Le roi Paul et la reine Frederika de Grèce avaient pour habitude dans les années 50 de se rendre dans les différentes régions du pays. Dans certaines régions plus montagneuses, le moyen de locomotion était alors à dos d’âne. Le couple royal était parfois accompagné de ses enfants Sophie, Constantin et Irène. (Copyright photo : DR – merci à Tepi)
Marine2
18 juin 2013 @ 08:59
C’est qe que l’on appelle aujourd’hui des « visites de terrain » … et dans d’autres condittions ! Encore un merveilleux voyage dans le passé grâce à Tepi. Un grand merci, la Grèce reste dans mes pensées.
Jean Pierre
18 juin 2013 @ 08:59
C’était après la terrible guerre civile.
Marine2
18 juin 2013 @ 09:03
Pardon, « conditions ».
Il existe, je crois, une photo de la Reine Anne Marie effectuant une visite à dos d’âne.
corentine
18 juin 2013 @ 10:05
merci Tepi pour cette photo
j’aime cette famille royale de Grèce et c’est toujours avec un pincement au cœur quand je vois ce qu’est devenu aujourd’hui ce beau pays
flabemont8
18 juin 2013 @ 15:25
Merci, Tepi, pour cette photo et son commentaire !
Fande
18 juin 2013 @ 17:35
Quelle superbe photo. Ca donne envie de prendre l’air dans ces belles montagnes arides.
Caroline
19 juin 2013 @ 11:18
Fande,lool,ah non!en pleine chaleur!
Je crois que Frederika de Grèce a endossé une tenue folkorique!
Fande
19 juin 2013 @ 17:09
C’est bien vrai que c’est mieux en photo, je ne supporterais pas la chaleur ! Mais j’aime les contrées arides, la garrigue… Un peu contradictoire tout cela :)
erwan
18 juin 2013 @ 22:18
Le dos d’âne ne serait plus utilisé aujourd’hui. Quitte à visiter son peuple et son royaume autant abolir les distances artificielles.
Merci Tepi pour cette belle photographie qui nous fait voyager dans le temps. J’aime votre pays.
Tepi
19 juin 2013 @ 20:40
Merci beaucoup Erwan.Vous savez j’ai des amis intimes ( pas Grecs) qui aiment bien la Grèce (encore ) et m’ inspirent trop du courage. Vos bons paroles me font chaud au coeur.
Jean Pierre
21 juin 2013 @ 16:06
J’ai encore vu il y a quatre ans près de la maison que j’avais louée à Volissos dans l’île de Chios une vieille dame toute vêtue de noir qui se déplaçait encore sur un âne avec ses marchandises.
Elle était la Grèce éternelle, celle qui ne s’encombre pas de la conjoncture qui quoiqu’on en dise est « moins pire » qu’au lendemain de la guerre civile ou après la Grande Catastrophe du début des années 20.
Tepi nous sommes ici plusieurs qui avons tant aimé la Grèce et qui continuons à l’aimer.Amitiés.