Voici la carte postale de Pierre-Yves de Biarritz. « La gloire de Biarritz doit tout à l’Impératrice Eugénie. Biarritz n’était qu’un modeste village de pêcheurs lorsqu’en 1850, Eugénie de Montijo, qui n’était pas encore l’épouse de Napoléon III, adepte des bains de mer, manqua de s’y noyer dans l’océan houleux.
Des pêcheurs basques lui vinrent en aide, mais l’incident n’empêcha pas la future impératrice d’être séduite par le site.
Une fois mariée, elle revint à Biarritz et convainquit son époux d’y acquérir un terrain et d’y faire construire une résidence, le futur Hôtel du Palais.
Des lors, la réputation et l’essor de Biarritz étaient lancés. La station connut une vogue qui ne retomba plus, en particulier au sein de la Haute Société et des têtes couronnées, nombreuses à y séjourner.
En 1864, l’impératrice Eugénie fit édifier une chapelle en brique rouge de style hispano mauresque dédiée à la vierge mexicaine Notre Dame de Guadalupe.
Dans le petit jardin qui entoure là chapelle, on peut voir un buste de l’impératrice Eugénie, dont la ville, dans une forme de gratitude, a tenu à perpétuer le souvenir. «
DEB
2 août 2018 @ 07:14
Merci Pierre-Yves.
J’ai séjourné à Biarritz en juin 2017 et je n’ai pas vu cette chapelle et ce buste.
Je les découvre, grâce à vous.
Gribouille
2 août 2018 @ 07:45
J’ai eu la chance de séjourner dans ce somptueux hôtel; Un merveilleux souvenir
Jean Pierre
2 août 2018 @ 08:24
Cher Pierre Yves, nous avons dû nous croiser.
J’y étais encore lundi dernier.
Biarritz, la ville de ma naissance, de mon enfance, de mon adolescence.
Je crois que si Biarritz doit tout à Eugénie, il me semble qu’après la fin de l’empire elle n’ y revint pas, préférant le Cap Martin.
Biarritz ville des têtes couronnées mais aussi des têtes découronnées.
Michel de Russie, Aimée de Heerren, Guy d’Arcangues, Jean Borotra, Wallis Simpson.
Pierre-Yves
2 août 2018 @ 11:25
En effet Jean-Pierre, j’en suis rentré hier soir. Si vous êtes passé par les hauts lieux biarrots que sont le Bar jean, le Comptoir du foie gras, la Côte des Basques, ou la Plancha à Ilbarritz, alors, nous avons dû nous croiser. Ou peut-être simpement le matin dans les allées du marché le plus cher de France !
berton
2 août 2018 @ 18:18
Ah la plancha d Ilbaritz. Un regret le changement de proprietaire…..
L hotel du Palais une merveille pour y avoir sejourner.
Detoute fa çon en tant que basque on ne peut qu aimer ce pays hors du commun.
Charles
2 août 2018 @ 13:42
Jean Pierre et Pierre Yves
Que de (bons) souvenirs pour moi également !
Une sangria le soir à la fraîche au Port Vieux avant de dîner chez Albert
Je ne parle même pas des pâtisseries de chez Miremont, une institution, un lieu hors du temps avec une vue imprenable sur la mer. Je ne vais pas trahir un secret en disant que la Duchesse de Vendôme est depuis toujours une adepte de ce salon de thé que son père et ses grands-parents fréquentérent assidûment avant elle.
Biarritz est une ville où il fait bon vivre.
berton
2 août 2018 @ 18:20
Miremont j adore !!!!!et le reste aussi.
particule
2 août 2018 @ 09:57
Endroit sublime. Pendant quelques années j’ai pu y passer des vacances. Le Palais était encore un palace abordable ….
Maintenant je vais tous les ans à Biarritz en dehors des peoples et hélas je regarde le Palais en passant …
Les souvenirs eux sont comme le lieu , magique et éternel.
Brigitte - Anne
2 août 2018 @ 10:04
Merci Pierre Yves pour votre carte postale joliment illustrée . Personnellement je préfère Saint Jean de Luz et son histoire avec Louis XIV . Bonnes vacances et n’oubliez pas le petit train de la Rune !
Danielle
2 août 2018 @ 14:52
Brigitte Anne, comme vous je préfère st Jean de Luz, d’ailleurs je suis restée un peu sur ma faim en visitant cette ville (désolée pour Jean Pierre).
Le pays basque est une très belle région, le petit train de la Rhune est immanquable.
Merci Pierre Yves.
