Voici une carte postale ancienne dénichée par Tepi chez un antiquaire à Athènes. D’autres cartes postales avec des membres du Gotha vous seront proposées au cours des prochains jours. Sur cette photo, on distingue le duc et la duchesse de Vendôme avec leurs trois filles les princesses Marie Louise, Sophie et Geneviève.
Le prince Emmanuel d’Orléans, duc de Vendôme est né le 18 janvier 1872 à la villa Azwang à Obermais. Il est le deuxième enfant du prince Ferdinand d’Orléans, duc d’Alençon et de la duchesse Sophie-Charlotte en Bavière, sœur de l’impératrice Sissi, ex-fiancée du roi Louis II de Bavière, connue pour avoir finit tragiquement dans l’incendie du bazar de la Charité à Paris.
Le 12 février 1896 à Bruxelles, le duc de Vendôme épousait la princesse Henriette de Belgique, fille du prince Philippe de Belgique (fils du roi Léopold I et frère du roi Léopold II) et de la princesse Marie de Hohenzollern. Le couple aura quatre enfants : Marie Louise (1896-1952), Sophie (1898-1928), Geneviève (1901-1983) et Charles Philippe, duc de Nemours (1905-1970).
Le duc et la duchesse de Vendôme ont incarné cet esprit et cette élégance de la Belle Epoque, menant une vie mondaine intense dans leur résidence de Neuilly-sur-Seine. Le duc est décédé en 1931 à Cannes tandis que la duchesse s’est éteinte en Suisse en 1948. Ils reposent tous les deux en la chapelle royale de Dreux. (Merci à Tepi pour cette carte postale)
beji
17 avril 2014 @ 06:50
quelqu’un sait-il s’il est exact qu’avant d’épouser la princesse Henriette,le duc de Vendôme aurait contracté une union avec Louise de Maillé de la Tour Landry avec
qui il aurait eu un fils?
Brigitte et Christian
17 avril 2014 @ 15:07
bonjour Beji
Chantal de Badts n’en parle pas dans « le petit Gotha » à la rubrique Maillé, ni Ghislain Crassard dans « les ducs français » même rubrique
Hubert Cuny et Nicole Dreneau n’en parlent pas non plus dans « le Gotha Français.
Nous n’avons rien trouvé non plus dans Daniel Manach « la descendance de Louis-Philippe I, roi des Français.
Louise (Hélène Marie) de Maillé de La Tour Landry à épousé en 1894, Ferry, comte de Ludre, mais de quelle Louise exactement parlez vous ?
Pouvez vous citer les sources ou vous avez trouvé trace de cette hypothétique union ?
amitiés du sud ouest sous le soleil
Gustave de Montréal
17 avril 2014 @ 16:33
Wiki le mentionne « aurait épousé secrètement en 1891 Louise de Maillé.. (1873-1893) dont un fils Philippe (1893-1955) marié en 1928 avec
Elizabeth Mirou Mah Nedjid Khanuhii) » source: royaltyguide.nl
Gérard
18 avril 2014 @ 12:58
Cher Gustave, j’ai l’impression que c’est un ajout récent de Wikipédia et je me demande quelle est la source initiale de cette rumeur dont je n’avais jamais entendu parler. Celle qui est citée par Wikipédia est accompagnée de trois ?. Lorsqu’on regarde une généalogie des Maillé de la Tour Landry on ne voit au XIXe siècle qu’une seule personne qui pourrait être Louise à savoir Hélène Louise Marie, effectivement appelée Louise, née à Paris le 11 juillet 1873 et morte à Paris le 28 mai 1953, alors qu’elle avait donc depuis longtemps dépassé la vingtaine d’années, et qui avait épousé à Paris le 30 mai 1894 Marc Marie Auguste Ferri, comte de Ludres qui devait mourir pour la France en 1915 et dont elle a eu trois enfants. Elle était la fille d’Armand Urbain Louis Hardouin, comte de Maillé et d’Anne Élisabeth Adèle Jeanne Lebrun de Plaisance et la sœur du dernier duc de Plaisance.
