Photo du début des années 1950 représentant les cinq fils du prince Henri et de la princesse Isabelle, comte et comtesse de Paris. On reconnaît de gauche à droite : le prince François, duc d’Orléans à titre posthume (1935-1960), le prince Jacques, duc d’Orléans (né en 1941), le prince Henri, comte de Paris (1933-2019), le prince Michel, comte d’Évreux (né en 1941) et le prince Thibaut, comte de La Marche (1948-1983). (Photo : Collection Point de Vue – merci à Charles)
Leonor
3 mars 2020 @ 08:42
Image idyllique et trompeuse.Des enfants en complet veston et cravate , ou en tenue blanche, écoutant religieusement leur aîné qui fait mine de leur lire un ouvrage à l’évidence neuf. A qui voulait-on faire gober cela ?
Surtout, on le sait depuis, le comte de Paris a cruellement maltraité ses fils. Tous ses fils. Un Chronos qui mangeait ses enfants. Ses enfants mâles surtout. Effarant.
Gérard
3 mars 2020 @ 13:44
Mais non c’était un père sévère et très aimant. N’en faisons pas un ogre. Avec tant d’enfants il fallait un père attentif et qui vouloir voir les devoirs et les notes scolaires.
Leonor
4 mars 2020 @ 21:57
» Très aimant »… Gérard, ce n’est pas ce qu’en ont dit et écrit ses enfants , une fois adultes.
Et quant à regarder les notes scolaires, si c’est pour fustiger , humilier, exiger , punir, c’est contre-productif :on obtient le résultat exactement inverse.
Il est vrai que dans sa génération, le comte de Paris n’était pas le seul à procéder ainsi.
Karabakh
5 mars 2020 @ 16:48
Voilà, il fut un père de sa génération ; tous les pères n’étaient pas ainsi mais la plupart avaient cette obsession des notes. La génération suivante fut moins fixée sur les résultats scolaires, ce qui n’a pas produit une descendance d’idiots pour autant.
Neoclassique
3 mars 2020 @ 13:47
Une photo posée, ultra trompeuse qui cachait la réalité d un père autoritaire, maltraitant ses enfants.
Mieux vaut cacher ces photos d un bonheur artificiel quand on sait maintenant la terrible réalité qu elle cachait. .
Leonor
4 mars 2020 @ 22:13
Oui.
+ Henri a été manipulé et instrumentalisé . Plus tard méprisé et rejeté,démis de son titre d’origine, renié en tant que dauphin au profit de son propre fils .
+ François , aux dires de Henri, s’est engagé et, à la guerre, s’est exposé délibérément, son père refusant qu’il se marie avec la femme de son choix, dont il avait un enfant.
+ A Michel, il a aussi été refusé qu’il épouse la femme de son choix,laquelle n’était pourtant pas responsable des engagements vychistes de son père .
+ A Jacques,il a été refusé qu’il suive la carrière de son choix,comme officier cavalier si je me souviens bien, le comte de Paris usant de ses contacts pour lui barrer la voie.
+ Thibaut ,lui,a épousé la femme qu’il aimait malgré l’opposition de son père.Lequel le lui a fait chèrement payer au pire moment : le décès du petit Louis-Philippe .Le prince Jacques relate que le comte a fait d’abord délibérément retarder le jour des obsèques de nombreux jours, sous prétexte qu’un de ses voyages en Suisse était plus important .Puis, le jour même, tous ont été effarés quand ils ont réalisé que le comte avait ,sans prévenir, fait préparer une tombe à l’extérieur de la chapelle royale de Dreux, refusant ainsi à l’enfant la fameuse crypte Orléans. Il en fit de même par la suite pour son propre fils Thibaut.
Aucun des fils – ni aucune des filles d’ailleurs – n’a fait d’études ni autre formation un tant soit peu sérieuse. Est-ce de leur seule faute à eux ?
Quant à la fortune ancestrale : le comte a tout claqué. Par incompétence, négligence, naïveté . Et volonté délibérée, selon ses propres dires.
Curieux amour paternel, tout de même.
Gérard
5 mars 2020 @ 15:46
On pourrait contester bien des points et ne pas prendre pour argent comptant toutes les calomnies qui ont été répandues mais ce n’est pas du tout à l’extérieur de la chapelle royale que le prince Thibault et son fils ont été inhumés, simplement ce n’est pas dans la crypte du comte de Paris.
