Le prince Philip et son fila aîné Charles photographiés en 1960 par Cecil Beaton. Cette photo fait partie de l’exposition « Royal portraits » qui se tient actuellement à la King’s Gallery à Londres.
Archives : Philip et Charles en 1960
14 Comments
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19 juin 2024 @ 06:03
Ce portrait ne pouvait pas illustrer la fête des pères . La main est plus lourde que protectrice . Facile à dire maintenant que l’Histoire a été écrite . 😉
19 juin 2024 @ 09:26
En voyant la coupe de cheveux de Charles, on comprend maintenant pourquoi celui-ci a une sainte horreur des nuques impeccables.
19 juin 2024 @ 08:22
Charles a surtout pris de son père : les mains.
19 juin 2024 @ 11:42
Ah oui ! On les a si peu vus côte à côte que la similitude n’était pas apparue.
C’est donc pour cela que le duc avait toujours les mains dans le dos 😆
19 juin 2024 @ 09:48
On sentait une forme de domination du père fort sur un fils timide et effacé rien qu’à voir la photo
19 juin 2024 @ 19:32
Il a pris sa revanche depuis 😉
19 juin 2024 @ 10:02
Ah, la silhouette du prince Philip ! inégalée.
19 juin 2024 @ 11:16
Excellente photo techniquement et au niveau sémantique: la saturation des teintes a été parfaitement maitrisée au tirage et même de profil, en plus de la main, on entrevoit bien dans l’expression des deux visages ce qui se passe entre le père et son fils… Pauvre Charle!
19 juin 2024 @ 15:04
Comme dans la famille Luxembourg, aucun enfant n’a hérité de l’élégance du père…
Edward peut être ?
22 juin 2024 @ 23:37
Comparez-le à 50 ans, encore très bel homme, avec ses fils et sa fille au même âge… Oui, Edward était passable quand il avait encore ses cheveux.
19 juin 2024 @ 15:47
Jolie photo.
Beaucoup d’élégance naturelle.
J’aimais bien quand le duc avait ses mains dans le dos,
19 juin 2024 @ 16:06
Pas terrible ni chaleureuse la photo.
19 juin 2024 @ 19:22
Le moins qu’on puisse dire c’est que cette photo n’est pas pleine de tendresse. On sent la distance qui sépare le père et le fils. Heureusement que leurs relations s’étaient réchauffées les derniers temps.
20 juin 2024 @ 13:48
On ne retrouve jamais ce que l’on a manqué.