Noël 1938 chez le magrave Berthold de Bade (1906-1963). Il a épousé en 1931 la princesse Theodora de Grèce (1906-1969) (soeur du duc d’Edimbourg). Le couple a eu trois enfants : Margarita (1932-2013) mariée ay prince Timoslav de Yougoslavie, Max (1933) actuel margrave marié à l’archiduchesse Valérie d’Autriche et Ludwig (1937) marié à la princesse Marianne de Auesperg-Breunner. (Merci à Alberto – Source : Philip Thompson sur Queen Victoria s Grandaughters sur Facebook).
Bambou
19 décembre 2020 @ 05:31
Le frère de Theodora, Philip lui a déjà survécu 51 ans……..
Pierre-Yves
19 décembre 2020 @ 09:07
Dernier Noël de paix.
Ce Noël 2020 ne se présente pas vraiment bien, mais ces Noël de guerre, que mes parents ont connus, ont dû être autrement plus difficiles à vivre, ne serait-ce que parce qu’on avait du mal à se chauffer et à trouver de quoi faire un repas à peu près normal.
Ghislaine LPB
19 décembre 2020 @ 16:51
Je suis toujours pensive quand je vois des articles sur la vie juste deux ou trois ans avant le début de la guerre . Bon je sais ce qu’en pensait mon père mais les autres se rendaient ils compte qu’ils allaient vers l’Apocalypse ? Et nous l’année dernière ? Inconscients de ce qui allait fondre sur nous .
Après il y aura des exégètes qui viendront nous prouver qu’il y avait des signes avant-coureurs .
Pascal🍄
19 décembre 2020 @ 19:16
Vous avez tiré de cet article la substantifique moelle.
Ghislaine LPB
20 décembre 2020 @ 11:31
Pierre-Yves même aux moment les plus noirs de leur vie comme par exemple les terribles bombardements sur notre ville , où les gens complètements hagards sortaient des caves pour y rentrer précipitamment devant les vagues successives qui allaient raser la ville , l’une de mes cousines se terrant dans …. sa penderie et décida de ne pas redescendre , nous avions des gestes d’affection, de soutien . Ce qui est le plus difficile à vivre pour ceux qui ont pourtant connu l’enfer , c’est le manque de contact et la surinformation.
Ghislaine LPB
20 décembre 2020 @ 11:32
merci Pascal de m’avoir comprise . C’est tellement rare ici . Heureusement , il y a un ailleurs et non virtuel .
Charlotte (de Brie)
20 décembre 2020 @ 21:54
Je pense que vous vous êtes plantée, Pascal répondait à Pierre-Yves, mais peu importe.
Je remarque toutefois que vous égratignez une fois encore le site par votre remarque : » C’est tellement rare ici »
Remarque que je trouve indigne, moi, la méchante!
Vous avez raison la Seconde Guerre Mondiale a laissé des traces que ceux qui l’ont vécue, ou en ont eu narration par leurs parents , grands-parents,voire aujourd’hui, arrière grands-parents, sont indélébiles, mais voilà 75 ans Ghislaine !
Toutefois, sans tourner la page et faire comme si il ne s’était rien passé, toujours la rattacher à ce que nous vivons actuellement est stérile.
Les gestes d’affection, de solidarité existent aussi aujourd’hui, il suffit de savoir les reconnaître et d’y participer.
La situation que nous vivons actuellement n’a rien à voir avec le conflit de 39-45, nous ne manquons de rien, nous n’avons pas froid, faim, bon peut-être devons nous nous mettre en file d’attente devant un magasin pour avoir le bien que nous souhaitons, mais nous allons l’avoir. Certes, nous ne pourrons pas réunir la famille comme nous l’aurions souhaité, certes aussi, nous aurons ou avons eu des deuils que nous n’avons pas pu vivre comme en temps ordinaire nous aurions pu les vivre, mais nos défunts sont dans nos coeurs et ne croyez vous pas que là est le plus important ?
Tout n’est pas noir, tout n’est pas rose non plus, certes, mais je vous en supplie, arrêtez de considérer que tout est noir. C’est désespérant pour les générations à venir si on s’acharne à toujours vouloir voir le passé et gommer le présent et par conséquent l’avenir.
Comment voulez vous donner de l’espérance aux générations futures si l’on ne parle que des sacrifices passés ? et quelque part en les culpabilisant?
Je suis mère de trois enfants, mon mari et moi les élevons dans le souvenir du passé en vivant le présent et tout ce qu’il implique avec eux et en leur disant qu’ils sont le futur.