Aurait-elle pu épouser secrètement en 1891 le duc de Vendôme ? Y aurait-il eu un mariage purement civil alors ce qui serait étonnant vu l’origine familiale des deux jeunes époux ? D’autant qu’à l’époque la fiancée était mineure et aurait donc dû obtenir le consentement de ses parents. Y aurait-il eu mariage religieux ? Mais outre le divorce, il aurait fallu une décision constatant la nullité du mariage religieux et rapidement. Il serait étonnant que personne n’en ait parlé ou n’ait écrit sur le sujet. Le comte et la comtesse de Flandre n’auraient-il pas eu peu après des hésitations, d’autant qu’un enfant était né ? L’enfant n’aurait-il pas hérité aussi des biens de son père ?
Ce serait-il agi d’un enfant de l’amour ? Mais comment ce Philippe qui serait mort bien longtemps après aurait-il pu être oublié ?
De plus qu’un prince du sang de France ait souhaité épouser une jeune femme appartenant en somme à deux familles ducales françaises aurait-il été si invraisemblable à l’époque ? L’accord de ses parents lui aurait-il été refusé ? Le mariage Orléans – Mac Mahon date de 1896 par exemple.
Gérard
20 avril 2014 @ 02:26
Ce prétendu premier mariage est cité en note dans La Maison de Bourbon 1256-2004, 2ème édition, par Patrick Van Kerrebrouck avec la collaboration de Christophe Brun, Villeneuve d’Ascq, 2004 (note 29, page 599) : « Curieusement, Alfonso de Ceballos-Escalera, La insigne orden del Toisón de oro, Madrid 1996, numéro 1140, indique un premier mariage secret à Madrid le 16 octobre 1891, avec Louise de Maillé de La Tour Landry, née à Paris le 11 juin 1873, morte à Paris le 17 octobre 1893, dont postérité. »
L’Allemagne dynastique, tome V, aux Familles alliées A-B, n’en dit rien. Rien dans l’acte de décès à Cannes de Son Altesse Royale Philippe Emmanuel Maximilien Marie Eudes Duc de Vendôme et d’Alençon… époux de Son Altesse Royale Henriette, Princesse de Belgique. »
Mais en réalité nous sommes dans la plus haute fantaisie et le piège à gogos brésiliens au profit d’un faux ordre de chevalerie.
Pierre Gaubert l’a évoqué dans l’Intermédiaire des chercheurs et curieux, avril 1979, colonnes 311-312, à propos d’une communication d’un ordre impérial du Sabre, émanant de la Suprême Confédération impériale ottomano-byzantine dirigée par « Georges Suleiman, prince et padishah d’Orléans-Bourbon d’Osman Medjid Paléologue Cantacuzène, altesse impériale et royale » qui, selon Le livre d’or des valeurs humaines, d’Edmond de Salces, Éditions du Mémorial, 1970, serait plus simplement nommé Georges Soliman Khan III, le petit-fils du duc de Vendôme, lequel aurait donc épousé « la princesse » Louise de Maillé de la Tour Landry de qui il aurait eu Philippe Charles Emmanuel Marie d’Orléans et d’Alençon, « illustre ingénieur, archichancelier de la suprême Confédération impériale ottomano byzantine « , né à Paris le 15 novembre 1893, mort à Sao Paulo le 12 août 1955, titré prince de Marmara et grand-duc de Thébas (Thèbes ?), vulgairement appelé Philippe Charles d’Orléans Alençon Marmara Thebas. Celui-ci épousa à Rio de Janeiro le 5 mai 1928 Elisabeth Marie Mirou Mah Medjid Khanim II, « grande sultane d’Osman », née à Rio de Janeiro le 6 novembre 1912, fille de Nayme Mirou Mah Medjid Khanin Ier, « grande sultane d’Osman, chef officiel et juridique de la Maison d’Osman, branche chrétienne » et de Don (sic) Michel Clémentin Effendi.
Du mariage Orléans-Mirou serait issu Georges Charles Philippe Soliman (Georges Soliman Khan III précité), né à Sobral (État du Ceará, Brésil) le 22 mars 1929, marié le 30 mars 1960 à Vera Beatrix Dias de Castro dont il aurait eu Marie Thérèse Élisabeth Mirou Mah Sultane, née le 12 janvier 1961 et Philippe Auguste Antoine Marie.
