Voici la carte postale de Rennes le Château par GdeG. « Perché sur sa colline à 582 mètres, l’origine de ce village se perd dans la nuit des temps. Rennes le château était une cité importante au temps des Visigoths. La cité connut son apogée du temps de Charlemagne avant de perdre peu à peu sa renommée.
C’est en 1885, à l’arrivée d’un prêtre énigmatique, Béranger Sauniere, que le village sortira de l’oubli. Les travaux qu’il entreprendra, le train de vie qu’il affichera, susciteront maintes questions et favoriseront le développement d’une rumeur : Monsieur le Curé a trouvé un trésor… »
19 août 2018 @ 05:54
Ah l’énigmatique trésor de Rennes le château !
Il aura suscité bien des convoitises !
Merci G de G.
19 août 2018 @ 08:22
Avec plaisir, lieu à découvrir mais attention, fouilles interdites depuis 1965… qu’on se le dise !
19 août 2018 @ 06:52
GdeG seriez-vous à tout hasard G..d…e de Gllrd d’…..y ?
19 août 2018 @ 08:21
Désolé de vous décevoir (peut-être) mais non… ;)
19 août 2018 @ 10:14
Merci de votre réponse , je n’osais vous demander ! Désormais je suis fixée
19 août 2018 @ 07:21
Rennes le Château surgit après une lente ascension d’un chemin abrupt accroché à un piton rocheux surplombant une nature somptueuse et un panorama à couper le souffle. J’ai eu la chance de visiter ce charmant village après la lecture de « l’or maudit » et la rediffusion du téléfilm d’ antenne 2 en 1989 « l »or du diable ». Dans cette région de la haute vallée de l’Aude, les légendes et les croyances attirent depuis des décennies pléthores de touristes et de curieux.
En attendant, à Rennes-le-Château dans la petite église sombre, gardée par une sculpture de diable, tête sous le bénitier, la représentation du chemin de croix du Christ est sujette à nombreuses interprétations. L’abbé Saunière curé mystérieux et dispendieux soulève encore de multiples questionnements quant à cette immense fortune amassée en seulement quelques années.
https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%A9renger_Sauni%C3%A8re
19 août 2018 @ 08:19
Le diable du bénitier a été vandalisé en 2017, « on » lui a brisé la tête… une restauration est en cours apparemment.
19 août 2018 @ 08:12
Ah! Rennes le Château… je me suis toujours demandé si le Da Vinci Code n’avait pas pris ses racines dans cette fabuleuse histoire .
Terribilis est locus ist
(ce lieu est terrible)
voilà ce qui est marqué sur le tympan de l’église .
L’on est donc immédiatement renseigné sur ce qui nous attend .
Merci à G de G pour ce clin d’oeil de notre petite histoire mystérieuse .
19 août 2018 @ 08:40
Il semblerait que les plaisantins de l’époque s’en soient donné à coeur joie pour brouiller les pistes et faire galoper l’imaginaire collectif,et que la fortune de l’Abbé Saunière,qui était un séducteur en soutane,lui viennent plus probablement de ses relations sentimentales(et +…),entretenues avec diverses grandes dames fortunées de l’aristocratie qu’il recevait chez lui.
Mais le mythe du Trésor est joli et gentil.
On comprend que l’abbé ait préféré orienter les soupçons dans ce sens,plutôt que vers celui de la vérité. C’est une charité de sa part,puisque ça nous fait rêver. D’une pierre,deux coups.
19 août 2018 @ 10:47
Voilà la mystère résolu. En fait, ce curé était un gigolo ! :-))
J’adore résoudre des énigmes, des mystères, trouver la clé, trouver l’assassin, trouver le voleur, le receleur, le mobile … ;-)
19 août 2018 @ 13:37
Muscate-Valeska de Lisabé a écrit = « lui viennent plus probablement de ses relations sentimentales(et +…), »
……….. Ainsi, très bêtement que du » trafic des « indulgences », une vraie mine d’or pour qui sait exploiter la crédulité des fidèles……..
19 août 2018 @ 13:59
Théorie intéressante à laquelle je n avais jamais pensé. L’argent devait bien venir de quelque part. L’argent au moins c’est une certitude.
20 août 2018 @ 21:22
L’abbé Saunière a trouvé des pièces d’or, cela c’est sûr ! mais on ne sait pas la quantité ; par contre, ce que l’on sait c’est qu’ensuite, il s’est séparé de toutes les personnes qui l’aidaient dans l’église (maçons et autres ouvriers) et qu’il s’est livré à des recherches bizarres, voire mystérieuses. Il a très vite entrepris des constructions somptuaires, qui dépassaient largement le petit budget d’un curé d’un minuscule village.
