Barbara Cushing Paley dite « Babe » Paley fut une icône de la mode et représentait à son époque le summum du raffinement et du chic. Sur cette photo, on la voit porter une broche en forme d’étoile de mer de Schlumberger. Babe Paley faisait partie du groupe que l’on avait nommé « The swans » (les cygnes) et dans lequel on retrouvait d’autres femmes mondaines comme Marella Agnelli et Gloria Guiness.
Née en 1915 à Boston, elle est la fille d’un prestigieux neurochirurgien ? Son entrée dans le monde lors d’un Bal des Débutantes en 1934 sonne le début de son règne mondain. Jeune femme dynamique, elle travaille comme rédactrice de mode pour Vogue à New York dès 1938. Les maisons de couture lui prêtent des vêtements faisant d’elle une icône de mode.
En 1941, le magazine Time lui attribue la deuxième place sur la liste des femmes les mieux habillées au monde, derrière la duchesse de Windsor.
D’une première union avec Stanley Mortimer, elle aura deux enfants. En 1947, elle se remarie avec le richissime William S. Paley, membre éminent de ce que l’on appelle alors le Cafe Society à New York. De cette union naîtront deux autres enfants.
Babe Paley est une cliente fidèle de Givenchy et Valentino. Côté bijoux, elle porte régulièrement des créations de Fulco di Verdura et de Jean Schlumberger qui travaille alors pour Tiffany.
Souffrant d’un cancer du poumon (Babe Paley était une grande fumeuse), elle planifie personnellement l’organisation de ses funérailles et fait don de ses effets personnels et bijoux à ses proches et amis. Elle s’est éteinte des suites de sa maladie en 1978 au lendemain d’avoir fêté ses 63 ans. (Copyright photos : Tiffany, Life & DR)
marielouise
3 septembre 2015 @ 06:17
En effet,voilà l’élégance innée,délicate et raffinée……j’adore la première photo!!!
Denis
3 septembre 2015 @ 11:14
Mince et riche, les deux qualités sine qua non pour être élégante!
Trianon
4 septembre 2015 @ 15:09
pas d’accord avec la richesse!
certaines femmes ont une élégance naturelle, ce peut être le port de tête,une silhouette élancée, un cou long etc…et habillées avec des habits à la coupe simple…tout leur va en ce cas..
enfin ce n’est que mon avis!:)
Francine du Canada
5 septembre 2015 @ 00:19
Moi, c’est avec la « minceur » que je ne suis pas toujours d’accord; la grande duchesse de Luxembourg n’a jamais été « particulièrement mince », même lorsqu’elle a épousé le grand duc? et pourtant… Dieu qu’elle a été élégante cette femme et elle l’est encore… très souvent! FdC
Trianon
5 septembre 2015 @ 14:32
tout à fait vrai! la grande Duchesse est toujours élégante!et quelle personne sympathique en plus! pas du tout hautaine!
Lisabé
5 septembre 2015 @ 08:18
…Et votre avis,je le partage,Trianon…Il y a des femmes de chambre qui ont un port de Princesse,et des princesses qui ont autant de classe que celle qu’on attribue généralement (et bien injustement),aux femmes de chambre…les poncifs ont la vie dure!
Amicalement à vous,Trianon.
Trianon
5 septembre 2015 @ 14:32
bonne après midi à vous Lisabée!
je trouve également le point de vue de Francine pertinent!
l'Alsacienne
3 septembre 2015 @ 06:36
Quel chic, quelle classe !
J’adore le porté de sa broche : une robe sobre et un bijou, mais quel bijou!.
Nour
3 septembre 2015 @ 07:36
Pas spécialement belle mais terriblement élégante et raffinée , un peu à la Jacky Kennedy
md
3 septembre 2015 @ 07:44
Si j’avais autant de classe que cette dame …lol….
Robespierre
3 septembre 2015 @ 12:08
ne dites pas ça, vous avez vos qualités, et peut-être que du côté coeur vous « enfoncez » cette dame bien vêtue et bien pourvue par un riche mari.
