14 mai 1896, le cortège des invités quitte la cathédrale de la Dormition à Moscou après le couronnement du tsar Nicolas II de Russie. (source : Princeps Fidelissimus)
14 mai 1896, le cortège des invités quitte la cathédrale de la Dormition à Moscou après le couronnement du tsar Nicolas II de Russie. (source : Princeps Fidelissimus)
Bambou
5 décembre 2020 @ 06:34
Discret et sobre le couronnement…!!!
Phil de Sarthe
5 décembre 2020 @ 09:16
Ce n’est pas le propre d’un couronnement 😉
Gatienne
5 décembre 2020 @ 10:32
Celui du successeur d’Elizabeth II ne revêtira certainement pas la même pompe que le sien. De nos jours, cela semblerait too much et probablement malvenu.
Pascal
5 décembre 2020 @ 11:30
Il s’agissait quand même de « l’oint du seigneur , empereur de la troisième Rome et de toutes les Russies » , lesquelles représentaient une partie substantielle des terres émergées du globe terrestre .
Pascal🍄
5 décembre 2020 @ 08:22
On ne voit pas l’empereur car il est je crois sorti coiffé de la magnifique couronne conçue pour Catherine II et sous un dais.
La dormition est à peu près l’équivalent de l’assomption chez les catholiques romains; à peu près car elle désigne d’abord l’endormissement dans la mort , pour la mère de Dieu elle est inséparable de son enlèvement au ciel .
ciboulette
6 décembre 2020 @ 19:52
Mais pour les catholiques aussi , Pascal .
La première fois que j’ai découvert le rite orthodoxe , c’est au monastère de la Trinité Saint Serge de Zagorsk , non loin de Moscou .
J’ai été frappée par la beauté des chants ( en vieux slavon , m’a-t-on dit ) et par le rite lui-même , tout en splendeur .
Mais rester deux heures debout pour assister à la messe dépasse mes forces .
Ailleurs ( à Smolensk ) , j’ai admiré la merveilleuse iconostase et sa symbolique . Les catholiques ne sont pas éloignés des orthodoxes sur ce point .
Chiara
5 décembre 2020 @ 08:32
Bellissima e suggestiva! Esistono altre foto dell’evento?
ciboulette
5 décembre 2020 @ 16:17
Que de faste ! Je ne vois pas Nicolas II .
Clara
5 décembre 2020 @ 10:02
Cérémonies qui se soldèrent par 1400 morts,
amarilis
5 décembre 2020 @ 10:07
Quel faste . . .
Massi
5 décembre 2020 @ 10:41
Pour une photo si ancienne elle reste de très bonne qualité.
Jean Pierre
5 décembre 2020 @ 10:59
Je ne reconnais que le grand-duc Serge.
alobo
5 décembre 2020 @ 11:51
Tout à fait, Phil de Sarthe, ni le but du « jezu » !
alobo
5 décembre 2020 @ 11:52
pardon, « jeu »
Mayg
5 décembre 2020 @ 11:56
Difficile de reconnaître qui est qui, mais c’est toujours un plaisir de voir ces photos d’archives.
Naucratis
5 décembre 2020 @ 11:59
Anachronisme.
Nicolas II a été couronné empereur de Russie et non tsar.
Cosmo
5 décembre 2020 @ 12:25
Sans parler de la tragédie de Khodynka avec ses 1389 morts et 1300 blessés, due à l’incompétence du grand-duc Serge, oncle de l’empereur qui fut injustement lavé de toute sanction car un membre de la famille impériale ne saurait commettre d’erreur. Il devait être parmi les invités de la photo.
Cette tragédie n’empêcha pas le couple impérial de se rendre au bal organisé en leur honneur par le comte de Montebello, ambassadeur de France. Le peuple russe leur en tint rigueur, surtout à l’impératrice dès lors surnommée « l’Allemande ».
Leur destinée était d’être tragique.
aggie
5 décembre 2020 @ 15:43
c’est curieux on dirait qu’il y a 3 couples de mariés dans le cortège vu le vêtement de ces dames ?
COLETTE C.
5 décembre 2020 @ 17:22
Merci pour cette photo d’archives.
margot F
5 décembre 2020 @ 18:10
Étonnant : ce cortège avec ces femmes (des princesses russes ? ) portant des robes blanches et
leurs traines tenues par des officiers
Muscate-Valeska de Lisabé
5 décembre 2020 @ 18:10
J’ai vu de très belles photos de Nicolas, Alexandra et leurs enfants sur YouTube.
Des images inconnues.Russian Archives.
Galetoun
6 décembre 2020 @ 09:33
Les porteurs de traîne derrière chaque ladies.
Superbe photo
particule
6 décembre 2020 @ 10:14
Pas étonnant la révolution de 1917. Une question récurrente même en démocratie : afficher un luxe outrageant pendant qu’une partie de son peuple a franchi allégrement le seuil de la pauvreté.