ML
3 mars 2020 @ 19:00
Il y avait beaucoup de photos comme celle-ci à l’époque . J’en ai plusieurs et tout le monde trouvait cela normal. C’était une photo de groupe posée . Il ne faut pas chercher midi à quatorze heures .
Claudia
3 mars 2020 @ 20:10
Peut-être qu’à cette époque l’image n’était pas encore si trompeuse que ça..Ils sont encore très jeunes les cinq enfants, après effectivement la belle unité familiale s’est bien délitée… Je me souviens d’une interview du Comte de Paris à la télévision disant qu’aucun de ses fils n’avaient fait d’études sérieuses et qu’il était déçu par eux.
Leonor
4 mars 2020 @ 21:53
Oui. Je m’en souviens aussi. Or, quand on ne s’occupe que très moyennement de ses enfants, ou quand on confond éducation et dressage , il est bien rare qu’ils fassent des études sérieuses. Un enfant a besoin d’être motivé, encouragé, soutenu.
Laurent
3 mars 2020 @ 22:06
Tout à fait exact
Ghislaine-Perrynn
4 mars 2020 @ 10:11
Rectification à vos outrances –
Quand le Prince François est tombé en Algérie ses parents conjointement étaient (et tout le monde peut le comprendre ) dévastés par cette nouvelle .
Quand la princesse Diane d’Orléans a été atteinte par une grave intoxication due à l’utilisation de certains tubes de peinture et qu’elle a réclamé ses parents auprès d’elle , ils ont répondu présents .
Quand le dernier de la fratrie a pris des chemins de traverse « Chronos » a fait plus d’une fois des visites à celui-ci et , à mon humble avis , a du surement se faire violence pour y aller mais n’a pas laissé seul sont dernier fils .
Naucratis
4 mars 2020 @ 14:18
Cronos et non Chronos.
Ghislaine-Perrynn
6 mars 2020 @ 13:11
Naucratis avant de me reprendre il faut lire le déroulé des commentaires , je ne fais que citer délibérément la spécialiste du tout sur tout .
Donc si vous avez justement rectification à faire faites le sous le post de l’incriminée (rire) croyez bien mon bon que mon éducation de bretonne comporte quelques solides notions de mythologie .
A votre service
aubert
5 mars 2020 @ 12:17
Vous avez raison de rappeler des faits indiscutables..
Des correspondants souhaitent passer pour de fins psychologues. Ils écrivent des outrances, c’est leur habitude. Cela n’est négatif que pour eux.
D’autres, les approuvent par haine des Orléans et adulation d’ un prince de Bourbon.
De Gaulle a reçu le comte de Paris à plusieurs reprises alors que
politiquement il n’ en attendait rien. Cela prouve que les propos du prince comme sa personnalité n’étaient pas dénués d’intérêt..
Gérard
5 mars 2020 @ 15:49
Oui et ce qui a été écrit par Ghislaine n’est pas exhaustif parce qu’on ne peut pas tout dire par exemple.
Ghislaine-Perrynn
6 mars 2020 @ 13:16
exact Gérard –
Peregrine
4 mars 2020 @ 21:11
malheureusement à cette époque il était normal que les pères soient autoritaires avec leurs enfants, bien que je le juge de toute façon cruel
Gérard
5 mars 2020 @ 15:54
Moi j’ai eu un père qui était adorable et qui me faisait confiance et j’essayais de ne pas le décevoir mais je me souviens d’avoir vu plusieurs de mes oncles distribuer des claques à des garçons qui avaient 20 ans et qui ne se rebellaient pas. C’était parfois pour les notes, c’était aussi parfois pour des raisons de vie privée. Je me souviens un dimanche de l’un de mes oncles donnant une gifle à son fils en lui disant : comment tu as deux petites amies en même temps ?
Gilan
6 mars 2020 @ 16:31
Je ne peux que citer Muriel Saloma, psychiatre fondatrice de l’association Mémoire traumatique et victimologie « La violence fait ‘disjoncter’ le cerveau ».
Désolé, ce n’est pas l’objet de ce blog, par ailleurs fort agréable et distrayant à lire.
Jackie
6 mars 2020 @ 21:32
Ils tenaient leur rôle de père Peregrine, tout simplement. Un père doit avoir un rôle tout différent de la mère, il n’est pas là pour cajoler et laisser tout faire à son enfant. Maintenant, malheureusement il n’y a plus de différence et l’on voit ce que cela donne. Si cela vous convient, c’est parfait.
