A l’automne 2016, la princesse Joséphine de Loewenstein a publié ses mémoires. Née en janvier 1931 à Londres, Joséphine Lowry-Corry est la petite-fille de lord Biddulph. Elle épouse en 1957 le prince Ruppert de Loewenstein-Wertheim-Freudenberg, fils de Léopold de Loewenstein et de la comtesse Bianca von Treurenber.
Le couple a eu trois enfants : Rudolf (1957), Konrad (1958) et Maria Theodora dite Dora (1966). Les deux fils sont dans les ordres. Maria Theodora a repris en partie les affaires de son père et est mariée au comte Manfredi della Gherardesca.
La princesse Joséphine, veuve depuis 2014, était très proche de la princesse Margaret. Avec son époux, ils fréquentaient l’île Moustique lorsque la princesse y passait l’hiver et que des fêtes plus extravagantes les unes que les autres étaient organisées à l’initiative de lord Glenconner.
La princesse a aussi fréquenté le milieu artistique et de la musique vu que on époux était le manger des Rolling Stones. (Merci à Alberto – Copyright photo d’archives : Tatler)
Silvia
13 mars 2018 @ 10:36
Merci Alberto.
JAusten
13 mars 2018 @ 10:42
chaque fois que je croise dans mes lectures ce nom Lowry-Corry je pense toujours à la comptine Hickory Dickory Dock.
La famille Löwenstein-Wertheim est facile à tracer puisque leur existence l’est mais c’est difficile de se souvenir entre les rachats de titres, terres, héritages, mariages morganatiques sont nombreux.
Mary
13 mars 2018 @ 10:48
Une belle inconnue.
monica
13 mars 2018 @ 17:40
la comtesse et le comte Mandredi ont 2 enfants
Gatienne
13 mars 2018 @ 10:49
Plus manager financier que conseiller artistique, son époux redressa la situation financière de ses clients en leur conseillant l’exil fiscal France et en en faisant les stars richissimes qu’ils sont devenus.
Un couple qui resta uni dans un monde où le divorce était monnaie courante.
Son engagement dans la foi catholique traditionnelle (il était président de La Latin Mass Society of England & Wales, deux de ses fils furent ordonnés prêtres) tranche avec le mode de vie très rock’n’roll qui fut le sien.
Il est intéressant de consulter sa bio Wiki dont j’ai donné le lien sur l’article concernant le livre d’Hugo Vickers consacré à la reine Mary.
Ode
13 mars 2018 @ 10:57
Le père etait le manager des Rolling stone, » ils participaient tous deux à des fêtes extravagantes » …….et deux fils dans les ordres….
Unique comme parcours familial …., non?
Clémence
13 mars 2018 @ 15:46
Je me suis fait exactement la même réflexion. Un parcours familial plutôt rock ‘n roll :-)
Anna Claudia
13 mars 2018 @ 12:18
En matière de famille excentrique on ne fait pas mieux ! Le portrait de cette princesse en couverture est charmant.
framboiz 07
13 mars 2018 @ 13:10
Elle vivait à Londres , son deuxième époux est italien , elle vit où?
Baboula
13 mars 2018 @ 15:31
C’est le mari de sa fille qui est italien d’origine,il a travaillé chez Sotheby à Londres et son frère,Gaddo,fut très proche de Sarah Ferguson. Des émigrés assimilés…
Laure-Marie Sabre
13 mars 2018 @ 19:51
Elle n’a pas de deuxième époux : Manfredi della Gherardesca est le mari de sa fille, Marie Theodora.
Gatienne
13 mars 2018 @ 20:30
Comme dit dans le texte d’accompagnement, elle est veuve et réside toujours à Londres.
C’est sa fille qui est mariée à un comte Italien.
Ils ne vivent pas en Italie mais à New-York où elle a créé une société événementielle et où M. gendre dirige une galerie d’art.
JAY
13 mars 2018 @ 14:42
Ultra catholique dans ce milieu et avec la vie fantasque de la princesse Margareth … étrange .. les enfants ont fui dans la religion…. tristesse
Gérard
14 mars 2018 @ 14:42
Fui dans la religion !
monica
13 mars 2018 @ 17:45
Framboiz je ne comprends pas de qui vous parlez ?
Gatienne
13 mars 2018 @ 20:43
Tatler lui a consacré un long article à la faveur de la parution de son livre.
Une des rares femmes encore vivante, capable d’apporter son témoignage à propos d’une époque révolue, celle de la café Society.
Leonor
13 mars 2018 @ 20:43
Rupert Löwenstein a sauvé la mise aux Stones. Lesquels savaient chanter , tenir une guitare et se servir d’une batterie, mais pas compter. Un peu comme notre Johnny antional.
Et pourtant, Mike Jagger avait fait la London School of Business. Remarquez, c’est sans doute cela qui lui a permis » d’entendre » ce que lui disait Löwenstein, et de lui confier le soin du rétablissement des finances du groupe, du rachat des titres, etc.
Nota : Löwenstein signifie : » Le rocher du lion ». .-)
Robespierre
14 mars 2018 @ 07:51
Des fils qui ont passé avec leurs parents des vacances à Moustique et qui sont entrés dans les ordres, c’est tout de même curieux. Que voulaient-ils expier ?
bl-r
15 mars 2018 @ 01:36
Je crois que cette branche est des comtes de Löwenstein-Scharffeneck. L’arrière grand-père du comte Rudolf étais Leopold Emil, P. zu Löwenstein-Wertheim-Freudenberg, il a contracte un mariage morganatique, sa femme étais crée comtesse de Löwenstein-Scharffeneck à 1875, pour elle et toute sa descendance