La reine Victoria Eugénie d’Espagne avec deux de ses petits-fils dont elle fut très proche : Alfonso, duc de Cadix et Juan Carlos qui devint roi en 1975. Tous les deux ont toujours raconté que leur grand-mère paternelle avait été très présente dans leurs vies lorsqu’ils étaient en Suisse loin de leurs parents.
Silvia
11 mars 2019 @ 08:38
Très séduisant le duc de Cadix💖bon lundi.😀🏵️🌸🌺🌻
monica
11 mars 2019 @ 12:27
Silvia oh oui alors …
Pierre-Yves
11 mars 2019 @ 09:21
Une photo qui symbolise assez bien la joie profonde que peut procurer la relation grand-mère – petit-fils. J’en parle en connaissance de cause.
Menthe
11 mars 2019 @ 10:27
Les vieilles dames sont toujours très fières de leurs petit-fils !
Mamyriam
11 mars 2019 @ 15:09
Merci future vieille dame 😜
Menthe
12 mars 2019 @ 17:22
Allez, je reprend, les dames âgées sont toujours très fières de leurs petit-fils!… et j’ajoute, particulièrement quand les dits petit-fils deviennent de beaux jeunes hommes, comme sur la photo.
Mary
11 mars 2019 @ 11:29
Ces deux cousins qui semblaient bien s’entendre vivaient une situation assez malsaine,bien malgré eux.
Le pauvre prince Alfonso devait penser que son cousin usurpait sa place,non sans raison, et le prince Juan -Carlos devait se dire que ce n’était peut-être pas très juste de devenir roi à cause d’une mastoïdite mal soignée…
Jean Pierre
11 mars 2019 @ 13:04
Victoria-Eugénie entretenait une petite cour à Lausanne avec son cousin Nicolas de Roumanie et la duchesse de Pistoïa. On y était surtout mauvaise langue. Paul Morand n’est pas tendre sur cette camarilla.
Juan Carlos a toujours aimé la Suisse. J’espère pour lui qu’il y vit en paix, heureux enfin, plus obligé d’y faire des escapades régulières.
Gérard
12 mars 2019 @ 22:56
Juan Carlos en Suisse ?!?
Berton
11 mars 2019 @ 13:38
Même les moyennes vieilles !!!!
j21
11 mars 2019 @ 14:08
Effectivement.! Bonne analyse de la situation. Et le roi Felipe qui snobe son petit cousin, le duc d’Anjou!
Nous ne savons pas pourquoi Franco a préféré Juan Carlos au prince Alfonso qui en plus d’être le fils aîné du fils aîné du dernier roi Alphonse XIII, était le mari de sa petite fille.
aubert
12 mars 2019 @ 13:59
Le général Franco a suivi les règles de la monarchie espagnole. Les deux Infants, aînés du comte de Barcelone, avaient été privés de leur droits de succession au trône par leur père le roi Alphone XIII.
Remerciez-le. Si le prince Alfonso devenu roi d’Espagne, contraint par les » lois fondamentales » de prétendre au trône de France comme aîné des capétiens aurait été placé dans une situation cornélienne et nos légitimistes avec lui.
Que resterait-il à N&R ? les fringues et le botox !
Sigismond
13 mars 2019 @ 15:33
Contrairement à ce que Cosmo nous serine depuis des années (car pour lui cela semble être l’alpha et l’oméga en ce bas monde) le duc d’Anjou et de Ségovie aurait pu être en même temps roi de France et d’Espagne, si de Gaulle et Franco avaient eu l’un et l’autre un minimum de jugeotte. Et puis à la quatrième génération (celle à venir) Bourgogne aurait eu la France et Berry, l’Espagne. Le seul bienfait apporté par Franco fut de laisser Juan sin Tierra sans couronne, ce qui n’était que justice.
