Cette armoire à bijoux de l’artisanat victorien fut exposée pour la première fois à la grande exposition en 1851.
L’armoire, formée à partir de techniques innovantes de travail des métaux, est montée de plaques en porcelaine montrant la reine Victoria, le prince Albert et leur fils aîné, le futur roi Edward VII.
Les styles changent au fil des décennies, donc bien sûr les styles de ces étuis sont très différents. En outre, certains pourraient dire que le cas français est exagéré et que le cas britannique fait preuve de classe et de retenue.
A l’exposition universelle de Londres de 1851 on trouve, d’un côté, les prêts des collections privées de la reine Victoria, du prince Albert, du prince de Galles ; l’argenterie d’Elkington, Mason & Co. de Birmingham ; les châles en cachemire, avec des motifs indiens traditionnels ; les porcelaines et les céramiques de Herbert Minton, de Copeland et Wedgewood. De l’autre, on remarque les importantes commandes de Napoléon III : l’argenterie de Cristofle ; les émaux et la porcelaine de Sèvres ; les tapisseries des Gobelins et de Beauvais ; les bronzes de Barbedienne et Paillard ; l’orfèvrerie de Froment-Meurice ; les soies de Lyon et les meubles en ébène de Fourdinois.
(Sources : « Les expositions universelles », de Linda Aimone et Carlo Olmo, Belin)
JE
14 février 2023 @ 05:54
Beau travail d’époque. Ou trouve-t-on cet objet maintenant? Il fait partie des collections royales?
Pastelin
14 février 2023 @ 09:05
https://journals.openedition.org/crcv/docannexe/image/13561/img-13.jpg
Loin, loin de la beauté et du raffinement à la française…
Pastelin
14 février 2023 @ 09:06
Serre bijoux de Marie -Antoinette.
Montferrat
14 février 2023 @ 11:01
Les styles changent au fil des décennies, donc bien sûr les styles de ces étuis sont très différents. En outre, certains pourraient dire que le cas français est exagéré et que le cas britannique fait preuve de classe et de retenue.
Pastelin
15 février 2023 @ 05:53
Pour moi, c’est lourd, massif. Question de goût, certes. Le XVIIIe siècle français a ma préférence.
JE
14 février 2023 @ 14:20
Un rien surchargé et datant d’une autre époque.
PATRICIA
14 février 2023 @ 09:58
Il serait intéressant d’avoir les dimension de cette « armoire » à bijoux.
Baboula
14 février 2023 @ 12:18
Bien trop petite pour la collection de la reine Élisabeth .
Claude MARON
14 février 2023 @ 12:55
En effet, cela me semble plus un coffret (ou coffre) qu’une armoire, mais je trouve l’objet magnifique !
Esquiline
14 février 2023 @ 17:56
Oui ça m’intéresserait aussi, armoire ou coffret?
Chic et sobre, le vrai raffinement.
J’aime bien le bleu du ‘toit’ émaillé qui me rappelle le Chine.
COLETTE C.
14 février 2023 @ 16:36
Raffinée.
Passiflore
14 février 2023 @ 20:44
A l’exposition universelle de Londres de 1851 on trouve, d’un côté, les prêts des collections privées de la reine Victoria, du prince Albert, du prince de Galles ; l’argenterie d’Elkington, Mason & Co. de Birmingham ; les châles en cachemire, avec des motifs indiens traditionnels ; les porcelaines et les céramiques de Herbert Minton, de Copeland et Wedgewood. De l’autre, on remarque les importantes commandes de Napoléon III : l’argenterie de Cristofle ; les émaux et la porcelaine de Sèvres ; les tapisseries des Gobelins et de Beauvais ; les bronzes de Barbedienne et Paillard ; l’orfèvrerie de Froment-Meurice ; les soies de Lyon et les meubles en ébène de Fourdinois.
(Sources : « Les expositions universelles », de Linda Aimone et Carlo Olmo, Belin)