Je comprends la composition ainsi: un des pétale est arraché, comme on le fait en jouant à » un peu, beaucoup, à la folie, passionnément, pas du tout… ».
Mis à part cela, ce bijou me semble sans intérêt, c’est une copie de la collection « étoile » de chez Chanel et des collections en fleurs de chez Dior.
Oui, je sais que ce n’est pas le sujet, mais ce dimanche….. vous êtes tous insomniaques ou quoi ? Enfin si au moins il y avait du soleil pour aller faire une bonne promenade matinale avec le chant des petits oiseaux je comprendrais. Mais j’aime aussi le sujet des écrevisses un peu plus haut. Une matinée haute en couleur.
Bon dimanche
l’une ne peut pas se porter sans l’autre sinon la marguerite n’est pas complète ! très belle idée et très belle bague, mais je ne prends pas car pas très pratique, les pétales accrocheraient tout.
Après avoir renoncé à une promenade dominicale à cause du froid qui règne à Bruxelles aujourd’hui et terminé le rafraîchissant livre « Ce que je ne pouvais pas dire » de Jean-Louis Debré, j’ai décidé d’aller sur le site holemans.com car plusieurs personnes me disaient, ces derniers temps, à quel point leurs collection étaient belles.
Je n’ai pas été déçue car leurs bijoux sont légers, aériens et raffinés.
Le site présente aussi un historique succinct de la maison et je vous le transmets.
Après avoir été orfèvre d’art sacré, Henri Holemans s’initie en 1928 à l’art des laques naturelles sur métaux avec un maître japonais , secret transmis ensuite de père en fils, au sein de l’entreprise.
En 1960, Jean Holemans reprend l’atelier familial et l’oriente vers la joaillerie.
En 1981, il introduit l’utilisation des laques sur métaux précieux, une première en Belgique.
En 1990, Thierry Holemans prend sa suite et ouvre en 1998 une boutique Place Vendôme.
En 2013, c’est Moïse Mann ( de Manalyse) qui prend les rennes de l’entreprise, après y avoir travaillé pendant presque 20 ans comme artisan orfèvre et directeur de la boutique parisienne et décide d’installer Holemans à la place du Sablon.
Personnellement , je me souviens qu’on pouvait apercevoir, il y a quelques années, les artisans au travail dans leur boutique et atelier dans la cour de l’hôtel Conrad ( aujourd’hui rebaptisé Wiltcher’s) avenue Louise.
Je ne sais plus exactement quand, on parlait beaucoup de la maison Holemans, qui avait créé des bijoux à mémoire de forme ( orchicalque).
Par ex. Une broche paon déployait ses ailes à 24° et des bracelets enserraient les bras de leurs propriétaires, qui devaient ensuite les plonger dans l’eau froide pour les enlever.
Je ne souhaite pas vous décourager en écrivant que dans le sud-ouest nous avons eu soleil et bonne douceur mais je suis aussi allée visiter le site Holemans et je ne suis pas très enthousiasmée par ce joaillier.
Désolée…
Mon époux m’a aussi parlé de l’Avenue Louise mais j’ai lu que l’adresse est Place du Grand Sablon.
Bon lundi de Pentecôte… le soleil est déjà présent !
Gibbs,
Il ne faut pas être désolée.
Je ne suis pas actionnaire de la maison ? et ce qui me plaît peut ne pas plaire à d’autres.
Holemans a effectivement déménagé au Sablon, quartier qui reprend du « poil de la bête » ces derniers temps.
15 mai 2016 @ 05:49
Etrange composition , qui ne m’a pas convaincu, mais une idée originale !
15 mai 2016 @ 05:49
Il faudrait la voir portée …
15 mai 2016 @ 12:59
D accord avec vous
Personnellement sans plus
15 mai 2016 @ 12:40
Pardon, les 2 commentaires sont de framboiz & c’est convaincuE !
15 mai 2016 @ 14:27
Je comprends la composition ainsi: un des pétale est arraché, comme on le fait en jouant à » un peu, beaucoup, à la folie, passionnément, pas du tout… ».
Mis à part cela, ce bijou me semble sans intérêt, c’est une copie de la collection « étoile » de chez Chanel et des collections en fleurs de chez Dior.
15 mai 2016 @ 15:09
Je n’aime pas du tout.
15 mai 2016 @ 05:58
Superbe et original!
15 mai 2016 @ 08:26
idem
15 mai 2016 @ 07:19
Declaration d’amour pour jeune fille car cette bague a une grâce …juvénile .
15 mai 2016 @ 07:30
Création originale. Le pétale détaché sur le corps de la bague.
