La Maison Prunier (cliquez ici pour relire l’article consacré à son histoire) fut fondée en 1872. Initialement, elle était spécialisée dans les huîtres et ne tarda pas à Paris à attirer une belle clientèle sous l’impulsion de la princesse Dolgoruki qui épousa le tsar Alexandre II. Après différentes étapes avec des associations avec Taillevent et Pierre Bergé, Prunier s’allie avec la Maison du Caviar et propose ainsi des plats à base des si convoités oeufs d’esturgeon. Ici une burrata avec une cuillère de caviar.
Baboula
23 janvier 2019 @ 06:48
Je convoite le maroilles au caviar 👾
Menthe
23 janvier 2019 @ 17:42
Et moi, avec le « camembert électrique » 😅😅😅selon un nouveau pseudo apparu récemment !!!
Que doit t-on deviner sur votre nouvel avatar, Baboula ? une belle chevelure blanche, un bout de peau moelleuse, les boucles d’un compagnon à quatre pattes…
Ghislaine-Perrine
23 janvier 2019 @ 08:24
Très jolie présentation du caviar mais les amateurs le dégustent tout simplement à la royale , sur le dos de la main à la base du pouce .
Muscate-Valeska de Lisabé
23 janvier 2019 @ 15:06
Plus proprement,la cuillère ou le toast,c’est bien…je n’aime pas l’odeur du poisson sur mes mains.
Baboula
23 janvier 2019 @ 20:09
Ghislaine,dans la tabatière, nom donné à cet endroit où l’on posait son tabac pour le priser avec élégance !
Karabakh
25 janvier 2019 @ 11:39
Selon les dires d’une connaissance, historien de la gastronomie, ce geste n’a en vérité rien de royal. Les rois le dégustaient sur une très petite cuillère, conçue pour cet usage. La dégustation sur la tabatière semble être une lubie bourgeoise. 😉
Robespierre
23 janvier 2019 @ 10:11
pour moi c’est une hérésie culinaire de mettre de l’huile en dessous d’un fromage deja très gras par sa crème . Du caviar pourquoi pas ?
Karabakh
25 janvier 2019 @ 11:44
Vous avez été plus rapide que moi.
La burrata s’installe sur un lit vert (salade ou autre) et n’est relevée que par un filet de balsamique et une pincée de poivre. L’excellence vient de la pureté.
Corsica
23 janvier 2019 @ 10:24
J’aime les ingrédients mais je trouve l’association de l’huile d’olive et du caviar étrange.
Gatienne
23 janvier 2019 @ 10:44
L’alliance d’un produit de luxe intemporel et d’un fromage remis au goût du jour dans les restaurants.
Les deux séparément et avec plaisir, l’association, non : les saveurs se tuent entre elles d’autant plus qu’on y ajoute l’huile d’olive !
Ami des Bataves
23 janvier 2019 @ 11:39
Vous et Agnese avez raison. Une bonne burrata et un pain de haute qualité c’est divin. Pourquoi neutraliser les goûts ? Hier en changeant de fromagerie, j’ai découvert qu’il en allait de la burrata comme de la mozzarella de bufala : il y a des qualités très différentes. Ma burrata d’une petite cooperative italienne etait divine. Une autre de grande distribution était tout simplement bonne.
Baboula
24 janvier 2019 @ 17:19
Les meilleures associations sont régionales. Alors l’esturgeon calabrais et la burrata iranienne ,connais pas .
Karabakh
25 janvier 2019 @ 11:51
Comme Robespierre, vous m’avez devancé.
L’alliance de la burrata et du caviar est malencontreuse tant l’une neutralise les saveur de l’autre, et inversement. En plus, sur de l’huile d’olive…
La burrata peut s’accompagner mais il convient de rester simple : lit de verdure, fruits et/ou légumes frais de saison, filet de balsamique. E questo è quanto!
Agnese
23 janvier 2019 @ 11:06
Quelle idée saugrenue que mélanger burrata riche et crémeuse avec du caviar!
Le trop est l’ennemi du bien. Deux produits d’exception mais qui ne vont pas ensemble.
Muscate-Valeska de Lisabé
23 janvier 2019 @ 15:08
On dirait une grappe de raisin…. c’est beau.
Très salé, il est possible que le caviar s’adoucisse et se marie très bien à cette crème de fromage.
