Biographie de Joséphine Dedet consacrée à la reine Géraldine d’Albanie, épouse du roi Zog, mère du roi Léka et grand-mère du prince Léka. De nationalité hongroise, la comtesse Géraldine épouse en 1938 le roi Zog. En 1939 juste après la naissance de son fils unique, c’est la route de l’exil. Elle revient en 2002 en Albanie où elle s’éteint la même année.
« Géraldine, reine des Albanais’, Frédérique Dedet, Editions Belfond, 2012, 353 p.
sophie LbM
21 février 2012 @ 10:14
Ce livre est sorti il y a plus de 10 ans, mais il n’en est pas moins intéressant. Je l’ai prêté à un ancien ambassadeur de France en Albanie, qui l’a lu attentivement, et a trouvé que la description de l’Albanie était très bien rendue.
Jay
21 février 2012 @ 13:14
en effet c est une reédition de 2012 car ce livre est sorti il y a quelques années .. tres bien écrit et instructif sur un sujet peu traité !!
philippe gain d'enquin
21 février 2012 @ 14:31
Peut-être est-il « enrichi » ou « complété », mais promouvoir un bouquin, fort intéressant au demeurant, paru dix ans auparavant n’est pas sérieux. Il s’agit ni plus ni moins d’une réédition!
COLETTE C.
21 février 2012 @ 19:55
Une famille que j’ai envie de mieux connaître.
cisca
21 février 2012 @ 22:21
Reedition fort interessante; un très beau portrait de femme et de reine.
Cosmo
21 février 2012 @ 22:34
La reine d’Albanie, née comtesse Géraldine Apponyi de Nagyappony appartenait à l’une des familles les plus illustres de Hongrie, plus ancienne que celle de son mari.
Elle était la tante de Renaud Muselier par le second mariage de sa mère.
A.Lin
22 février 2012 @ 10:46
Avec l’arrivée de Géraldine Apponyi à la cour de Tirana en 1938, le glamour et la modernité entrent en Albanie. De mère américaine et de père hongrois, de confession catholique et apparentée à toutes les familles royales de la vieille Europe, la « Rose blanche de Hongrie » tombe sous le charme du petit État des Balkans et de Zog Ier, son souverain musulman. Si la rencontre a été arrangée, le coup de foudre surprend la jeune comtesse et le roi dès le premier regard, dès le premier bal.
Mais, un an plus tard, c’est le drame : l’Italie fasciste envahit l’Albanie et, tandis qu’elle vient de mettre au monde le prince héritier Leka, la reine doit fuir. Commence alors pour elle une vie d’errance, plus de soixante années d’exil qui ne prendront fin qu’en 2002, lorsque Géraldine rentrera triomphalement dans une Albanie délivrée du communisme.
De l’Empire austro-hongrois à la montée du nazisme, de la guerre froide à la chute du mur de Berlin, Géraldine, reine des Albanais est une superbe fresque historique ou l’épopée lumineuse et tragique de l’héroïne se confond avec celle d’une Europe à jamais disparue.
Mélusine
22 février 2012 @ 13:43
A.Lin
Merci pour ce commentaire concis et très intéressant.
Kalistéa
22 février 2012 @ 12:20
J’ai cotoyé à deux reprises cette reine qui résidait à Madrid,il y a déja un quart de siècle…A plus de 65 ans elle avait gardé cette délicate beauté ,si touchante.
Jean PIerre
22 février 2012 @ 22:03
Chère Kalistéa, dites nous en plus. N’était elle que belle, quel genre de femme était elle, qu’elle impression vous a t elle fait?
Caroline
22 février 2012 @ 16:07
A quand le mariage de son petit-fils,le nouveau roi d’Albanie après le décès récent de son père?
Caroline
22 février 2012 @ 22:40
A lire l’interview fort intéressant de Joséphine Dedet,elle-meme l’auteure de ce livre historique sur ‘Géraldine,reine des Albanais’ dans le site ami ‘Royauté-News’!