Le prince Carl Philip et la princesse Sofia de Suède ont assisté à Stockholm à un colloque sur la dyslexie dont souffre le prince. (Copyright photo : Cour royale de Suède)
Le prince Carl Philip et la princesse Sofia de Suède ont assisté à Stockholm à un colloque sur la dyslexie dont souffre le prince. (Copyright photo : Cour royale de Suède)
Bernadette
7 octobre 2019 @ 08:35
Carl Philip a changé de coupe de cheveux….il est beaucoup mieux ainsi !
maman monique
8 octobre 2019 @ 10:43
je suis bien d accord avec vous
il est trės séduisant
Leonor
7 octobre 2019 @ 10:36
Carl-Philipp est dyslexique aussi ? Déjà sa soeur aînée, la princesse Victoria l’est.
Et puis Louis de Luxembourg. Et puis le roi Juan -Carlos d’Espagne.
Mais qu’est-ce qu’ils ont tous ?
Et comment font-ils ? …. Connais pas le sujet. Vais me renseigner.
Mais je connais bien la dyspraxie. Un terme nouveau, mais une réalité ancienne. Un de mes fils et une de mes petites-filles.
Leur apprendre à faire du vélo … Seigneur, quelle galère ! Rien qu’à entrer dans une baignoire, sans se mélanger les quatre fers … Et toutes les plaies, les bosses, les virées au centre de traumato …
Et, last but not least, je vous assure, avoir en conduite accompagnée pour son futur permis de conduire un dyspraxique , gaucher de surcroît… Vous qui n’avez aucune double pédale, ni accès au volant, vous y prenez vos premiers cheveux blancs !
Quelqu’un ici pourrait parler d’expérience de la dyslexie, s’il vous plaît ? Cela m’intéresserait fort.
ABER
7 octobre 2019 @ 11:50
Mon fils est multi dys, dyspraxique, dyslexique et TDA. Il est en école d’ingénieur et ce n’est pas évident tous les jours…Ensuite viendra le temps de l’intégration en entreprise, pas facile… Heureusement on en parle de plus en plus. Pour moi, cette recrudescence est liée aux problèmes environnementaux.
Katellen
9 octobre 2019 @ 12:15
Ma fille est dyspraxique et effectivement, l’apprentissage du vélo s’est révélé très problématique mais heureusement, le psychomotricien lui a apporté une grande aide. Par contre ses professeurs d’EPS au collège souffrent grandement avec elle !
Elsi
10 octobre 2019 @ 13:48
A l´ecole primaire – il y a tres longtemps de cela – il y avait une fille dyslexique. Elle n´arrivait pas a ecrire et remplissait des feuilles avec des gribouillis innombrables. … cétait la bete Nicole tout court ….. elle devait doubler pratiquement toutes les classes …. manque de chance qu´elle n´etait pas nee dans une « bonne » famille. A 14 ans elle fut tout simplement sortie avant terme de l´ecole et mise au service dans un menage.
septentrion
7 octobre 2019 @ 11:04
Merci Régine de publier cet article.
La journée nationale des DYS en France sera le 10 octobre.
La reine Silvia avait évoqué les soucis de dyslexie du roi lors d’une émission télévisée, en 1997.
Bravo à Carl-Philip et à Sofia d’être présents et c’est sans doute pour le prince une occasion de témoigner.
Mon fils est atteint de troubles dys (dyslexie, dyspraxie, dysgraphie, dyscalculie trouble de l’attention) quelle galère! Il est heureux de vivre car il a beaucoup d’humour mais l’école : l’humour? La France est horriblement en retard dans l’approche de ces troubles.
COLETTE C.
7 octobre 2019 @ 14:16
C’est bien de leur part de s’impliquer ainsi.
Martine
7 octobre 2019 @ 15:37
Pour les dyspraxie il y a une association le cartable fantastique , créée par une maman mère de 2 enfants atteintes de ce handicap, elle est chercheuse en pedo psy et neurosciences. Il y a beaucoup de d’oc et de ressources
Les dys maintenant sont mieux dépistées et on peut trouver des solutions à ces handicaps
STIERNON
7 octobre 2019 @ 16:13
Mon fils aussi était dyslexique et disorthographique. Mais on s’en est aperçu au 2eme mois de cp. Direction rééducation. Nous avions la chance de posséder un ordinateur en 1999 et de le faire travailler tous les jours à la maison. A 26 ans, la lecture, ça va mais pas l’orthographe heuuu, il y a encore de la phonétique de temos en temps. Donc pour tout courrier important , il m’envoie le brouillon que je corrige.
Il compense ses problèmes par la réflexion et des mains en or.
Ellen
7 octobre 2019 @ 16:57
C’est héréditaire, leur père est atteint de dyslexie aussi
HRC
7 octobre 2019 @ 22:52
le rire, une réussite ailleurs ? en tout cas la dépression après échec ou deuil peuvent amener à certaines formes de dyspraxie, disons des désordres de ce type, chutes, maladresse, heurts…. On sous-estime toujours trop le besoin d’activité manuelle ou physique dans la petite enfance, ou de chant. On ne félicite jamais trop après un succès, on ne rassure jamais assez….
comme grand-mère je félicite tout le temps, j’ai aidé les gestes et je continue, l’expression « tenir la main » a du sens.
bonne chance à lui, Septentrion.
ABER
9 octobre 2019 @ 06:55
La dyspraxie est liée à une zone blanche dans le cerveau qui ne s’est pas développée pour des raisons encore inconnues. Je ne pense pas que les véritables troubles dys découlent d’une dépression ou d’un deuil. Que ces événements puissent accentuer voir faire apparaître des troubles déjà existants, peut-être.
Peu de dys ont accès à IRM et autres examens poussés par manque de moyens de la médecine actuelle. Après, c’est vrai que savoir que l’on a une zone blanche au niveau du cerveau n’aide pas. Seules des rééducations sont efficaces pour contourner ces difficultés.
HRC
11 octobre 2019 @ 15:34
je ne suis pas médecin, et je ne nie pas la vrai atteinte cérébrale, mais je connais aussi les résultats de l’émotivité, permanente ou occasionnelle.. Je n’ai fait que constater la ressemblance, en très moindre ! En fait, je ne connais aucun cas de « dys » réels, ni famille ni proches, la chance, c’est tout.
Mais je connais les états de choc.
maman monique
8 octobre 2019 @ 10:43
je suis bien d accord avec vous
il est trės séduisant
Francois
8 octobre 2019 @ 17:10
Ce Prince charmant a t il en plus de toutes ses qualités
le secret de la jeunesse éternelle ?
Silvia 2
9 octobre 2019 @ 10:25
Aber, est ce lié aux problèmes environnementaux? Je ne sais. On met beaucoup de maux sur ce thème. Les royaux suédois c’est récurrent père, fille,fils. En Espagne Juan Carlos et sans doute Elena que l’on surnommait quand elle était jeune la tonta ( la sotte) parce-qu’elle avait des difficultés scolaires.En Belgique, au Luxembourg… Chez moi un de mes fils l’est. Avec le recul je suis maintenant certaine que mon père l’était, il le cachait et avait réussi. Maintenant on en parle, on aide, on accompagne. Certes le système scolaire leur convient peu, c’est peu dire. La loi du diplôme est impartiale. Mais ces enfants ont d’autres qualités mémoire hyper développée, sens pratique inné, il faut bien compenser…Alors continuons Et s’ils sont accompagnés réussissent. Alors oui il faut en parler.