Suite à la parution de cette biographie de l’ex-reine Juliana des Pays-Bas « Juliana, vorstin in een mannenwereld » (« Julianna, souveraine dans un monde d’hommes ») par Jolande Withuis, sa fille la princesse Irène a tenu à réagir pour indiquer qu’elle était en total désaccord avec des parties de l’ouvrage, que l’auteure avait pris des libertés pour interpréter des situations et surtout ce que pensaient les membres de la famille royale. La princesse Irène précise qu’elle s’exprime en son nom propre et pas en celui des autres membres de la famille royale.
Cette biographie met en avant la solitude de la reine Juliana, le naufrage de son couple en raison des nombreuses aventures extra-matrimoniales du prince Bernhard (qui eut deux filles naturelles), son souhait à deux reprises de divorcer et les relations très conflictuelles entre le prince et ses enfants. Y est aussi longuement évoqué le scandale Lockheed qui précipita l’abdication de Juliana. (merci à Anne)
Muscate-Valeska de Lisabé
30 octobre 2016 @ 07:56
C’est du passé, n’en parlons plus.
Ce serait bien de ficher un peu la Paix à tous ces défunts, au lieu de persister à vouloir,par des expos ou des bouquins,longtemps après leur mort,en tirer encore profit.
Pierre-Yves
30 octobre 2016 @ 11:33
Ce n’est pas le principe d’écrire des livres sur des personnes décédées qui est à remettre en cause, sinon, autant dire adieu à la majorité des ouvrages historiques (et pas seulement à eux, aux biographies d’artistes aussi).
Il faut juste que les auteurs respectent une certaine éthique, une certaine rigueur. Mais ce n’est pas parce que tous ne le font pas qu’il faut cesser de produire ce genre d’ouvrages.
Roselila
30 octobre 2016 @ 15:37
Vous avez raison, n’en parlons plus. Madame Chirac le fait de son vivant et parle des aventures de son mari alors qu’il ne peut plus s’exprimer clairement. Pour Mitterand, il aura fallu attendre son enterrement. Il y a donc une évolution, les aventures extra-conjugales sont dites de plus en plus tôt. Mais cela est-il intéressant ?
Lili.M
31 octobre 2016 @ 16:13
Concernant les amours de François Mitterrand il faut noter la publication de ses lettres d’amour adressées à Anne Pingeot , lettres publiées avec son consentement évidemment.
*Gustave de Montréal
30 octobre 2016 @ 16:06
Donc on ne peut plus écrire sur Staline, Napoléon, Louis XIV, Lincoln, Rasputine, Jacques-Cartier, Chopin, &c.. parcequ’ils sont morts?
jocelyne de
30 octobre 2016 @ 08:35
Pourquoi ne pas en parler se sont des gens qui laissent des traces historiques pour les générations à venir ce ne sont pas des vies normales il est logique que cela se sache c’est comme çà çà fait partie du jeu ils ont eu les bons cotés malheureusement ils doivent aussi subir les mauvais on ne peut pas gagner partout ce serait trop facile et c’est bon pour toutes les royautés
AnnieDurThé
30 octobre 2016 @ 16:26
Ces personnages « historiques » ont peut-être eu les bons côtés, « Jocelyne de » mais pour certains, ils ne l’ont pas demandé ! ils n’ont pas étaient élus…. ! Alors leur vie privée ne doit pas regarder « sous forme de voyeurisme » les générations qui suivent, et le peuple en général, surtout que ca profite à l’auteur de ces livres et surtout d’après la fille de la reine Juliana, si certains passages sont faux ! Celà rabaisse la reine aussi bien que son époux.
Muscate-Valeska de Lisabé
30 octobre 2016 @ 19:07
Non,je ne plussoie pas….ce n’est pas dans le sens de leur « faciliter la postérité »,que j’exprime des réticences,juste sur le fait qu’on dérange trop les morts pour exploiter leur mémoire,encore et encore.
Grace,Diana,expositions,musées, biographies admises ou non par les familles…ça suffit.
Faire un livre,c’est faire du fric.Avec des personnes décédées,on manipule leur vie et on la livre en pâture sans beaucoup se risquer…en effet,comme dit ALINE,c’est difficile à vérifier et on jongle avec les »vérités »,c’est très inégal.