Jean Pierre
2 août 2018 @ 17:33
Ne soyez pas désolée Danielle, la vie m’a fait quitter cet endroit sans regrets mais j’y reviens souvent avec plaisir le temps d’un week-end.
On revient toujours sur les lieux de ses crimes.
Brigitte - Anne
2 août 2018 @ 10:05
Oh sorry Rhune !
Leonor
2 août 2018 @ 10:20
J’aimerais bien en savoir un peu plus sur Eugénie de Montijo.
Dans ma tête se confondent les représentations d’elle comme une aventurière, comme une aristocrate désargentée, comme l’impératrice crinolines-violettes, comme la mère-à-Loulou, et comme la dame en noir.
Quelqu’un saurait-il mettre un peu d’ordre dans tout cela ?
framboiz 07
2 août 2018 @ 11:58
Wiki, Léonor !
Mais c’est pas mal , déjà !
Elle vécut très âgée -elle était aussi beaucoup moins vieille que son mari -car , après la 1ère guerre mondiale , elle offrit à la ville de Reims , (totalement détruite , cathédrale incluse),le talisman dit de Charlemagne au musée du Tau, ce que les Rémois ignorent …
Rappelons qu’elle disait à son futur époux , que la porte de sa chambre passait par l’église et qu’elle fut une amie de Victoria …
Aventurière , n’est -ce pas plutôt sa mère qui cherchait un beau mariage ?
Zorro
2 août 2018 @ 17:53
Napoléon III cherchait activement une impératrice dès 1852.
Dans un premier temps, il envisageait de trouver son épouse au sein des familles royales et princières européennes, principalement au seins des maisons souveraines anglaises et allemandes (notamment la princesse Adelheid von Hohenlohe-Langenburg, qui deviendra plus tard la mère de la Kaiserin Auguste Viktoria), mais sans succès : les familles princières refusèrent toutes de se lier à cet aventurier impérial.
Devant cet affront, Napoléon III dut se résoudre à chercher des candidates moins prestigieuses. Son choix s’est porté sur une relativement jeune femme qui trainait avec sa mère dans tous les centres de villégiatures en France : Eugénie de Montijo. Eugénie appartenait à l’aristocratie espagnole, était belle (selon les critères de l’époque), très mondaine, très BCBG.
Napoléon III qui aimait les femmes tenta de la séduire (voire de la tester) mais Eugénie lui aurait répondu : « pour entrer dans ma chambre à coucher, il faut passer par la chapelle » ou quelque chose comme ça. Elle avait la réputation, au sein de l’élite française d’avoir déjà « servi » plusieurs fois, mais qu’importe, Napoléon était amoureux, Eugénie sans doute un peu moins. Par contre le fait de devenir impératrice n’était pas pour lui déplaire. C’était pour elle une opportunité à saisir.
Eugénie était très croyante, pour ne pas dire bigote. Le fait qu’elle ait fait construire une chapelle en l’honneur de Notre-Dame de Guadalupe montre cependant qu’elle avait une foi « adulte ». C’est sous le règne de Napoléon III qu’eurent lieu les apparitions mariales à Lourdes qui ont vivement intéressées l’impératrice Eugénie et qui y a apporté son haut patronage.
Tout ça pour dire qu’Eugénie n’était pas très portée sur la chose. Elle a eu beaucoup de difficulté à mettre au monde l’héritier tant attendu. A cet égard, elle a paraît-il reçu de précieux conseils de la reine Victoria (dont elle est devenue très proche) pour enfanter facilement.
Sous le règne de Napoléon III et d’Eugénie, la cour impériale est devenue très brillante. La France connaissait un très important boom économique et diplomatique. La France se dotait d’un Empire colonial assez considérable, etc. L’impératrice représentait d’ailleurs seule la France lors de l’inauguration du canal de Suez (Ferdinand de Lesseps était un de ses cousins éloignés). Paris et les grandes villes se transformaient. Le baron Hausmann modifia la physionomie de Paris. L’opéra Garnier a été construit durant le second Empire. A ce sujet, anecdote : au moment de la présentation du projet, Eugénie aurait dit à Garnier : « l’architecture de l’opéra n’a pas de style ». Et Garnier lui aurait répondu : « c’est le style Napoléon III, Madame »
L’impératrice s’intéressait à la politique et il semble qu’elle était très encline à pousser son mari à défendre les intérêts de la religion catholique (et de la papauté) dans le monde. Napoléon III était protecteur des lieux saints et des Etats Pontificaux. C’est la chute du Second empire qui a permis à la Maison de Savoie d’envahir en 1870 les Etats pontificaux afin d’achever l’unité italienne.
