C’est l’éternel cliché : les relations entre belle-fille et belle-mère ne seraient couramment pas très chaleureuses et pourtant. Voici quelques exemples au sein du Gotha de relations très affectueuses et harmonieuses.
Lorsque le prince héritier Haakon de Norvège fit part à ses parents de son amour pour Mette-Marit Tjessem, mère du petit Marius né d’une relation précédente, la reine Sonja se rangea directement aux côtés de son fils. Harald et Sonja de Norvège avaient dû batailler pendant des années pour imposer leur union. Les séparations forcées avaient même fini par plonger la jeune Sonja Haraldsen dans le plus profond des désespoirs, portant même atteinte à sa vie en désespoir de cause. Comme elle le commenta par la suite, la reine Sonja revécut dans sa chair ces sombres souvenirs et décida aussitôt qu’il fallait protéger l’amour de son fils. Mette-Marit et son fils Marius furent directement accueillis à bras ouverts par les souverains norvégiens. 10 ans plus tard, Haakon et Mette-Marit forment un couple heureux et uni. Les relations entre Sonja et Mette-Marit sont presque des relations mère-fille tellement elles sont proches.
Les relations entre la princesse Madeleine de Suède et la mère de Christopher O’Neill ont tout de suite été très chaleureuses. Eva Maria Walker invita la princesse au festival de Salzbourg où elle est une importante mécène. Depuis, la belle-mère de Madeleine de Suède cultive une grande discrétion même si elle continue à fréquenter les endroits et les événements les plus mondains. Après la naissance de la princesse Leonore, Eva Maria était à New York auprès des jeunes parents. C’est ainsi qu’on put la voir bras dessus bras dessous avec la princesse Madeleine au retour de quelques courses à Manhattan.
La famille d’Inaki Urdangarin a toujours cultivé une extrême discrétion. A peine a-t-on pu les voir aux moments des fiançailles avec l’infante Cristina, au mariage et lors des baptêmes de Juan, Pablo, Miguel et Irene. Lorsqu’ils habitaient à Barcelone, l’infante et son époux avaient pour habitude de passer quelques jours à Vitoria au Pays Basque auprès de la famille Urdangarin lors des fêtes de fin d’année. Depuis le décès du père d’Inaki des suites d’une longue maladie, les liens se sont encore plus resserrés entre l’infante Cristina et sa belle-mère Claire Liebaert. La tourmente judiciaire qui entoure l’infante et Inaki, a plus encore soudé l’infante à la famille de son époux. L’été dernier, c’est en compagnie de Claire Liebart que l’infante Cristina passa ses vacances au bord de l’eau en France bien loin de Palma de Majorque et de la famille royale.
Lors des fiançailles de son fils aîné le grand-duc héritier Guillaume avec la comtesse Stéphanie de Lannoy, la grande-duchesse Maria Teresa ne cachait pas son émotion et son bonheur. Elle apprécie la jeune femme qui a conquis le cœur de Guillaume. Quelques semaines avant les noces, Stéphanie a la douleur de perdre sa mère. Un drame qui a définitivement uni Maria Teresa et sa belle-fille. C’est la grande-duchesse qui veille avec la jeune femme à tous les préparatifs et qui lui a conseillé Elie Saab pour la création de sa robe de mariée. Lors de l’apparition des jeunes mariés au balcon du Palais de Luxembourg, Maria Teresa s’approche de sa belle-fille Stéphanie pour l’embrasser affectueusement . C’est encore la grande-duchesse qui a veillé sur les premiers pas officiels de Stéphanie.