Gérard
14 mars 2019 @ 16:34
Là tout de même vous allez fort Sigismond. Rétablir la royauté en Espagne c’était déjà difficile, rétablir la royauté en France même à l’époque aurait nécessité un fort coup de pouce du Ciel mais faire l’union des deux pays alors que l’Europe n’était pas encore ce qu’elle est devenue et avec une famille inconnue des Français !
Même le général de Gaulle n’était pas capable d’une pareille prouesse qu’il n’aurait d’ailleurs pas souhaitée à la fois pour la réunion des deux pays et pour le choix du roi en France.
Mon père qui était un fervent gaulliste et royaliste m’aurait dit mon pauvre enfant De Gaulle est tombé sur la tête.
Anna
19 mars 2019 @ 20:08
Ça se confirme vous pensez vivre au XVII eme siècle! Avec des arriérés comme vous le luis alfonsisme a un avenir brillant qui l attend!
Sigismond
14 mars 2019 @ 09:10
Alphone XIII n’avait pas autorité pour pouvoir priver le prince des Asturies (qui ne fut jamais infant, puisque né prince des Asturies) et l’infant Jacques de leurs droits. A fortiori en étant (1933) un monarque déchu dans une chambre d’hôtel seine-et-marnais, sans le moindre pouvoir. Discriminer ses deux aînés sous prétexte de leur état de santé (ou du choix de l’épouse devant Dieu de l’aîné, choix qui n’avait pas l’heur de plaire au père du mari, non mais de quoi je me mêle ?) pour les forcer à signer de pseudo-renonciations, sans la moindre authentification ni validation par une autorité espagnole légalement constituée, quelle ignominie. Et en plus avec la bénédiction de doña Victoria Eugenia, qui alors même que son mari la trompait avec tout un tas de maîtresses, lui obéissait sans avoir l’idée de défendre les Droits de ses fils !
Heureusement, tant le prince des Asturies que l’infant Jacques annuleront leurs renonciations, l’un au printemps 1938 (depuis New York, par l’intermédiaire de son secrétaire Jack Fleming) l’autre en décembre 1949 (avec l’assistance de son avocat autrichien, maître Draxler, celui-là même qui défendait aussi les intérêts d’Otto de Habsbourg-Lorraine).
Gérard
14 mars 2019 @ 16:39
Des renonciations don J’aime en a signé plus d’une. Et puis il y avait l’inégalité des unions matrimoniales sur laquelle à l’époque on ne plaisantait pas depuis Charles III, le plus vénéré de tous les rois Bourbons d’Espagne.
Mary
17 mars 2019 @ 22:52
Vous avez raison : écarter ces deux princes étaient scandaleux !
Mary
17 mars 2019 @ 22:53
Vous avez raison : écarter ces deux princes était scandaleux !
particule
11 mars 2019 @ 14:47
Deux petits fils magnifiques. Une grand mère heureuse ….et les destins qui n’ont pas encore parlé.
Aramis
11 mars 2019 @ 15:29
Admirons les desseins insondables de la providence qui a voulu que, dans la simplicité d’un appartement bourgeois, en plein vingtième siècle, cette reine, pourtant née anglaise, tienne dans ses bras, D’un côté le roi de France, de l’autre le roi d’Espagne…. tous deux beaux comme des dieux… preuve éclatante qu’ils en sont les lieutenants sur ces terres bénies… le rêve de toute princesse plus ou moins bien née, elle l’a réalisé…:)
Mary
12 mars 2019 @ 13:47
Beaux comme des dieux ?
Diable, diable, cher Aramis, comment qualifieriez-vous des canons absolus comme :
Gary Cooper,
George Peppard
Roger Moore
Clint Eastwood
Bradley Cooper
Ben Affleck
Et j’en passe…ce n’était que mon petit Panthéon personnel. Ce jeune homme joufflu à l’air déjà triste et ce grand dadais frisotté et affligé d’un grand nez ( même si, selon le Cyrano de Rostand, c’est le signe d’un homme » libéral, courageux etc… », n’en font pas partie .