Ghislaine LPB
20 décembre 2020 @ 11:31
Pierre-Yves même aux moment les plus noirs de leur vie comme par exemple les terribles bombardements sur notre ville , où les gens complètements hagards sortaient des caves pour y rentrer précipitamment devant les vagues successives qui allaient raser la ville , l’une de mes cousines se terrant dans …. sa penderie et décida de ne pas redescendre , nous avions des gestes d’affection, de soutien . Ce qui est le plus difficile à vivre pour ceux qui ont pourtant connu l’enfer , c’est le manque de contact et la surinformation.
Ghislaine LPB
20 décembre 2020 @ 13:19
désolée doublon
Ghislaine LPB
20 décembre 2020 @ 13:33
oui Pierre-Yves le froid , le manque de vêtements pour y faire face et le froid humide de ce piemont de la Montagne noire où quand la pluie tombe ce n’est pas du crachin ! Pire encore quand il fallu vivre dans une ville rasée carà la campagne on faisait de la glane de bois , de la cueillette de fruits sauvages – Mon grand père vivant jusqu’en début 44 et décédé après les légumes se raréfièrent . Alors il y a quelque temps , je suis allée manger une tête de veau , hélas revue et corrigée par un cuisinier nouvelle vague , servie dans une cocotte en terre avec …….. des légumes oubliés (nouvelle dénomination pour rutabaga etc…)
Je n’ai pas pu la déguster . Idem chez l’une de mes amies , tu vas voir j’ai concocté un gâteau de carottes , tu m’en diras des nouvelles . J’ai du expliquer qu’il m’était impossible de le manger .comprenne qui peut .Une poignée de châtaignes froides , bouillies, faisait souvent notre goûter à ma soeur et à moi-même .
La comtesse de Paris a écrit un livre : tout m’est bonheur , je crois qu’après cette période , le père Noël était journalier .
Actuellement , je retrouve les automatismes acquis à cette période Pour l’instant , j’ai de la lumière , du chauffage , un toit , un intérieur qui me convient , des vêtements chauds mais il y en a d’autres qui paient la facture et là , psychiquement , je reconnais que j’encaisse mal .
Noëlle Gaël
20 décembre 2020 @ 19:55
Ghislaine, votre empathie pour les gens en situation précaire fait chaud au coeur.
La vie n’est pas drôle actuellement, mais rien à voir avec la guerre que je n’ai pas connue, mais qu’on imagine aisément. On manquait de tout et on craignait pour sa vie et celle des proches et même des autres et pour ses biens… La détresse absolue.
Bonne soirée.
Noëlle Gaël
20 décembre 2020 @ 20:05
Mais en dehors de la guerre, la précarité (avec la crainte d’attraper le virus), c’est déjà bien triste.
Espérons qu’elle ne fera pas trop de ravages dans les prochains temps.
Charlotte (de Brie)
20 décembre 2020 @ 22:36
Non, non, non Ghislaine ! là vous poussez le bouchon trop loin !
Si les châtaignes étaient bouillies elles n’étaient pas froides !
Vous êtes née en 1940 nous avez vous dit, alors certes à cette époque il devait y avoir j’en conviens des restrictions de lumière, chauffage etc mais à quatre ou cinq ans les automatismes ne venaient pas de vous, mais de vos parents par la force des choses comme dans bien d’autres lieux en France, à l’époque et ce même après le 8 mai 1945.
La Bretagne et le Morbihan en particulier ne sont pas le centre de la France, ni du monde d’ailleurs.
Vous devenez incrédible en disant « pour l’instant j’ai de la lumière, du chauffage etc’
Vous voulez nous faire pleurer ? Si on monte une nouvelle comédie musicale « Les Misérables, vous postulez pour Cosette ?
Quant « aux autres qui paient la facture » pourriez vous préciser ? ce n’est pas depuis la pandémie qu’il y a des naufragés du bien -être.
Et pour la comtesse de Paris, très honnêtement, je ne vois pas ce qu’elle vient faire ici, quant au Père Noêl, personnellement, on ne m’y a jamais fait croire, alors !
Ghislaine LPB
21 décembre 2020 @ 09:13
Pour une fois je fais exception je vous réponds car votre post est un tissu d’inepties .