Olivier Kell
5 mars 2020 @ 10:28
Photo classique d’une époque dans certaines familles ou l’on devait poser avec une certaine mise en scène Pas nécessaire d’en faire une analyse psychologique et pas plus ridicule que l’avalanche actuelle de selfies
Claude
3 mars 2020 @ 08:51
3 des fils ont disparu, dont mon cher ami Henri, l’année passée…
Restent les jumeaux.
Chez les filles, toutes sont encore de ce monde.
aude
3 mars 2020 @ 09:13
Superbe photo des cinq fils de France
Brigitte et Christian
3 mars 2020 @ 09:14
bonjour à tous,
Merci à Charles pour cette photo nostalgie qui nous ramène à notre jeunesse. Il est émouvant de penser que seuls les jumeaux restent en vie sur les 5 garons de la famille de France alors que toutes les princesses sont toujours présentes.
Nous sommes toujours heureux de voir ces documents que nous ne connaissions pas et en remercions le site
Amitiés du sud ouest sous la pluie
Clémentine/Lola1
3 mars 2020 @ 09:46
Est ce que quelqu’un sait ce qu’est devenu l’enfant (caché…) du prince François ?
Claude
3 mars 2020 @ 12:54
Pathétique histoire d’amour de François, amoureux d’une jeune fille que son père lui interdit d’épouser.
Il alla s’exposer au combat en Algérie et devint « un héros mort pour la France ».
Gérard
3 mars 2020 @ 13:45
Il tient à demeurer caché.
Mary
7 mars 2020 @ 23:43
En tout cas, il n’est pas comme certains enfants illégitimes qui font des procès pour exiger une reconnaissance…et un peu de fric à la clé,fût-ce en publicité pour ensuite,vendre des livres ou des croûtes…
Brigitte et Christian
3 mars 2020 @ 14:09
bonjour à tous
Y a t-il vraiment eu un enfant du prince François ?
Si oui laissons le vivre en paix.
Amitiés du sud ouest sous la pluie
Bernadette
3 mars 2020 @ 14:27
Non…il est toujours caché…et discret.
Muscate-Valeska de Lisabé
3 mars 2020 @ 15:39
Ah bon?…un secret dans le placard?
Mayg
4 mars 2020 @ 13:28
Ce sujet a déjà été discuté à plusieurs reprise sur N & R.
Muscate-Valeska de Lisabé
5 mars 2020 @ 19:42
J’ai loupé.
Mayg
6 mars 2020 @ 14:56
Il parait que le prince François a eu un fils illégitime, issue d’une relation avec une jeune femme que son père n’a pas accepté…
ML
3 mars 2020 @ 18:52
Je crois qu’il tient à rester caché .
Karabakh
4 mars 2020 @ 22:34
Quelque chose me dit qu’il veut rester caché, tout en traînant dans l’ombre de son cousin. 😉
clementine1
3 mars 2020 @ 10:16
Longue vie à toute la fratrie, Princes ET Princesses.
Augustin
3 mars 2020 @ 10:50
Il ne reste plus en vie que les princes jumeaux Jacques et Michel
Eric
3 mars 2020 @ 10:57
Cinq garçons sympathiques
Trianon
3 mars 2020 @ 11:43
ils étaient tous très beaux
Caroline
3 mars 2020 @ 11:43
C’ est une très belle photo nostalgique ! Existe- t- il une photo analogue réunissant les filles du comte de Paris ?
Benoite
3 mars 2020 @ 12:22
oui avec leur mère,, pour un mariage dans les années 1969. Et aussi pour le mariage de Jacques et Gersende en aout 1969, il y eut une photo privée, des filles du comte et de la comtesse de Paris. Photo prise , je crois dans l’apm de la cérémonie civile.
Gatienne
3 mars 2020 @ 12:29
http://www.noblesseetroyautes.com/archives-la-comtesse-de-paris-et-ses-filles-en-1952/
Menthe
3 mars 2020 @ 13:56
Sûrement Caroline! Charles, faites nous ce plaisir,svp.
Elisa
3 mars 2020 @ 12:01
Seuls survivants : les jumeaux Jacques et Michel et leurs sœurs, toutes encore en vie
Régis
3 mars 2020 @ 12:45
Photo qui fait plaisir à voir
Mary
3 mars 2020 @ 12:52
Ils étaient beaux !
COLETTE C.
3 mars 2020 @ 12:54
Avec le regretté prince François.
Mayg
3 mars 2020 @ 13:14
La photo est belle, mais les apparences sont souvent trompeuses. On est loin d’une famille idyllique.
Pourquoi les filles n’apparaissent pas sur la photo ?