Comme le raconte Fernanda Casiraghi, la première rencontre avec la princesse Caroline se passa tout à fait naturellement et les deux femmes se sont entendues à merveille depuis le début. La princesse Caroline fut toujours très proche des parents de Stefano. A sa mort en octobre 1990, le couple fut un grand appui pour la princesse malgré son propre chagrin. Les relations demeurèrent très affectueuses. Caroline et ses enfants assistant à tous les événements de la famille Casiraghi. Lors du décès du de père de Stefano, le prince Rainier accompagna la princesse Caroline et Andrea aux funérailles en Italie. Remariée au prince Ernst August de Hanovre, c’est en sa compagnie que la princesse Caroline continua à assister aux fêtes de famille chez les Casiraghi, toujours aussi prévenante avec sa belle-mère. Installée une partie de l’année en principauté, Fernanda Casiraghi était aux côtés de la princesse Caroline le jour du mariage civil d’Andrea avec Tatiana Santo Domingo. Sur la photo communiquée par le Palais princier, on distingue les deux femmes côte à côte, partageant cette grande joie familiale.
Si la princesse des Asturies dispose bien d’un fidèle soutien au sein de la famille royale, c’est incontestablement en la personne de la reine Sophie. Depuis le premier jour, la reine a accueilli à bras ouvert l’élue de cœur de son fils Felipe. La reine déclarait à sa biographie Pilar Urbano qu’elle aimait converser avec sa belle-fille qui était toujours au courant de tant de choses au niveau de l’actualité. Et la reine de voir en Felipe et Letizia un couple un peu à l’instar de ses parents le roi Paul et la reine Frederika de Grèce. Lorsque la princesse Letizia, enceinte de son deuxième enfant, perd sa sœur cadette Erika, la reine qui est en mission humanitaire en Asie, n’hésite pas un seul instant et prend directement un avion pour soutenir sa belle-fille. C’est donc sans grand étonnement que l’on apprend que la deuxième fille du couple princier portera le prénom de Sofia. L’été, lorsque Letizia passe quelques jours de vacances à Palma, il n’est pas rare de la voir faire du shopping en compagnie de sa belle-mère ou profiter de la quiétude d’une sortie en bateau dans les criques de l’île.
Jusqu’à sa mort, la comtesse de Paris a témoigné toute son affection à sa belle-fille la duchesse de Montpensier, née duchesse de Wurtemberg. Surnommée par sa famille « Ali », Marie Thérèse de Wurtemberg est restée très proche de ses beaux-parents les défunts comte et comtesse de Paris même après son divorce d’avec l’actuel comte de Paris. La comtesse de Paris vouait une réelle affection à sa belle-fille qui se dévoua corps et âme pour ses cinq enfants dont François et Blanche souffrant de handicaps. Les deux femmes aimaient se rendre ensemble à des spectacles. Lors des funérailles du comte de Paris, c’est au bras de sa chère Marie Thérèse que la comtesse de Paris s’appuya en ces moments douloureux.
Des quatre belles-filles d’Elizabeth II, la comtesse de Wessex est incontestablement celle qui est la plus proche de la souveraine. Certains n’hésitant pas à franchir le pas que pour la reine et le duc d’Edimbourg, Sophie de Wessex est en fait carrément une fille à part entière. Elizabeth a, semble-t-il, toujours beaucoup apprécié le dynamisme et la force de caractère de Sophie. Plusieurs années de relations avec le prince Edward avant de convoler, lui avaient déjà ouvert les portes de la famille royale. Edward est de plus le seul enfant de la reine qui soit resté marié. La naissance délicate de lady Louise puis celle du vicomte Severn, ont comblé Elizabeth II qui aime passer des moments de loisirs avec ses deux derniers petits-enfants. Même l’indélicatesse de Sophie qui se fit piéger par un journaliste et qui fut peu élégante en propos avec de nombreuses personnes dont la défunte princesse de Galles ou Cherie Blair, fut pardonnée par la reine Elizabeth.