J’ai quand même le droit non d’une pipe d’évoquer la comtesse de Paris et son livre « tout m’est bonheur » pour indiquer que la vie me fut comme son titre l’indiquait après les années noires que j’ai connues . je ne suis pas une petite fille gâtée comme vous m’apparaissez l’être . Je ne me suis jamais fait plaindre que ce site comme vous .
je n’en ai rien à cirer de vos contestations d’une bêtise incommensurable . Des chataîgnes cuites la veille et mise en poche des gamines le lendemain matin sont bien froides non . Faut il avoir envie de descendre l’autre pour écrire ça .
Vous savez ce que c’est qu’une ville détruite ? Manifestement non . Alors oui j’ai de ’empathie pour ceux qui ont froid dans la rue faim et vous me le reprochez ? Dans les veilles de Noël, vous, catholique .Si je pouvai sinsérer des photos je mettrais celle de mon Lycée , où j’ai commençé mes humanités , dans un lieu relevant d’un baraquement de prisonniers de guerre avec un portail identique à d’autres lieux d’une tristesse infinie . Vous savez vous ce que c’est d’apprendre dans une cave à la lueur d’une bougie .
Vous feriez mieux de vous taire pour une fois car ce sont vos élèves que vous dégradez .
Je ne vous demande pas de me lire , si je vous déplaît , je ne déplaît pas à tout le monde et c’est bien ça qui vous gêne .
Je vous plains .
Ghislaine LPB
21 décembre 2020 @ 09:14
lire – sur ce site au lieu de que
Charlotte (de Brie)
21 décembre 2020 @ 17:25
Ca va mieux Ghislaine ?
Ciboulette
21 décembre 2020 @ 17:43
Vous exagérez , Ghislaine , et vous devenez agressive et impolie . Les autres contributeurs ont le droit d’avoir des opinions différentes de la vôtre , comme vous avez le droit d’avoir les vôtres , mais on n’insulte pas quelqu’un sous prétexte qu’il n’est pas d’accord avec vous !
Charlotte (de Brie)
22 décembre 2020 @ 10:42
Impossible de ne pas tenter une fois encore de communiquer.
Oui j’ai été une petite fille gâtée parce que il faut me pardonner d’être née en 1977 dans un pays en paix, grâce notamment à la génération qui pendant le conflit mondial s’est sacrifié et à ceux qui ensuite ont oeuvré pour qu’une paix durable s’installe en Europe, malgré quelque soubresauts, oui j’ai été une petite fille gâtée comme des millions d’autres de ma génération, faut il nous le reprocher ? nous jeter à la figure que nous n’avons pas connu la faim, le froid, la peur ? Vous avez connu comme des millions d’autres ces situations, il suffit de lire les témoignages, ce n’est pas en les ressassant et quelque part en nous reprochant de ne pas avoir connu ça que l’on avance. D’ailleurs des situations de ce type existent dans notre monde du XXIè siècle et on s’en préoccupe assez peu, obsédés que nous sommes par l’impossibilité de vivre « ‘comme d’habitude »
Je vais vous dire mieux et tant pis si je choque : Vous êtes une vieille dame gâtée, votre mari est toujours à votre côté, vous n’êtes pas en EHPAD, malgré votre multiples maux vous n’allez pas trop mal; vous avez connu mille situations intéressantes au cours de votre vie, voyagé, cotoyé des gens importants, alors ?
Les gens de ma génération eux ne savent pas s’ils auront une vieillesse gâtée ou si elle sera pourrie !
Ghislaine LPB
22 décembre 2020 @ 13:37
Ciboulette que n’avez vous écrit ce que vous me réservez à la personne qui sans arrêt me course sur ce site .On n’insulte pas quelqu’un vraiment ou étiez vous quand HRC m’a traitée de Plouc inculte , ou étiez vous quand Baboula m’a appelée Ginette et teigne , rien que ça .
Vous avez des oeillères quand cela vous arrange mais je n’en suis pas autrement étonnée .
Kenavo
pas envie du tout de me plomber ces heures riches pour moi .
Charlotte (de Brie)
22 décembre 2020 @ 20:03
Je dégrade mes élèves ?
Surveillez vos propos Ghislaine, vous ne me connaissez pas en tant que professeur, ni en tant que femme d’ailleurs, alors STOP, vous devenez grossière et indigne.
Mes élèves ne sont pas partie prenante dans ce débat où ils n’ont rien à voir, ils bénéficient de mon enseignement que cela vous plaise ou non et très honnêtement, ils n’ont pas l’air de s’en plaindre.
Jusqu’à présent je n’ai eu de retour négatif ni d’eux, ni de leurs parents, ni de l’Education Nationale, ne vous en déplaise, attaquez vous à moi autant que bon vous semblera, mais pas à la profession et surtout pas aux élèves qui me sont confiés.
