L’empereur Nicolas II et l’impératrice Alexandra de Russie en 1898 à Tsarskoie-Selo en compagnie de leur oncle le grand-duc Vladimir et de son épouse la grande-duchesse Marie de Russie, née duchesse de Mecklembourg–Schwerin.
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Actarus
15 décembre 2022 @ 02:07
Pourtant Contrex, c’est de la bonne eau. Une vieille publicité disait « Contrex vous aide à faire pencher la balance du bon côté ! » ^^
Cosmo
15 décembre 2022 @ 07:22
La grande-duchesse avait plus de bon sens que l’impératrice. Le visage de cette dernière en dit long.
Antoine
15 décembre 2022 @ 17:10
L’impératrice était visiblement malade. Elle a été sans doute très malheureuse, hormis dans le cocon familial. Sa souffrance est apparente.
L’impératrice n’était pas faite pour l’écrasante tâche qu’on attendait d’elle mais la femme, voire la mère, me touchent.
Julise
15 décembre 2022 @ 21:17
Alix de Hesse-Darmstadt a connu une enfance douloureuse, marquée par la perte de sa jeune sœur Marie en 1878. Elle a gardé de cela non seulement un caractère très renfermé mais aussi, une grande fragilité intellectuelle que des ahuris tels Grigori Raspoutine ont su exploiter jusqu’au bout du bout. Il est convenu de dire (pour dire cela couramment) que l’impératrice n’était pas nette, cependant elle a beaucoup d’excuses.
Juba
15 décembre 2022 @ 08:06
Le couple tsariste était peu aimé au sein de la famille impériale, à l’instar d’autres couples royaux en période révolutionnaire, ils étaient impopulaires dans toutes les couches de la société.
Comme pour Louis XVI et Marie Antoinette, leur mort tragique (merci les révolutionnaires !) compense le désastre politique.
Alienor
15 décembre 2022 @ 18:39
Ah,non Juba,
Désolé mais ce n’est point vrai.
Ayant étudié cette époque (début XX-eme) et en particulier l’histoire de la Russie, je peux vous assurer que Nicolas II était un excellent tsar et homme politique. La Russie a atteint son apogée économique et géopolitique sous son règne (les merveilleux rapports avec la France notamment en ce qui nous concerne). C’est le désastre de la première guerre mondiale sans compter d’autres événements cruciaux qui a précipité sa chute. Par ailleurs, Nicolas II était aimé et respecté par une très grande partie de la population russe mais il avait également des ennemis. L’essentiel est que le peuple russe c’est-à-dire les paysans (à l’époque c’était 80%si ce n’est 90 % de la population) l’adoreraient car comme eux il était très simple et très croyant. La preuve en est l’équipe composée de soldats russes qui devait le fusiller avec sa famille ont tous refusé de le faire (malgré la menace de mort de la part des bolcheviks) C’est ainsi qu’au dernier moment ces derniers ont dû recourir à « une équipe » internationale composée essentiellement des lettons, juifs et hongrois. Crime atroce et non complètement élucidé jusqu’à nos jours…
Cosmo
16 décembre 2022 @ 16:41
Que faites-vous de la guerre russo-japonaise ? Et des morts sur la place du Palais d’Hiver, le « Massacre du Dimanche Rouge » ?
Nicolas II était un piètre politique mais il a su s’entourer d’hommes capables à un moment donné. Ce n’était déjà ps si mal. Les 80% du peuple qui l’adoraient étaient des paysans incultes à qui on aurait fait croire n’importe quoi. Il n’a pas su saisir sa chance, il a joué double jeu, sous l’influence de sa femme, et même sans la guerre, le régime impérial n’aurait pas tenu. La Russie avait et a toujours un potentiel énorme. Il est dommage que beaucoup de ceux qui l’ont dirigé, et la dirigent, sont soit des tyrans, soit des incapables. Souvent les deux à la fois !
Pelikan du Danube
17 décembre 2022 @ 10:35
’’Nicolas II a joué double jeu ” je suis bien d’accord , pour les massacres du Dimanche rouge il semble qu’il n’y soit pour rien et en effet la guerre russo-japonaise fut sa plus grande faute personnelle.