Les royaux m’intéressent parce que j’aime l’histoire, mais je reste objective. Ces deux- là ne sont pas mal, c’est tout.
Aramis
14 mars 2019 @ 13:27
Vous aurez compris, Mary, qu’en’parlant De roi de France pour Alfonso, je m’amusais un Peu , comme pour tout ce post.
Ceci étant, si le seul critère d’un mariage était la beauté du conjoint, j’aurais sans hésitation demandé l’un ou l’autre en mariage… car ils sont qd même plus que pas mal … évidemment on peut toujours trouver mieux, si on compare avec les acteurs dont vous parlez…
Mary
17 mars 2019 @ 22:31
C’est vrai, Aramis, pas mal, c’est le mot ! et pour être très honnête, je vous dirai que le prince Alphonse était le plus beau des deux…
Baboula
14 mars 2019 @ 20:20
Allons Mary,avant Hollywood qui auriez-vous regardé ????? Les frères Lumière… je ne crois pas …vous oubliez Jean Marais le seul à soutenir la comparaison.
Mary
17 mars 2019 @ 23:11
Bonsoir Baboula,
La cinéphile que je suis a fort bien repéré jean Marais, Jean Chevrier et Jean-Claude Pascal, trois hommes très beaux , mais peu amateurs de femmes…alors, je ne fantasme pas sur eux !
Plaisanterie à part, ils étaient vraiment magnifiques !
Jane1
11 mars 2019 @ 20:06
Ce qui prouve qu’une fois aux sommets, peu importe le moyen d’y arriver, on ne se retourne plus sur ce qui pourrait rappeler de mauvais souvenirs. Le roi Felipe a un cousin de même rang, considéré comme un presque paria ! Qui vivra verra …
Gérard
11 mars 2019 @ 20:33
Juan Carlos est très élégant.
Caroline
11 mars 2019 @ 22:43
Apres avoir consulté la descendance de Victoire-Eugénie de Battenberg via internet, je crois avoir compris qu’elle n’a pas de petites-filles ! Merci d’avance!
Jean Pierre
12 mars 2019 @ 13:11
Si Caroline, 7 :
les infantes Pilar et Margarita les sœurs de Juan Carlos
Olympia Torlonia qui épousa le fils de Paul Louis Weiller et est la mère de Sibilla de Luxembourg
Vittoria Álvarez de Toledo
Giovanna Sánchez-Merlo
Maria Theresa Marone-Cinzano
Anna Alessandra Schwartz
Lady Chatturlante
12 mars 2019 @ 13:24
Mais si, ou alors vous oubliez que les infantes Margarita et Pilar, dont Mme Salens vient d’évoquer le 80e anniversaire, ne sont pas les soeurs de Juan Carlos. Vous pourriez vous égarer dans le nombre de mes maris, mais pas ça.
aubert
12 mars 2019 @ 13:47
Vous devriez mieux suivre N&R. Ces derniers jours le site vous en présentait deux, les filles du comte de Barcelone.
Les infantes Beatrix et Maria Cristina, filles de la reine Victoria-Eugénie ont elles-mêmes eu des filles.
olivier kell
12 mars 2019 @ 13:47
et les infantes soeurs du Roi Juan Carlos ?
Patricio
12 mars 2019 @ 19:53
L infante Beatriz, pcss Torlonia a eu au moins une fille, sans compter les filles du comte de Barcelone.