Il paraît peu probable que les messes qu’on lui commandait aient suffi à financer ses entreprises. Il a été retrouvé sur des calepins des listes de messes soit-disant commandées de toute la France. Il n’était pourtant pas connu et Rennes le Château, ce n’est pas Lourdes !
Il a été dit qu’il recevait régulièrement des mandats de Hongrie. Mais tout ceci reste flou…
22 août 2018 @ 09:38
Laurence R , vous êtes un « troll » de l’été , votre vrai nom (si j’ose dire )c’est Robespierre!. En arrivant aux fondations très anciennes de son église , l’abbé Saunière a trouvé les pièces d’or qu’on mettait autrefois dans toute première pierre , mais ce n’est pas tout : Il y avait aussi des rouleaux de parchemin qui pour lui étaient des grimoires indéchiffrables mais il soupçonna que ces « antiquités » pouvaient avoir une valeur. Il alla les montrer à son évèque qui lui donna la permission d’aller à Paris consulter des spécialistes et les vendre pour faire les travaux de son église s’il trouvait acheteur .Il alla à Paris et fut logé chez les religieux de Saint-Sulpice .Ils le dirigèrent vers un « antiquaire » dont on ne sait rien .Mais il est probable que les parchemins , très anciens valaient quelque chose et que l’abbé les négocia . Cependant cela n’est pas suffisant pour expliquer la petite fortune qui suivit .Mais on peut supposer qu’à St- Sulpice , l’abbé qui avait une forte personnalité a su intéresser à ses oeuvres des gens de la haute société et des artistes en renom qui firent des dons et qui vinrent à Rennes -le -chateau , lorsqu’ils prirent l’habitude de fréquenter la commune voisine de Rennes-les-bains , car l’époque était à la découverte des cures et des villes thermales …Au fond , il n’y a rien que de bien explicable dans l’arrivée de dons pour les travaux de l’abbé .Les petits ruisseaux font de grandes rivières , et l’abbé sut provoquer une infinité de petits dons qui l’aidèrent pour toutes ses constructions .L’abbé fouilla aussi de nuit pour éviter les curieux une ancienne tombe de son cimetiere qui était celle des anciens châtelains du village .Il est probable qu’encouragé par sa trouvaille à l’église , il pensa qu’il pouvait trouver quelque chose d’autre et de négociable dans cette tombe .Probablement , il ne trouva rien mais ce qu’il récolta c’est une réputation sulfureuse car ce n’est pas bien vu , dans les campagnes de fouiller des tombes , la nuit! … De là à faire de l’abbé un suppôt du Diable …
22 août 2018 @ 15:54
Kalistea
Il s’agit bien plus que de la restauration d’une église de campagne .
Selon les témoignages de l’époque il a mené un train de vie réellement fastueux , on parlait par exemple de canards nourris de biscuits à la cuillère , de fêtes ou venaient des personnalités parisiennes , mais cela ne dura pas très longtemps et je crois qu’il termina sa vie endetté .
19 août 2018 @ 15:57
Chère Muscates pour un abbé je dirai deux coupes !!
23 août 2018 @ 18:15
Vous voyez Pascal, c’est vous même qui le dites ; il était endetté! La légende s’enfla et culmina avec un ouvrage du talentueux journaliste Gérard de Sède qui , ayant remporté un franc succès avec son ouvrage: »les templiers sont parmi nous » où il racontait une extraordinaire histoire de chapelle souterraine enfouie sous la motte du château de Gisors en Normandie ….Les chercheurs de Trésors ont empoisonné la vie des maires de cette innocente ville, qui ont fini par interdire tout creusement du moindre trou sur le territoire § G de Sède récidiva avec un autre livre sur « le mystère de Rennes le château » . Le seul qui s’enrichit je crois avec ces suppositions et ces fantasmes , c’est lui !C’est cela le talent littéraire: Stimuler l’imagination des gens .
19 août 2018 @ 21:38
Sans compter tous ceux en provenance de l’arbalète de l’abbé…
:-))
20 août 2018 @ 23:25
Plusieurs explications sont avancées : le trafic d’indulgence, les relations avec des femmes de la haute société, des legs/héritages… Je pense qu’il y avait un peu de tout cela, réuni entre les mains d’un homme sacrément intelligent, capable de faire planer le doute, et même l’entretenir jusqu’à plus soif.