Il faut aussi déplorer son incapacité à soutenir sans faille les rares personnes compétentes et dévouées à la monarchie autant qu’à la Russie et on peut évoquer la mort jamais très bien expliquée de Piotr Stolypine.
Mais la Russie d’alors avaient en effet une telle abondance de ressources humaines et matérielles qu’on ne peut que déplorer la suite .
Il faut tout de même rappeler qu’à l’orée de la guerre de 14 ,le régime impérial ayant tout de même surmonté les catastrophes de 1905 , Lenine n’espérait plus voir la révolution advenir de son vivant.
Bon Dimanche.
carmina burana
18 décembre 2022 @ 10:46
Faux le tsar n était pas du tout aimé depuis la tragédie de Khodiynka, jour de son mariage, sur un terrain plein de trous du aux exercices de tirs d obus, le grand duc Serge a fait mettre des planches pour que le peuple puisse assister aux festivités.
Il attendait quelques 100 000 personnes, plus d un demi million y était, tout s est écroulé, bilan 1400 morts et 20 000 blessés.
Pas un mot ou un geste du couple qui est passe en carosse pas loin de la tragédie.
Des paysans étaient venus à pieds depuis la Sibérie tant ils veneraient le tsar.
Des ce jour, le peuple l a détesté, d ou les manifestations qui ont tourné la aussi au massacre.
Ce tsar était un faible qui écoutait son oncle le grand duc Serge , un nationaliste d une extrême droite très dure et très anti sémite.
Cherchez le chiffre des morts des pronoms sous Nicolas ll.
Il y a même des photos des morts bien alignés comme pour un tableau de chasse, et beaucoup d enfants.
Il a laissé faire.
carmina burana
18 décembre 2022 @ 10:47
Correcteur pénible, cherchez le chiffre des morts des pogroms…
Pelikan du Danube
19 décembre 2022 @ 11:56
Carmina,
Je lis en ce moment un livre qui s’appelle ”le village oublié ” de Théodore Kruger , je me demande si une partie n’est pas inventée mais quoiqu’ allemand il est né et a vécu en Russie jusqu’à la guerre et ce qu’il a vu l’a forcément inspiré.
Je ne sais pas si la ”révolution était en marche ” mais je crois en effet que quel que soit l’empereur il était quasiment impossible de résoudre les problèmes du pays.
Il y a comme une fatalité qui pèse sur la Russie et sur les Russes depuis des siècles et qui est devenue comme une composante de leur identité ?
carmina burana
19 décembre 2022 @ 13:50
Pelikan du Danube,oui c est terrible pour les russes qui continuent de souffrir.
Le plus triste,j avais entendu Emmanuel Carrere dire que sous le dernier tsar l analphabetisme reculait,il y avait des progres pour la medecine et pas mal d autres points.
Si le tsar n avait pas ecoute ce grand duc,et sa bigote de femme,il y aurait pu avoir une evolution autre.
Pas une fatalite,mais le mauvais homme au pire moment.
Pelikan du Danube
19 décembre 2022 @ 14:15
Et pour ce qui est de la contradiction avec mon commentaire du 15 décembre je dirai que ce jour là je n’avais pas encore commencé ce livre ,je pense qu’il est à prendre avec du recul mais il m’aide à mieux entrevoir cette dualité que je sens depuis longtemps dans ce que j’appellerai un peu pompeusement ”l’âme russe ”, cette coexistence entre l’ange et la bête ,cette cohabitation de l’oppression et de la charité .
”Je ne sais rien ,mais je sais que je vais avoir su ”…
Pelikan du Danube
19 décembre 2022 @ 14:50
Théodore Kröger .