JAY
3 septembre 2015 @ 18:52
On peut être belle et ses voir du cœur et aussi moche et sans cœur !
Trianon
4 septembre 2015 @ 16:34
« une jolie fleur dans une peau de vache » chantait Brassens..:)
Francine du Canada
5 septembre 2015 @ 00:22
… une jolie vache déguisée en fleur… ;-))) FdC
JULIA
6 septembre 2015 @ 15:21
Trianon : phrase de la chanson attribuée à…Nadine de Rothschild !
Violette
3 septembre 2015 @ 08:16
C’est exactement le style que j’aime. Je lui trouve encore plus d’allure que Jacqueline Kennedy. J’adore son maintien sur la première photo, et son fume cigarette.
L’époque se prêtait à ce type d’élégance y compris pour les femmes plus modestes qui portaient aussi de jolies robes et des petits tailleurs sobres, souliers et sacs assortis, des gants…
bianca
3 septembre 2015 @ 13:47
Je n’ai plus rien à ajouter, vous avez tout dit Violette, cordialement !
glumuke
4 septembre 2015 @ 04:56
Je vous rejoins Violette et Bianca. Cette jolie dame incarne à la perfection, grâce aussi à ses moyens financiers conséquents, l’élégance d’une époque révolue. Vêtements simples (ici somptueux mais on pouvait en porter de plus modestes), manière de se tenir, aplomb et le dos droit, ne coûtent pas très cher et sauvent bien des situations…
clement
3 septembre 2015 @ 08:33
c’était une belle femme certes mais je n’aurais pas aimé son existence faite d’apparence et de mondanités ,ce doit être lassant à la fin ….que reste-t-il aujourd’hui d’une telle icône ? un joli souvenir et de belles photos .
bianca
4 septembre 2015 @ 12:36
Je vous approuve clement bien que je trouve belle allure à cette dame ! bianca
clement
3 septembre 2015 @ 08:38
c’est un peu égoïste de se préoccuper uniquement de sa beauté et de son élégance ,se concentrer uniquement sur sa petite personne comme la Duchesse de Windsor ou d’autres aujourd’hui que je ne citerai pas ….qu’elle existence futile !
Lisabé
3 septembre 2015 @ 09:03
Une classe et un maintien éclatant,qui dépasse la beauté largement.
Tessa
3 septembre 2015 @ 09:24
Ce fut le style des années 40.
Je préfère le style d’aujourd’hui.
Sans aucune nostalgie.
Lisabé
5 septembre 2015 @ 08:21
Moi aussi.L’agencement des coiffures et mises en beauté manquait cruellement de naturel.
Pas de nostalgie non plus,Tessa.
Mais gageons que cette Dame,même à notre époque,aurait « du chien »,de la classe.
Un petit quelque chose que d’autres n’ont pas.
Lady Chatturlante
5 septembre 2015 @ 16:54
Vous auriez du la voir en manteau de fourrure.
Lisabé
6 septembre 2015 @ 09:10
Les manteaux de fourrure?
Mais c’est pour les dames âgées,et même un peu plus que mûres.
Voyez comme ils étaient seyants sur Fabiola dans ses derniers temps.
JOSEPHINE
3 septembre 2015 @ 09:40
Quelle robe sur la 3ème photo ! Je dirais plutôt qu’une Jackie, sans être d’une beauté parfaite, elle me fait penser à Inès de la Fressange.
Claudia
3 septembre 2015 @ 17:08
J’ai eu la même impression sur la « ressemblance » avec Inès de la Fressange, sur la deuxième photo surtout.
JOSEPHINE
3 septembre 2015 @ 09:41
Sur la 2ème photo, elle lui ressemble énormément d’ailleurs !
Pierre-Yves
3 septembre 2015 @ 11:09
Chaque fois que je vois ce genre de dames, chiquissimes, majestueuses, élégantes jusqu’au bout des ongles, je me dis qu’il valait sans doute mieux les admirer en photos que les connaître réellement. Je crois qu’on n’atteint pas ce genre de perfection extérieure en étant un modèle de douceur, d’empathie, d’attention aux autres, d’espièglerie et de simplicité devant la vie.
