C’est le prince Dimitri de Yougoslavie qui diffuse ces photos d’archives. En 1946, après la fin de la guerre, le roi Umberto et la reine Marie José d’Italie accueillent au palais du Quirinale une cinquantaine d’enfants mutilés de guerre et leurs familles.
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3 avril 2020 @ 07:55
Touchant reportage !
👏 au roi et à la reine d’Italie, de l’époque !
3 avril 2020 @ 08:26
Pauvres petits!
À la guerre s’était ajoutée l’éruption du Vésuve en mars 1944.
3 avril 2020 @ 18:11
En effet Claude du 18 au 24 mars 1944 eut lieu la dernière éruption du Vésuve qui provoqua la mort de 26 personnes dans les villages alentour et particulièrement à San Sebastiano (dont les armoiries représentent le Vésuve devant lequel se tient un phœnix qui renaît de ses cendres), 40 % de la commune furent détruits, ou à Massa di Somma.
C’était pendant la Campagne d’Italie. L’église de San Sebastiano a été rebâtie et érigée sanctuaire diocésain. La statue du saint fut portée en procession, elle avait résisté à l’éruption.
3 avril 2020 @ 08:43
Merveilleuse initiative. Ces enfants, une fois adulte, ont dû en conserver un souvenir extraordinaire. Quelle tristesse que la troisième photo, de ce petit bonhomme amputé des deux jambes…!
3 avril 2020 @ 09:24
Très belle évocation ! Peut-être qu’avec la magie des technologies actuelles, certains de ces enfants devenus aujourd’hui des seniors pourront se manifester… Ce serait beau…!
Ces souvenirs ont le mérite de nous rappeler, dans la situation actuelle, que nos aînés ont vécu des événements très durs (la guerre) et qu’il y a toujours moyen de rebondir, de se reconstruire, de créer de belles choses par après. Ce qui ne minimise en rien la souffrance actuelle de tant de gens, bien sûr.
Courage à tous & belle journée 🌿🌹☀️💞
3 avril 2020 @ 21:57
👋👋👋👋
3 avril 2020 @ 23:38
Vous avez tout à fait raison Roxane.
Mais il est triste de penser que cette génération qui a connu la guerre est aujourd’hui la moins épargnée par cette pandémie.
Ils subissent la double peine d’une certaine manière.
3 avril 2020 @ 10:10
Poignant.
C’est bien la peine de mettre au monde des petits innocents.
Je n’aurais pas pu supporter l’angoisse de tout ce que la Vie réservait de crasses et de misères à mon enfant.
Que Dieu ou Diable soit remercié de m’avoir ainsi épargnée…c’est le seul choix de mon existence auquel je me sois strictement tenue,et que je n’ai jamais regretté. Je m’en félicite tous les jours.
Et je plains les mères et pères autant que je les considère.Il en faut du cran pour être parent.
3 avril 2020 @ 11:40
Votre choix en demande aussi .😘
3 avril 2020 @ 13:17
C’est sûr Muscate, avoir des enfants est un bonheur mais aussi constamment un sentiment d’inquiétude quel que soit leur âge.
3 avril 2020 @ 13:51
Une phrase du président Kennedy : » avoir des enfants, c’est donner des otages au destin « …
4 avril 2020 @ 19:44
Très bien exprimé…merci Menthe…ainsi qu’à vous tous de m’avoir comprise😘.
4 avril 2020 @ 19:45
Merci MARY😘
3 avril 2020 @ 20:34
Du cran ? Pas de cran pour moi mais une belle inconscience. Souffrances horribles, joies douces et profondes. Comme je comprends Muscate !
4 avril 2020 @ 12:00
Chacun est libre de ses choix et votre commentaire est d’une imbécilité extraordinaire
Vous pouvez garder votre mépris
J’ai eu 2 enfants
Mon fils s’est suicide à l’âge de 40 ans
Et pourtant en rien je ne regrette d’avoir eu des enfants
Ma souffrance est immense et vos commentaires me donne envie de vomir
5 avril 2020 @ 14:31
Si ce message s’adresse à moi,ou à Nini,c’est que vous ne nous avez pas comprises,Laurent.
4 avril 2020 @ 07:33
Totalement avec vous, Muscate.
3 avril 2020 @ 12:47
Et certains qualifient ces agressions de la guerre sur des innocents de dommages collatéraux : quelle ignominie !
3 avril 2020 @ 13:05
Emouvant !
3 avril 2020 @ 13:49
Qu’ont-ils pu devenir, rendus à la misère, dans un monde sans sécurité sociale, ni pension d’invalidité? Ils ont dû être plus ou moins bien traités par leur famille, à la mort de leurs parents…la princesse Maria-Pia est âgée aujourd’hui, ce serait étonnant que ces enfants , dont la vie a dû être difficile,soient encore de ce monde…
3 avril 2020 @ 16:03
Que solidaridad de la familia rey Italiana y los príncipes!!!FELICITACIONES
3 avril 2020 @ 17:00
Dans le parc de 4 ha du palais du Quirinal jusqu’à 53 000 enfants errants, blessés, mutilés, furent accueillis à la fin de la guerre.
Mais 150 enfants pauvres ont été accueillis pour la Noël 1945 au palais du Quirinal par la princesse Maria Pia et le prince Victor-Emmanuel qui à l’époque résidaient avec leurs parents à la Villa Savoia ou Reale ou villa Adda dans le quartier de Parioli.
Et là ce doit être une visite au printemps 1946.
3 avril 2020 @ 17:35
Sur son compte Instagram le prince Dimitri de Yougoslavie précise que cette photo a été prise en mai 1946. Le roi Umberto son grand-père avait en quelque sorte adopté 40 enfants orphelins et mutilés qui vécurent avec la famille royale jusqu’à la fin de la guerre.
Le petit garçon que la princesse Maria Pia portait souvent c’est donc Vittorio qui avait été blessé par un soldat nazi alors qu’il était dans les bras de sa mère. La mère a été tuée et le nerf optique de l’enfant a été sectionné.
Dans le parc il y avait un poney et un petit âne et l’on pouvait faire des promenades en carriole surtout pour les enfants qui ne pouvaient plus marcher. La princesse Maria Pia s’était beaucoup attachée à Vittorio.
3 avril 2020 @ 17:54
Quel dommage voir des petits mutilés! surtout l’enfant qui porte la princesse dans le charriot qui a ses deux jambes coupées.
3 avril 2020 @ 21:10
Vous devez 100 € à Régine et le prochain rendez-vous est vendredi prochain,
En ce qui me concerne je pense que les enfants doivent se coltiner des parents qui sont quand même pas des cadeaux et de quelque soit les parents.
Maria Pia a beaucoup parlé de ses parents mais vraiment en termes choisis et très respectueux.
3 avril 2020 @ 22:10
Ha fatto bene il Principe Dimitri ha publicare queste foto
3 avril 2020 @ 23:41
Ce dossier au sujet d’événements peu connus est fort intéressant et émouvant.
Oui, des retrouvailles entre ces enfants devenus grands, via Internet, sont à souhaiter.