Le prince Carl Philip de Suède a remis le prix de Chef de l’Année 2019 à Martin Moses. Le concours qui opposait quatre finalistes, comportait une partie théorique, la connaissance des matières premières, le savoir-faire et l’exécution de différents plats.
Pour la finale, les chefs ont dû présenter 12 huîtres froides et préparer un plat à base de brocoli. Ensuite, un plat dont la pomme de terre était l’ingrédient principal en accompagnement d’une caille. (Copyright photo : Cour royale de Suède)
Muscate-Valeska de Lisabé
15 septembre 2019 @ 10:39
Ça vaut le coup d’être « toqué »,on prend 40cm d’un coup!😉
Alinéas
15 septembre 2019 @ 11:19
Un peu léger pour cette finale.. D’accord pour les huîtres ; pas fan des brocolis et les pomme de terre accompagnant une caille, cuisinés comment ?
Danielle
15 septembre 2019 @ 14:25
Carl Philip est fidèle à cette remise de prix annuelle.
Prépare t il des petits plats à sa famille ?
Actarus
15 septembre 2019 @ 17:41
Ils sont déjà plus grands que S.A.R. l’ex-prince héritier de Suède mais en plus, avec leurs toques, on peut dire qu’ils sont complètement toqués.
Bambou
16 septembre 2019 @ 07:58
Pour un homme jeune comme lui, ne pas avoir de véritable métier….
j21
16 septembre 2019 @ 12:31
Il est tout petit ce prince!
Martine
16 septembre 2019 @ 16:01
Hormis de remettre des prix de cuisine, de faire quelques courses automobiles et d assister à des concerts….que fait il ???
Corsica
16 septembre 2019 @ 23:25
Personnellement, j’adore les huîtres tel quel mais je me demande ce que le gagnant en a fait pour gagner ce concours : un tartare, un carpaccio sinon je ne vois pas ? Quant aux brocolis, que je n’aime que crus ou très peu cuits, j’aimerais bien savoir comment il les a présentés. Mai voilà je ne lis pas le suédois et c’est dommage.
Menthe
17 septembre 2019 @ 13:22
Moi aussi Corsica, j’aimerais bien savoir pour les huîtres, que comme vous je n’aime que telles quelles.
Je trouve que toutes les autres préparations, carpaccio, soupe, huîtres chaudes, même au champagne, huîtres gratinées (!!!) dénaturent leur si caractéristique goût d’océan.
Corsica
19 septembre 2019 @ 21:36
Ma chère Menthe, vous avez changé de gabarit ! Nous sommes d’accord sur la manière de consommer des huîtres telles qu’elles (ne me relisant pas, je n’avais même pas remarqué ma faute aussi ÉNORME que votre vache 😱😱😱) même s’il m’est arrivée de consommer chez des amis d’excellentes huîtres chaudes mais ce n’est pas la même chose.
Menthe
20 septembre 2019 @ 17:32
Oh Corsica, vous m’avez fait rire 😂😂
Marguerite est une solide Vosgienne, c’est peu de le dire !!
Corsica
21 septembre 2019 @ 20:43
Ma chère Menthe, votre vache s’appelle Marguerite comme sa consœur du film « La Vache et le Prisonnier », auriez-vous l’intention de fuir votre Alsace et de traverser la France d’Est en Ouest pour aller manger directement chez les mareyeurs vos huîtres préférées ? 😉😉Personnellement, je les aime tellement, qu’une année, on a organisé un voyage le long de la côte Atlantique, de la Normandie à Arcachon, et j’ai écumé tous les producteurs, au grand dam de mon et cher et tendre qui n’en est pas fou ! À son grand effroi, je suis même capable d’en déguster une ou deux douzaines au petit-déjeuner ! Mes préférées : les Isigny, les Belin et les Gillardeau.
Menthe
23 septembre 2019 @ 08:02
Chère Corsica, pour rester dans les huîtres, nous avons eu le plaisir de déguster, une seule fois, des huîtres sauvages qu’un pêcheur lorientais nous avait offertes, délice inoubliable !
Marguerite est un peu lente pour rejoindre notre Bretagne adorée, que, sur un coup de tête, mon mari et moi retrouvons bien souvent, malgré la distance ! lui, comme votre époux appréciant les huîtres que modérément, mais plus que friand de bons gros tourteaux🦀🦀
Francois
17 septembre 2019 @ 15:14
C’est en voyant les êtres en photos à côté des autres
sur l’on se rend compte de leurs tailles