Depuis son départ en exil, l’impératrice Farah d’Iran a connu des moments personnels très douloureux avec les décès successifs de son époux et de deux de ses enfants mais elle a aussi connu des moments très heureux avec la naissance de ses quatre petites-filles et le mariage de son fils aîné le prince Reza avec la jeune et ravissante Yasmine, exilée iranienne aux Etats-Unis. L’impératrice Farah ne tarit pas d’éloges à l’égard de sa belle-fille. Farah apprécie les qualités humaines de l’épouse de son fils et était aux premières loges lorsque celle-ci reçut son diplôme de droit après avoir repris des études.
Béatrix des Pays-Bas avait construit avec son époux le défunt prince Claus un cocon familial très heureux avec leurs trois fils Willem Alexander, Friso et Constantijn. L’ex-souveraine fut toujours une mère très proche de ses fils. Aussi lorsque son fils aîné Willem Alexander qui avait déjà entretenu deux relations amoureuses sérieuses, lui expliqua qu’il avait trouvé la femme de sa vie en la personne de Maxima Zorreguieta, Béatrix voulut comme toutes les mères rencontrer l’élu du cœur de son fils.
L’entrevue se passa bien. Le prince Claus mettait des disques de musique latino pour donner un caractère chaleureux à cette rencontre ! Rapidement, Béatrix comprit que Maxima était la bonne personne non seulement pour son fils mais pour assurer un jour futur le rôle de reine. Lorsque la presse découvrit que le père de Maxima avait fait partie du gouvernement du dictateur Videla en Argentine, Béatrix fit bloc autour de la jeune femme. Lors de l’annonce des fiançailles, c’est Béatrix qui présente au pays la jeune Argentine, lui témoignant ouvertement tout son soutien et sa confiance. Béatrix sera d’ailleurs l’un des témoins de mariage de Maxima.
L’entente entre les deux femmes est excellente. Vers les dernières années de son règne, Béatrix aimait que son fils et sa belle-fille soient à ses côtés lors de visites officielles à l’étranger. Lorsque Béatrix prit la décision d’abdiquer, le « secret » fut gardé pendant de longs mois par la reine, son fils et sa belle-fille qui formèrent selon leurs dires une « petite équipe ». Le jour de l’abdication, on put voir toute l’émotion et la gratitude de Maxima pour sa belle-mère au moment d’apparaître au balcon du palais.
Tout comme elle le fit pour Maxima, Béatrix des Pays-Bas se montra dès le premier jour le plus fidèle soutien envers Mabel, la fiancée de son fils le prince Friso. Alors que le Premier Ministre refusa catégoriquement de demander l’autorisation pour cette union au parlement en raison du fait que des informations importantes sur les relations passées de Mabel lui avaient été cachées, Béatrix resta solidaire de son fils et de sa future belle-fille, acceptant par conséquent la décision du prince de renoncer à ses droits dynastiques.
Bien que le couple vivait à Londres, la reine se déplaçait régulièrement pour voir ses petites-filles Luana et Zaria. Tout comme elle a ouvert son écrin à ses belles-filles, faisant réapparaître en public des joyaux parfois oubliés, Béatrix ouvrit aussi ses armoires à Mabel qui porta un jour la robe « vintage » de sa belle-mère portée lors de ses fiançailles avec le prince Claus. En février 2012, lors de l’accident du prince Friso sur les pistes de ski de Lech, Béatrix est le plus fidèle soutien de Mabel. Les deux femmes se réconfortent mutuellement et deviennent plus unies que jamais. Jusqu’à l’annonce officielle par le corps médical du peu d’espoir de guérison du prince, les deux femmes se rendent tous les jours à son chevet, se tenant toujours l’une contre l’autre. Pendant les mois qui suivirent, Béatrix fit la navette chaque week-end pour être auprès de son fils à Londres et apporter toute son affection à sa belle-fille et ses petites-filles. C’est main dans la main qu’elles assistèrent au mariage de la princesse Maria Caroline de Bourbon-Parme à Florence et aux cérémonies d’intronisation du roi Willem Alexander.