Alice
3 mars 2020 @ 13:25
Cinq beaux garçons! J’aime revoir ces photos de la famille de France, à l’époque du “Coeur Volant”.
Muscate-Valeska de Lisabé
3 mars 2020 @ 15:38
Aucun des cinq n’a fait d’étincelles.
Josephine
3 mars 2020 @ 17:06
Belle image des princes de France
Albator
3 mars 2020 @ 23:02
LOL
https://www.facebook.com/SARcomtedePaname/posts/2900816479941717
Francoise
4 mars 2020 @ 04:48
Ou est cet enfant ?est ce tellement honteux que pas un n ‘en parle….pas beau tout ça
Ghislaine-Perrynn
4 mars 2020 @ 13:17
Françoise, c’est son choix à cet homme de rester dans l’ombre mais cela n’empêche pas qu’il a des contacts avec la famille de son père . En agissant ainsi , je crois qu’il répond au désir de sa mère .
Gérard
6 mars 2020 @ 23:38
Et quand on a été élevé par un père qui n’est pas son père biologique on préfère en général rester discret ne serait-ce que par amour pour lui.
Charlotte (de Brie)
9 mars 2020 @ 12:23
Oui, d’ailleurs c’est ainsi que l’on pratique en Belgique !
kalistéa
4 mars 2020 @ 09:17
mes messages ne partent pas .
kalistéa
4 mars 2020 @ 09:19
Le comte aurait voulu qu’ils fassent de brillantes études pour faire honneur à leur nom et à leur famille.Ils étaient paresseux et indisciplinés.
Gatienne
4 mars 2020 @ 12:58
Pour faire de brillantes études, dans la majorité des cas, il faut que les parents s’ils ne peuvent s’investir sur le plan intellectuel (ce qui n’était pas le cas, du moins pour le père) il faut qu’ils aient, au minimum, une mentalité de « coach » moral et émotionnel. Monsieur père était beaucoup trop investi à promouvoir son propre destin et madame occupée à ses mondanités, pour que les enfants bénéficient de cette aide indispensable.
Pierre-Yves
4 mars 2020 @ 16:11
Oui, j’ai lu cela moi aussi. D’où la déception du père.
En même temps, on n’a peut-être su stimuler ces garçons, éveiller leur intéret pour l’étude et leur gout de l’effort. Certes, ils ont été beacuoup trimballé, mais ils ont quand même bénéficié d’une grande aisance, le comte de Paris ayant été un homme riche jusqu’au début des années 60. Cette aisance a peut-être fait qu’ils n’ont pas vu la nécessité de faire des études solides.
Anne-Cécile
5 mars 2020 @ 05:15
Les deux aînés se sont distingués pourtant, les cadets je ne les connais pas.
Le comte Henri décédé en 2019 fut un officier sérieux et de valeur, adorant son travail, et le prince François fut diplômé ingénieur agronome au terme d’une excellente scolarité. Son rêve d’exercer en tant qu’agronome fut brisé par son père qui lui demanda d’intégrer une école d’officiers. Il ne revint jamais.
Certes rien de transcendant mais très honorable, leur père a t-il fait mieux, avec ses moyens intellectuels certains?
Gérard
5 mars 2020 @ 16:47
Le prince François avait obtenu son diplôme d’ingénieur agronome en 1958 et il n’avait pas encore fait son service militaire et en septembre il a été incorporé, pour au moins 18 mois, puis il a souhaité intégrer dans la foulée l’école d’officiers de Cherchell dont il est sorti aspirant. Il n’était pas question pour lui d’être
« planqué » en métropole pendant la guerre qui se déroulait en Algérie et c’est vrai qu’il a été plusieurs fois héroïque.
Le Monde du 12 octobre 1960 :
« Le corps du sous-lieutenant François d’Orléans, tué mardi matin en opération en Kabylie, a été placé dans une chapelle ardente aménagée à l’hôpital Naegelen de Tizi-Ouzou où le frère du jeune homme, Henri, est arrivé aux premières heures de la journée de mercredi. La dépouille mortelle a été aussitôt transportée par la route à Alger. Les obsèques sont prévues jeudi matin à l’hôpital Maillot, en présence du comte et de la comtesse de Paris. Vendredi le corps doit être dirigé vers la métropole par avion militaire.
« Il était un peu moins de 11 heures mardi lorsque François d’Orléans a été tué. Le jeune officier participait, à la tête de ses hommes, à des opérations d’assainissement entreprises depuis près d’un mois dans le massif du Djurdjura. Les premiers résultats obtenus avaient permis de neutraliser avant la fin du mois de septembre cinquante-quatre hors-la-loi. Trente et un autres ont été mis depuis hors de combat.
