Numéro 1459 de Point de Vue du 9 juillet 1976 avec au sommaire les fiançailles de la Grande-Duchesse Maria Wladimirovna de Russie avec le Prince Franz Wilhelm de Prusse, la lune de miel des souverains suédois à Hawai et le séjour du prince Reza d’Iran en Belgique.
JaJa
11 août 2009 @ 07:44
Était-ce un mariage arrangé ? Pour des jeunes fiancés, je les trouve bien figés, même pas un léger sourire !
Ils on été mariés une dizaine d’années et ont eu un fils. Est-ce que le prince s’est remarié et a-t-il eu d’autres enfants ?
jean-luc
11 août 2009 @ 09:06
Le prince Francois-Guillaume, arrière-petit-fils de Guillaume II, âgé aujourd’hui de 66 ans, ne s’est pas remarié et n’a pas eu d’autre descendance que le prince et grand-duc Georges.
petitpierre
11 août 2009 @ 09:16
En effet je voudrais bien savoir???
Caroline
11 août 2009 @ 16:04
Un peu drole pour les mariages arranges a cette date!!Dommage qu’ils ne s’etaient pas finalement amouraches l’un de l’autre!!!
Alix
11 août 2009 @ 21:10
Je me demande bien si le père a pu avoir avoir des relations « normales » avec son fils après le divorce. Il a levé le camp avec armes et bagages sans demander son reste (a « repris » son nom son titre et sa religion d’origine).
Actif et ayant réussi dans les affaires (un fait remarquable dans cette dynastie de Prusse tombée fort bas un moment), il a dû retrouvé grâce aux yeux de son ex-épouse depuis que la demi-soeur de cette dernière ne finance plus les prétentions de ses royaux cousins géorgiens et de son impérieuse pardon impériale soeur russe.
J’espère qu’il n’a pas été qu’un chèque dans la vie du garçon.
JAusten
12 août 2009 @ 17:06
Alix, le prince Franz Wilhelm de Prusse avait changé de religion ? si oui Pourquoi ?
Charlanges
13 août 2009 @ 17:31
Le mariage de la grande-duchesse Marie Wladimirovna et du prince Franz Wilhelm de Prusse ne fut nullement « arrangé ». La grande-duchesse était tombée amoureuse et le fait que l’élu de son coeur appartenait à une famille impériale et royale renforça sans aucun doute sa décision. En revanche, dans ses mémoires « Chaque matin est une grâce » (JC. Lattès, 2000), la grande-duchesse Léonida ne cache pas qu’elle ne fut pas enchantée par ce mariage dont elle pressentait qu’il ne serait pas heureux. C’était également l’impression (qui fut confirmée par les faits) du prince Louis-Ferdinand de Prusse, parrain du prince.