Deuxième tome de la bande dessinée « Charlotte impératrice. L’Empire » consacrée à la princesse Charlotte de Belgique, fille du roi Léopold I, mariée à l’archiduc Maximilien d’Autriche et devenue brièvement impératrice du Mexique.
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15 Comments
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6 septembre 2020 @ 05:25
Toutes les biographies évoquent cette absence de vie intime du couple.ils se sont pourtant choisis, d’âges équivalents, Maximilien a eu des enfants au Mexique…en sait on plus sur le * problème »?
On évoque aussi parfois un viol de Charlotte, alors de retour à Miramar et démente, par un officier de sa suite…
Quelle vie tragique…
6 septembre 2020 @ 18:50
Il est difficile d’établir une certitude sur le « problème » comme vous dite. Les lettres de Charlotte font allusion à une possible absence de relations sexuelles disant qu’elle et son époux « n’avaient jamais connu la chose ». Ce qui motive cette absence de relations sexuelles est en revanche totalement inconnu et ne laisse place qu’à de vagues suppositions. Certains avancent une homosexualité de Maximilien, d’autres un simple mépris pour son épouse pour qui il n’a jamais vraiment développé de sentiment autre que de l’intérêt pour sa dot.
7 septembre 2020 @ 13:55
La thèse de la BD est que Maximilien préférait les femmes de petites vertus auprès de qui il aurait contracté des maladies sexuellement transmissibles. A cette époque où le préservatif n’existait pas, en tout cas pas sous la forme que nous lui connaissons aujourd’hui, le seul moyen de ne pas contaminer Charlotte était l’abstinence.
6 septembre 2020 @ 08:07
Une excellente BD, très bien dessinée et bien écrite.
Dans le registre historique, il y a aussi en ce moment la parution du dernier tome d’une série consacrée à la Cagoule.
6 septembre 2020 @ 08:50
Voilà la destinée d’une personne trop ambitieuse !
6 septembre 2020 @ 15:27
Les enfants n étaient ils pas des enfants adoptés (de_force)???
Charlotte…malade psychiatrique en internement à domicile fusse un château… Quelle vie…..
6 septembre 2020 @ 18:59
Les enfants que Charlotte a adoptés au Mexique étaient les petits-enfants du général Augustin de Iturbide, très éphémère monarque d’un premier empire mexicain. Il s’agissait pour Charlotte et Maximilien de tenter d’asseoir leur légitimité et la durabilité de leur second empire en tentant d’unifier leurs rares partisans et les reliquats du précédent empire.
Ne croyez cependant pas que cette adoption été forcée. Les Iturbide avaient vite compris quel intérêt inespéré ils pouvaient tirer de cette situation et Charlotte a continué de subvenir au besoin de ses fils adoptifs après la chute de l’empire lorsque ses crises de folie le lui permettaient.
6 septembre 2020 @ 10:06
Pauvre Charlotte, que de désillusions !
6 septembre 2020 @ 10:35
Trop ambitieuse, puis zinzin à vie, Charlotte .
6 septembre 2020 @ 20:15
Lapidaire mais vrai.
Bonne semaine
7 septembre 2020 @ 22:47
Cosmo a che punto è la biografia che sta preparando,☺️?Mi imbarazza chiederglielo ma quando si tratta di biografie di questo tipo non so resistere alla curiosità!
10 septembre 2020 @ 14:46
Maria,
Mi dispiace da rispondere cosi tarde, ma ho visto il suo post adesso solo.
Sono più o meno a la mita della biografia dell’arciduchessa Sofia.
Grazie perla sua curiosità.
Cosmo
11 septembre 2020 @ 22:27
Grazie Cosmo e buon lavoro
6 septembre 2020 @ 19:16
PAUVRE PRINCESSE MALADE TRES LONGTEMPS
7 septembre 2020 @ 09:13
Au moment de la sortie du premier tome, j’ai voulu voir de quel bois cette BD se chauffait. Dès a première page, des erreurs historiques grosses comme des maisons apparaissaient : La petite Charlotte court dans le chäteau et les serres de Laeken où sa mère, la reine Louise est en train d’agoniser…
J’ai même pas été plus loin que la page 2. J’ai reposé cette BD sur le présentoir.
La reine Louise est décédée non pas à Laeken mais à Ostende en 1850. Les serres du château de Laeken ont été construites sous Léopold II à partir de 1873….
Bref, moi ce genre de truc ça me pique les yeux. Les auteurs sont manifestement de gros amateurs. Soit c’est de la fiction et on peut se premettre des fantaisies dans la narration, soit c’est une BD qui se veut historique mais alors dans ce cas la moindre des choses c’est dêtre un minimum rigoureux.