A Itytyozi en Afrique du Sud, le prince et la princesse Napoléon commémorent le centenaire de la mort du prince impérial, fils unique de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie, tué le 1er juin 1879 sous les coups des Zoulous alors qu’il servait dans l’armée britannique, pays de son exil. (Point de Vue n°1619 du 3 août 1979)
Jean I
22 mars 2011 @ 07:53
Ravi de cette ancienne couverture car on y voit la princesse Napoléon que j’apprécie beaucoup. Dommage que nous n’ayons que de trop rares informations à son sujet.
Anne-Cécile
22 mars 2011 @ 09:39
Je préfère à toutes nos candidates reines de France passées et présentes la Princesse Napoléon.
J’apprécie hautement la manière dont elle a conduit sa vie, sa sobriété et sa discrétion.
Sans aucun doute c’est elle qui reflète le plus la femme française et l’éducation française.
Il n’y a qu’à voir la façon dont elle préside et organismes et manifestations pour être marqué par la différence.
D’ailleurs ni le Gotha ni la République ne s’y sont trompés.
palatine
22 mars 2011 @ 10:49
Quelle histoire épouvantable que la mort de ce jeune prince de 23 ans, je crois. Et un fils unique en plus. J’ai toujours eu bcp de compassion pour l’imperatrice Eugenie. Je la trouve courageuse d’avoir réussi à surmonter ce deuil.
LPJ
22 mars 2011 @ 12:37
Je me rappelle de ce reportage très émouvant. Le Prince et la Princesse avaient été sur les traces tragiques du Prince impérial. Ce fut un des nombreux voyages qu’ils firent dans différents pays sur les traces de l’épopée impériale et qui donnèrent lieu à diverses commémorations. Ils allèrent même à Saint Hélène (et les conditions de voyage pour ce rendre sur cette ile sont loin d’être évidentes !).
Dans ce numéro de point de vue était également officiellement annoncé le mariage du prince Charles Napoléon et de la Princesse Béatrice de Bourbon-Siciles ; mariage qui datait de la fin 1978.
Jean Pierre
22 mars 2011 @ 13:40
L’année suivante en 1880, l’impératrice Eugénie s’est rendue en Afrique du Sud pour voir où son fils était mort. Quel périle parce que le lieu des combats est au milieu de nulle part, encore aujourd’hui.
Sur la photo on reconnait Bernard Dorin qui était ambassadeur de France à Prétoria.
Colette C.
22 mars 2011 @ 20:02
L’impératrice Eugénie n’a pas eu une vie facile et sa fin de vie a été bien solitaire.
jul
22 mars 2011 @ 20:47
Même si je préfère les Ducs d’Anjou, je ne puis m’empêcher de penser que les Princes Napoléon auraient d’excellents souverains pour la France.
J’ai beaucoup aimé le repotage consacré par Stéphane Bern à l’histoire de l’Impératrice Eugénie et au Prince impérial l’été dernier.
Caroline
23 mars 2011 @ 08:22
A ma honte,j’ignorais cette histoire tragique sur le fils unique de Napoleon III et de sa femme!
LPJ
23 mars 2011 @ 12:14
Je ne peux qu’approuver jul : le Prince et la princesse Napoleon auraient dignement représenter la France si celle-ci été restée une monarchie. Moins « turbulent » et « activiste » que ses cousins Bourbon et Orléans, le prince Napoléon auraient pu réconcilier les diverses factions françaises. L’Histoire en a voulu autrement. La Princesse d’origine noble mais non issue d’une famille royale a toutefois parfaitement tenu son rôle de « première dame impériale ». Elle continue d’ailleurs d’assumer dignement.
Le jeune Prince Napoléon avec un tel exemple ne peut que devenir un grand chef de la maison impériale. Certes passer avant son père ne doit pas toujours être facile mais il accomplit jusqu’à présent un parcours sans faute. Outre l’exemple de ses grand-parents paternels, il a eu également sous les yeux celui des ses grand-parents maternels les Duc de Castro, souverains de jure des Deux-Siciles. De sa génération, il sera l’un des rares « prétendants » à avoir deux grand-pères chef de leur famille.