Bref, suite à un malentendu (la dépêche d‘Elms), la France déclare la guerre à la Prusse alors que Napoléon III est déjà malade (calculs dans la vessie extrêmement douloureux). Bref, Napoléon III n’a pas été capable d’être chef de guerre et la France sera rapidement dépassée par l’armée prussienne plus entraînée et moderne (et surtout la logistique allemande, notamment les chemins de fer allemands permettaient un meilleure approvisionnement de soldats sur le champ de batailles).
Napoléon III est fait prisonnier. Eugénie était à Paris au Tuileries car elle assumait la régence. Très vite il y a eu des insurrections à Paris et l’impératrice a dut s’échapper in extremis et réussit à gagner l’Angleterre sur un bateau de fortune en pleine tempête. Son mari l’y rejoint quelques semaines plus tard, très affaibli. Ils s’installèrent donc au Royaume Uni sous la protection de la reine Victoria.
Napoléon III mourut rapidement. Eugénie fit construire un mausolée pour l’empereur et se consacra à l’éducation du prince impérial. Celui-ci voulant s’extraire de l’amour maternel un peu trop étouffant s’engagea au sein de l’Armée britannique pour combattre dans les colonies. En 1879, le prince impérial sera tué par les Zoulous. L’impératrice perdit sa principale raison de vivre. Elle se réfugia dans la foi. Elle vécut en Angleterre pas mal d’année et s’éteignit en visite chez une de ses nièces à Madrid en 1920 à l’âge de 94 ans.
Bref, devant cet affront, il se souvint d’une relativement jeune femme issue de la haute aristocratie espagnole qui passait son temps dans les lieux de villégiatures mondaine
Charlotte AL
3 août 2018 @ 10:32
Leonor, l’impératrice Eugénie était ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui « une féministe », elle est intervenue pour que l’institutrice Julie Daubié puisse passer le baccalauréat, elle a soutenu la candidature de George Sand à l’Académie Française avec le succès que l’on connait, puisqu’il faudra attendre Marguerite Yourcenar ! elle passe des commandes à Camille Claudel, encourage le ministre Duruy à rendre obligatoire l’enseignement des filles, enfin elle n’était pas la bigote que l’on a parfois eu tendance à voir en elle, défendant « Les Fleurs du Mal » contre la censure qui était infligée à Baudelaire.
Enfin elle crée l’institut Eugène Napoléon, rue du Fbg St Antoine à Paris, à l’intention des jeunes filles pauvres. cet institut existe toujours, bien qu’il ne soit plus réservé aux dites jeunes filles.
Elle admirait Marie Antoinette, ce qui lui a valu de porter elle aussi un sobriquet : »l’Espagnole » ! elle avait d’ailleurs relancé la Société maternelle créée par la reine.
Elle se préoccupait du sort des enfants emprisonnés et n’a pas hésité à se rendre dans les hôpitaux lors de l’épidémie de choléra de 1865.
Alors oui on voit d’elle surtout le fameux tableau de Winterlhater, les fêtes de Compiègne,où entre parenthèses elle reçoit Mérimée (le Stéphane Bern de l’époque !) qui outre la fameuse dictée, s’occupe aussi de la sauvegarde du patrimoine, par Violet le Duc interposé (Notre Dame de Paris, Carcassonne…) on pense ce que l’on veut de l’oeuvre de Violet le Duc mais elle a eu au moins le mérite de sauver certains monuments en péril.
Sa coquetterie a aussi permis de pérenniser le savoir faire d’artisans de la mode.
Alors elle n’était pas que « la Fée Chiffon » ou la veuve en noir qui à la fin de sa vie, retrouvait Victoria, autre veuve en noir et l’impératrice Elisabeth d’Autriche, autre femme en noir.
Des témoins ont rapporté qu’alors qu’elle « visitait » incognito ou presque le château de Compiègne, bien après l’exil, elle se dirigea vers une fenêtre et que sur le bois figurait ce que l’on appelle aujourd’hui une toise, c’est à dire les différentes tailles de son fils notées au crayon.
On l’a accusée d’avoir une influence politique néfaste sur Napoléon III, il semblerait qu’elle n’ait joué un rôle que lors de la désastreuse équipée mexicaine et encore…
CharlotteAL
3 août 2018 @ 10:56
Léonor, Eugénie ne fut pas que la dame du tableau de Winterhalter ou la veuve en noir arpentant la Côte d’Azur avec la reine Victoria ou l’impératrice Elisabeth, autres femmes en noir.