Je n’aimerais pas qu’on s’insinue dans ma vie post-mortem,et je me réjouis que cela ne puisse intéresser personne!…;-))
anny
30 octobre 2016 @ 08:40
Oh oui qu on les laisse reposer en paix .Ces auteurs n ont vraiment aucun scrupules
ALINE
30 octobre 2016 @ 08:41
Tout à fait d accord avec vous , les livres sortent par dizaines chacun y va de son histoire inventée , déformée , invérifiable .
clement
30 octobre 2016 @ 09:27
En effet pourquoi vouloir ressortir le passé des oubliettes surtout pour faire un livre de scandales et de calomnies ; la famille royale néerlandaise mérite mieux ! l’auteur a-t-il pensé aux blessures que cet ouvrage peut provoquer sur les filles de l’ancien couple souverain ?
Zorro
30 octobre 2016 @ 09:36
L’auteur n’est pas historienne mais sociologue journaliste et… feministe.
Je n’ai pas lu ce livre mais il semble que l’angle pris par l’auteur n’ait pas été de faire une biographie sur base de sources inédites mais de compiler les rumeurs, les on-dits, des faits et les interpréter à la lumière de l’idéologie dominante.
Ami des Bataves
30 octobre 2016 @ 10:50
Il n’y a que la vérité qui blesse. Si on ne met pas à jour les turpitudes du prince Bernhard qui entrenait sa famille parallèle grâce à un juteux trafic d’influence, encore une génération et on en fera un héros de la résistance contre l’Allemand. Je dis toujours qu’un prince consort doit rester irréprochable, sinon il a des femmes et des enfants de la main gauche à entretenir et comme son épouse légitime ne lui donnera pas d’argent pour ça, il faut qu’il le trouve quelque part. L’adultère, je peux à la rigueur comprendre, parce que c’est le passage obligé d’un tas d’unions avantageuses pour la partie désargentée. Et où le coeur n’intervient pas. L’Affaire Lockheed est réelle et a fait l’objet de hearings au Sénat américain. Le prince Bernhard était employé de banque en Allemagne quand on lui proposa l’alliance avec Juliana Il aurait dû refuser parce qu’il est évident qu’elle lui plaisait pas. Il l’a trompée dès les premières années du mariage. Je ne sais pas si Juliana a voulu divorcer. Cela m’étonne.
Un politicien français dans ses mémoires raconte la visite officielle du couple fin des années 40 ou début 50. Juliana avait tenu des discours qui avaient beaucoup plu aux jeunes gens. Le couple s’embarque dans un aéroport près de Paris et atterrit dans un autre aéroport toujours près de Paris. Le prince débarque et sa femme continue seule le voyage en avion vers le Hollande. Le politicien était choqué et se demandait ce qu’il allait faire tout seul à Paris.
Marissa
31 octobre 2016 @ 14:44
Ami des Bataves, je fais mien votre commentaire.
Trianon
31 octobre 2016 @ 15:05
Non, il n’y a pas QUE la vérité qui blesse, mais bel et bien la diffamation ou la calomnie
Florestan
30 octobre 2016 @ 11:22
Je trouve surprenant que pour une biographie (ou une « soi-disant »…) on n’ait pas songé à consulter la famille voire à obtenir son autorisation ne serait-ce que pour certains passages. Indélicatesse pour le moins.
Danielle
30 octobre 2016 @ 11:54
Heureusement qu’une de ses filles a réagi !
Jean Pierre
31 octobre 2016 @ 12:59
Oui celle par qui le scandale est arrivé aux Pays-Bas en 1964, mais les temps ont changé, là aussi on a oublié.
Ami des Bataves
1 novembre 2016 @ 12:44
Au moment où Irène a envoyé en l’air un mariage qu’elle avait voulu à tout prix, se convertissant au catholicisme et produisant 4 enfants, elle avait un amant néerlandais, militaire. Beatrix, nouvellement reine était furieuse, et a envoyé le joli coeur aux antipodes dans une ambassade peu importante pour faire l’attaché militaire ou adjoint. J’ignore tout à fait si le monsieur a eu des successeurs et je ne veux parler que de ce que je sais.