Paradoxalement, les historiens modernes qui se sont penchés sur la question, sont assez d’accord pour considérer que « Trésor des Templiers » est avant tout culturel et spirituel, sans doute aussi stratégique et industriel… domaines dans lesquels ils réinvestissaient l’essentiel de l’argent qui leur était confié. Si l’abbé Saunière est tombé sur quelque chose ayant appartenu aux Templiers, c’est sûrement sur des plans d’engins et bâtiments défensifs, des traités techniques, des manuels d’histoire et des textes religieux. Rien d’autre.
21 août 2018 @ 14:22
Selon mes sources(un abbé et un évêque),le mystère de l’Abbé Saunière n’allait pas plus loin que celui dont j’ai parlé.
Les dames peuvent être très généreuses, par Amour ou par Amitié sentimentale ,pour qui sait s’y prendre:Saunière prétendait aussi avoir trouvé un trésor auprès de ses riches amies(d’où la »découverte »de quelques piécettes qu’il avait lui-même amenées là,pour étayer ses dires…) afin qu’elles financent ses travaux de recherches,leur faisant miroiter une bonne fortune à partager.
C’est une version plausible à laquelle,personnellement, je crois définitivement. Cet homme était un renard,voire un prédateur,qui avait le don d’entretenir ses flammes. Si on arrive encore à être crédule en 2018, imaginez…à son époque!
Il en a fait creuser,des trous,l’Abbé, par tous ceux,avides de mystères et de lucre, qu’il a fait rêver. Tandis que les Shaddock pompaient,ben à Rennes-le-Château. ..les gogos creusaient ;’)).
4 septembre 2018 @ 14:09
Nous sommes d’accord !
19 août 2018 @ 09:14
Endroit fascinant par son mystère ……on dit que la comtesse de Chambord a donné de fortes sommes à l’abbé pour construire ces bâtiments …..
19 août 2018 @ 09:57
Je n’ai jamais entendu parler de ce lieu, maintenant c’est fait.
Merci G de G pour ces belles photos et les précisions.
19 août 2018 @ 12:15
Troublante histoire dont on ne sait pas exactement
le vrai
Trafic de messes
Découverte d’or
Les deux
Mais il faut mieux garder le mystère cela permet d’imaginer
Et le pouvoir de l’imagination a cela de bien qu’étant détaché de la réalité
Il permet de dépasser les obstacles des dures réalités qui s’imposent
à toute histoire humaine surtout à cette époque
19 août 2018 @ 12:30
Rennes le château et son château,on dit entre autre chose que le curé gardait l’argent
qu’on lui donnait….mais on dit tant de choses.
19 août 2018 @ 16:53
Les wisigoths , oui…mais ici c’est l’époque « troubadour »! (LOL)
L’abbé saunière avait su trouver des donateurs , c’est tout ! L’église a été restaurée dans le style st-Sulpicien , à la mode à la fin du 2e Empire . ce n’est rien de « mystérieux » et des Asmodée sous les bénitiers , il n’y en a pas qu’à Rennes -le- Château .
20 août 2018 @ 15:06
Depuis que j’en ai eu connaissance par un numéro de la revue « Historia » cette énigme me passionne mais je ne suis jamais allé très loin dans mes lectures tant les explication avancées me paraissent contradictoires et embrouillées .
Je crois qu’un livre vient de paraître sur les énigmes de l’histoire de France , quelqu’un l’a t’il lu et si oui l’explication donnée à cette énigme paraît elle définitive ?
Dernièrement on a évoqué le trésor de Fouquet mais je n’ai jamais vraiment adhéré à la théorie d’un trésor authentique car il me semble que l’abbé aurait du alors écouler des objets précieux ce qui aurait laissé des traces .
On a aussi évoqué un chantage à l’encontre des Habsbourg ?
L’hypothèse du trafic de messe ne me semble pas trop plausible non plus car il aurait fallu beaucoup de messes pour permettre le train de vie fastueux de l’abbé Saunière pendant les quelques années de sa splendeur .
Et idem pour l’hypothèse d’amantes fortunées ….
Il a eu semble t’il une liaison avec la cantatrice Emma Calve mais je pense qu’à cette époque là ce genre de liaison coutait beaucoup plus qu’il ne rapportait …
Le fait est que sa richesse s’est tarie très brusquement ce qui conforterait l’idée d’un chantage , d’une prévarication ou d’un « mécénat » .
Tout autant que la source de cette richesse , la façon dont tout cela a été « enveloppé de ténèbres » est elle même une énigme.