Joli bijou entre classique et original.
15 mai 2016 @ 07:49
Le nom de cette jolie bague est bien choisi !
15 mai 2016 @ 08:09
Trop fin. ..folie sage ;-)
15 mai 2016 @ 08:31
L’idée est originale et bien mise « en scène ».
Un classique l’effeuillage de la marguerite pour les amoureux ;) !
15 mai 2016 @ 09:18
Oui, je sais que ce n’est pas le sujet, mais ce dimanche….. vous êtes tous insomniaques ou quoi ? Enfin si au moins il y avait du soleil pour aller faire une bonne promenade matinale avec le chant des petits oiseaux je comprendrais. Mais j’aime aussi le sujet des écrevisses un peu plus haut. Une matinée haute en couleur.
Bon dimanche
15 mai 2016 @ 09:54
l’une ne peut pas se porter sans l’autre sinon la marguerite n’est pas complète ! très belle idée et très belle bague, mais je ne prends pas car pas très pratique, les pétales accrocheraient tout.
15 mai 2016 @ 10:20
Jolie mais pointue. Ça doit filer les bas et c’est dommage quand on est de sortie !
16 mai 2016 @ 08:46
Bien pensé, comme souvent, chère Mary! ;-)
15 mai 2016 @ 10:40
Après avoir renoncé à une promenade dominicale à cause du froid qui règne à Bruxelles aujourd’hui et terminé le rafraîchissant livre « Ce que je ne pouvais pas dire » de Jean-Louis Debré, j’ai décidé d’aller sur le site holemans.com car plusieurs personnes me disaient, ces derniers temps, à quel point leurs collection étaient belles.
Je n’ai pas été déçue car leurs bijoux sont légers, aériens et raffinés.
Le site présente aussi un historique succinct de la maison et je vous le transmets.
Après avoir été orfèvre d’art sacré, Henri Holemans s’initie en 1928 à l’art des laques naturelles sur métaux avec un maître japonais , secret transmis ensuite de père en fils, au sein de l’entreprise.
En 1960, Jean Holemans reprend l’atelier familial et l’oriente vers la joaillerie.
En 1981, il introduit l’utilisation des laques sur métaux précieux, une première en Belgique.
En 1990, Thierry Holemans prend sa suite et ouvre en 1998 une boutique Place Vendôme.
En 2013, c’est Moïse Mann ( de Manalyse) qui prend les rennes de l’entreprise, après y avoir travaillé pendant presque 20 ans comme artisan orfèvre et directeur de la boutique parisienne et décide d’installer Holemans à la place du Sablon.
Personnellement , je me souviens qu’on pouvait apercevoir, il y a quelques années, les artisans au travail dans leur boutique et atelier dans la cour de l’hôtel Conrad ( aujourd’hui rebaptisé Wiltcher’s) avenue Louise.
Je ne sais plus exactement quand, on parlait beaucoup de la maison Holemans, qui avait créé des bijoux à mémoire de forme ( orchicalque).
Par ex. Une broche paon déployait ses ailes à 24° et des bracelets enserraient les bras de leurs propriétaires, qui devaient ensuite les plonger dans l’eau froide pour les enlever.
16 mai 2016 @ 08:42
DEB,
Je ne souhaite pas vous décourager en écrivant que dans le sud-ouest nous avons eu soleil et bonne douceur mais je suis aussi allée visiter le site Holemans et je ne suis pas très enthousiasmée par ce joaillier.
Désolée…
Mon époux m’a aussi parlé de l’Avenue Louise mais j’ai lu que l’adresse est Place du Grand Sablon.
Bon lundi de Pentecôte… le soleil est déjà présent !
17 mai 2016 @ 08:00
Gibbs,
Il ne faut pas être désolée.
Je ne suis pas actionnaire de la maison ? et ce qui me plaît peut ne pas plaire à d’autres.
Holemans a effectivement déménagé au Sablon, quartier qui reprend du « poil de la bête » ces derniers temps.
15 mai 2016 @ 10:40
Pas convaincue du tout;
15 mai 2016 @ 10:42
Collections .
15 mai 2016 @ 13:22
Originale ! J’aime beaucoup
15 mai 2016 @ 17:41
Je la trouve très originale!
15 mai 2016 @ 18:17
Idée originale que ces deux bagues à superposer;
16 mai 2016 @ 11:29
Un bijou qui serait un signe , un message ?
Comme quoi on aurait commencé à effeuiller la marguerite ? …….?
16 mai 2016 @ 13:32
Pourquoi pas, mais rien de royal.