Comme par hasard, Bourbon-Parme, Hugues de son petit nom, traduit par don Carlos au moment du mariage, est devenu très apprécié et même choyé par sa belle-famille. Il devait avoir des qualités…
Gérard
30 octobre 2016 @ 12:30
Il est très difficile d’établir une biographie de quelqu’un décédé depuis relativement peu alors que ceux qui l’aimaient sont encore vivants. En même temps il me paraît nécessaire de profiter de ce qu’il y a des témoins. Mais je ne sais pas du tout comment cet ouvrage a été documenté et écrit. On imagine que la vie de la reine Juliana n’a pas été un champ de roses mais je pense qu’elle aimait profondément le prince. Je crois que la fin de sa vie a été aussi difficile d’une maladie d’Alzheimer.
Jean Pierre
30 octobre 2016 @ 12:49
Voilà un bon coup de pub pour ce livre avec l’intervention de la princesse Irène.
Kalistéa
30 octobre 2016 @ 12:56
Aline , vous avez tort de dire que ce sont des histoires « inventées » et « invérifiables. » cela est bon pour les calomnies concernant des personnages historiques , d’une autre époque , mais pour des personnes contemporaines leurs faits et gestes peuvent se vérifier et il ne faut pas croire qu’on peut écrire n’importe quoi sur les gens et encore moins s’ils sont importants et surtout puissants!!!
Sarita
30 octobre 2016 @ 13:08
Ça doit être terrible de lire une biographie sur sa mère. S’il en sortait une sur la mienne (;-)), je crois que je m’abstiendrais de la lire, c’est forcément un peu dérangeant. Je donnerai bien sûr le même conseil à ma mère si l’inverse se produisait ;-)
nozzari
30 octobre 2016 @ 13:09
Ce livre ne doit présenter qu’un intérêt médiocre. Il suffit de voir la photo du mariage, lui très beau et elle… très sympathique.
Pourquoi raconter qu’il s’est amusé ailleurs ?
ami des Bataves
31 octobre 2016 @ 13:52
S’amuser ailleurs est une chose, faire du trafic d’influence pour se remplir les poches en est une autre. Inexcusable.
Actarus
30 octobre 2016 @ 14:34
Un monde d’hommes, dans ce royaume où pratiquement ne règnent que les femmes, et qu’entre deux reines régnantes, le roi actuel fait figure d’OVNI et faire-valoir de Maxima (si j’écris Maxime on va penser que je parle d’un trav) ? Elle est bien bonne celle-là !
Je demande une volontaire (oui, une) pour se taper ce pavé et nous produire une fiche de lecture.
ladycat's
30 octobre 2016 @ 15:10
vrai! , faux !, ancien! entout cas si il ya des enfants naturels , le long fleuve tranquille a été mouvementé; comme dans d’autres familles moins illustres
Gibbs ?
30 octobre 2016 @ 15:13
En accord avec le commentaire de Jocelyne de.
L’auteur ne doit-il pas demander une autorisation ou une pré-lecture aux membres de la famille concernée au moins afin de s’assurer de la véracité et de l’authenticité des faits ?
Sarita
31 octobre 2016 @ 13:27
En même temps, cela permet aussi à la famille d’enlever des vérités qui pourraient être dérangeantes. Les biographies autorisées sont aussi enjolivées.
COLETTE C.
30 octobre 2016 @ 15:36
Une biographie doit être le reflet de la vie de la personne. Evidemment, il y a des évènements qui ne font pas plaisir à la famille. Mais qu’y faire ?
jo de st vic
30 octobre 2016 @ 18:18
de toutes façons tout cela était connu de son vivant…
CAROLINE VM
30 octobre 2016 @ 18:43
C’est vraiment du « réchauffé » tout çà . Je comprends qu’Irène en ai marre de voir qu’on essaye encore de réinterpréter le passé pour vendre du papier…alors que déjà plusieurs ouvrages ont déjà abordé ces sujets de long en large…
Béatrix a choisi la ligne « never explain, never complain »…comme à son habitude .
