariages « en famille » étaient fréquents à cette époque.
19 octobre 2024 @ 09:55
Ils avaient raison, ça faisait de si belles familles .
19 octobre 2024 @ 10:15
Cette photo montre bien que les Orléans ne vivaient pas en exil.
En revanche, le duc de Guise dût en prendre le chemin à la mort du prétendant, le duc d’Orléans.
19 octobre 2024 @ 11:20
Il y eu un mariage en grande pompe vers cette époque qui attira une foule de royalistes en délire et cela déplut tellement au Gouvernement qu’il exila la famille. Ne me demandez pas JP le nom des jeunes époux Orléans, je l’ai oublié.
20 octobre 2024 @ 12:43
Robespierre, j’imagine que tout le monde va vous répondre. L’événement eut lieu, l’année suivante. Il s’agit des fiançailles, le 15 mai 1886, à l’hôtel Matignon (prêté par la duchesse de Galliera) dans un grand luxe, d’Amélie d’Orléans (fille de Philippe d’Orléans, belle-sœur de Jean duc de Guise) avec Charles de Portugal, héritier du trône de Portugal. Le mariage eut lieu à Lisbonne, le 22 mai, et finit de façon dramatique. Dans les hautes sphères de la IIIe République (Jules Grevy, Président) personne n’avait été invité.
le Président du conseil Charles Freycinet déclara : «je soutiens que quand on est prince, on a le devoir d’être plus réservé qu’un simple citoyen ; je soutiens que l’on veut vivre sur le territoire de la république et que lorsqu’on représente une dynastie déchue, on est tenu à plus d’égards et plus de réserve qu’un simple citoyen. Je vous reconnais à vous, le droit de travailler pour le renversement de la république (s’adressant aux députés de l’opposition d’extrême-droite). Mais je ne le reconnais pas à ceux de vos princes qui restent sur le territoire français. ».
Il y eut plusieurs dérogations aux rigueurs de cette loi d’exil : l’autorisation, en 1948, pour le prince Henri d’Orléans à intégrer le lycée Montaigne à Bordeaux et, pour le Prince Louis Napoléon, de pouvoir épouser en France, en 1949, Alix de Foresta, en reconnaissance de son action dans la Résistance.
20 octobre 2024 @ 13:31
Oui, c’est vrai, les hauts dignitaires de la IIIe République ne furent pas invités. Quel manque de vision, de sens politique cette arrogance de classe. Ceux qui mettent en évidence « l’entre soi » c’est souvent pour exclure quelques uns. Mais ces descendants de Louis-Philippe voulaient marquer leur territoire et exclure. Ils l’ont payé cher.
20 octobre 2024 @ 19:43
C’est grâce à Paul Hutin, journaliste et député MRP du Morbihan, qui avait trouvé scandaleuse la loi d’exil et avait lancé une campagne pour son abolition, que le comte de Paris put revenir en France et s’installer au « Cœur volant » à Louveciennes. L’abrogation avait été votée par 320 voix contre 179, en mai 1950, signée par Vincent Auriol et prit effet en juin.
20 octobre 2024 @ 15:23
C’est le mariage d’Amelie d’Orléans avec Charles 1er du Portugal.
19 octobre 2024 @ 11:02
La famille Fenouillard on reconnaît bien les deux filles.
19 octobre 2024 @ 13:46
N’est-ce pas plutôt le principe de Joinville, François d’Orléans qui est de
19 octobre 2024 @ 13:48
N’est-ce pas plutôt le principe de Joinville, François d’Orléans qui est debout derrière la princesse de Joinville ? Car en 1885, le duc de Chartres est sensé avoir 45 ans, or su la photo on dirait plutôt un vieillard qu’un quadragénaire.
21 octobre 2024 @ 13:34
Oui.
La photo avait été prise par le duc de Chartres.
19 octobre 2024 @ 18:42
Son mari est né en 1840
Et leur fille en 1844 ?elle donne naissance au duc de Guide à 50ans?