Lors du décès du prince Friso, surmontant son propre chagrin, Béatrix est à nouveau le grand appui de la princesse Mabel. Ce drame qui a endeuillé leur vie à jamais, les a unie pour toujours. (Copyright photos : DR, getty images, Point de Vue, reuters)
marianne
7 mars 2014 @ 06:36
Quel monde merveilleux est décrit dans cet article !
Pourtant , dans la vraie vie , c’ est une toute autre chanson …
monica
7 mars 2014 @ 21:08
Marianne, tout à fait d’accord avec vous, surtout en ce qui concerne l’Espagne.
Julia
7 mars 2014 @ 21:33
Ah oui laquelle ? lesquelles ? dîtes nous TOUT ou taisez-vous !
ghighi
7 mars 2014 @ 07:57
Je m’ étonne qu’ il n’y ait pas un article sur Paola et Mathilde . Est-ce un oubli ?
Régine
7 mars 2014 @ 13:48
J’ai sélectionné certaines belles-mères/belles-filles du Gotha. Il y en a en effet beaucoup d’autres. Peut-être pour une deuxième partie ? je pense en revanche que les relations entre la reine Paola et la princesse Claire sont plus complices qu’avec la reine Mathilde qui est probablement plus proche de la reine Fabiola
monica
7 mars 2014 @ 21:09
Régine, je suis d’accord avec la fin de votre commentaire.
Sylvie-Laure
7 mars 2014 @ 08:38
Merci à Régine, et à son équipe pour cet article consacré à ces relations épouses et belle-mères, pour la journée de la Femme. Ces épouses roturières ou non qui entrent dans une Famille Royale ou Princière, au service de leurs Pays, doivent plaire, se faire accepter, composer avec éventuellement les grands parents et fratrie. Rien d’évident surtout quand le Protocole vient se rajouter au quotidien de tous les jours.
Une période bien chargée, pour la nouvelle fiancée qui se sent surveillée sous toutes les coutures. L’amour de l’autre personne contrebalance ce stress permanent, heureusement, mais la fragilité de la jeune femme est souvent décriée , et il faut reconnaitre que la Presse donne souvent le coup de grâce.
Roselyne
7 mars 2014 @ 08:46
Régine,un grand merci pour ce magnifique reportage.
Pierre-Yves
7 mars 2014 @ 10:18
Finalement, l’on voit que les cas où belles-mères et belles-filles se détestent cordialement ne sont pas si nombreux.
D’ailleurs quand je regarde autour de moi, j’en vois quelques uns, assez retentissants il est vrai, mais ils ont loin d’être majoritaires.
En fait, les choses se compliquent lorsqu’on cherche à sortir de son rôle et imposer ses points de vue. Et il y a plus de cas d’ingérence des belles-mères dans le couple formé par les enfants que l’inverse.
J’espère qu’on aura bientôt le pendant de cet article, celui qui recenserait les relations difficiles entre belle-mère et belle-fille. Car c’est souvent ce qui ne va pas qui est le plus amusant à observer.
Julia
7 mars 2014 @ 21:37
Exemple de l’autre pendant : Maria Térésa et feue sa belle-mère…(parait-il…et d’après Stéphane Bern !)
Coriandre
7 mars 2014 @ 11:04
Vraiment j’aurais dû être princesse… pour avoir une belle-mère sympa !
Shandila
7 mars 2014 @ 11:13
L’opposition belle-mère belle-fille ou gendre n’est heureusement qu’un cliché au sein des famille, mais il est tenace. Il me semble qu’avec de la bonne volonté et de l’intelligence, les conflits peuvent être évités, que l’on soit « royaux » ou pas. Ce qui n’est pas toujours évident, je le concède.
Corsica
7 mars 2014 @ 15:56
Shandila, je partage entièrement votre avis car, à part quelques personnalités caractérielles irrécupérables que l’on trouve des deux côtés, la relation belle-mère/belle-fille se joue à deux . À titre personnel, j’ai eu la chance d’avoir deux belles-mères merveilleuses que j’ai beaucoup aimé et qui m’ont accueillie comme leur benjamine . On avait développé de véritables relations mère fille et de nombreuses années plus tard, leurs morts me peinent encore .
