Après des études à l’Ecole impériale de danse de Saint-Petersbourg, elle devient première danseuse au théâtre Mariinsky.
Elle entretient une relation amoureuse avec le futur tsar Nicolas II de Russie vers 1890 et est aussi proche d’autres grands-ducs.
Elle quitte le pays au moment de la Révolution et trouve refuge à Paris où elle épouse le grand-duc Vladimir de Russie et est titrée princesse Romanovskaïa-Krassinskaïa.
Elle fonde en 1929 une école de danse à Paris. On la voit ici dans les années 50 lors de cours. Elle a écrit ses mémoires. Elle décède en 1971. Elle est inhumée au cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois. (merci à Alberto)
Robespierre
5 février 2021 @ 00:57
C’est quoi « être aussi proches d’autres grands-ducs » ? Cela veut-il dire que d’autres grands-ducs ont pris la succession du futur Nicolas II ? On admire la constance de la danseuse et son esprit de famille, même qu’elle en épousa un de grand-duc, mais après la Révolution d’octobre, évidemment. Et si ça se trouve c’est peut-être elle qui fit bouillir la marmite grand-ducale, car elle, elle avait un vrai métier. J’admire. Après tout, on peut aimer la danse et les grands-ducs . C’est beau d’avoir deux passions dans la vie.
Phil de Sarthe
5 février 2021 @ 09:34
👏🤗
Phil de Sarthe
5 février 2021 @ 12:52
Hortense Schneider était le passage des Rois…elle était le passage des Grands Ducs 🤔
Baboula
5 février 2021 @ 10:14
Les danseuses classiques ne doivent pas être grandes pour ne pas dépasser leurs partenaires de deux têtes quand elles sont sur pointes et être trop lourdes à porter. Cette dame correspond à l’image du prof de danse percluse de douleurs ,frappant la mesure avec sa canne.
ciboulette
5 février 2021 @ 16:23
En effet , j’ai connu plusieurs professeurs de danse dans ce cas ( ni princes , ni princesses ! )
LSC
5 février 2021 @ 18:35
Dans la série Mémoires d’exil, Frédéric Mitterrand évoque son souvenir avec une tendre ironie en indiquant que l’accent devenait chantant lors de la présentation de la note.
Juliette d
5 février 2021 @ 04:40
La dame enseignait coiffée de son chapeau.
Caroline
5 février 2021 @ 10:16
Juliette d ,
Chapeau ! Cette princesse a donné des cours de danse durant sa vie jusqu’ à un âge avancé si on la voit avec sa canne dans la photo d’ archives !
Dany
5 février 2021 @ 11:43
et avec une canne 😂
Trianon
5 février 2021 @ 13:01
On a tous vu .
Mary
5 février 2021 @ 05:19
Euh…elle a épousé le grand-duc André je crois. Ils avaient un fils.
Caroline
5 février 2021 @ 10:17
Mary,
Sa descendance de nos jours ?
Mary
5 février 2021 @ 13:23
Le fils est mort sans alliance ni enfants, je n’ai rien trouvé en tout cas. Mais il passe pour avoir été agent de renseignement pour l’Angleterre, durant la seconde guerre mondiale notamment.
Ses photos sur internet montrent une personne qui ne semble pas très heureuse.
Robespierre
6 février 2021 @ 13:36
Eh bien, c’est triste. Cette dame a déployé ses talents dans toute la génération grand-ducale de l’époque et outre le fait qu’elle n’a produit qu’un seul descendant, celui-ci n’a pas d’enfant et la lignée se tarit. Tout cela est bien stérile.
Bambou
5 février 2021 @ 07:04
Heureusement pour elle qu’elle n’a pas épousé Nicolas II……
Ses cours de danse devaient être courus…..
Elle ne paraissait pas grande pour une danseuse…(même si sur la photo elle est déjà âgée)…
Olivier Kell
5 février 2021 @ 12:09
Sur la photo elle doit avoir 80 ans
miloumilou
5 février 2021 @ 12:32
Les danseuses surtout à l’époque se devaient d’être menue… donc petite!