Karabakh
25 janvier 2019 @ 11:52
La burrata est un fromage crémeux mais pas une « crème de fromage ». Ce n’est pas de la Vache qui rit. 😉
Muscate-Valeska de Lisabé
26 janvier 2019 @ 15:35
Vous allez faire de moi une vache qui pleure, Karabakh :-((…;’)).
Karabakh
28 janvier 2019 @ 14:01
Oh bah non, ce n’est pas le but.
Je soulignais juste que la burrata est au-dessus de la crème de gruyère. 🧀
Silvia 2
23 janvier 2019 @ 17:12
Le caviar se suffit a lui même. Sans rien, ni crème, ni autres fioritures. Mais voilà il est devenu cher, pour cela il faut l’associer. Pour faire un plat. Mais le caviar n’est pas un plat.
Dommage, cette composition ne me dit rien
marianne
23 janvier 2019 @ 18:00
Bof … je préfère un bon reblochon !
L'Alsacienne
23 janvier 2019 @ 19:37
En cuisine comme dans autre chose, il faut sans cesse du neuf.
Pourquoi pas un fromage blanc ? à l’ail et fines herbes, à la ciboulette, au sucre, à la confiture, au miel, etc… et maintenant au caviar pour ceux qui en ont les moyens ou se les donnent.
Ghislaine-Perrynn
24 janvier 2019 @ 10:28
En tous les cas pas une cuillère en métal , porcelaine a la rigueur .
Charlotte AL
24 janvier 2019 @ 12:43
En nacre !
Baboula
24 janvier 2019 @ 14:19
Il a neigé sur yesterday…et sur ma tête.
Menthe
25 janvier 2019 @ 16:07
Magnifiques boucles, Baboula, et quelle abondante chevelure, félicitations ! jamais je n’aurai du confondre avec une peau de mouton, mais j’ai des circonstances atténuantes, fatigue après l’effort plus petite image sur smartphone !!! En tout cas superbe, plus joli que le nid d’Elizabeth👏
Ghislaine-Perrynn
24 janvier 2019 @ 18:40
DÉGUSTER LE CAVIAR À LA ROYALE
Certains préfèrent déguster leur caviar à même la peau sur le dos de la main au début du pouce. C’est ce qu’on appelle dégustation à la royale. On dit que cette tradition et son nom viennent du temps des goûteurs des tsars. Ils étaient chargés de traquer du poison dans la nourriture. Aujourd’hui, la dégustation « à la royale » est pratiquée par de nombreux professionnels qui goutent différents caviar à la suite. Ils évitent ainsi le goût potentiel d’une cuillère. La dégustation à la royale permet donc d’apprécier le caviar sans goût parasite, mais aussi de réchauffer un peu les oeufs au contact de la peau.
COMMENT ACCOMPAGNER ET DÉGUSTER LE CAVIAR ?
Le caviar se déguste idéalement nature, à l’aide d’une petite cuillère en nacre, en corne, en porcelaine ou encore en plastique. Préférez une matière naturelle et légère pour préserver les arômes et ne pas briser les grains.
Laissez les grains éclater sur la langue et appréciez la complexité des arômes qui se développent longtemps.
Muscate-Valeska de Lisabé
25 janvier 2019 @ 15:27
Ah ouiii…. exactement comme avec les oeufs de lump,donc! ;’)))
Vous vous la jouez snobinette,sur ce coup-là,Perrinette!
Ghislaine-Perrynn
26 janvier 2019 @ 06:04
Meuh non meuh non muscade , je m’exprime avec ce que je peux à savoir le langage technique afin qu’une descendante de baronnet teuton comprenne mes logorrhées bretonnes puisqu’elle s’autorise à penser que je ne mange pas proprement en agissant suivant les régles loll
Muscate-Valeska de Lisabé
26 janvier 2019 @ 15:38
Baron,le pépé-teuton..nomého! ;’))).
C’est caca du poisson dans les doigts.
Ghislaine-Perrynn
27 janvier 2019 @ 15:16
pas plus que le taboulé ! loll
L’est plus baronnet votre Pépé mais chère Muscade , le poisson donne un max de phosphore et je suis en over-dose , n’oubliez pas ce que vous écrivez une fois car moi, je ne l’oublie pas .