Voici la bûche signature « Fleur de cassis » de Pierre Hermé. Elle se compose d’un crumble au poivre de cassis, de biscuit moelleux au chocolat, de ganache au chocolat Pure Origine Bélize (district de Cayo plantation Xibun) au cassis et poivre de cassis, éclats de chocolat noir à la fleur de sel.
Des notes aromatiques du crumble au poivre de cassis (aux saveurs presque “animales” et aux arômes de géranium), on glisse vers l’amertume d’une compote de cassis domptée par une touche de groseille alors que le jus de citron en exacerbe l’acidité.
Le cacao permettant de confectionner ce chocolat est un Pure Origine Bélize, transformé par Valrhona, avec une recette exclusive à 64 % de cacao, pour Pierre Hermé Paris.
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Juliette d
12 décembre 2020 @ 04:52
Snob dans toute l’expression du terme.
sûre Muscate-Valeska de Lisabé
12 décembre 2020 @ 17:22
Le message de présentation est snob,en effet.
Mais si on lisais juste « Belle bûche cacao-cassis »,moi ça me ferait envie.
Le cassis citronné doit rafraîchir après un repas plantureux,et le chocolat apporte sa touche rassurante et gourmande.
Elle est jolie,en plus.
Une bûche gracieuse.
Claude
12 décembre 2020 @ 08:19
Encore Valrhona!
Entreprise trop industrielle, en quasi monopole dans la pâtisserie française.
Les pâtissiers ne se donnent plus le plaisir de la découverte chez les producteurs, qui font pourtant beaucoup d’efforts pour restaurer des variétés anciennes aux goûts délicats.
Jackie
12 décembre 2020 @ 10:31
S’il n’en reste qu’un à le faire, c’est bien Stéphane Bonnat à Voiron, mais j’espère bien qu’il n’est pas le seul.
Claude
13 décembre 2020 @ 12:42
Il n’est pas le seul, rassurez-vous.
Plusieurs se lancent dans l’aventure du conchage, et même de la plantation.
Certains pâtissiers se font un devoir d’utiliser des crus du Venezuela (parmi les meilleurs au monde), et même la vanille de Tahiti, incomparables!
PataClems
16 décembre 2020 @ 10:28
Il n’est pas le seul. Perso, le chocolat de Valrhona, je ne l’utilise que pour faire mes boissons chaudes. Ce n’est bon qu’à cela. Pour le reste, je me fournis chez des petits négociants qui travaillent avec des producteurs traditionnels, responsables, respectueux. En bref, avec des gens biens.
Leclercq
12 décembre 2020 @ 09:04
Accords très sophistiqués : cette bûche est belle et tentante.
Lucette
12 décembre 2020 @ 09:43
Je ne voudrais pas être grossière ….
Leonor
12 décembre 2020 @ 09:50
La cuisine et la pâtisserie sont devenues des exercices de créativité linguistique hyperbolistique . Comme l’oenologie d’ailleurs , depuis longtemps.
Hermé ! T’as oublié la solidité imagée de la langue de ton enfance ! Tu causais parigot comme ça, dans la boulangerie de ton Bàbbe à Colmar ?
Schpréchklopfer ! (*) Reviens sur terre, Hermé !
(*) Intraduisible. Quelque chose comme » un type qui bat les mots », ainsi qu’on battrait des oeufs, càd y introduire de l’air en quantité, càd … du vent . Un type qui fait du vent avec des mots.
PataClems
16 décembre 2020 @ 10:31
L’œnologie a toujours possède sa poésie bien à elle, et c’est tout à fait légitime. Le souci, c’est que les autres métiers de bouche, pâtisserie en tête, ont trouvé « bien » de jouer sur la même corde. C’est finalement débile.
Gatienne
12 décembre 2020 @ 10:25
Plus je vois ces bûches de grandes signatures pâtissières, plus j’ai envie de faire la mienne qui sera ce qu’elle sera, avec ses imperfections, ses ingrédients de qualité et ses décorations que certains trouveraient kitsch , mais qui feront dire à ma tablée (réduite) : Noël, sans la bûche de maman , ce n’est pas tout à fait pareil !
Tant que je pourrais confectionner ma bûche et malgré les embûches de cette année, ça ira ! 😉
Menthe
13 décembre 2020 @ 20:33
Gatienne la sagesse !
Je m’y retrouve😘
HRC
12 décembre 2020 @ 10:39
Chocolat et cassis, parfait pour moi.
Vitabel
12 décembre 2020 @ 11:04
Belle bûche !
Ghislaine L-P-B
12 décembre 2020 @ 11:05
Décidément je ne suis pas adepte de ces ingrédients compliqués , je préfère les bûches de mon pâtissier que tout le monde ici s’arrache.
Mary
12 décembre 2020 @ 11:13
Quelle formulation prétentieuse ! Bûche qui ne me tente pas du tout.
luigi
12 décembre 2020 @ 12:52
Le couleur ne m’inspire pas et quand je lis « aux arômes de géranium », je dis non merci.
Lili.M
13 décembre 2020 @ 11:22
Vous avez raison, chez moi, le géranium est un parfum qui sert de répulsif aux moustiques !!
lila
12 décembre 2020 @ 14:49
Charlotte de (Brie) Au final c’est votre bûche de Noël qui me tente le mieux . A elle seule elle représente Noël , l’hiver et si proche de la nature avec les marrons et aussi plus économe en matières premières .🎄. Merci encore Charlotte de votre recette .😍
Baboula
12 décembre 2020 @ 16:10
Je sature avec les bûches, je débute les galettes au feuilleté aérien . J’ai cuisiné un feuilleté de ris de veau ,il restait de la pâte qu’il ne fallait pas perdre .😋.
Carolus
13 décembre 2020 @ 13:56
Un feuilleté de ris de veau, waouh, 😋
👑 MIKA 🍀😷
12 décembre 2020 @ 17:55
Je n’aime pas ces gâteaux « bijoux » tellement travaillés que cela ne ressemble plus du tout à une pâtisserie. Et je ne parle pas du prix exorbitant !
Vive les gâteaux maison ! Pas parfaits, mais sans additifs ni colorants…..
Ladybird
14 décembre 2020 @ 13:44
Bien de votre avis, Mika et ce, sans parler de cet assemblage malheureux de goûts différents qui surprend et soulève le coeur. J’ai laissé, bien volontiers ma soeur se délecter de ses macarons au goût bizarre… à mes yeux, bien évidemment.
cerodo
13 décembre 2020 @ 07:02
du poivre de cassis ?????
PataClems
16 décembre 2020 @ 10:34
Oh Pierrot, il va falloir redescendre! Ta bûche est sûrement bonne mais ta pâtoche ne mérite pas autant de poésie. Comme à ton habitude, tu nous a pondu un gâteau avec quelques ingrédients chiadés. Rien de transcendant ma poule.