Robespierre
3 septembre 2015 @ 16:53
C’est ce que j’insinuais plus haut à notre amie md qui versait dans l’autoflagellation.
JULIA
3 septembre 2015 @ 17:38
Oui peut-être… un peu comme Jacqueline de Ribes ! (vue précédemment)
Gustave de Montréal
3 septembre 2015 @ 11:52
Aucune relation avec la branche morganatique des princes et princesses Paley de Russie bien sûr.
Shandila
3 septembre 2015 @ 12:29
Très élégante et tout autant distinguée et raffinée. Je partage l’avis de Violette quant à la deuxième partie de son commentaire.
Marina Pareschi
3 septembre 2015 @ 12:37
Magnifique femme!
Gibbs
3 septembre 2015 @ 12:50
Jamais entendu parler de cette icône qui a péri par où elle a vécu avec excès !
Aucune admiration pour ce genre de personnage; mon cancer, je l’ai eu en vivant sainement.
Oui, je suis dure mais c’est la Vie qui me l’a enseigné.
val
3 septembre 2015 @ 13:37
Magnifique , les dames étaient belle, élégantes fines, comme Audrey, Grace, Victoire, et d’autres lys . Aucune comparaison possible avec tous ces manequins qui innondent nos magazines de leurs vieilles têtes tristes , maigres, :)
bianca
3 septembre 2015 @ 19:58
Hélas, c’est si vrai ce que vous exprimez, cordialement Val !
Trianon
4 septembre 2015 @ 15:11
ça c’est vrai…les mannequins actuels font clairement la G…le…jamais ils n’ont un air aimable et avenant
warwick
3 septembre 2015 @ 14:51
Les trois soeurs Cushing étaient fabuleuses de chic et d’élégance. Aristocrates de Boston, devenues Paley pour Babe, Roosevelt pour Betsy et Astor pour Minnie, leurs places sont scellées dans le « American Social Register ». Nous sommes dans le monde de Truman Capote, Breakfast at Tiffany etc… Monde dont aujourd’hui il ne reste (malheureusement) pratiquement plus rien.
(Je partage le commentaire de Violette).
Jean Pierre
3 septembre 2015 @ 18:18
Il reste encore Lee Radziwill, mais qui doit parfois se sentir bien seule.
Camille Gilbert
3 septembre 2015 @ 15:06
Truman Capote l’avait définie dans une célèbre citation: »Babe Paley n’avait qu’un défaut. Elle était parfaite. Sinon, elle était parfaite. » Elle avait été défigurée à l’age de 18 ans dans un terrible accident de voiture, devant à son père célèbre chirurgien d’avoir bénéficié d’une reconstruction faciale accentuant ses meilleurs traits, comme la structure du visage que l’on peut admirer sur ces photos.
Un livre paru en 1994, « The Power of Style:The Women who defined the art of living well » de Annette Tapert, a une section consacrée aux « Swans », dont Slim Keith qui donna naissance, si l’on peut dire, au style Lauren Bacall. Babe avait le visage des actrices intellectuelles des années 60, dans les films en noir et blanc.
Merci, Régine, pour ce reportage original.
bianca
3 septembre 2015 @ 20:00
Merci aussi Camille Gilbert pour votre commentaire !
Lady Chatturlante
3 septembre 2015 @ 15:21
Rien à voir avec les princes Paley.
MIKA
3 septembre 2015 @ 16:35
Il y a de quoi être nostalgique de ces années 50 !
Quand je revois des photos de ma mère dans ces années -là à Paris, et bien même les femmes de milieu plus modestes étaient élégantes, chapeautées et gantées …
JULIA
3 septembre 2015 @ 17:45
Avant..dans les années 50, on ne sortait pas…en cheveux !!! c’était mal vu…! et gantées !
Je suis ravie que certaines reines Maxima et Mathilde redonnent du style à leurs tenues (chapeaux et gants), c’est si raffiné.
Dame Tartine
4 septembre 2015 @ 14:42
Je ne suis pas la Reine Tartine, mais je ne sors jamais sans chapeau… parce que cela me va bien.
