A Sundbyberg dans le comté de Stockholm, le prince Carl Philip de Suède a visité le fonds de soutien aux personnes souffrant de dyslexie. (Copyright photo : scanpix)
Ontheroadagain,votre pseudo m’intrigue beaucoup!lool!
Sa soeur Victoria ne peut pas tout faire,c’est évident qu’elle ait demandé à son frère de la remplacer s’il était aussi dyslexique qu’elle!
On peut heureusement guérir de cet handicap avec des cours intensifs d’écriture!
C’est amusant de voir la liste impressionante de ‘Dyslexiques et célèbres…’ y compris Albert Einstein chez Tonton Google!
Merci Caroline; j’ai lu cela pour Einstein mais… j’ai des doutes? De toutes façons, les dyslexiques développent d’autres facultés (la communication, le verbal, la créativité, etc.) bon nombre de génies se retrouvent chez les dyslexiques tout comme chez les autistes d’ailleurs. Quelle merveille que la « machine humaine » n’est-ce pas? Amitiés, FdC
Contrairement à la croyance populaire, on ne « guérit » pas de la dyslexie. Je suis bien au courant ayant un fils dyslexique et dysorthographique. Ce n’est pas une maladie, mais un trouble du développement qui peut être héréditaire ou pas, et les dyslexiques ont la plupart du temps une intelligence au-dessus de la moyenne. Avec l’aide de spécialistes, on peut apprendre à vivre avec ce trouble et développer nos propres outils pour bien se débrouiller, mais la dyslexie sera toujours présente bien qu’elle s’atténue avec le temps et l’expérience acquise. Mon fils a été soutenu 12 mois par année, jusqu’à l’âge de 16 ans (au delà de l’adolescence, le dyslexique apprend par expérience), par une spécialiste (à nos frais) et il a réussi à faire des études supérieures et a maintenant une très bon emploi qui le rend heureux. Le secret réside dans le diagnostic précoce pour que le soutien commence tôt dans la vie du dyslexique.
A l’instar de Béatrice d’York, Carl-Filip de Suède apporte aussi son soutien et met en lumière les enfants souffrants de dyslexie. Bravo à lui pour son engagement en rendant publique le trouble dont il a souffert dans son enfance ! En France, nous sommes bien en retard concernant la prise en charge de ces troubles de l’apprentissage car il n’existe que deux écoles (Garches et St Laurent du Var) alors que 10 % de la population en souffre.
C’est beaucoup 10% Maguelone… j’ignore combien ici au Canada (sans doute sensiblement la même chose); ceci dit, il existe des « écoles alternatives » ici. Amitiés, FdC
J’ai l’impression que ce jeune prince s’ennuie ds les seconds rôles…il y a peu c’était ds les ‘cuisines ‘ remettant je ne sais quel prix ,là maintenant …peut être faudrait il lui laisser libre choix de sa vie future ,je me trompe surement , mais je le plains tout de même . C’est long une vie en représentation
adriana
21 mai 2014 @ 10:10
belle initiative de la part du Prince…….. je pense que le roi et la princesse victoria ont souffert de ce problème.
bon mercredi.
Ontheroadagain
21 mai 2014 @ 10:11
C’est très louable à lui bien sûr, mais sa sœur Victoria, en tant qu’ex dyslexique, était mieux placée pour ce rôle…
Marie du Béarn
21 mai 2014 @ 15:00
Comme son père et sa sœur, le prince Carl Philip a également souffert de dyslexie…
http://royauxsuedois.centerblog.net/1353-la-prince-carl-philip-et-la-dyslexie
http://royauxsuedois.centerblog.net/1302-
aubert
21 mai 2014 @ 19:20
…mais elle est occupée à apprendre la pâtisserie à sa fille et ne pas confondre les recettes.
Caroline
21 mai 2014 @ 20:43
Ontheroadagain,votre pseudo m’intrigue beaucoup!lool!
Sa soeur Victoria ne peut pas tout faire,c’est évident qu’elle ait demandé à son frère de la remplacer s’il était aussi dyslexique qu’elle!
On peut heureusement guérir de cet handicap avec des cours intensifs d’écriture!
C’est amusant de voir la liste impressionante de ‘Dyslexiques et célèbres…’ y compris Albert Einstein chez Tonton Google!
Francine du Canada
22 mai 2014 @ 15:10
Merci Caroline; j’ai lu cela pour Einstein mais… j’ai des doutes? De toutes façons, les dyslexiques développent d’autres facultés (la communication, le verbal, la créativité, etc.) bon nombre de génies se retrouvent chez les dyslexiques tout comme chez les autistes d’ailleurs. Quelle merveille que la « machine humaine » n’est-ce pas? Amitiés, FdC
Jojo
22 mai 2014 @ 21:37
Contrairement à la croyance populaire, on ne « guérit » pas de la dyslexie. Je suis bien au courant ayant un fils dyslexique et dysorthographique. Ce n’est pas une maladie, mais un trouble du développement qui peut être héréditaire ou pas, et les dyslexiques ont la plupart du temps une intelligence au-dessus de la moyenne. Avec l’aide de spécialistes, on peut apprendre à vivre avec ce trouble et développer nos propres outils pour bien se débrouiller, mais la dyslexie sera toujours présente bien qu’elle s’atténue avec le temps et l’expérience acquise. Mon fils a été soutenu 12 mois par année, jusqu’à l’âge de 16 ans (au delà de l’adolescence, le dyslexique apprend par expérience), par une spécialiste (à nos frais) et il a réussi à faire des études supérieures et a maintenant une très bon emploi qui le rend heureux. Le secret réside dans le diagnostic précoce pour que le soutien commence tôt dans la vie du dyslexique.
Danielle
21 mai 2014 @ 16:22
Félicitations au prince pour ce soutien car cet handicap est difficile à vivre.
Maguelone
21 mai 2014 @ 17:05
A l’instar de Béatrice d’York, Carl-Filip de Suède apporte aussi son soutien et met en lumière les enfants souffrants de dyslexie. Bravo à lui pour son engagement en rendant publique le trouble dont il a souffert dans son enfance ! En France, nous sommes bien en retard concernant la prise en charge de ces troubles de l’apprentissage car il n’existe que deux écoles (Garches et St Laurent du Var) alors que 10 % de la population en souffre.
Francine du Canada
22 mai 2014 @ 15:14
C’est beaucoup 10% Maguelone… j’ignore combien ici au Canada (sans doute sensiblement la même chose); ceci dit, il existe des « écoles alternatives » ici. Amitiés, FdC
limaya
22 mai 2014 @ 06:16
J’ai l’impression que ce jeune prince s’ennuie ds les seconds rôles…il y a peu c’était ds les ‘cuisines ‘ remettant je ne sais quel prix ,là maintenant …peut être faudrait il lui laisser libre choix de sa vie future ,je me trompe surement , mais je le plains tout de même . C’est long une vie en représentation