C’est traduit de l’allemand, mais j’ai déjà repéré quelques invraissemblances mineures dans son récit…
Julise
15 décembre 2022 @ 21:21
Ils n’étaient pas « peu aimés » mais simplement marginaux et mal compris, ce qui à cette époque condamnait à une forme de solitude non par désamour mais plutôt par désintérêt – et si cela n’aurait pas eu beaucoup de conséquences pour une personne lambda, ça s’est avéré mortel pour les dirigeants. Aujourd’hui, les mœurs ont évolué, le monde a changé, alors le couple impérial serait moins isolé. Et c’est parfois un peu difficile d’analyser les faits de l’époque, par la lorgnette de notre vie actuelle.
Marnie
15 décembre 2022 @ 08:49
Merci pour cette archive colorisée ! La grande-duchesse : on dirait un homme habillé en femme… mais elle avait apparemment plus de bon sens que la tsarine.
Axelle
15 décembre 2022 @ 08:49
Ils sont aussi les parents de Kyril qui épousera Victoria-Melita de Saxe-Cobourg-Gotha, eux-mêmes grands-parents de notre « tsarine », nouvellement grand-mère, la grande-duchesse Maria.
Julise
15 décembre 2022 @ 21:28
Ce sont effectivement les trisaïeuls de la « tsarine » d’opérette, quadrisaïeuls du grand-duc de pacotille, ensemble grands amis du dictateur dont on tait le nom… ce dernier : digne héritier du régime ayant mis fin à l’empire russe. Du grand art.
Gérard
17 décembre 2022 @ 15:56
On ne peut pas dire que la famille impériale russe d’aujourd’hui soit au mieux avec le président Poutine et ils ont été les premiers à condamner l’intervention en Ukraine par celui-ci.
Julise
18 décembre 2022 @ 15:20
Oui, Gérard. Oui.
Jean Pierre
15 décembre 2022 @ 09:01
Elle menait grand train et puis la roue a tourné.
Pelikan du Danube🌨🎄❄⛄
15 décembre 2022 @ 09:21
Quatre ans après leur mariage et bien avant la naissance du tsarevitch, l’impératrice Alexandra n’avait pas encore exercé sa funeste influence sur son époux.
Elle n’est peut-être pas la cause de tout mais par son manque d’intelligence et son esprit victorien elle a une grande part de responsabilité.
Julise
15 décembre 2022 @ 21:46
Encore une fois, l’impératrice Alexandra (Alix) a connu une enfance douloureuse faite de décès, de ruptures sociales, etc. Elle portait une fragilité psychologique qui avant d’impacter le Tsar, a attiré des abrutis de tous poils qui ont su en tirer profit. En outre, cette femme avait une vision très décalée de la société ; au début du XXe siècle, beaucoup de personnes croyaient encore à l’autocratie. Alors oui, l’impératrice fut un support-clé de la chute de l’empire russe mais non, elle n’en est pas une responsable car elle n’avait pas conscience (car elle ne pouvait pas avoir conscience) du déroulé des faits, puis de leurs conséquences à court, moyen et long termes. Décalée, hors sol… une enfant coincée dans un corps d’adulte… voilà ce qu’était Alexandra.
Pelikan du Danube
16 décembre 2022 @ 11:56
Ce n’était pas l’opinion de la famille impériale qui dans les dernières années suppliait l’ Empereur de l’éloigner de la cour (l’impératrice douairière, la grande duchessec Elisabeth sa sœur en faisaient partie car elles percevaient très bien ce décalage) et si l’impératrice Alexandra était fragile psychologiquement cela ne l’a pas empêchée d’assumer sa propre vision de l’autocratie et de conforter le Tsar dans des positions suicidaires .
Pelikan du Danube
16 décembre 2022 @ 11:57
Sa seule véritable excuse est la maladie de son fils .
Marie-Caroline
15 décembre 2022 @ 09:43
Cette colorisation rend évidemment plus « vivantes » les personnes photographiées. On peut constater ici qu’Alexandra Feodorovna a été belle. Quelques années après que cette photo ait été prise, les relations entre le couple impérial et les Vladimir se refroidirent considérablement.
Ludovina
15 décembre 2022 @ 10:01
Le grand-duc Wladimir de Russie et son épouse étaient les arrière-arrière-grand-parents paternels du grand-duc Alexander récemment né le 21/10/2022.