Quant au prince Bernhard , certes il n’a pas été un modèle de fidélité mais quand il y a eu « le feu » en 1956 c’est sûrement lui qui a « sauvé la baraque » si je puis dire , en intervenant en « force » auprès de son épouse pour éloigner cette Greet Hoffman , véritable Raspoutine en jupons…Juliana en le défendant à son tour bec et ongles en 1976 lors de l’affaire Lockheed a montré sa gratitude…
Le prince a toujours eu de bonnes relations avec ses filles « légitimes » et il a beaucoup compté pour elles et pour tous ses petits-enfants dont il a été aussi proche que possible.
ciboulette
30 octobre 2016 @ 19:46
La reine Juliana était , paraît-il , très aimée pour sa simplicité et sa bienveillance .
Les écarts de conduite de son mari étaient connus .
Ce qui est nouveau , ce sont les mauvais rapports entre le prince et ses filles .
La princesse Irène ne sera sans doute pas la seule à réagir .
Bruno
30 octobre 2016 @ 20:00
Sur base de ce que j’ai pu livre dans la presse néerlandaise, je comprends totalement la réaction vive de la Princesse Irène. Il est certes utile de sortir de nouvelles biographies pour étudier les faits historiques du passé sous un éclairage nouveau. Mais pour que ce soit fiable, il aurait été bon de consulter les archives royales, ce qui lui a été refusé par deux fois, ou de demander des témoignages de première main, les filles du couple notamment, ce que l’auteur a volontairement refusé de faire. Et qu’apportent des interprétations personnelles et des déballages de très bas étages sur un couple malheureux à la vérité historique …sans parler du respect pour le couple en question et sa famille !
ambre
30 octobre 2016 @ 20:54
Non, je trouve qu’il est tout à fait normal et particulièrement bénéfique qu’on écrive sur eux, surtout après leur mort.
Sans auteurs pour écrire sur les personnages historiques, pas de biographie, d’éclairages différents sur leur vie, leur travail, leurs succès et leurs échecs, leurs secrets etc.
Les morts n’ont pas à être sacralisés : ils n’étaient que des êtres humains qui ont laissé une trace plus durable que les autres quand ils ont assumé volontairement ou non un rôle historique. A ce titre, il est plus que nécessaire que leur action soit périodiquement revue et réévaluée à la lumière de nouveaux éléments ou nouveaux angles d’analyse.
Et ils n’ont pas à recevoir un traitement de faveur parce que morts non plus.
Limaya
1 novembre 2016 @ 15:57
Pourquoi donc épargnerait on les morts qui ont marqué l’histoire , lorsqu’on s’acharne Oh combien – et sans se poser questions – sur certains , bien vivants aujourd’hui particulièrement dans leurs fredaines extra conjugales , fredaines qui semblent réjouir les foules ?
Philippe Delorme
30 octobre 2016 @ 21:17
S’occuper de la vie des personnes disparues… cela s’appelle de l’Histoire…
framboiz 07
31 octobre 2016 @ 15:36
Si l’on va aux sources , parfois c’est la petite histoire, seulement , par le trou de la serrure …
*Gustave de Montréal
31 octobre 2016 @ 16:23
Tout à fait, et tant pis pour les âmes pieuses.
Juliana n’avait-elle pas un demi-frère, un certain Albrecht Willem Lier 1918-2015 fils naturel de son père Henrik?
Ami des Bataves
1 novembre 2016 @ 12:51
Avant de sombrer dans la dévotion, avec une mort exemplaire, le prince Henrik avait semé quelques bâtards dans la campagne environnante. Donc ce monsieur Lier peut très bien être le demi-frère de Juliana.
Quant à Gerard, qui défend le passé de résistant de Bernhard, et l’admiration populaire à son égard, je dois signaler que le peuple néerlandais n’a pas eu connaissance des indelicatesses du prince. Je vivais aux Etats-Unis à l’époque et j’ai suivi cela de près. On donnait même le nom et l’adresse de la dame qui était entretenue par le prince à Paris. Pour cela il avait besoin d’argent. Peu de gens savaient exactement la vérité et même des hauts fonctionnaires ignoraient tout. Quand on est prince consort on ne se fait pas donner de l’argent pour trafic d’influence . Je n’aurais jamais connu l’affaire Lockheed si j’avais vécu en Europe à l’époque. Mais le passé jette un voile pudique sur les choses gênantes.