Rien dans les Orléans et les Illégitimes de l’Encyclopédie des Maisons souveraines de Gaston Sirjean.
Et Pierre Gaubert s’étonnait d’un empire ottoman transmis par les femmes et d’une branche chrétienne des Osman.
En 1983 l’ICC revenait sur le sujet après une question de Freitas Branco (colonnes 1209-1210), qui citait une notice généalogique de Madère : le mariage du 16 octobre 1891 aurait été célébré dans la résidence d’un oncle paternel de la mariée (il me semble qu’à cette date Louise, s’il s’agit de la future comtesse de Ludre, née à Paris le 11 juillet 1873 et non de l’introuvable Louise née à Paris le 11 juin 1873, n’avait plus d’oncle paternel vivant), à Madrid, en présence de l’ambassadeur de France, du nonce apostolique (curieux mariage secret hors la présence de la famille du marié mais avec de telles autorités) et du duc de. Plaisance oncle de la mariée (en fait son frère).
Henri Viallet dans l’ICC de mars 1984, colonnes 292-293 notait que le duc d’alors avait peu de nièces surtout en 1891 : Élisabeth de Caumont-La Force (1877-1919), future vicomtesse de Luppé, Claire-Clémence de Maillé, née le 15 décembre 1891 seulement, morte en 1963, comtesse de Gontaut-Biron, et encore trois Grammont nées en 1891 et après, et une Ludre donc, Jeanne (1895-1977), marquise de Cossé. G. Dardaud concluait à des titres de fantaisie (colonne 293).
Pierre Gaubert ajoute (ICC, juin 1984, colonne 622) que le fils brésilien de ce Philippe s’affuble des titres de grand modérateur de la suprême confédération impériale ottomano-byzantine, grand protecteur de l’ordre souverain et militaire du Temple, de la milice orthodoxe du Saint-Sépulcre de Jérusalem, etc. et de padishah de jure de l’Empire ottoman !
Voir aussi pour un aperçu de ces fantaisies autour de SMIR Georges Ier Soliman Khan III : theocratia ecumenica, http://domus-augusta.blogspot.fr/2006/06/03041923-html?m=1.
Il semble devenu (en 2012) Sa Béatitude Mar Georges Soliman III Khan, O.S. + G (?), Prince d’Orléans-Alençon-Osman-Oghlou, Proto-Éparque et Theokrator titulaire d’Edirne (Andrinople), Patricien Osmanli, Second Modérateur du Suprême Synode de la Sainte Église Apostolique, Primitive, Catholique et Orthodoxe !
Brigitte et Christian
21 avril 2014 @ 20:52
bonjour à tous
Nous sommes allés voir Wiki et nous avons bien trouvé l’indication d’un mariage avec une Louise de Maillé, de même sur le site royaltyguide.nl l’indication est donné avec des ???
Dans la généalogie des Maillé, nous n’avons trouvé que Hélène Louise Marie que nous citons dans ma première réponse, mais elle est décédée en 1953.
Nous ne trouvons pas d’autre jeune fille de Maillé pouvant convenir.
Par contre Pierre Marie Dioudonnat dans le simili nobiliaire français cite une famille non noble « Maurel de Maillé de La Tourlandry » mais sans autre précision.
Nous pensons qu’il s’agit d’une fumisterie !!! à moins de nous prouver le contraire
amitiés du sud ouest où le temps se maintient
Damien B.
17 avril 2014 @ 06:54
Merci Tépi pour cette jolie carte postale très Belle Epoque.
Les Vendôme menaient une vie très mondaine ce que déplorait le roi Albert 1er frère d’Henriette.
Une petite précision : Marie-Louise la fille aînée est décédée en 1973.
Actarus
17 avril 2014 @ 13:30
Les Saxe-Cobourg-Gotha de Belgique avaient la réputation de ne pas être de joyeux drilles. Sans verser dans un excès ou l’autre, on peut faire son travail avec sérieux sans pour autant avoir une rigidité de coincé. ;-)
Damien B.