19 octobre 2024 @ 23:36
J’imagine que tout un chacun, ici, connaît la vie de Jean, duc de Guise, mais pas moi, or j’ai toujours entendu parler du manoir d’Anjou.
En raison de la loi d’exil votée en 1886, Jean d’Orleans ne peut faire son service militaire en France mais il apprend le métier des armes au Danemark, pays de son beau-frère Valdemar. Etant cadet de la famille d’Orléans, il est autorisé à rester en France et il s’installe dans son domaine de Nouvion-en-Thiérache que lui a légué par le duc d’Aumale. Après son mariage avec sa cousine Isabelle d’Orléans, en 1889, il est titré duc de Guise. Le couple s’installe au Maroc au domaine de Larache, en 1910. Lorsque la guerre éclate en 1914, le duc de Guise souhaite s’engager dans les armées alliées mais cette requête lui est refusée. Il s’engage, alors, comme convoyeur pour la Société des blessés militaires dans les cantines de gare de Folligny et Maintenon et reçoit la Croix de guerre des mains de Raymond Poincaré en 1919. Il avait été envoyé en ambassade près de son oncle le roi de Bulgarie, en 1915, pour le convaincre de rejoindre les armées alliées, mais en vain. En 1926, devenu prétendant orléaniste au trône de France, il quitte le Maroc pour le manoir d’Anjou, en Belgique. Il est autorisé à repartir pour Larache où il meurt le 25 août 1940.
Henri d’Orléans avait été baptisé, le 5 juillet 1933, au manoir d’Anjou par un de mes oncles éloignés, évêque de Chartres.
20 octobre 2024 @ 08:10
Cette photo sera en vente lors d’une vente organisée par Varenne Enchères le 12 octobre prochain, le mentionner aurait été urbain :
https://www.varenne-encheres.com/lot/156104/26782920-robert-dorleans-paris-1840-1910-vineuil-saint-firmin-duc-de?search=Orl%C3%A9ans&sort=num&
Il est précisé :
« le Perron de St Firmin, 10 juin 1885 » Tirage photographique 38 x 28 cm. Monogrammé en bas à droite : « R.O. phot. », donc photo prise par le Duc de Chartres.
Quant à l’air lugubre de ces princes, on apprend que « seul manque Robert, mort quelques jours auparavant, le 30 mai, à l’âge de 19 ans ».
20 octobre 2024 @ 09:01
Merci Téodorico, ainsi s’expliquent ces visages peu joyeux, sur lesquels nous avons lancé des remarques humoristiques…. ( mais innocentes, je le précise !)
20 octobre 2024 @ 21:30
Les remarques n’avaient rien de répréhensibles !
Si l’origine de la photo avait été donnée dès le début, cela eut été plus simple – et plus élégant vis à vis de la maison de ventes 🤓
21 octobre 2024 @ 10:10
Je comprends mieux la grande tristesse de cette photo. Charles aime bien ne pas tout dire.
23 octobre 2024 @ 20:29
Vous savez manier l’euphémisme 😏
20 octobre 2024 @ 12:32
Teodorico merci pour ces 2 précisions.
20 octobre 2024 @ 08:52
Comme le dit Teodorico, photo lugubre d’un monde en deuil.
20 octobre 2024 @ 12:34
N’y a-t-il pas un petit problème dans les dates des personnes ? Ou ce ne sont pas les bonnes personnes ?
20 octobre 2024 @ 15:25
Je pense aussi.
21 octobre 2024 @ 11:40
Le gentleman avec le canotier est le Prince de Joinville, pas le Duc de Chartres qui prend, lui, la photo.
Si vous allez sur le site de la maison de ventes, la date a été très joliment écrite comme on le faisait à l’époque, sous la légende, « 10 juin 1885 ».
C’est tout l’inconvénient une fois encore de ne pas avoir précisé les initialement l’origine de la photo.
23 octobre 2024 @ 20:28
La photo a été adjugée a 320€, hors frais, soit près de 400€ in fine.
La fourchette basse était de 300€, hors frais.