Le 23 avril prochain, présentation du livre « Memorias perdidas de Catarina de Bragança » à l’occasion du 350ème anniversaire du mariage de Catherine de Bragance avec Charles II d’Angleterre. L’ouvrage est actuellement seulement disponible en portugais. La duchesse de Bragance sera présente lors de la présentation de l’ouvrage. (Source : site consacré à la famille royale de Portugal)
mia
15 avril 2012 @ 09:37
est la duchesse de sabran ponteves, ? si c’est elle s’est une dame peu sympathique , les provençaux ne l’aiment pas du tout car elle a obligé ses frères à vendre le château d’ansouis , un beau château dans le sud , où ses aieuls et parents sont enterrés!!!!à l’argent quand tu nous tiens!!je suis une native de la provence , des baux de provence et j’en aime ses traditions..ansouis se situe lui dans le lubéron!!!
mia
15 avril 2012 @ 09:39
je m’aperçois qu’il s’ agit de bragance non pas de savran de ponteves , je m’en excuse auprés de nos lecteurs et de la famille bragance …aucun lien
aubert
15 avril 2012 @ 15:37
Quelle horrible nouvelle dont les habitués de N&r ignoraient tout.
Les provençeaux ont bien raison depuis ils ne peuvent plus voir ce cher château qu’ils aimaient tant…une mauvaise fée (pas Mélusine bien sûr) l’a fait disparaitre.
… puisqu’il arrive qu’on perde la tête, gardez la vôtre Mia, comme Catherine de Bragance et Gersende de Sabran.
Mélusine
16 avril 2012 @ 19:24
aubert
Je n’ai de fée que le nom d’emprunt, mais une telle passion pour les châteaux que, si j’en avais le pouvoir, non seulement je ne les ferais pas disparaître, mais je m’appliquerais au contraire à les maintenir dans leur splendeur originelle et même à en faire apparaître des tas d’autres, afin d’y héberger les sans-abris, les orphelins, les persécutés, les malheureux de la terre, ainsi que, dans les parcs cernant ces belles demeures, les animaux pourchassés ou maltraités qui y trouveraient asile et protection.
La vie serait plus belle. Ce n’est pas une promesse électorale, je ne suis pas candidate, il y a déjà bien trop de monde dans les starting blocks.
aubert
17 avril 2012 @ 11:22
Malheureusement dans les starting blocks il n’y a pas de fée.
Mélusine
17 avril 2012 @ 15:09
On n’y trouve, en effet, que des hyènes voraces aux crocs acérés.
Kalistéa
15 avril 2012 @ 19:13
Si ces mémoires sont « perdidas » comment peut-on les présenter? Amoins qu’on ne les ait retrouvées quelqu’un de fureteur bien sùr!
Ce doit ètre quelque chose de bien larmoyant car Catherine a été sans aucun doute « la femme la plus trompée d’Angleterre ».
Rien de nouveau sous le soleil.En ce temps-là amilla s’appelait Barbara Palmer,duchesse de Castelmaine.
Qu’en pensez-vous Nana et Caroline,suis-je assez érudite?
Mélusine
16 avril 2012 @ 19:34
Vous l’êtes, mais ce n’est pas un défaut, au contraire. « Il n’y a pas d’Histoire sans érudition ».
aubert
17 avril 2012 @ 11:25
Molière n’a-t-il pas écrit quelque chose là dessus ?
Kalistéa
17 avril 2012 @ 22:17
Mon cher Aubert, »les femmes savantes » est avec « le bourgeois gentillhomme » ma pièce préférée.Je les ai vues chacune plusieurs fois.
je ne m’en lasse pas!
Mélusine
19 avril 2012 @ 01:22
Sans oublier « le misanthrope », bien sûr.
Kalistéa
19 avril 2012 @ 15:02
Naturellement Ma chère Mélusine, et « les précieuses ridicules »,donc!
COLETTE C.
15 avril 2012 @ 20:02
Dans l’attente, donc,
de la parution de ce livre en français.