JULIA
6 septembre 2015 @ 15:24
J’ai quelquefois essayé Dame Tartine de porter le chapeau qui ne me va pas trop mal mais…dans ma province, j’ai vite détonnée !
bianca
3 septembre 2015 @ 20:03
Nous partageons la même nostalgie Mika, cette époque où les femmes étaient élégantes même de conditions modestes, cordialement
MIKA
4 septembre 2015 @ 22:32
Merci Bianca !
MIKA
3 septembre 2015 @ 16:36
Violette, je ne vous avais pas lue, mais mon message dit la même chose que vous !
Camille Gilbert
4 septembre 2015 @ 20:02
Pour toutes celles qui me précèdent,je me reconnais en vous, j’aimais aussi l’époque ou une certaine allure, élégance et aspect net et soigné comptaient, avec petits ou grands moyens. Quand je regarde les photos de classe de mon lycée, avant 1968, les jeunes filles portaient de jolis tailleurs (c’était la mode) avec des talons moyens, et les garcons des pantalons avec ceintures et chemises bien repassées. Pour mon premier long séjour dans ma famille américaine, ma mère m’a fait confectionner ce style de tailleur à veste courte et carrée, des jupes, des robes, car « je serais l’ambassadrice de la mode parisienne ». Elle se doutait peu que la mode des teenagers américain(e)s était déja très « casual ». N’empêche, c’est un esprit!
Corsica
3 septembre 2015 @ 17:49
Si Babe Paley est célèbre pour son élégance, son chic et sa vie mondaine, Harvey Cushing, son père, est un homme exceptionnel connu internationalement comme l’un des pères de la neuro chirurgie moderne . On doit beaucoup à ce brillantissime
chirurgien, professeur à Harvard et Yale car il mis au point des techniques permettant de sauver bien des vies . Il est aussi connu pour avoir découvert une pathologie qui porte son nom, la maladie de Cushing et enfin il a obtenu le prix Pulitzer pour sa biographie de l’un des pionniers de la médecine moderne, William Osler . Donc sans hésiter, mon admiration va plutôt au père qu’à la fille qui, je l’espère, a réussi à être heureuse .
Corsica
3 septembre 2015 @ 17:59
Finalement Babe Paley est la digne représentante des WASP (white anglo-saxonne protestant) de la haute société de la Cote Est . Elle et ses sœurs ont été programmées pour être élégantes, mondaines et faire des mariages prestigieux, si possible avec des hommes riches . Ce qui fut le cas puisque l’une d’elles épousa le fils Astor et l’autre le fils du président Roosevelt . Tout ne devait pas être parfait puisque les trois ont divorcé avant de se remarier .
Jean Pierre
4 septembre 2015 @ 09:24
Pas du tout Corsica. Babe Paley etait juive ukrainienne. Et ces âmes charitables WASP, comme vous dites, se chargeaient souvent de le lui rappeler à elle comme à ses sœurs.
Anne-Cécile
4 septembre 2015 @ 10:41
Exactement Jean-Pierre, la judéité de la famille de Mme Paley lui a fermé bien des portes et leur réussite sociale, déjà atteint par le père, chirurgien de réputation mondiale, n’ y changea rien. Les époux de ses filles firent qu’elles furent reçues mais on ne leur épargna pas de leur faire comprendre, que compte tenu de leurs origines, elles ne seraient jamais que tolérées.
Les filles WASP peuvent revendiquer naturellement leur position, les autres ne sont vues que comme des arrivistes dont le « triomphe » ne sera jamais mérité.
Camille Gilbert
4 septembre 2015 @ 17:10
Jean-Pierre, Babe Paley n’était pas juive ukrainienne, pas selon mes sources, mais n’hésitez pas à me corriger si mes sources sont inexactes. Elle a épousé un juif ukrainien. Cela ne change pas le sens de votre message
Corsica
4 septembre 2015 @ 18:09
Jean Pierre et Anne-Cécile, je suis un peu surprise par vos propos . J’ai toujours lu que les refus d’intégration du couple Paley dans certains clubs étaient liés au mari, William, juif d’origine ukrainienne . D’autant que les biographies du docteur Harvey ne parlent jamais d’une éventuelle origine juive . Au contraire, il descendrait de Matthew Cushing, un puritain ayant émigré très tôt à Hingham au Massachusetts . Bon week end .