Noëlle Gaël
21 décembre 2020 @ 17:57
Bonsoir, Je trouve la virulence de votre réponse à Ghislaine (que je ne connais pas) choquante, surtout s’adressant à une dame octogénaire. Le monde a besoin de gens ayant de l’empathie. Et évoquer de pires malheurs peut aider à relativiser nos soucis actuels.
Mais je suis d’accord avec vous que nos enfants doivent envisager leur avenir avec confiance. Après chaque tempête il y a des éclaircies…
Charlotte (de Brie)
22 décembre 2020 @ 12:38
Noêlle Gaël, j’ai quelque raison de le faire en ce qui me concerne, vous semblez nouvelle sur le site et je me réjouis de vous lire, mais pour apprécier l’ensemble il faut avoir lu des écrits d’archive et tenter de comprendre mes motivations. Octogénaire ou pas, il y a des lignes rouges à éviter de franchir, oserais-je dire : surtout si on est octogénaire c’est à dire rendue sage par l’expérience
Bonne journée
Ghislaine LPB
22 décembre 2020 @ 13:43
Merci Noëlle joli prénom de circonstance .
Voyez vous pour être passée par des années de vie difficile comme je l’ai indiqué , enfant et adolescente , je suis pour que les enfants soient mis au courant de situations graves car ils auront à les vivre hélas . Ils sont toujours les victimes colatérales et innocentes des conflits des grands .
Leur cacher ou atténuer les périodes de crise , surtout dans ce monde moderne où ils ont accès à toutes les informations pour ce qui me concerne n’est pas une bonne chose . Ils sont bien souvent plus clairvoyants qu’on ne le pense .
Bon Noël
pit
19 décembre 2020 @ 10:29
Très joli sapin.
Menthe
19 décembre 2020 @ 11:00
Nous avions aussi ces guirlandes de bougies électriques dans mon enfance.
Mayg
19 décembre 2020 @ 12:48
Le duc d’Édimbourg a t’il contact avec ses cousins germains ?
Mayg
19 décembre 2020 @ 12:49
Ou plutôt ses neveux.
Jean Pierre
19 décembre 2020 @ 19:01
Oui il va à leur enterrement. C’est triste mais c’est ainsi.
Mayg
20 décembre 2020 @ 13:34
Bah si il se contente d’aller à leur enterrement, c’est qu’il n’a pas vraiment contact avec eux.
COLETTE C.
19 décembre 2020 @ 14:47
Une famille qu ‘on connaît peu.
Jean Pierre
19 décembre 2020 @ 19:19
On voit que vous ne vivez pas à côté de chez eux…..
Teresa2424
19 décembre 2020 @ 17:30
Casi todas las familias nobles alemanas,suizas,vienesas son muy reservadas
Ludovina
19 décembre 2020 @ 20:41
Le margrave Berthold de Bade était l’unique fils de Wilhelm (1829-1897), prince de Bade et de Maria, princesse Romanovsky, princesse de Leuchtenberg (1841-1914).
Wilhelm était précédé de 3 garçons :
l’aîné, Ludwig (1822-1822), a vécu moins d’1 mois,
le cadet, Ludwig II (1824-1858), mourra sans descendance,
le 3ème Friedrich I (1826-1907) sera le père de Friedrich II (1857-1928) qui n’aura pas d’enfant avec son épouse la princesse Hilda de Luxembourg.
Le frère du grand-duc de Bade Friedrich II, Wilhelm (1865-1888), mourra sans alliance.
Ludovina
19 décembre 2020 @ 21:27
Les 4 sœurs du duc d’Edimbourg ont épousé des princes allemands :
l’aînée Margarita (1905-1981) s’était unie à Gottfried, chef de sa maison, 8ème prince de Hohenlohe-Langenbourg (1897-1960).
la cadette était Theodora, ci-dessus,
la 3ème, Cecilia (1911-1937), s’était mariée avec le grand-duc Georg de Hesse et du Rhin (1906-1937),
la 4ème, Sofia (1914-2001), avait convolé 2 fois, son 1er mari était le prince Christoph de Hesse ((1901-1943), fils de Friedrich Karl, landgrave de Hesse, beau-frère de la princesse Mafalda de Savoie (1902-1944), épouse de son frère Philipp (1896-1980), chef de leur maison), le second était le prince Georg Wilhelm de Hanovre (1915-2006), frère du prince Ernst August de Hanovre, duc de Braunschweig-Lünebourg (1914-1987), chef de leur dynastie royale.