Jean Pierre
16 décembre 2022 @ 13:10
Mais aussi les arrières grand-parents d’Alexandre la mari de Barbara qui nous a envoyé ses vœux de Noël.
Leonor
15 décembre 2022 @ 10:19
La tsarine et sa neurasthénie peinte sur son visage, lisible dans son maintien…
Je veux bien plaindre le sort ultime du couple impérial .
Mais ils n’y sont quand même pas pour rien.
Nicolas II n’avait pas le mental qu’il fallait à l’emploi, et Alexandra , avec sa pleurnichouillerie et sa cagoterie ne l’a pas aidé.
Oui, je sais … la maladie du tsarévitch. Je sais.
Il n’en reste pas moins.
Leur faiblesse n’est évidemment pas la seule cause de la révolution soviétique et de ses conséquences mondiales. Mais elle n’y est pas pour rien non plus.
Pelikan du Danube🌨🎄❄⛄
15 décembre 2022 @ 12:47
Nicolas II avait de grandes qualités d’officier mais certes pas le tempérament d’un ”tsar autocrate ” , il ne savait pas non plus (comme le roi Louis XV) se fier à son instinct ou son premier mouvement plutôt qu’aux pressions ou ”conseils ” de son entourage (encore qu’il resta totalementsourd aux avis de sa famille quant aux dangers des optionsde de l’impératrice) ; je pense néanmoins qu’avec une influence moins funeste que celle de son épouse lui et la Russie auraient pu s’en sortir .
Nicolas II était à la fois épris des usages de la caste aristocratique et un homme sincèrement bon et croyant .
Il fut en quelque sorte victime d’une double peine.
Cosmo
15 décembre 2022 @ 13:10
Commentaire bien équilibré, chère Leonor.
Zorro
15 décembre 2022 @ 17:14
Vous avez raison: vive les dirigeants autoritaires et ‘à poigne’.
Je le dis toujours, le pouvoir doit émané des burnes et pas des urnes.
Effectivement Nicolas II n’avait pas ‘le mental qu’il fallait à l’emploi’ pour diriger un Empire tel que la Russie. Heureusement que Poutine lui n’est pas faible et a un mental d’acier.
Cosmo
16 décembre 2022 @ 16:43
Pour mener son pays à la catastrophe !
Gérard
17 décembre 2022 @ 15:59
Oui on se demande pour qui ce mental de Poutine est-il satisfaisant.
Cosmo
18 décembre 2022 @ 12:15
Zorro a l’air d’en être un admirateur inconditionnel et donc satisfait de le voir diriger le pays avec ses burnes. Chacun a son intelligence où il peut.
carmina burana
18 décembre 2022 @ 06:12
Zorro,Poutine est un monstre, du même acabit que Staline, il s en fiche de la boucherie des conscrits, il se compare à Pierre le grand, il mène la Russie a sa perte.
Pelikan du Danube
18 décembre 2022 @ 09:49
Le problème si j’ose dire c’est que Staline était ”intelligent” , une forme d’intelligence en tout cas .
Cosmo
18 décembre 2022 @ 12:21
Les circonstances n’étaient pas les mêmes. Après la révolution de 1917, la voie était ouverte à toutes les exactions et à toutes les horreurs. Staline a su en jouer et être un monstre. Quand Poutine a pris le pouvoir, le pays se relevait et ses richesses laissaient supposer un développement économique formidable. Il a tout ruiné avec l’instauration d’un système tyrannico-mafieux, dont on ne voit pas l’intérêt car enrichissant le pays, il aurait pu être richissime, et ses amis avec lui, en respectant la démocratie et le droit international.
Je pense que nous avons à faire à un psychopathe qui vit dans une bulle, coupé de toute réalité comme l’a été Hitler.
Pelikan du Danube
19 décembre 2022 @ 11:48
Oui .
Leonor
19 décembre 2022 @ 12:26
Cosmo, oui.
Je partage l’entièreté de votre avis.
