Bande dessinée historique « Zita, courage et joie d’une impératrice » par Dominique Bar et Gaetan Evrard avec la préface de l’un de ses petits-fils l’archiduc Rudolf et de Jean Sévilla. Le parcours de la dernière impératrice d’Autriche et reine de Hongrie, Zita, née princesse de Bourbon-Parme, des ors de la Hofburg, à la dureté de l’exil après la première Guerre Mondiale et les différentes tentatives de paix, la mort de son époux sur l’île de Madère et son destin de mère de huit enfants, qui puisa jusqu’au dernier jour toute sa force dans sa foi.
Katellen
28 décembre 2018 @ 08:43
Ma fille possède les autres titres de cette collection qu’elle apprécie beaucoup. Le destin de Zita devrait également lui plaire. Ce sont de belles bandes dessinées avec un joli graphisme.
framboiz 07
29 décembre 2018 @ 04:03
Quels sont-ils ? SvP !
Katellen
29 décembre 2018 @ 13:15
Elle possède Sissi, Marie Antoinette, Jane Eyre, et Mauprat. Elle a commencé a lire ces BD vers l’âge de 8 ans et découvert ainsi les destins des grandes figures féminines. Zita sera sûrement bientôt la prochaine lecture !
Anne-Cécile
28 décembre 2018 @ 09:16
A ce niveau là c’est du matraquage. Je me demande ce que l’intéressée aurait pensé de toute cette littérature martyrologique.
Karabakh
28 décembre 2018 @ 13:04
Votre commentaire montre que vous n’avez jamais mis le nez dans une bande-dessinée de la collection Vent de l’Histoire, dont le concept est de relater un événement ou la vie d’une personnalité ayant marqué l’histoire, dans un format accessible aux 11-15 ans. La documentation est très rigoureuse, assurée par des historiens reconnus. Nous sommes très loin d’une opération de « matraquage » en vue de la béatification de Zita.
Et même s’il existait une arrière pensée, croyez-vous sérieusement que des collégiens (essentiellement) puissent influencer la décision du clergé, sur la lecture d’une BD ?
Robespierre
28 décembre 2018 @ 14:05
:))))
Cosmo
28 décembre 2018 @ 10:02
Après l’empereur Charles, l’impératrice Zita devient une héroïne de BD.
Etonnant. Je serais surpris que cela aide à sa béatification.
Gérard
28 décembre 2018 @ 21:06
Sauf Cher Cosmo si la popularité de Zita se répandant des malades réputés incurables en l’état actuel de la science demandent son intercession et sont guéris…
aubert
29 décembre 2018 @ 11:42
Mon Dieu, mon Dieu, que ne commet-on pas en Ton Nom !
Ajoutons quelques reliques et… nous comprendrons les protestants
Aramis
29 décembre 2018 @ 12:20
Certes, mais moi dans une maladie incurable je m’en remettrais à des saints garantis et certifiés, pas à d’eventuels possibles hypothétiques futurs en devenir prétendants à la canonisation. Je me suis toujours demandé comment on pouvait être sûr que, dans les prétendus miracles de béatification ou canonisation, la guérison n’etait aAdvenue que sur l’intercession d’un seul « saint » qui ne l’etait Pas encore. Vous me direz qu’avec cela on ne ferait pas de nouveau saint. Mais enfin d’un point de vue personnel, quel risque on prend ! ne pas être guéri si le « saint » qu’on prie n’est pas saint mais est au purgatoire ou pire en enfer …!!
Il faudrait peut être recueillir l’avis de ceux qui ont prié un aspirant à la sainteté et n’ont point été guéris. On créerait ainsi une liste noire ou grise des candidats incertains qu’on prie à ses risques et périls.
Quand on voit le nombre de fondateurs de communautés religieuses récentes (pere Marie Do Philippe ; père Maciel ; communauté béatitudes etc. )dont on découvre les agissements scandaleux cachés (constitutifs de délits ou crimes) on peut se demander si dans le passé
De tels comportements n’ont pas été occultés !
L’abbe pierre et sœur Emmanuelle ont quant à eux, dans une sorte d’humilite, confessé des peches (non constitutifs de délits ou crimes) qui les mettent hors course pour une canonisation.
Sarita
1 janvier 2019 @ 21:35
Aramis, votre message m’a beaucoup fait rire! Merci
PataClems
29 décembre 2018 @ 23:04
Honnêtement, je ne sais pas quel travail actuel sur Zita, plaide à sa béatification. Tout est biaisé, et finalement ce livre est plutôt un extraterrestre dans la sphère de la littérature consacrée à la dernière impératrice d’Autriche.
aubert
28 décembre 2018 @ 10:15
Un exemplaire hors tirage, respectueusement et filialement dédicacé, a du être adressé au Saint-Père.
COLETTE C.
28 décembre 2018 @ 11:03
Elle mérite mieux qu’une bande dessinée !
Karabakh
28 décembre 2018 @ 12:42
Dans la mesure où l’ouvrage se destine aux enfants, certes plutôt préados/ados, c’est un format très adapté. Ce qui aurait été ridicule, c’est justement de pondre un livre d’histoire magistral.
Nathetvoila
28 décembre 2018 @ 14:36
C’est une manière tout à fait honorable pour faire connaître la vie de quelqu’un. Elle a eu droit déjà à une (au moins) biographie classique. Pourquoi pas une BD? De grands personnages historiques voire même des saints sont déjà passés par cette forme littéraire.