JAY
5 février 2021 @ 08:55
Rare photo de la princesse qui possédait un magnifique hôtel particulier a st Petersbourg
Ludovina
5 février 2021 @ 09:19
Son époux était le grand-duc Andreï de Russie (1879-1956), fils du grand-duc Vladimir de Russie (1847-1919), de la duchesse Maria de Mecklembourg-Schwerin (1854-1920).
Mathilde avait également une liaison avec le grand-duc Sergeï Mikhaïlovitch de Russie (1869-1918).
Leur mariage fut célébré le 30/01/1921 à Cannes, Andreï reconnut l’enfant de Mathilde, Vladimir Andréïevitch Romanoff, puis prince Romanovsky-Krasinsky (1902-1974), comme son fils après la révolution : ce dernier n’a jamais été sûr de son géniteur Sergeï ou Andreï.
HRC
5 février 2021 @ 09:28
Un Romanov en tout cas!
Robespierre
5 février 2021 @ 09:38
Qu’importe qui était son père. Au moins il était sûr qu’il était de la (bonne) famille.
Pierre-Yves
5 février 2021 @ 11:00
Il faut espéerer qu’elle ne se servait de sa canne que pour s’appuyer dessus, et non pour dresser les danseuses récalcitrantes. Elle me parait quand même assez menaçante.
COLETTE C.
5 février 2021 @ 11:08
Une vie….. agitée !
Leonor
5 février 2021 @ 11:26
Aaaah, le Mariinsky !
Je n’aime plus le ballet classique, mais je vais faire un effort pour tous ceux et celles qui en apprécient toujours le charme .
Voyez: Dansée par la troupe du Mariinsky, la Valse des Fleurs du Casse-Noisette de Tchaikovski
https://www.youtube.com/watch?v=bOC36Qjug4U&ab_channel=Ovation
Savourez.
ciboulette
5 février 2021 @ 16:32
Merci , Leonor , vous ne pouviez me faire plus plaisir ! Le Mariinsky , pour les personnes de ma génération , s’appelait encore le Kirov , et la ville , Léningrad , pour un temps .
Pascal M
5 février 2021 @ 11:49
Le cimetière russe de Sainte Geneviève des Bois, un « bel » endroit calme à découvrir.
On s’y croirait en terre russe; avec les bouleaux et les sépultures orthodoxes.
On peut y voir la tombe, notamment, de Félix Youssoupoff et son épouse, nièce de Nicolas 2.
Et, puis, celle magnifique de Rudolf Noureev, celle de Serge Lifar aussi etc etc.
Bambou
5 février 2021 @ 13:50
Calme, comme tous les cimetières…..?
Leonor
5 février 2021 @ 16:25
Les cimetières ne sont pas calmes du tout. Il y règne une vie intense. C’est pas d’blague.
Tiens, lisez donc les albums » Pierre Tombal ». Ce type-là – le scénariste et/ou le dessinateur, il a été du métier, j’en mets ma main au feu.
particule
5 février 2021 @ 12:39
Une photo pour moi pleine de souvenirs non parce que j’ai fréquenté cette célébrissime école de danse .. mais à la barre avec la rigueur d’un professeur avec la même allure, chapeau et canne, discipline de fer, apprentissage exigeant d’un maintien qui reste pour votre vie entière impeccable. Les jeunes vautrés sur les divans n’ont pas eu le bonheur d’avoir les pieds en sang et les coups de canne sur les mollets.
Gatienne
5 février 2021 @ 13:50
« Les pieds en sang et les coups de canne sur les mollets » ne sont absolument pas indispensables pour avoir, sinon un « maintien impeccable », du moins, une certaine tenue.
Ce genre d’argument à la Mme Mac Miche relève d’un folklore dépassé, du moins dans le cadre d’une éducation générale et actualisée !