17 avril 2014 @ 16:19
C’est vrai en ce qui regarde Léopold 1er qui était la gravité même, mais Léopold II était loin d’être coincé ;-) Il alliait un travail colossal à une vie de plaisirs.
En outre il avait un sens de l’humour (souvent acerbe) très aiguisé et on pourrait en étant anachronique dire qu’il actarusait à sa manière.
Actarus
17 avril 2014 @ 19:36
Ah bon ? Pourtant dans ses mémoires, « Je devais être impératrice », l’archiduchesse Rodolphe d’Autriche, née princesse Stéphanie de Belgique, nous livre des détails sur son enfance qui ne sont pas rose bonbon. Ce qui m’a le plus marqué c’est que les fenêtres du château de Laeken étaient ouvertes été comme hiver (brrrrrr)…
Pour l’humour actarusien de Léopold II, vous m’en apprenez une bonne, cher ami. ;-)
Damien B.
18 avril 2014 @ 07:03
Oui on menait une vie spartiate à Laeken au temps de Léopold II : toilette matinale avec de l’eau froide, peu de plats à table, décors dépouillés.
Le Roi était adepte de bons mots, de formules d’esprit. Ainsi à un prêtre qui lui reprochait sa liaison avec la baronne de Vaughan en lui disant timidement : « on murmure que Votre Majesté a une maîtresse », Léopold II répondit : « on m’a dit la même chose de vous, mais moi je ne l’ai pas cru. »
Palatine
18 avril 2014 @ 07:26
Damien a raison, Leopold II avait de l’humour. Mais il se peut qu’avec ses enfants il ne l’exerçait pas cet humour. Un exemple. Une fois il était allé chez un coiffeur, où il n’avait pas ses habitudes et le figaro lui avait demandé un prix ridiculement élevé pour sa prestation. Le roi lui dit « mon ami vous vous payez ma tete ? Eh bien la voici » et il lui tendit une pièce de 5 francs où se trouvait le profil de Leopold II. Il disait que la musique (qu’il detestait) était un bruit qui coûtait cher. Il avait un humour sarcastique, qui souvent s’exerçait aux dépens de braves bourgeois de Bruxelles et de ceux qui pour paraitre nobles ajoutaient en particule le nom de leur propriété à la campagne. Je crois qu’il se sentait plus français que belge, et quand il le pouvait filait en France où il avait ses habitudes, souvent libertines. C’est là qu’il « dénicha » celle qui se fit appeler Baronne de Vaughan.
Francine du Canada
18 avril 2014 @ 11:44
Merci Palatine, j’adore les anecdotes comme celles-ci. Amitiés, FdC
Actarus
18 avril 2014 @ 12:10
hahaha !
Vous vous payez ma tête ? Eh bien la voici ! MDR !
D E B
17 avril 2014 @ 07:30
On ne souriait pas sur les photos de l’époque.
Il fallait garder l’air sérieux et respectable.
Je ne connais qu’une seule photo de la reine Victoria souriante.
patricio
17 avril 2014 @ 07:42
bravo Tepi pour votre trouvaille, j’adore les cartes postales anciennes
amitiés et un grand merci pour votre attention
patricio
Tepi
17 avril 2014 @ 20:03
Je suis contente qu’elle vous a plue. Moi aussi d’adore les cartes postales anciennes. Elles ont une histoire par toutes seules… Merci Patricio et les autres lecteurs.
Jean I
17 avril 2014 @ 09:22
Merci beaucoup à Tepi pour cette carte postale
pit59
17 avril 2014 @ 10:54
Et bin voila une brochette de personnes qui n’ont jamais dû faire grand chose de leurs dix doigts !
Jean Pierre
17 avril 2014 @ 12:17
Je crois que l’on ne peut pas dire cela de leur fille Geneviève.
On pense de son action au Maroc ce que l’on veut mais enfin elle fût parmi les rares consciences (avec son mari, François Mauriac, Robert Barrat et d’autres) qui s’élevèrent contre l’attitude de la France face à Mohammed V.lors de la crise marocaine.