Amitiés
Patricio
Gérard
13 mars 2019 @ 15:30
L’infante Béatrice a épousé morganatiquement Don Alessandro Torlonia prince de Civitella Cesi. Ils ont eu quatre enfants dont deux filles :
• Donna Victoria Alessandra Torlonia, noble des princes de Civitella Cesi (1936-2014), épouse du comte Clemente Lequio di Assaba (1925-1971), dont postérité,
• Donna Olympia Torlonia, noble des des princes de Civitella Cesi (1943), épouse une de Paul-Annik Weiller (1933-1998) dont postérité, dont
L’infante María Cristina a épousé morganatiquement Enrico Eugenio Marone-Cinzano (1895-1968) 1er comte Marone. Ils ont eu quatre filles :
• Vittoria Marone-Cinzano (1941), épouse de José Carlos Álvarez de Toledo y Gross, 6e marquis de Casa Loring (1929-2000) dont postérité.
• Giovanna Marone-Cinzano (1943), divorcée de Jaime Galobert y Satrustequi (1935) dont postérité.
• María Theresa Marone-Cinzano (1945), divorcée de José María Ruiz de Arana y Montalvo (1933-2004), 17e duc de Baena, 17e duc de Sanlúcar La Mayor, 15e marquis de Villamanrique, 13e marquis de Castromonte, 5e marquis de Brenes, 11e comte de Sevilla La Nueva et 5e vicomte de Mamblas, dont postérité.
• Anna Alessandra (Anna Sandra) Marone-Cinzano (1948), divorcée de Gian Carlo Stavro Santarosa, dont postérité, et épouse de Fernando Schwartz y Giron.
Quant au comte de Barcelone nous le savons il a eu deux filles.
josaintvic
12 mars 2019 @ 14:30
Elle a eu plusieurs petites filles dont Olympia fille de l’infante Beatriz et mère de la princesse Sybille de Luxembourg
clement
12 mars 2019 @ 17:24
Les deux soeurs de Juan-Carlos sont les petites- filles de la reine Victoria Eugénia .
Gérard
12 mars 2019 @ 23:02
Elle a eu je crois huit petites-filles.
Sigismond
13 mars 2019 @ 11:35
Personne fausse au double visage, grand-mère gâteau dans les choses du quotidien, mais reine usurpatrice déchue et imbue de préjugés dynastiques germaniques complètement étrangers à la Maison de Bourbon (dus peut-être à la situation de son père par rapport à la branche régnant à Darmstadt !)
Contrairement à sa belle-fille et successeure, notre si aimée et vénérée Madame, doña Victoria Eugenia se fichait de la loi salique comme de son premier plum pudding. Peu lui chalait que son fils préféré, le fameux prince Jean et le fils aîné de ce dernier, ici à son bras gauche, ne fussent que des cadets. ♫ « Quand on parlera de ce prince Jean… » : https://www.youtube.com/watch?v=ocdpqwkmCKk ♫
Mais c’est son aîné, le prince Jacques, qui a aujourd’hui trois arrière-petits-fils Bourbons, alors que le prince Jean n’en a aucun : la Providence a plus d’un tour dans son sac.
Lili
19 mars 2019 @ 20:16
Votre vénérée Madame!!! Celle là même qui a abandonné mari et enfants au petit matin…. pour retrouver son amant! Celle là même qui fut déchu du titre de duchesse Segovie. Celle là même qui fut ignorée par l’ensemble des royautés sa vie durant! Celle là même qui se remarie 2 fois puis concubina! Celle là même qui vola des bijoux à son ex mari et qui refusa de lui rendre. Celle là même qui fut une si bonne grand mère que son petit fils,après avoir perdu son père, refusa de vivre avec elle. Celle là même était tout sauf Madame, c était une simple femme dont la vie fut tout sauf glorieuse et qui, l’age Venant, après avoir usé tant d’hommes se couvrait de mantilles pour dissimuler son passé vulgaire. Quant à la reine son ex belle mère elle fut certainement horrifiée par la mesailliance entre son fils et cette femme si bas de gamme.
Sigismond
21 mars 2019 @ 12:09
Comme d’habitude, l’engeance orléanolâtre se vautre dans la fange en dénigrant et en calomniant celle qui fut 71 ans durant, l’épouse puis la veuve du chef de la Maison de France.