Charles
7 mars 2014 @ 11:21
Merci Régine pour ce sujet interessant.
S’il est vrai que les relations entre la Comtesse de Paris et sa belle-fille Marie-Thérèse, Duchesse de Montpensier ont toujours été affectueuses, il est possible de dire aujourd’hui que la Duchesse de Montpensier entretient des liens forts et profonds avec ses belles-filles Philoména, Duchesse de Vendôme et Marie-Liesse, Duchesse d’Angoulême. La Duchesse de Montpensier a réussi a construire une famille soudée autour du prince François et la princesse Blanche qui sont le centre de toutes les attentions familiales. Quant à Philoména et Marie-Liesse, la princesse Marie-Thérèse les considèrent comme ses filles. J’ai vu la Duchesse de Montpensier prendre affectueusement sa belle-fille par la taille pour parler et peut-être se confier.
marielouise
8 mars 2014 @ 15:10
J’en suis sûr Charles et très heureuse pour la duchesse de Montpensier qui est un modèle de femme et de mère pour moi…..une grande et belle dignité de la part de cette femme délaissée d’une manière abjecte par son ex-mari!
Kalistéa
7 mars 2014 @ 11:48
Voici mon avis tout net: La plupart du temps c’est du cinéma pour « la galerie » !
Mayg
7 mars 2014 @ 20:05
Kalistéa,
Je ne serais pas aussi catégorique que vous. Cependant je pense que si certaines belles mères du gotha ont de sincères et bonnes relations avec leur belle fille, d’autre s’y sont résolus et font bonne figure pour le bonheur de leur fils…
Kalistéa
14 mars 2014 @ 00:26
Mayg elles s’y sont résolues non pas » pour le bonheur de leur fils « ,mais parce qu’elles ne pouvaient pas faire autrement.Haakon de Norvège comme Felipe d’Espagne n’avaient pas de frère cadet pour les remplacer s’ils s’en allaient, comme ce fut le cas en Angleterre lorsque Edward VIII s’en alla soi-disant pour pouvoir se marier avec cette Américaine deux fois divorcée et décriée.
monica
7 mars 2014 @ 21:03
Kalistea, je suis d’accord avec vous.
flabemont8
7 mars 2014 @ 22:20
Ma première belle-mère était douce et gentille, et la deuxième , un véritable fléau ! Pourquoi n’en serait-il pas de même chez les royaux ? Les mésententes doivent exister aussi !
kalistéa
9 mars 2014 @ 19:46
Bien sûr Flabe, mais jamais une famille royale ne montrera ses véritables sentiments au public.Exception fut faite par Charles et Diana au grand scandale du reste de la famille!On en a vu le résultat d’ailleurs: tout le système a tremblé sur ses bases.
Bonne nuit. K
Beatie
7 mars 2014 @ 12:09
Merci pour cet article, Régine. Pour moi, la relation la plus émouvante est sans conteste celle unissant la princesse Beatrix et la princesse Mabel.
Jean Pierre
7 mars 2014 @ 13:44
Je crois qu’une même épreuve les unit. Et cela crée un lien qui va au-delà des sentiments que peuvent se porter ou non ces deux femmes.
Philibert
7 mars 2014 @ 12:09
Avant-dernier paragraphe : « faisant réapparaître en public des joyeux parfois oubliés ».
Des joyEux, êtes-vous sûre, Régine ?
Marie de Cessy
7 mars 2014 @ 13:25
Très bon article,
Je tien néanmoins à faire part de deux imprécisions:
– La princesse Letitzia a perdu sa soeur cadette qui se prénommait Erika
Telma Ortiz est l
Maguelone
7 mars 2014 @ 13:28
Ce sujet fait voler en éclats ce cliché qui fait dire à certains que les relations belles-mères/belles-filles ne peuvent être que conflictuelles ou tout au moins très compliquées !
