C’est en 1937 que le duc de Windsor offrit à son épouse Wallis un bracelet jarretière en saphirs et diamants, commandé à Van Cleef & Arpels pour commémorer leur mariage. Ce type de bijou à savoir un bracelet souple et ajustable est alors très en vogue et est ici une réinterprétation contemporaine par le joaillier. Cette réplique exposée à la bibliothèque de l’École des Arts joailliers-Van Cleef & Arpels à Paris a été créée pour le film « Le discours d’un Roi » en 2010. (Photo © Benjamin Chelly)
Arielle
5 octobre 2019 @ 07:56
Sublime bijou.
Muscate-Valeska de Lisabé
5 octobre 2019 @ 09:19
À défaut de femme de coeur selon beaucoup,Wallis était femme de goût.
Baboula
6 octobre 2019 @ 14:50
C’est Monsieur qui choisissait ,parfois dessinait ls bijoux,madame se contentait de recevoir.
Muscate-Valeska de Lisabé
7 octobre 2019 @ 18:06
Merci Baboula-mia…je ne laisserais pas ce soin à mon mari,quant à moi. 🙃😜
Baboula
5 octobre 2019 @ 09:25
https://businessmontres.com/article/de-la-cuisse-au-poignet-la-jarretiere-de-marlenedietrich-vancleefarpels-jarretiere-alfredhitchcock
Voici le bracelet de Marlène Dietrich qui vous donnera une vue globale du bijou .
Baboula
6 octobre 2019 @ 18:31
Heureusement que V C & A nous a proposé bien mieux .
septentrion
5 octobre 2019 @ 10:37
Ce bracelet est magnifique, sa réplique donc.
Sait-on ce qu’est devenu l’original? A t-il fait partie des bijoux hérités et revendus par l’Institut Pasteur? Si oui tant mieux. Je m’interroge, pour le joaillier, il s’agissait évidemment d’une réalisation et d’une vente mais qu’a fait ce couple à part vivre dans un luxe loin des réalité de cette époque qui s’engouffrait sous peu dans le chaos?
J’espère que depuis le bracelet orne le bras d’une femme moins calculatrice.
Leonor
5 octobre 2019 @ 10:51
Le duc se plaignait constamment auprès de son frère le roi qu’il n’avait pas assez d’argent, qu’il devait tirer le diable par la queue, etc. Alors qu’il couvrait sa ( … auto-censuré) de joyaux effarants . Beurk.
Numérobis.
5 octobre 2019 @ 12:03
J’ai beau aimer les saphirs bleus qui sont mes préférés,là trop c’est trop !!
Charles
5 octobre 2019 @ 15:52
Bijou tape à l’oeil sans charme
Clara
5 octobre 2019 @ 16:02
Plusieurs personnes s’intéressent vivement aux bijoux sur ce site, et je leur signale un travail de 1906 sur la bijouterie française au 19ème siècle, en 3 volumes, par Henri Vever (joailler, chercheur et collectionneur d’art asiatique et moyen-oriental). Les 3 volumes peuvent être téléchargés à partir du site de INTERNET ARCHIVES (archive.org) en partant de la page :
https://archive.org/search.php?query=la%20bijouterie%20fran%C3%A7aise&sin=TXT
On y trouve un foisonnement d’informations historiques et d’anecdotes sur les créateurs, sur les bijoux et même sur les costumes qui rendent leur lecture passionnante…
Gatsby
6 octobre 2019 @ 22:36
Merci Clara pour cette précieuse information.
Charlotte
5 octobre 2019 @ 16:41
Curieuse je suis ! donc direction le service de renseignements internet.
Pourquoi ce nom ? il semblerait que sa forme évoque les jarretières ajustables, portées autrefois et qu’il fut en vogue dans les années 1860.
Et que… Marlène Dietrich le commanda en 1937 à la maison Van Cleef et Arpels en rubis et diamants donc la même année que celui offert par le duc de Windsor à son épouse en saphirs et diamants.
C’est fabuleux tout ce que l’on découvre en lisant ce site, merci Régine !
Baboula
6 octobre 2019 @ 21:05
Charlotte j’ai vu – en vrai – celui de Marlène ,c’est lourd ,sans grâce ,aucun intérêt .
Une erreur du styliste .
Francois
6 octobre 2019 @ 15:17
La sulfureuse Wallis aura marqué un style , à défaut d’autre chose .
Son goût prononcé pour des bijoux de ce genre mis en valeur
par des tenues assez simples etait sa signature .
Le néant de la vie de ce couple se concrétisa par un excès du détail
en décoration en habillement et en accessoires nombreux et variés.
De cette futilité portée au paroxysme reste l’image de ces créations .
La vanité des choses nous laisse à chaque epoque certains trésors.
Que laissera donc la notre ?
Val
7 octobre 2019 @ 06:58
Couple fénéant, elle intrigante, intéressée, amie des nazis, lui aussi d’ailleurs, finalement, aucun intérêt, le seul intérêt dans sa vie à elle c’est cette donation à la fin de sa vie, quand à lui je ne sais pas, il n’était pas très intelligent, affublé de tics grand fumeur, et grand dépensier ! Éloigné de ses frères et sœur, qu’il adorait, il a du souffrir,
Quelle vie triste !