Il faudrait Lili, balayer devant votre porte poiristo-juillettiste, car qui donc a abandonné femme et cinq enfants (dont deux handicapés) au petit matin pour retrouver sa maîtresse ? C’est un Orléans, pas un Bourbon. Et qui donc fut qualifiée de « moderne Messaline » ? La mère de Philippe Égalité, ancêtre directe de tous les Orléans. Et qui abandonna femme et enfants pour se mettre en ménage, l’âge venant, avec une certaine Monique ? Encore un Orléans. Et qui prenait du bon temps avec un beau Gustave ? Une Orléans, pas une Bourbon.
Quant à notre Princesse, vous devriez savoir qu’elle s’entendait très bien avec sa belle-mère, qui du reste étant une morganatique Battenberg, aurait été très mal placée pour donner des leçons de soi-disant « mésalliance ». Vous devriez savoir aussi que Madame ne se remaria qu’une seule fois et seulement civilement, vos calomnies et vos insultes n’y changeront rien, les faits sont les faits, vos inventions ne grandissent pas la cause blette de vos hypercadets. Et il n’y eut jamais d’annulation religieuse du mariage Bourbon-Dampierre, que cela vous plaise ou non. Madame ne fut donc jamais déchu de ses titres de duchesse d’Anjou et de Ségovie, qui figurèrent toujours sur son passeport français.
En parlant de déchéance de titre, vous pourriez plutôt nous parler d’un certain comte de Mortain !
Gérard
14 mars 2019 @ 16:42
Les pragmatiques sanctions n’étaient pas germaniques et je vous trouve bien dur pour une personne que vous considérez comme reine de France.
Sigismond
18 mars 2019 @ 10:33
Gérard,
je ne me serais pas permis une appréciation aussi sévère sur cette Hessoise déclassée (pour reprendre un adjectif cher à certains orléanolâtres) si le baron Pinoteau n’avait pas écrit noir sur blanc en 2009 que la reine Victoria Eugenia « a toujours méprisé les légitimistes ».
Quant au prétendument vénéré Charles III, qui exclua ignoblement son fils aîné des successions espagnoles et siciliennes, Hervé Pinoteau résume comme suit ce qu’il faut penser de ce monarque magouilleur : « Charles III qui commença à essayer de détruire la Maison de Bourbon en chassant littéralement de celle-ci son frère, l’ex-cardinal Louis, et les enfants de celui-ci, sous prétexte de mariage inégal ». Veuf d’une Saxonne et méfiant envers l’infant Louis-Antoine, qui était né sur le sol espagnol alors que les enfants de Charles III étaient tous nés dans les Siciles, ce dernier inventa les mariages soi-disant « inégaux » pour pouvoir déclasser la descendance de son plus jeune frère (afin que ses futurs neveux ne concurrencent pas ses fils pour le trône d’Espagne). Celui-ci épousa doña María Teresa de Vallabriga-Español y Rozas-Drummond (d’ascendance maternelle écossaise) petite-fille du duc de Saint Andrews, arrière-petite-fille du duc de Melfort, arrière-petite-nièce du duc de Perth, chancelier d’Écosse, et fille de la comtesse de Castelblanco et de Torresecas. Doña Mª Teresa de Vallabriga était une épouse tout à fait digne de devenir infante d’Espagne, la pseudo-égalité de naissance n’ayant jamais été une exigence ni dans la Maison de Bourbon, ni dans les anciens royaumes de la Couronne d’Espagne. Et qu’on pense, depuis le siècle dernier, aux mariages Ortiz, Urdangarin, Zurita ou Marone (et Marichalar, Gómez-Acebo, Torlonia, etc) dont les descendants n’ont jamais été exclus par les Cortes, la constitution de 1978 n’ayant pas statué à ce sujet.
Gérard
14 mars 2019 @ 16:47
Mais c’est pourtant de ce prince Jean d’Angleterre que viennent les rois de ce pays aujourd’hui.