Sonja de Suède et son époux ont démontré qu’ils avaient eu raison de faire confiance à Mette-Marit et Haakon et ont fait preuve de beaucoup d’intelligence et de coeur !
Marie de Cessy
7 mars 2014 @ 13:37
Sonja de Norvège
Maguelone :)
flabemont8
7 mars 2014 @ 22:22
Oui, Maguelone, mais je pense que c’est l’exception !
Marie de Cessy
7 mars 2014 @ 13:33
Je reprends mon commentaire précédent
Très bon article,
Je tiens néanmoins à faire part de deux imprécisions:
– La princesse Letitzia a perdu sa sœur benjamine qui se prénommait Erika
Telma Ortiz est la sœur cadette de la princesse des Asturies.
Letizia étant l’aînée des sœurs Ortiz
Concernant la reine Béatrix, elle a ouvert son écrin à ses belles-filles, faisant réapparaître en public des joyaux parfois oubliés et non des joyeux. :)
Voilà voilà sans cela c’est comme d »habitude génial.
Merci mon site préféré de royautés :) !
corentine
7 mars 2014 @ 15:26
merci Régine
les plus émouvantes la reine Beatrix et la princesse Mabel
et la reine de Danemark s’entend t-elle bien avec ses belles-filles Mary et Marie ?
chrislylou
7 mars 2014 @ 21:38
Ah oui , bonne question et dans la foulée , ce serait interessant de faire un article sur les relations entre belles-soeurs.
Merci d’avance Régine !
Kalistéa
8 mars 2014 @ 16:19
Christylou, pour les belles-soeurs c’est exactement la même chose: parfois ça va bien, parfois très mal…Mais un jour ou l’autre la famille estime que ça ne regarde pas le public et leur demande de se sourire et de se prendre par les épaules devant les photographes.Alors ,la Presse (amarilla ou a utre) nous dit ,photos à l’appui que ces dames sont réconciliées et s’aiment à la folie!
Les lecteurs interprètent suivant leurs propres souhaits.Ex: Diana et la princesse Anne,jadis. ou Jacqueline K O(qui était un peu une reine pour l’Amérique) prenant affectueusement le bras de sa belle-fille Christina lors des obsèques de l’armateur, alors qu’elles se haissaient…
Bon Dimanche. k.
Livia
7 mars 2014 @ 16:07
Un article positif et réconfortant : heureusement tout ne va pas de travers de côté là…
flabemont8
7 mars 2014 @ 18:11
Article très intéressant, agréable à lire, peut-être un petit peu, un tout petit peu, embelli ?
monica
7 mars 2014 @ 21:06
Flabemont, pour certaines personnes : embelli même beaucoup…..
Kalistéa
8 mars 2014 @ 16:21
Oh! oui!, Flabemont, parfois très embelli et aussi « trafiqué » que les visages! Mais le but poursuivi est très compréhensible.
Amitiés. K.
flabemont8
9 mars 2014 @ 22:52
Amitiés, Kalistéa !
JAusten
7 mars 2014 @ 19:02
au pays de Candie … Je ne crois pas trop (mais il est vrai que je n’y étais pas) aux amours immédiats entre Sofia et Letizia. Pour Mette Marit et Haakon, je pense (mais là aussi je n’y étais pas), avant d’apprécier la jeune fille, la reine et le roi ont dû un peu flipper …..
Pour les autres royaux de l’article j’y crois assez à leur histoire de bonne entente
Philibert
8 mars 2014 @ 15:03
« la reine et le roi [de Norvège] ont dû un peu flipper » : voilà qui est dit avec beaucoup d’euphémisme !
Imaginez que votre fils se ramène un jour chez vous avec une serveuse de bar ayant un enfant naturel et vous annonce vouloir se marier avec elle, quelle serait votre réaction ?
