Audrey Hepburn incarnait la princesse Ann dans le film « Vacances romaines » sorti en 1953. Jeune princesse, elle est en visite dans différentes capitales européennes et fait halte à Rome. Elle décide de fuguer pour découvrir la ville. C’est ainsi qu’elle rencontre un journaliste Joe Bradley qui devait l’interviewer le lendemain.
L’entourage royal explique que la princesse doit remettre ses interviews cvar elle est souffrante. Entre temps, Joe Bradley rôle joué par Gregory Peck se rend compte que la jeune femme est en fait la princesse Ann.
Ils visitent le centre de Rome à bord d’une Vespa. La princesse qui a passé une journée loin du protocole, prend la décision de rentrer. Le lendemain, elle comprend lors d’une conférence de presse que Bradley est un journaliste. ce dernier lui remet des clichés qui avaient été pris lors de leur escapade, ayant pris la décision de ne pas les vendre malgré les sommes importantes que cela aurait pu lui rapporter.
Annmaule
20 mars 2017 @ 05:56
Ce film fait il toujours rever les jeunes filles d aujourd hui?
Il a fait pour moi plus que tous les guides touristiques lors de mon premier sejour a Rome…il y a….?
Albane
21 mars 2017 @ 18:08
Je vous confirme qu’il fait encore rêver certaines jeunes filles. Moi aussi ce film m’a conquise. Et puis Audrey Hepburn était si attachante !!!!
Marie-Françoise
20 mars 2017 @ 07:23
Merveilleuse Audrey Hepburn ! La quintessence absolue du charme, de la classe et de la distinction. Ma « Princesse » Préférée avec Grace de Monaco, !
June
20 mars 2017 @ 08:00
Lorsque les journalistes sont des gentlemen ;)
J’ai adoré ce film dans ma jeunesse !! :)
MIKA
20 mars 2017 @ 08:08
Un petit bijou ce film ! De beauté et d’élégance (Audrey Hepburn et Grégory Peck)’ de douceur, de merveilles à Rome…
Et ces belles annees 50…. Cela donnerait presque l’envie de ne pas sortir du film pour retrouver le monde actuel de jeunes femmes tatouées et aux pantalons déchirés…?
Severina
20 mars 2017 @ 08:42
Un film délicieux, vu et revu plusieurs fois: c’est certains, aujourd’hui la princesse Ann n’aurait pas renoncé à son amour!
Robespierre
20 mars 2017 @ 14:55
Et la relation aurait été nettement moins platonique…
Muscate-Valeska de Lisabé
20 mars 2017 @ 09:15
Si gracieuse,adorable.
Elle avait tourné un film près de Chantilly,aux étangs des Commelles,dans les jardins du petit château de la Reine Blanche…féerique.
septentrion
20 mars 2017 @ 10:04
Un film très démodé à mon avis mais que je revois toujours avec plaisir.
Gregory Peck et Audrey Hepburn étaient aussi magnifiques l’un que l’autre.
L’histoire du film tout en étant improbable fait furieusement penser à certaines princesses…
Dans la réalité économique actuelle et passée, Bradley et sa conscience n’existent pas.
A lire ou relire « La Véritable Audrey Hepburn » de Bertrand Meyer-Stabley.
Pierre-Yves
20 mars 2017 @ 15:41
Vous avez raison, le film a beaucoup vieilli.
Je suis un admirateur d’Audrey Hepburn, mais nombre de ses films, malgré l’attendrissement qu’on éprouve à la voir elle, flirtent avec le ridicule aujourd’hui (je pense par exemple à Ariane, de Billy Wilder, avec Maurice Chevalier).
Diamants sur Canapé est un de ceux qui a le mieux résisté au temps.
Kalistéa
21 mars 2017 @ 10:18
Oui finalement ce film s’est démodé ! Il est cependant toujours agréable à regarder car comme vous dites, les autres sont niais: « sabrina » « funy-face ».. mais.ne confondez vous pas avec « comment voler un million de dollars »? qui , me semble-t-il, pour quelqu’un qui le voit pour la 1ere fois , reste une charmante comédie?
bianca
23 mars 2017 @ 15:49
J’ai eu le plaisir de les retrouver sur une VESPA…Notre rêve quand nous étions enfants !
Lili.M
21 mars 2017 @ 16:46
Moi aussi j’ai un faible pour Diamants sur canapé ( Breakfast at Tiffany’s ?) où elle chante Moon River . Elle était habillée par son couturier favori Givenchy. La robe noire de la première scène du film est restée culte.????
bianca
23 mars 2017 @ 15:54
Je l’ai beaucoup aimée dans le film « My fair Lady » ! que j’ai revu une fois à la TV, puis dans le film « Au risque de se perdre » dans lequel elle joue le rôle d’une none ! Excellente comédienne au visage pur et si expressif !
Par contre je ne me souviens plus d’avoir vu « Moon River » … Je suis Fan de cette actrice !
Corsica
20 mars 2017 @ 17:58
Effectivement , j’ai revu récemment le film et il date. Mais quel plaisir de retrouver ces deux acteurs élégants et beaux. Dans ce film, Audrey Hepburn, qui pour moi représente toujours la quintessence de l’élégance et de la grâce, et Grégory Peck formait un très beau couple. Et puis quelle belle virée dans la ville éternelle.
septentrion
22 mars 2017 @ 10:02
Corsica, c’est vrai quelle belle virée…
adriana
20 mars 2017 @ 10:40
une jolie actrice belle, élégante au grand coeur.
CAROLINE VM
20 mars 2017 @ 10:43
Quel délice! Si gracieuse Audrey Hepburn …Cela restitue si bien l’ambiance romaine…Un diamant dans un bel écrin!