Menthe
28 décembre 2018 @ 16:28
A votre avis Colette, mais ces BD historiques peuvent être un moyen ludique précieux pour l’initiation de jeunes réfractaires à l’histoire du monde.
Isabelle
28 décembre 2018 @ 17:57
La bande dessinée, quand elle est de qualité, permet de toucher un public qui ne lirait pas nécessairement des livres historiques. Mes fils ont de nombreux titres de cette collection qui est très bien documentée
Gérard
28 décembre 2018 @ 21:08
Les Éditions du Triomphe ont déjà à leur actif beaucoup de bandes dessinées sur des saints et des bienheureux.
berton
29 décembre 2018 @ 16:40
Qui sont très bien faites .
Francois
28 décembre 2018 @ 14:30
Le tact , le bon goût y trouvent ils leur compte ??
Pivoine13
28 décembre 2018 @ 18:47
Peut-être qu’elle mérite mieux mais en même temps cela met son destin à la portée de personnes qui ne s’y seraient pas intéressées si le support était différent.
Luz
28 décembre 2018 @ 22:33
Cette BD est très bien comme toutes les BD historiques des Éditions du Triomphe. Mes enfants, deux adolescents et un pré-adolescent, les dévorent et cela leur donne à la fois le goût de l’histoire et celui de la lecture. L’ainé est passé du coup aux récits historiques et romans de cape et d’épée de cette même petite maison d’édition que m’a fait connaître une de mes cousines françaises.
jacqueline
29 décembre 2018 @ 09:27
par le biais de cette diffusion originale cela pourra aider les jeunes générations à la connaitre et à s’inspirer de son exemple ,de son courage et de sa foi dans les épreuves .
C’est donc une bonne initiative dont chacun peut s’inspirer
Robespierre
29 décembre 2018 @ 13:12
Il y a eu dans les années 50 un album de BD très bien fait sur la vie de Jesus, les Apôtres, et tout et tout; C’était très bien illustré, véridique et intéressant. Ma mère possédait ce livre mais il a été perdu et je le regrette parce que c’était une magnifique introduction à l’enseignement de Jesus et au Nouveau Testament. Des agnostiques se sont plongés dans ce livre et l’ont aimé. Entre une BD et rien, je prefere la BD, surtout si elle est bien faite. Ceci dit je n’aime pas Zita, sa nombreuse progéniture n’en fait pas une sainte pour moi. Et tous ceux qui se mettent en 8 et en 16 et en 32 pour la faire béatifier sont d’irréductibles snobs, car ils ne se démèneraient pas ainsi si elle était une femme du peuple.
Albane
29 décembre 2018 @ 20:49
Tout à fait, Luz, je trouve cette édition merveilleuse ! Vous avez raison, les romans du Triomphe valent aussi le coup !
Albane
29 décembre 2018 @ 21:04
A noter, dans cette édition du Triomphe, des bandes dessinées plus anciennes sur des Habsbourg : Marie-Antoinette, Sissi, Charles Ier il me semble. Beaucoup de militaires français sont également mis à l’honneur, de nombreux saints. C’est sûr, ce sont des choix qui plaisent bien à certains milieux, moins à d’autres. Je ne crois pas que Lyautey, Hélie de Saint-Marc ou encore Leclerc parlent à tous, et on ne demande à personne de rendre un culte à telle ou telle figure, mais on ressort toujours plus instruit de ces lectures, pas seulement sur un personnage mais aussi sur une période, sur des questions de société. Et je trouve qu’en lisant une BD, je suis plus libre de me faire ma propre idée, l’auteur et le dessinateur ne me font que des suggestions.
Karabakh
30 décembre 2018 @ 19:06
Pour l’empereur Charles Ier, Éditions du Triomphe a racheté les droits d’une maison qui a fermé. Maintenant, c’est elle qui édite, en effet.
Charlotte AL
30 décembre 2018 @ 12:45
La BD ne devrait pas être considérée comme un art mineur, pour les enfants et les pré-ados elle est souvent une manière de les amener à la lecture.
Lorsque j’enseignais en collège, il m’est souvent arrivé d’y avoir recours pour faire en quelque sorte le lien entre les langues et les civilisations anciennes et le monde actuel.
J’ai toujours du mal à entendre parler de « vulgarisation » de la connaissance, de manière un peu méprisante : « vulgus », le peuple ! la littérature, l’histoire, les sciences ne sont pas réservés à une élite mais doivent par un biais ou un autre toucher le plus grand nombre.
Robespierre
31 décembre 2018 @ 12:59
Vous avez tout à fait raison et en plus, je ne saurais trop recommander la lecture des BD pour apprendre une langue étrangère. C’est plein d’expressions courantes.
aubert
31 décembre 2018 @ 13:52
En tous points d’accord avec vous. Cette espèce de sorcellerie m’étonnera toujours.
Quant aux fondateurs d’ordre ne faut-il pas être d’un orgueil démesuré pour en fonder un nouveau alors qu’il en existe déjà tant ? ceux-ci ne conviennent-ils pas à la foi des nouveaux fondateurs ?
Enfin, cela, comme de savoir que le péché et les pauvres sont le fonds de commerce de l’Eglise catholique ne n’empêche pas de rester son fils pour toujours.
aubert
1 janvier 2019 @ 11:49
Commentaire mal placé, destiné à Aramis.
Robespierre
1 janvier 2019 @ 12:11
Mon cher Aubert, je ne saurais mieux dire.