Mario
1 novembre 2016 @ 13:31
A vous lire monsieur Delorme,
et vous retourner image d’une perception de votre apparence de pensée :
Pour exemple issu de contemporanéité,
les actes constitutifs de l’UE auraient susceptibilité devenir hors du domaine Histoire pour classés comme philosophies de psychologies comparées… Et pourquoi pas en inverse des choses être classés comme histoires par juxtaposition d’éléments invérifiables de petite histoire sans H majuscule ni au singulier ni au pluriel.
Marissa
31 octobre 2016 @ 01:32
Je vais être en désaccord avec les premiers commentaires mais je pense que c’est ouvrage qui semble intéressant. Le Prince Bernhard était un sale type (oui, je l’affirme!) et il a fait beaucoup de mal à la maison d’Orange par son comportement. Je ne vois pas pourquoi sa mémoire devrait être protégée.
Gérard
31 octobre 2016 @ 14:36
N’oublions pas cependant que le prince grâce à son attitude pendant la guerre était très populaire aux Pays-Bas et on l’a vérifié à sa mort.
grannydc
31 octobre 2016 @ 08:26
Entre Juliana et Bernhard, ce n’était pas un mariage d’amour ! Juliana n’était pas une beauté et Bernhard aimait les jolies femmes ! De ce fait, il allait voir ailleurs. Inutile de faire un livre, car tous les Néerlandais connaissent l’histoire de la famille royale !
clement
31 octobre 2016 @ 13:10
Pourtant le couple s’entendait bien ,je me souviens du réconfort apporté par le prince au moment de l’intronisation de Béatrix et du chagrin éprouvé par celui-ci lors du décès de Juliana ! Si ce n’était pas le grand amour, c’était toutefois un couple complice et solide !
Ami des Bataves
2 novembre 2016 @ 09:51
Au moment de l’intronisation de Beatrix, le prince tapotait la main de sa femme en larmes. On aurait qu’il voulait apaiser et consoler bobonne, tant le geste était condescendant. Il ne la traitait pas comme épouse mais comme associée . L’associée qui restait toujours au poste, pendant que Monsieur allait à Paris. Si le prince Daniel faisait le dixième de ce que fit Bernhard, influencer les achats d’avions et de materiel coûteux pour recevoir de juteuses commissions, avoir une double vie, par ex à Copenhague ou Berlin, je ne pense pas qu’on parviendrait à le cacher aujourd’hui. Internet est passé et le portable aussi.
Yom
31 octobre 2016 @ 23:13
Tout le monde savait que le prince avait deux filles illégitimes avec qui il avait de bons rapports et je crois qu’il aurait aimé qu’elles aient droit à leur part d’héritage sur ses biens propres mais elles n’ont rien eu et pourtant cette famille tellement riche aurait pu faire un effort,elle n’aurait pas été démunie pour cela.
Mary
1 novembre 2016 @ 10:45
Les quatre filles de Bernhard et Juliana étant bien vivantes,ce livre est cruel. Il aurait fallu l’écrire dans…une trentaine d’années ou plus ,mais il aurait rapporté moins d’argent !
La princesse Irène a bien fait d’exprimer son désaccord.
jo de st vic
1 novembre 2016 @ 12:12
ca ne doit pas non plus être agréable pour les fils de Danielle Mitterand….le livre des lettres d’amour de leur pére a sa 2eme femme…..
Bambou
1 novembre 2016 @ 14:31
Quand le roi Juan Carlos ne sera plus de ce monde, les livres sur sa vie privée seront légions et se vendront comme des petits pains. Idem pour Charles XIV Gustav de Suède et Albert II de Belgique. Tout un déballage se fera autour d’enfants cachés avérés ou non et autres secrets du même crû.
Ami des Bataves
2 novembre 2016 @ 11:24
Je ne suis pas le Père La Vertu, et je comprends qu’on trompe sa femme quand on a fait un mariage d’intérêt. Je ne dis pas que c’est bien, mais je peux comprendre. En revanche, profiter de son statut de prince consort, quand on vient de rien, financierement parlant, pour se remplir les poches et entretenir une seconde famille, je trouve cela impardonnable. Le prince Daniel de Suède est irréprochable et son beau-père d’abord réticent doit se féliciter que sa fille ait trouvé un tel compagnon.