Jean Pierre
5 septembre 2015 @ 10:00
Chère Corsica, et aussi Camille Gilbert, je bats ma coulpe. Ma mémoire me trahit.
Je me suis donc lancer dans des recherches. Effectivement c’était Paley qui était juif ukrainien (ou russe ?). Et c’est ce second mariage qui leur ferma certaines portes.
Merci d’avoir rétabli les faits.
Corsica
6 septembre 2015 @ 00:06
Jean-Pierre, ne battez surtout pas votre coulpe, vous avez simplement été troublé par l’élégance de cette belle femme qui a osé défier les codes de son milieu en épousant un juif !
Alain Golliot
3 septembre 2015 @ 18:42
Rien à dire, aucune royale n’atteint la perfection des plus belles femmes du monde de ce temps, Mme Paley n’en étant que l’une des plus charmantes. Je crois qu’après 1968, sa minij upe, ses événements, qq chose s’est cassé et que depuis, on court après ces années, mais c’est foutu et on a aujourd’hui ce qu’on mérite…
JAY
3 septembre 2015 @ 18:55
Extrêmement connue bien sur, très élégante et que d allure !!! Je me fiche qu elle est Di cœur etc. C est son chic qui nous intéresse ! Que sont devenus ses enfants ?
Pierre-Yves
4 septembre 2015 @ 23:04
Ses enfants ? C’est comme son coeur, on s’en fout complètement.
Claude-Patricia
3 septembre 2015 @ 18:57
J’aime voir ce style de photos, celui d’un monde que je ne connais pas, mais qui, du côté de la mode m’intéresse. J’en aime son histoire, voir comment les couturiers créent et ou réinvente un style de vêtement. Et les bijoux, accessoires qui vont avec.
On me dira que je suis « futile », mais cet univers singulier me fascine. Je viens d’acheter le dvd « Saint Laurent », tout simplement par admiration pour son œuvre. Les détails sur sa vie privés, je ne les commenterai pas, parce que chacun a son vécu. J’avais vu l’autre version, je pourrai comparer les deux.
Un jour, en passant à Paris très rapidement j’ai pu voir de loin quelques robes de M. Valentino, son fameux rouge, elles étaient très belles. C’est du pur rêve de petite fille que pouvoir mettre d’aussi belles robes pour aller dans un bal, mais il est bon d’imaginer!! Alors, le 1 janvier, je ne rate jamais le concert du nouvel an à la télé pour le décorum viennois.
MIKA
4 septembre 2015 @ 22:28
Claude patricia, il n’y a aucun mal à admirer ce qui est beau…
Moi aussi, je me dis qu’une fois dans ma vie j’aurais aimé porter une robe somptueuse !!
Anne-Cécile
4 septembre 2015 @ 04:37
A juste regarder elle est divine. En tout cas elle me paraît plus racée que Jacqueline Bouvier Kennedy, et plus élégante certainement.
Hélas les reines de sociétés au propre comme au figuré mènent des vies certes éclatantes sur papier glacé mais surtout faites de désœuvrement, un comble pour celles qui courent soirées caritatives et œuvres de charité (musées, hôpitaux….).
Certaines le font avec beaucoup d’empathie, regrettant leurs obligations sociales qui les font sauter d’un engagement à l’autre, quelquefois sur une même journée.
D’autres, tout sucre tout miel en parlant avec des trémolos dans la voix des déshérités de la Terre, ne voient en réalité en l’engament social qu’un alibi socialement admis et de bon ton, d’exhiber sa perfection, ses robes et bijoux , sans avoir à être taxée d’être futile.
Dans le cas de Babe Paley, les anecdotes la concernant sont plus douces que celles rapportées sur la comtesse de Ribes.
Violette
4 septembre 2015 @ 10:42
Jean-Pierre a raison, il reste encore Lee Radziwill.