Pour être franc, je suis même étonné que Haakon ait pu garder ses droits dynastiques avec une mésalliance pareille. En 1987, Jean de Luxembourg (celui qui est né en 1957) a dû renoncer à ses droits dynastiques pour pouvoir épouser Hélène Vestur. Et bien d’autres ont dû le faire avant lui, ou alors ont renoncé à la personne choisie pour faire un mariage de raison…
Carole
9 mars 2014 @ 00:27
avec la différence, qu’ Hélène Vestur était diplômée de l’ ENA et auditeur à la Cour des Comptes.
kalistéa
9 mars 2014 @ 19:50
Et à la fin des comptes ,tout se termina par un divorce!
Marie de Cessy
9 mars 2014 @ 21:38
C’est vrai ??
J’hallucine !
Pourtant il y’a pire comme pedigree (façon de parler) mais je suppose que c’est à cause de sa roture que la famille de Luxembourg n’a pas voulu d’elle ?
C’est assez surprenant car ils ont pourtant accepté le mariage d’Henri avec Maria-Teresa Mestre roturière d’origine cubaine.
Je ne comprends pas là quelqu’un peut il éclairer ma lanterne ?
Merci !
Marie
marielouise
9 mars 2014 @ 09:48
Et bien il est fort aise que les temps et surtout les mentalités…..mais cela n’a pas l’air d’être encore le cas pour tout le monde….changent!
Le roi et la reine ont eu non seulement une belle ouverture d’esprit mais surtout une intelligence remarquable!
Et quand on voit les princesses ou reines que sont devenues ces jeunes filles non nées dans le sérail….on ne peut que s’en réjouir!
S mon fils aime,j’aime et lui fait confiance quel que soit le milieu mon cher Philibert!!!
MIKA
7 mars 2014 @ 19:22
En tout cas, on ne ne peut pas faire figurer dans cette liste Maria Térésa du Luxembourg, dont les années de conflit avec sa belle-mère sont bien connues…
Par contre, Maria Térésa est effectivement très chaleureuse envers Stéphanie, Tessy et Claire…
Cette jeune génération a plus de chance aussi, aujourd’hui les parents même royaux sont plus tolérants et ouverts !
COLETTE C.
7 mars 2014 @ 19:51
Je ne pense pas que pour la plupart cet amour belle-mère-belle fille soit feint.
Danielle
7 mars 2014 @ 20:27
J’apprécie beaucoup cet article ; pour moi, les plus beaux exemples sont ceux de Sonja/Mett Maritt et Béatrix/Mabel.
Kalistéa
8 mars 2014 @ 16:24
Le cas Béatrix- Mabel est tout-à-fait particulier.La reine n’est pas un monstre!
marielouise
9 mars 2014 @ 09:50
Caroline a toujours partagé une belle entente avec sa belle-famille Casiraghi et sa belle-mère est présente a beaucoup de cérémonies monégasques!
phil06
9 mars 2014 @ 21:30
Moderniser les monarchies c’est aussi moderniser leur image….On fait pas les enfants pour soi, on souhaite juste qu’ils soient heureux…..bien sur qu’on se fait tous une image de l’élue et que si votre fils ramène une danseuse de cabaret, on est un peu déçu, mais bon, c’est sa vie et qu’il soit heureux……Après cela dépends aussi des personnalités….je me verrais mal le gendre de Sophie d’Espagne ou le neveu par alliance de Fabiola….. rires…. Concernant les relations entre Caroline et la famille Casiraghi, c’est tout simple en fait….ils étaient amoureux, et que ce soit du côté Grimaldi ou du côté Casiraghi, ils ont même pas dû se poser la question à mon humble avis…..Caroline a toujours jusqu’à aujourd’hui été de tous les événements des Casiraghi, tout comme Marco le frère de Stéfano a pris la parole lors des obsèques de Rainier…..c’étaient des gens normaux peut-on dire……