Avec sa tenue pas vraiment de deuil, vous voyez bien que le deuil se porte d’abord dans son coeur ! et Maxima a forcément eu l’aval de sa belle-mère pour continuer de porter ses jolies tenues même très colorées ! beaucoup de courage pour Béatrix
Beatrix fait partie, comme Elisabeth II, de ces femmes entrainées depuis l’enfance à se dominer, quels que puissent être leurs sentiments personnels et leurs chagrins intimes.
Personne ne doute que son coeur soit brisé par la tragédie de la mort de son fils cadet. Mais en public, elle assure, comme elle l’a toujours fait. J’imagine que c’est presque chez elle comme un réflexe de survie.
Danielle
7 septembre 2013 @ 09:24
Quelle tristesse dans les yeux de la princesse, elle me fait de la peine
Julia
7 septembre 2013 @ 10:45
Avec sa tenue pas vraiment de deuil, vous voyez bien que le deuil se porte d’abord dans son coeur ! et Maxima a forcément eu l’aval de sa belle-mère pour continuer de porter ses jolies tenues même très colorées ! beaucoup de courage pour Béatrix
COLETTE C.
7 septembre 2013 @ 14:03
Quelle reine courageuse !
erwan
7 septembre 2013 @ 14:55
Toujours ce visage doux et bienveillant.
Rarement princesse aura tant dissimulé sa personnalité.
Corsica 2
7 septembre 2013 @ 15:13
La reine a retrouvé une petite lueur dans ses yeux et j’admire son panache face à l’adversité et la peine .
flabemont8
7 septembre 2013 @ 15:32
Par amour des arts, et aussi pour atténuer, s’il se peut, son immense chagrin…Mes respects, Madame, pour le bel exemple de courage que vous donnez .
adriana
7 septembre 2013 @ 18:42
je partage votre avis ! bonne soirée
Francine du Canada
7 septembre 2013 @ 23:01
Votre message est très beau Flabemont… vraiment très, très beau. Amitiés, FdC
MIKA
7 septembre 2013 @ 17:07
« Les plus grandes douleurs sont muettes »… dit l’adage..
Mais je les admire tous quand même de pouvoir si vite sourire à nouveau, même si ce n’est qu’en public…
Pierre-Yves
7 septembre 2013 @ 18:45
Beatrix fait partie, comme Elisabeth II, de ces femmes entrainées depuis l’enfance à se dominer, quels que puissent être leurs sentiments personnels et leurs chagrins intimes.
Personne ne doute que son coeur soit brisé par la tragédie de la mort de son fils cadet. Mais en public, elle assure, comme elle l’a toujours fait. J’imagine que c’est presque chez elle comme un réflexe de survie.