Baboula
5 février 2021 @ 17:30
Le roi du Cambodge Norodum Sihamoni ,fut un professeur de danse classique,pédagogue patient et sans coup de bâton au Conservatoire W.A .Mozart à Paris . Je l’ai salué pendant des années ,je savais qui il était mais je n’ai pas de photo . Il a réconcilié ses élèves avec la danse,sa prédécesseure ne voulait former que de futurs petits rats et leur demandait à tous de maigrir . Nous avons tous été déçus pour la pauvre fillette présentée au concours et refusée car trop maigre .
Phil de Sarthe
5 février 2021 @ 18:43
Mme Mac Miche….de vieux souvenirs, Gatienne 😘
particule
5 février 2021 @ 21:47
Mme Mac Miche vous remercie de votre commentaire à son égard, il dénote ce qui nous sépare ..
Gatienne
6 février 2021 @ 15:03
Je me félicite de ne pas partager « le bonheur » que vous mentionnez !
particule
6 février 2021 @ 16:24
Je pense que le « bonheur » n’est pas le terme requis en ce qui nous différencie …. mais je suis certaine que vous allez trouver le « bon » mot , votre imagination n’a pas d’égal.
Jackie
7 février 2021 @ 20:22
Vous n’avez donc jamais entendu parler de cas de maltraitance à l’Opéra de Paris (Claude Bessy) ou de l’opéra de Vienne et cela encore tout récemment.
Suzanne Pellet
5 février 2021 @ 13:28
J’ai beaucoup apprécié, magnifique !
Celia72
5 février 2021 @ 13:48
Comme vous Particule. Même souvenir…
Merci Dame Regine pour cet article
Pascal M
5 février 2021 @ 14:30
Oui, Bambou, vous avez raison; « calme comme tous les cimetieres ».
Un lapsus de ma part.
En tout les cas, c’est un endroit différent de nos cimetieres de famille…
framboiz 07
5 février 2021 @ 15:01
N’y a -t-il pas un film sur cette personne ? Avant la révolution ? La famille impériale considérait normal, que Nicolas II jette sa gourme ,avant mariage .Pendant ce temps-là , il la fréquentait et on lui cherchait des fiancés ,on lui en parlait , comme au marché aux animaux, quoi , Tout ça, ça m’a toujours déplu ,en Iran, actuellement,ça se fait aussi …Oui, le 5/2/2021!
Jean Pierre
5 février 2021 @ 15:39
C’était la tante de Marina de Kent et d’Olga de Yougoslavie alors, deux que l’on voit mal donner des cours de quoi que ce soit.
Danielle
5 février 2021 @ 15:59
A voir son visage, cette femme devait mener ses élèves à la baguette.
Pascal M
5 février 2021 @ 21:24
Pour Pascal avec un champignon, mon frère se prénomme Philippe…C’est mon jumeau, et des prénoms de notre génération vraiment; mais qui ont perduré tout de même quelques années après nos naissance. Comme dit ma chère maman (86 ans), ce sont les plus beaux prénoms du monde…Mais c’est son coeur et sa fierté qui parlent, sûrement 😉😉Quoique!!
Petit, je n’aimais pas mon nom de baptême, puis je m’y suis fait🤩😏 Et vous?
Robespierre
6 février 2021 @ 15:20
Bonjour à votre Maman, elle m’a l’air délicieuse.
Phil de Sarthe
6 février 2021 @ 15:32
Moi, j’aime bien mon prénom…il passe les modes, il est royal parfois, sa racine est sympa…..une personne, qui a depuis disparu de mon horizon, le trouvait sur, et puis, il y en avait un ( celui enterré sur une île…)qu’elle n’aimait pas…. ça suffisait 😁
Pascal m’évoque le printemps…et le chocolat😜
ciboulette
6 février 2021 @ 17:05
Pascal et Philippe sont de très beaux prénoms , peu importent les personnages historiques qui les ont portés . Outre les prénoms composés pour garçons ( Jean-Paul , Jean – Pierre , Jean- Luc etc.) et pour filles ( Marie- Claude , Marie-Thérèse , Marie-Odile etc ) qui ont fait fureur un certain temps , on trouve aussi Bruno , Patrick , Gérard , Alain . . .Christiane et Christine , Bernadette , Nicole , Catherine . .