Kalistéa
20 mars 2017 @ 11:12
En ce temps-là les journalistes avaient du cœur !
Leonor
20 mars 2017 @ 14:28
Oui… enfin… c’était du cinéma, Kali ! Du beau cinéma, mais du cinéma.
limaya
20 mars 2017 @ 14:51
Et le » fric » ne menait pas encore le monde
Bernadette
20 mars 2017 @ 18:35
Bien dit Kalistea ! On ne peut pas en dire autant aujourd’hui ! Ils ne font pas de sentiment !
Ceci dit, Audrey Hepburn faisait partie de mes actrices préférées dans ma lointaine jeunesse, et j’ai été très choquée que l’annonce de sa mort n’ait pas donné lieu à un hommage à la télévision : l’occasion de revoir ses films. Je me crois me souvenir qu’ils ont juste passé un film…. à 23 h 30 !!!! C’est vraiment se moquer !
jo de st vic
20 mars 2017 @ 13:07
Quelle jolie et gracieuse princesse ! c’est du cinema mais tellement plus élégante et naturellement classe que les (vraies ?) princesses actuelles
Olivier Kell
20 mars 2017 @ 13:31
La grande classe
Gauthier
20 mars 2017 @ 15:15
En début de film, dans la scène de bal à l’ambassade, certains membres de la noblesse romaine jouent les figurants. Une manière comme une autre de se rappeler les fastes du Quirinal, 6 ans seulement après la chute de la monarchie italienne…
Albane
21 mars 2017 @ 19:41
Ah je ne savais pas ! Je vois maintenant cette scène d’un autre oeil !
lorraine 1
20 mars 2017 @ 15:42
Elle avait une allure réellement princière et « purifiait » tous les rôles qu’elle interprétait. Une classe extraordinaire.
bianca
23 mars 2017 @ 15:57
C’est exactement ce que ressens la concernant, bravo lorraine 1 !!!
val
20 mars 2017 @ 15:53
c’est un cygne cette magnifique dame .
Blouin
20 mars 2017 @ 18:57
Ah Gregory Peck !
Baboula
20 mars 2017 @ 19:38
La fraîcheur,la grâce et pas de niaiserie car une pointe de piquant tout de même .
Somebody is perfect .
Carole 007
20 mars 2017 @ 19:58
Qu’il est agréable de se replonger à cette époque avec ce si joli film.
Ogier le Danois
20 mars 2017 @ 22:53
Film mignon, mais c’est plus possible que ça aurait eu lieu en Amérique avec un jeune homme (voire ci-dessous) que à Rome avec Gregory Peck, qui presque pouvait être son père.
Les trois princesses nordiques Margrethe de Danemark, Astrid de Norvège et Margareta de Suède rencontrent Elvis Presley à Los Angeles en 1960 pendant une action de pub pour SAS (ligne aérienne) et leur nouvelle route à Los Angeles:
https://gfx.nrk.no/YlETpAzMmseaG75KTFez-A0Ds79D4TumuUim9TrIkJDQ
Carole 007
21 mars 2017 @ 11:48
Géniale cette photo, merci Ogier.
Cosmo
21 mars 2017 @ 11:19
Le choix final de la princesse est bien loin ce celui que ferait une princesse aujourd’hui. Elles tiennent à vivre leur vie…avec n’importe qui.
Corsica
21 mars 2017 @ 18:32
Mon cher Cosmo,
N’importe qui pour Monsieur et Madame tout le monde mais l’homme le plus précieux pour elle puisque aimé. La vie est courte, elles ont raison de suivre le commun des mortels dans leurs inclinations et apparemment, d’après ce qu’il nous ait donné à voir, cela ne donne pas de mauvais résultats.
Amicalement
Corsica
Cosmo
22 mars 2017 @ 08:34
Chère Corsica,
C’est un débat aussi vieux que la société. Le problème se pose quand une princesse se marie hors de son milieu sans accepter les risques inhérents à tout mariage et les règles qui font que leurs familles existent encore.
En étudiant un peu l’histoire et la généalogie, on se rend compte que les familles qui l’ont traversée sur des siècles et continuent d’être présentes ont obéi à des règles matrimoniales très strictes. Les Habsbourg et un certain nombre de famille allemandes en sont l’exemple ultime. Mes relations personnelles et amicales avec les Habsbourg m’ont permis de comprendre la force du sur-moi dans leur politique matrimoniale, encore aujourd’hui.
Nul interdit la recherche personnelle du bonheur mais elle a souvent un coût, comme a un coût le fait de se plier à des règles. Le tout est de savoir ce que l’on est prêt à payer. La princesse Margaret est l’exemple de cette incapacité à accepter de payer le coût. Elle pouvait épouser Peter Townsend qu’elle aimait, elle a préféré rester princesse mais avec combien d’acrimonie.
« Vacances romaines » se situe dans la période de crise de l’affaire Townsend.
Amicalement
Cosmo
Kalistéa
21 mars 2017 @ 18:08
Les princes aussi Cosmo : Mais alors , vraiment n’importe qui! Et après on vous dit « elle fait bien son travail! », quel travail ?
Il ne s’agit pas de faire un travail , il s’agit d’être quelqu’un d’exceptionnel par la naissance royale , l’éducation princière qui va avec , la « classe » le maintien ,l’amour-propre de l’image qu’on donne de soi, la parenté princière Européenne ,et rompue aux finesses de la diplomatie depuis des siècles.
Cosmo
22 mars 2017 @ 08:35
Tout-à-fait d’accord avec vous dear K.
bianca
23 mars 2017 @ 16:20
D’autres personnes disent « elle fait bien son job » ça m’amuse toujours !!!