Elle fut la féministe de son temps;
Soutenant Julie Daubié première candidate au baccalauréat
Passant commande à Camille Claudel
Appuyant la candidature à l’Académie Française de George Sand
Demandant à Victor Duruy de rendre l’enseignement obligatoire pour les filles
Créant l’institut Eugène Napoléon rue du Fbg St Antoine pour accueillir les jeunes filles pauvres
Les fêtes de Compiègne accueillaient entre autres Mérimée, le Stéphane Bern de l’époque, qui outre la fameuse dictée, était chargé de recenser les monuments en péril et en confia la restauration à Violet le Duc, on pense ce que l’on veut desdites restaurations, mais Notre Dame de Paris et Carcassonne entre autres, lui doivent une fière chandelle.
Elle admirait Marie Antoinette ce qui lui valut d’hériter comme la reine d’un surnom, pour elle c’était « l’Espagnole » !
Charlotte AL
3 août 2018 @ 10:58
Léonor, Eugénie était ce que l’on appellerait aujourd’hui une féministe :
Appuyant Julie Daubié, première candidate au baccalauréat
Soutenant la candidature de George Sand à l’Académie Française avec le succès que l’on sait
Passant commande à Camille Claudel
Demandant à Victor Duruy de rendre l’enseignement obligatoire pour les filles
Créant l’institut Eugène Napoléon, rue du Fbg St Antoine à l’intention des jeunes filles pauvres;
Elle n’était pas la bigote que l’on veut bien décrire, elle s’insurgea contre la censure des « Fleurs du Mal »
Enfin lors des fêtes de Compiègne, elle recevait Mérimée qui outre la dictée, était un peu le Stéphane Bern de l’époque, recensant les monuments en péril et en confiant la restauration à Violet le Duc, on aime ou pas, mais Notre Dame de Paris et Carcassonne entre autres, lui doivent une fière chandelle.
Charlotte AL
3 août 2018 @ 11:12
Pardon pour les redondances, mais mon ordi refusait d’enregistrer mon commentaire, ce qui explique les 3 diffusions. !
Vous remarquerez qu’ils sont de plus en plus concis, bel exercice en vue de la rentrée prochaine !
Mille excuses encore !
Baia
3 août 2018 @ 12:18
J’ai le même problème que vous Charlotte AL !
Je dois réécrire nom et adresse de messagerie à chaque message que je veux poster !
bianca
6 août 2018 @ 09:36
J’ai aussi ces problèmes Baïa, bonne journée !
agnès
3 août 2018 @ 14:59
mille mercis Charlotte et Zorrz.
Leonor
4 août 2018 @ 20:52
Merci Framboiz, Zorro, Charlotte AL, pour toutes vos indications.
Et tâchez de survivre à la chaleur qui nous accable en ce moment . ;-)
kalistéa
2 août 2018 @ 10:27
C’est très sympa , de la part de la municipalité de Biarritz d’avoir tenu à honorer l’impératrice à qui elle doit tout .Eugénie fut une souveraine magnifique et bienfaisante sous bien des aspects , qui n’a pas échappé aux calomnies des adversaires politiques de son mari .
Les mémoires de Pauline de Metternich (la « jolie-laide ») nous montrent à quel point Eugénie était une sportive intrépide.
Cosmo
2 août 2018 @ 14:24
En effet, dear K, il faut lire les Mémoires de la princesse Metternich, notamment l’escapade en bateau, un must.
kalistéa
2 août 2018 @ 16:03
Cher Cosmo , à une époque où les femmes n’étaient pas sportives et fort mal équipées pour la marche ou même le bateau , Eugénie était infatigable , intrépide et courageuse .L’épisode du « presque » naufrage en effet le montre bien .
Claude Patricia
2 août 2018 @ 11:39
La TV française y a fait récemment un reportage ou alors c était une rediffusion…jolis intérieurs. Et je ne savais pas qu’il y avait un buste et une chapelle…
anny
2 août 2018 @ 11:41
je suis une très grande fan du pays Basque surtout Biarritz et ses petites rues qui montent et qui descendent mais le fleuron reste évidemment l hôtel du Palais (une vraie merveille)
framboiz 07
2 août 2018 @ 11:59
Jacques Martin, handicapé , y a finit sa vie , seul face à l’Océan …
framboiz 07
2 août 2018 @ 12:05
Un Romanov y vivait , non ?