20 août 2018 @ 15:29
La première carte postale montre la Tour Magdala.
20 août 2018 @ 21:14
J’ai eu l’opportunité de visiter ce petit village au bout d’une route qui mène au pays de nulle part.
Il est vrai qu’il y a beaucoup de mystère à Rennes le Chateau… Il faut aimer les énigmes, se documenter, et faire le tri ! Pour sourire, je vous offre de façon non exhaustive, les pistes qui reviennent le plus souvent dans les recherches sur le fameux « secret » ! A chacun de se faire une idée…
Wisigoths, Mérovingiens, Cathares, Templiers, Francs Maçons, Apocalypse, Apôtre Saint-Jean, Jésus et Marie-Madeleine, Opus Déi, Maison de Habsbourg, Archiduc Jean Salvator, Impératrice Zita, Emma Calvé la cantatrice, Himmler, Otto Rahn et pour finir des OVNI ! Il y en a pour tous les goûts !
Pour moi comme pour nombre de ceux qui se sont intéressés à ces faits du début du XXe siècle, le prêtre a mis la main sur quelque chose de suffisamment important, sans pour autant lui donner forcément un caractère d’ authenticité, pour que cela lui permette de le monnayer. Sans doute a-t-il caché ce secret ! Il aura laissé des indices et peut-être quelqu’un l’aura-t-il trouvé ! Si c’est le cas, ce secret est bien à l’abri, loin de Rennes le Château… Sans doute ne saurons-nous jamais la vérité ! et c’est tant mieux ! elle est sans doute moins belle que les rêves qu’elle suscite !
21 août 2018 @ 16:37
Je pense que vous avez raison.
Pour ce qui est des « ventes » de messe , je crois que ce fut un argument invoqué par Saunière lui même lorsqu’on l’interrogea sur l’origine de sa richesse soudaine .
Plus étrange est le sort de différents abbés de paroisses proches de Rennes le Chateau , ne trouvez vous pas ?
Que pensez vous de l’hypothèse d’un « magot » laissé à la disposition d’ecclésiastiques initiés afin de servir la cause de l’Eglise Romaine et pour lesquels Saunière n’aurait été qu’un prête nom ?
Encore qu’on ne voit pas bien quels services il aurait rendu à son Eglise lui qui avait été envoyé à Rennes en punition de ses idées …
(A moins que ce ne soit une affaire concernant la rivalité entre Rome et les Gallicans ?)
24 août 2018 @ 14:37
Cette fameuse « tour Magdala » n’a qu’une pièce maintenant vide mais que l’abbé avait destinée à sa bibliothèque , au demeurant bien modeste , et à son bureau .Son style est celui qui faisait fureur à l’époque et qu’on a appelé « le style troubadour » car il évoquait un certain moyen-âge de légendes .Moi je dirais un style à la « Johan et Pirlouit »!
27 août 2018 @ 09:45
J’ajoute que l’abbé qui recevait parfois des dons pour « ses oeuvres » n’était pas si riche que cela à preuve qu’il travaillait dur pour ne pas avoir à embaucher trop d’ouvriers et pour les matériaux , il allait dans la campagne ramasser des pierres comme on faisait autrefois .Il ramenait , aidé de sa fidèle servante marie Denarnaux , une robuste jeune fille , de lourds chargements .Il emportait pic et pioche pour fendre des rochers , ce qui ne manqua pas de faire dire qu’il cherchait encore un trésor…quand une rumeur prend corps , il est pratiquement impossible de l’arrêter .Après avoir restauré son église dans le style dit « saint sulpicien » de l’époque , le curé s’attaqua à la construction d’une grande maison non seulement pour lui mais pour loger et prendre soin des vieux qui n’ayant pas de famille étaient réduits à la mendicité jusqu’à une fin misérable , abandonnés de tous .Il a fait en quelque sorte une maison de retraite avant la lettre . Marie Denarnaux sa servante l’aida à accueillir ces vieux pauvres et à les soigner .De cela , de cette magnifique oeuvre de charité personne ne parle , tout ce qu’on trouve à dire c’est que cette Marie sa servante et qui fut sa légataire universelle , était sa maîtresse ! Facile à dire, sans preuves . Cela restera à jamais leur secret et toutefois parait incompatible avec le ragot suivant lequel le curé recevait des maîtresses riches parisiennes .Que le curé qui n’avait pas de famille ait laissé ce qui était à lui à la personne qui l’avait servi et secondé fidèlement et continuerait son oeuvre après sa mort, n’est-ce pas normal ?