A propos de Hitler – puisqu’on y est – / Poutine :
L’un et l’autre étaient des personnages tout à fait anodins au départ, pour ne pas dire médiocres .
Artiste raté pour Hitler, espion rond-de-cuir de seconde zone pour Poutine.
Par contre, il appert que l’un et l’autre ont su déployer une sorte d’intelligence de la manipulation ; manipulation des êtres, des passages historiques, des foules. Une intelligence malfaisante , mais une forme d’intelligence , qu’on aurait mieux aimé ne pas revoir.
Psychopathes, oui. Dans une bulle, oui. Une bulle de la logique qui est la leur, qui repose sur de fausses prémisses ET sur une vision du monde, idéal (!) à atteindre . Coupés de la réalité, oui.
Et, là non plus, pas plus dans le cas des Allemands pour HItler que dans le cas de Poutine, le peuple russe n’est exempt de responsabilité. Terreur et totalitarisme il y a sans conteste, dont je ne sous-estime en rien la terribilité . Mais admiration, dévotion , aveuglement il y a aussi, qui soutiennent le pouvoir .
On peut rêver à un équivalent russe de Claus von Stauffenberg. Qui réussirait.
Leonor
19 décembre 2022 @ 12:05
Il est d’habitude tout à fait inutile de répondre à Zorro.
Il vit dans le monde de ses fantasmes, y croit de bonne foi, et rage que ces abracadabra ne soient pas partagés.
Philibert
15 décembre 2022 @ 11:04
Photo couleurs d’époque (ce qui était rarissime) ou photo colorisée récemment ?
J’aimerais bien savoir !
Passiflore
15 décembre 2022 @ 11:55
André de Fouquières écrit : « La princesse Nicolas de Grèce, dont l’activité ne se relâchait pas un instant pour venir en aide aux réfugiés russes, avait cet air de suprême distinction qu’elle tenait de sa mère, la grande-duchesse Wladimir de Russie. Elle venait chaque année à Cannes, accompagnée de ses filles, Elisabeth et Marina.
(…) Pendant toute la guerre, la princesse refusa de quitter la Grèce, résidant constamment à Athènes où les hautes qualités de son cœur trouvèrent, hélas, à s’employer largement pour soulager tant de misères, et bien qu’elle s’y trouvât impitoyablement séparée de ses trois filles, la princesse de Yougoslavie, la duchesse de Kent et la comtesse Türring.
Gérard
17 décembre 2022 @ 16:03
Toerring me semble-t-il.
Kardaillac
15 décembre 2022 @ 11:56
L’instantané reflète une certaine anxiété des personnages.
Le regard de la tsarine laisse percevoir son destin.
Domin b un h c
15 décembre 2022 @ 17:07
Même avec un « bon tsar «
Les révolutions européennes étaient en marche …
JAusten
18 décembre 2022 @ 12:48
Je le crois aussi ; le rouleau inéluctable de la vie était en marche, avec une accélération par moment grâce certains coups de main (Guillaume II à Lénine, ici).
ABER
15 décembre 2022 @ 14:23
L’impératrice paraît peu commode et le tsar inexistant. Quel couple.
Mayg
15 décembre 2022 @ 14:48
Le regard de l’impératrice Alexandra…
aubepine
15 décembre 2022 @ 15:24
D’accord avec vous Leonor !
Polin
15 décembre 2022 @ 16:53
Quel bel homme le tsar. Des photos de lui se baignant nu dans l’étang du palais de Tsarskoïe Selo avaient fait sensation il y a deux ans.
Gérard
17 décembre 2022 @ 16:05
Oui en Russie on se baignait généralement nus entre militaires.
YOM
16 décembre 2022 @ 02:20
Cette impératrice a un visage buté,borné,pas aimable et pas très intelligent.
Pelikan du Danube
17 décembre 2022 @ 10:39
De fait ,en Russie hormis son époux, ses enfants et Anna Vyroubova ,elle ne suscita guère de sympathie ou de dévouement sauf semble-t-il dans les derniers mois ou elle participa activement aux opérations de secours des habitants de Saint Petersbourg et des soldats blessés.