Gérard
17 avril 2014 @ 13:17
Et on pense à sa fille Henryane.
ML
17 avril 2014 @ 13:33
Cela vous empêche de dormir ,100 ans après! Et puis, nous avons encore de belles brochettes de politiques qui ne font pas grand-chose et sont très très bien rémunérés ,on se demande pourquoi!
pit59
17 avril 2014 @ 17:05
Je pense surtout à la condition ouvrière au 19ème siècle. Dans Germinal, Zola nous décrit les conditions de travail qui sont détestables, difficiles. Les accidents et maladies professionnelles sont fréquents, les salaires sont dérisoires. Les ouvriers sont payés à la semaine, à la journée, à la tâche. Cordialement.
Gérard
18 avril 2014 @ 16:16
Ces princes encore riches fournissaient de l’emploi à beaucoup de monde et par tradition, par éducation, par devoir chrétien et certainement par cœur ils multipliaient les œuvres de bienfaisance. Je ne suis pas certain que tous les milliardaires de la terre aujourd’hui, qui sont beaucoup plus riches, soient aussi utiles et généreux pour leurs semblables.
COLETTE C.
17 avril 2014 @ 12:59
J’adore ces photos anciennes ! Merci.
Tonton Soupic
17 avril 2014 @ 13:46
Le princes Jean est magnifique avec ces belles bacchantes, de me^me de Phildaromena, par contre si je reconnais bien Genièvre, je trouve bizarre d’avoir accontré Gaston ainsi et je ne savas pas que le 3e bébé de Nos Altesses Roatales bien aimées étaient déjà né. Comment s’appelle tonc cet adorable nourrisson royal ?
Actarus
17 avril 2014 @ 19:37
LOL ^^
ARAMIS
17 avril 2014 @ 20:08
Ben oui soupic, je comprends enfin pourquoi certains disent que les Vendome font vieux jeu !
Gérard
18 avril 2014 @ 16:23
Pour sûr l’Oncle, ma l’on p’têtre bien nous dire qui sont attifés comme des suettes.
Brigitte et Christian
17 avril 2014 @ 14:18
bonjour à tous
merci à Tepi pour cette carte postale qui manque à notre collection.
Il est vrai que nous ne sommes pas allé en Grèce depuis quelques années.
Nous chinons plutôt sur internet ou il y a aussi de belles choses à trouver sur notre Famille Royale.
amitiés du sud ouest sous le soleil
Sophie
17 avril 2014 @ 14:43
Merci à Tepi pour cette belle carte postale qui nous montre l’un des couples princiers les plus en vue de la Belle époque à Paris
Anais
17 avril 2014 @ 14:43
Tepi, à nouveau un grand merci pour avoir dénicher ces petits trésors d’archives. Vivement la suite.
Francine du Canada
17 avril 2014 @ 15:10
Merci à Régine et à Tépi pour ce reportage. FdC
flabemont8
17 avril 2014 @ 16:09
Merci, Tepi, pour cette photo qui rafraîchit nos mémoires ( en tout cas, la mienne ! )
moine eric
17 avril 2014 @ 17:43
Oui, merci pour la photo de l’aieul de l’actuel Duc de Vendôme .
A+Eric71.
Charles
17 avril 2014 @ 18:57
Merci Tepi et Régine pour cette jolie carte des Vendôme et leurs enfants.
Christine de Maillé
29 août 2020 @ 19:00
La famille Maurel de Maillé de la Tourlandry est issue du comte Guy de Maillé de la Tourlandry et de son épouse Louise qui n’ayant pas d’enfant a adopté un enfant caché et illégitime issu d’une grande famille) qu’on lui avait confié. Il n’y a donc pas fumisterie!! Cet enfant était mon père…
Nous avons donc hérité du château familial et tout se passe bien avec la famille « de sang » du côté de la branche aîné du marquis de Maillé.
Jacques Maurel de Maillé de la Tourlandry (dcd à 58 ans en 1974), l’enfant en question, est connu sous le nom de Jacques de Maillé comme peintre de la Marine.
Jacques de Maillé est enterré dans la chapelle du château du Bois Guignot