« Mardi l’unité de François d’Orléans découvrait près de Taourirt (secteur de Michelet) une cache occupée par des rebelles dans un ravin boisé. Avec l’appui d’un commando de chasse elle procéda à l’encerclement de l’adversaire. Un groupe rebelle embusqué dans les fourrés ouvrit alors le feu à bout portant sur les éléments de tête. Deux harkis tombèrent blessés. Le sous-lieutenant d’Orléans manœuvra avec sa section pour réduire l’adversaire. C’est au moment où il se tournait vers ses hommes pour leur faire signe d’avancer que le jeune officier fut atteint d’une décharge de chevrotines au côté droit. Grièvement blessé au foie, il succombait peu après.
« Âgé de vingt-cinq ans, affecté depuis septembre 1959 au 7e bataillon de chasseurs alpins, le sous-lieutenant François d’Orléans avait été cité il y a sept mois à l’ordre de la brigade. »
L’article se termine avec le télégramme de condoléances du général de Gaulle du 11 octobre : « Le sacrifice du jeune prince François, mort glorieusement pour la France, ajoute un service exemplaire à tous ceux que sa race a rendus à la patrie et qui sont la trame de notre histoire. Que Dieu, maintenant, l’ait en sa garde. »
Gérard
5 mars 2020 @ 17:09
Les derniers mots de François mourant furent pour son harki : » Comment va le blessé ? «
Laure-Marie Sabre
5 mars 2020 @ 09:19
Tous ?
Est-ce que cela ne signifie pas plutôt que ni le comte de Paris ni sa femme n’étaient de bons éducateurs ?
Gérard
6 mars 2020 @ 23:39
Ils n’étaient pas les éducateurs de leurs enfants, ils étaient les parents.
Mary
7 mars 2020 @ 23:52
Euh…les parents sont les premiers éducateurs tout de même !!!
Charlotte (de Brie)
9 mars 2020 @ 12:25
Eh bien , nous voilà d’accord Mary !
Laure-Marie Sabre
9 mars 2020 @ 16:04
Vous vous rendez compte de ce que vous dites ? L’instruction peut se déléguer, l’éducation sûrement pas. Et je réitère, les parents sont les premiers éducateurs.
Jules
4 mars 2020 @ 11:57
Jolie photo des Princes de la famille de France
Bambou
4 mars 2020 @ 16:49
François a eu un enfant ? Première fois que j’en entend parler.
Sheiley
4 mars 2020 @ 18:18
Les jumeaux très beaux enfants ont bien mal vieillis physiquement .
Francoise
5 mars 2020 @ 06:36
Kalistea vous êtes injuste, ce sont de pauvres enfants en depit de leur rang,de tout le confort matériel élevés sans soutien ni de leur père ni de leur mère les quels avaient d autres chats a fouetter.reliser les quelques livres écrits par ces enfants pour comprendre comment ils vivaient.
Gérard
5 mars 2020 @ 16:01
Michel de Grèce a bien rappelé que son oncle faisait la tournée tous les soirs des chambres pour embrasser tous les enfants et leur demander comment la journée s’était passée.
kalistéa
9 mars 2020 @ 11:09
Françoise , à l’époque tous les enfants étaient envoyés internes dans des écoles loin de leurs parents , moi même j’ai « tâté » de l’internat. Je n’ai jamais eu l’idée de dire que mes parents m’avaient mise « en prison ». C’est pourtant ce que ma sœur née 16 ans après moi , leur a reproché pour elle … car , alors l’époque avait changé… c’était une révoltée , elle avait vécu mai 68 .Les enfants de Franc e(Les jumeaux surtout) se faisaient renvoyer de toutes les écoles où ils jouaient des tours pendables. Le comte de Paris en avait vraiment assez.IL leur a dit qu’ils devraient gagner leur vie .
Gilan
6 mars 2020 @ 15:38
A l’époque, on posait pour un cliché, comme pour un tableau, il ne fallait pas sourire . C’était un signe de niaiserie.
kalistéa
8 mars 2020 @ 18:16
Il faut se replacer dans l’époque qui était celle de l’enfance des enfants de France pour comprendre que le père en pleine guerre mondiale et à qui on confiait certaines missions secrêtes, ne pouvait être présent au milieu de sa nombreuse famille réfugiée d’ailleurs au Maroc .