Aujourd’hui , pour les garçons , Arthur , Amaury , Geoffrey ont la cote , comme Emilie , Mélanie , Aliénor pour les filles . Bientôt , on reviendra à Jules , Gaston , Sidonie . . .vous verrez !
PS je n’ai pas indiqué mon prénom . Si vous êtes un lecteur ( une lectrice ) attentif ( attentive ) , vous le connaissez , je l’ai donné deux fois !
Menthe
7 février 2021 @ 16:57
Vous datez un peu dear Ciboulette ! Jules, tendance depuis une bonne dizaine d’années ! Ce qui a plû énormément à mon père, dont c’était le prénom, prénom qui déplaisait horriblement à ma mère, qui disait « Mais comment peut-on appeler Jules un mignon petit bébé ? »
Il avait sa vengeance 😊
Baboula
10 février 2021 @ 19:27
Contingent 82/83 Jules,Barnabé ,Antonin,Balthazar,Gaspard,Victor, Héloïse sans Abelard Penélope,Andromaque et sa sœur Roxane,Daphné ,4 Sarah,2 Ève. Tous dans la même classe. Les parents bobos osent tout . Mon choix était Laëtitia comme mon arrière grand-mère. Ma joie ! Mais 100 ans après ce prénom était à la mode alors ce fut un département méditerranéen. Pour un garçon cela aurait été Virgile ,on échappait à Enée .
Leonor
6 février 2021 @ 15:43
Pascal, c’est un prénom d’une grande beauté. Et Philippe aussi.
De surcroît tous deux indémodables.
Votre question est intéressante.
Et… non, je n’aime pas mon prénom, le vrai. Je le déteste, même. Cependant, mon second prénom, ça oui. J’aurais dû intervertir les deux dès ma jeunesse, j’ai raté le coche.
Par contre, je suis profondément heureuse que chacun de nos fils aime son prénom.
Je ne saurais affirmer quelle est la raison de ces amours et désamours, même si j’ai ma petite idée sur le sujet .
Baboula
6 février 2021 @ 16:34
Quand je suis née Paris était libérée mais le personnel administratif en place à Neuilly ne savait pas que les idées changeaient. On a refusé mon prénom , sans doute jugé judaïque et imposé Thérèse alors que Marie eut été plus judicieux . J’ai découvert en allant à l’école que je m’appelais officiellement Thérèse et ai été traitée de débile car je ne répondais pas à mon nom . Mes parents avaient oublié de me le dire . J’ai détesté cette école . J’ai fait ma vie avec mon prénom usuel mais attention pour les billets d’avion . Alors c’est vrai ,on doit ressentir son prénom.
ciboulette
6 février 2021 @ 17:09
Vous pouvez demander au tribunal de votre ville l’autorisation d’inverser vos prénoms à l’état-civil . Ou le faire en famille , officieusement .
J’ai fait des recherches généalogiques sur ma famille , et constaté qu’on appelait en famille très rarement les enfants par leur premier prénom . Mon grand-père se prénommait officiellement PAUL HENRI PHILIPPE , mais on l’ a toujours appelé Henri . De même ma grand’mère , MARIE EMMA DENISE , toujours appelée Denise .
Baboula
7 février 2021 @ 12:10
Ciboulette, j’ai eu la flemme .
Gérard
6 février 2021 @ 15:57
La tombe familiale au cimetière russe de Sainte-Geneviève-des-Bois : http://www.royaltyguide.nl/images-countries/france/stegenevieve/1879%20Andre-1.JPG
ciboulette
6 février 2021 @ 17:11
Merci beaucoup , Gérard ! La tombe de Noureiev aussi est remarquable , elle doit demander beaucoup d’entretien .
Gérard
7 février 2021 @ 13:14
Oui c’est une merveille de mosaïque.