Gérard
3 août 2018 @ 11:28
Au moins l’été, le prince Michel Feodorovitch de Russie qui était un technicien du cinéma.
Gérard
3 août 2018 @ 11:31
En effet surtout l’été, le prince Michel Feodorovitch de Russie qui était technicien du cinéma.
lucille
2 août 2018 @ 13:01
Biarritz était beaucoup plus agréable à l’époque, à ce jour c’est devenu un refuge de milliardaires, pire que Saint tropez, les vrais natifs de Biarritz sont dégoûtes, bar et boites de nuit, musique permanente
bianca
2 août 2018 @ 18:44
J’ai entendu les mêmes échos, mon souhait était de revoir ce pays, cette ville que j’ai adorée comme St Jean de Luz et tout le Pays Basque.Il me semble que je serais
bien déçue…Mais peut-être faut-il choisir une période moins prisée ?
DEB
3 août 2018 @ 14:51
J’y étais pendant la canicule de juin 2017 et rien de tout ça.
Une Ville calme, agréable, quelques bonnes librairies , d’excellents chocolats et des habitants charmants.
Je logeais à l’hôtel Régina M Gallery et j’avais une chambre en face du phare .
Excellent restaurant dans l’hôtel.
N’hésitez pas à aller à Biarritz, Bianca mais choisissez juin ou septembre.
bianca
4 août 2018 @ 17:55
Merci DEB de vos références durant votre séjour… Bonne semaine à Vous !
bianca
5 août 2018 @ 17:12
Merci DEB…De vos recommandations, bon dimanche !
bianca
5 août 2018 @ 17:17
Merci DEb, c’est « noté » !!!
bianca
6 août 2018 @ 09:35
Excusez-moi de ces répétitions… J’ai quelques problèmes en ce moment lorsque je poste des commentaires
Baia
3 août 2018 @ 07:50
Vous exagérez un peu lucille non ? Ou alors vous ne connaissez pas Biarritz …
Baia
3 août 2018 @ 07:53
Vous exagérez un peu lucille, non ?
Baia
3 août 2018 @ 12:15
Pardon pour ce doublon mais mon profil était refusé, les nom et adresse de messagerie ayant disparu (sur mon ordi, pas sur mes iPad et iPhone) … Bizarre ?
Ghislaine-Perrynn
2 août 2018 @ 14:18
La chapelle n’est pas dans le Palais mais à 200 Mètres environ de celui-ci .
Eugénie de Montijo avait une particularité physique que les futurs médecins connaissent bien , elle n’avait ses menstruations que tous les 9 mois .
Sa fantaisie en réalisant ce palais et en faisant de cet endroit , une résidence impériale , a eu comme corollaire de voir de l’autre côté des Pyrénées sa cousine Maria-Cristina , veuve d’Alphonse XII copier la manière de faire de l’Impératrice des Français
San Sebastian devient donc un lieu de villégiature privilégié mais le goût de Maria-Cristina est assez autrichien et nettement plus lourd que celui de sa cousine .
Néanmoins les deux stations balnéaires leur doivent une certaine élégance .
Francois
2 août 2018 @ 15:11
J’ai beacoup d’amis à Biarritz
Cet endroit a la chance d’être chic sans etre snob et de
mauvais goût
Et contrairement à ce que l’on pourrait penser c’est bien sûr un endroit
cher mais pas autant que bien des villes du même standing
bianca
3 août 2018 @ 12:54
Merci François, vous me rassurez car il y a longtemps que j’y ai séjourné, c’est la région que je préfère, bonne continuation !
Teresa 2424
2 août 2018 @ 17:39
Gracias « Pierre-Yves »por tu enriquecedor aporte!!
Teresa 2424
2 août 2018 @ 17:41
Cortijo:…. por tu aporte
Teresa 2424
2 août 2018 @ 17:43
Cortijo:… por tus conocimientos y compartirlos
Teresa 2424
2 août 2018 @ 17:44
Cortijo:.MAL TRADUCIDO DOS VECES!! .. por tus conocimientos
Val
4 août 2018 @ 08:46
Brigitte-Anne et Danielle,
Comme vous Saint Jean de Luze sans commune mesure ?
bianca
4 août 2018 @ 17:58
Impossible de répondre à DEB, l’ordinateur est facétieux aujourd’hui !!!
Carolus
6 août 2018 @ 20:50
C’est gentil de penser à nous Pierre-Yves, entre vos virées au Bar jean, au Comptoir du foie gras, à la Côte des Basques, et à la Plancha à Ilbarritz, vous ne devez pas vous ennuyer ! :)