Gérard
6 février 2021 @ 17:09
Mathilda Kchessinskaïa investit dans une villa au Cap-d’Ail où elle s’installa à l’été 1913 avec le grand-duc Andreï. Après la révolution ils revinrent en France mais les conditions avaient changé et ils durent hypothéquer la villa qui avait été payée 180 000 francs en 1913 c’est-à-dire environ 560 000 € et ce pour maintenir un certain train de vie. Mais le décès à Contrexéville de la grande-duchesse Marie sa mère permit à Andreï de recevoir en héritage des rubis qui furent revendus rapidement. Coryne Hall dans sa biographie de Mathilda en 2005 considère que les 20 millions de francs soit au moins 15 millions d’euros souvent cités comme valeur de revente sont probablement erronés mais tout de même le grand-duc était redevenu millionnaire et il put reprendre ses largesses en faveur des Russes moins fortunés de l’émigration. Néanmoins le casino de Monte Carlo fut l’un des bénéficiaires de cette nouvelle fortune et Mathilda y engloutit une grande part de la fortune du couple.
Dans son ouvrage sur Les Russes blancs Alexandre Jevakhoff cite une fiche de la Sûreté générale du 7 avril 1924 qui fait du grand-duc le principal financier du mouvement monarchiste russe en France mais la source ajoute que le grand-duc a perdu une grande partie de sa fortune en jouant à la baisse du franc et à cause des pertes de jeu de sa femme et à l’époque une récente délégation monarchiste serait répartie avec quelques bijoux d’une valeur de 70 000 francs (environ 66 000 €), mais de fortune perdue au jeu en fortune retrouvée et en fortune définitivement perdue il fallut début 1929 vendre la villa de Cap-d’Ail et le grand-duc Andreï et son épouse s’installèrent à Paris, villa Molitor, et c’est là qu’à 57 ans Mathilde ouvrit l’école de danse appeler le Studio de la princesse Krassinskiï puisque le grand-duc Kirill l’avait ainsi titrée en 1927.
Gérard
6 février 2021 @ 19:22
La villa du Cap-d’Ail dispose d’une vue splendide sur le cap, d’une piscine, a une superficie de 506 m² et comporte 14 pièces dont sept chambres outre sept salles de bains. Elle a été rénovée après son rachat en 2010 sous l’égide des Bâtiments de France et elle est actuellement encore à la vente.
Cette villa fut d’abord la villa Marla quand elle fut construite en 1901 pour la comtesse de Marla. Celle-ci la louait au grand-duc André qui l’acheta en 1913 et la nomma villa Alam. Alam était le nom à l’envers qu’il donnait à son épouse Mathilde, Mala.
La villa fut donc rénovée et elle fut revendue plus tard à la princesse Odescalchi qui l’appela de son propre prénom la villa Marizzina nom qui lui est resté.
Cette princesse était l’épouse de Don Ladislao, prince du Saint Empire romain, chef de la maison Odescalchi mort le 16 janvier 2000 à Monte-Carlo.
Elle-même était Maria Zina (Maria Zenaide) Della Chà, née à Turin le 5 juillet 1929 et décédée à Monte-Carlo le 1er octobre 2009. Elle était fille de Luigi Corrado Della Chà et de Maria des marquis Spinola. Ils eurent trois filles.
À sa mort en 2009 elle léguait la villa à son concierge, ou à sa gouvernante, qui la revendit en 2010.
La villa est à la vente pour 23 millions d’euros.
Gérard
7 février 2021 @ 23:13
Le fils unique de notre ballerine reçut à sa naissance de l’empereur Nicolas II la noblesse héréditaire de Russie sous le nom de Vladimir Sergueïevitch Krassinski puis il fut Vladimir Andreïevitch Krassinski par sa légitimation le jour du mariage de ses parents le 30 janvier 1921 et il obtint ensuite du grand-duc Cyrille, chef de la maison impériale, le titre de prince Romanovsky-Krassinsky avec le prédicat d’altesse sérénissime mais après la guerre il porta le nom de Romanoff.
Il est décédé célibataire le 23 avril 1974 sous le nom de prince Vladimir Romanoff à 23h45 au 151, rue de Sèvres à Paris XVe.
Sa mère aurait appartenu à l’ancienne famille de la noblesse polonaise Krasinski mais ceci reste incertain.