Voici la carte postale décalée de Philippe Gain d’Enquin pour une suite de visite à Strasbourg. « A Strasbourg il y a certes et heureusement les Alsaciens mais aussi des philosophes, des frangines et des pirates, un veau de mer donnant l’eau à qui la veut boire et tant et tant que je clos là. Merci à tous et toutes d’avoir suivi ce vagabondage, la rentrée va nous/vous reprendre alors… »
DEB
2 septembre 2017 @ 06:52
Merci Philippe.
Il paraît que cette forme de ruches ( ruche kényane) offre plein d’avantages.
Je ne les avais jamais vues avant votre photo.
Margaux ?
2 septembre 2017 @ 09:28
La forme en V des ruches kényanes respecte mieux la répartition naturelle de l’essaim dans la ruche. C’est aussi une forme plus propice à la production de miel en rayons, bien meilleur. Enfin, c’est économique en construction et en réalisation, donc plus adapté à la pratique de l’apiculture de loisirs, bien que certains professionnels – surtout ceux qui utilisent un parc sédentaire – en soit équipés. ?
l'Alsacienne
2 septembre 2017 @ 07:01
Merci Philippe Gain d’Enquin pour cette visite découverte de Strasbourg.
J’espère que vous gardez un bon souvenir de cette ville et de ses habitants.
En effet, la rentrée nous rattrape déjà.
Je profite de ce commentaire pour remercier tous les voyageurs du site qui, à travers leurs cartes postales, nous ont fait découvrir d’autres horizons.
Corsica
2 septembre 2017 @ 14:29
L’Alsacienne, si vous permettez, je fais mien vos remerciements à Philippe Gain d’Enquin et à tous les contributeurs des cartes postales. Personnellement, j’aimerais que cette chronique ne soit pas exclusivement réservée aux vacances d’été : la France et le monde regorge de tant de merveilles connues ou inconnues.
l'Alsacienne
2 septembre 2017 @ 18:19
Bonne idée Corsica ! Les voyages, les cartes postales ce pourrait être toute l’année.
Marie1
3 septembre 2017 @ 14:08
Bonne idée.
Leonor
2 septembre 2017 @ 21:27
Même avis que Corsica, même si je n’ai pas encore réussi à contribuer à la chose. Mais j’ai eu beaucoup de plaisir, et ai beaucoup appris.
Frédéric GENSE
2 septembre 2017 @ 08:04
Nous aurions pu manger ensemble à Strasbourg ! Vous la tête de veau et moi la choucroute ! Une bonne bouteille de vin d’Alsace ! J’aurai été votre philosophe et vous le pirate ! Merci Philippe gain d’enquin pour ce tête à tête rêvé mais après quelques minutes je vous aurai fait une petite surprise :
Pour les frangines j’aurai aimé invité : Corsica, AnneLise, Baboula, Caroline, Muscate-Valeska de Lisabé, Bianca, Marie de Bourgogne, Mary, Ghislaine-Perryn, MarieLouise, Rita Blanc, Dorothée, Severina, DEB, Baia, Leonor, Marie, Mary, Anastasia, Domilys, Marie de Cessy, Véronick, HRC, Lili.M, la princesse Mary de Danemark, Carole007, JAusten, Kalistéa et bien sûr vous !
Pour les matelots j’aurais bien invité: Robespierre, Olivier d’Abington, Damien, Antoine, Dradomir, le prince Constantin Alexios de Grèce, Philippe, Patricio, Pierre-Yves, Jean Pierre, Naucratis, G de G et bien sûr toi ! Avec sa voix de crooner, Actarus nous aurait chanté une chanson ! Et je n’aurai pas oublié notre reine : Madame Salens !
Salutations.
Philippe Gain d'Enquin
2 septembre 2017 @ 09:45
Vous êtes « Génial », dans votre extension à notre première rencontre ! Bravo à vous, cher Frédéric, quelle bonne idée. Cordialement à vous, Philippe.
DEB
2 septembre 2017 @ 09:57
Merci Frédéric.
J’aime beaucoup la choucroute !
Leonor
2 septembre 2017 @ 21:29
Et vous n’avez pas encore goûté la mienne :-))
Olivier d'Abington
2 septembre 2017 @ 13:18
Rien que pour le plaisir d’entendre la voix de crooner d’Actarus, je demande à ce qu’on se refasse un tour, mon capitaine!
Et merci cher Frédéric Gense pour cette nouvelle aventure au long cours!
Corsica
2 septembre 2017 @ 14:24
Mon cher Frédéric, si je me fie aux photos de Philippe Gain d’Enquin, Régine n’est pas la reine d’une vulgaire ruche mais d’une ruche kényane qui, d’après notre amie DEB, est le nec le plus ultra ! En tout cas, si la ruche N&R bourdonne sans cesse, les commentaires, ne débordent pas toujours d’amour comme écrit sur la vitrine des Frangines. Cordialement. Corsica
Corsica
2 septembre 2017 @ 14:30
Pardon, il y a une virgule de trop : les commentaires ne débordent pas.
framboiz07
2 septembre 2017 @ 18:09
Frédéric, et moi?
Je serais bien venue , si j’avais été bienvenue …Je vous aurais parlé du pré carré louis-quatorzien et de l’inclusion de la ville au territoire français, sous le même roi :Lille , Strasbourg, Perpignan , même combat pour le roi, Vauban et Louvois !
De plus, j’adore le kouglof !
En promenade post -prandiale, on aurait pu se promener sur les canaux de la Petite France…
Leonor
3 septembre 2017 @ 13:23
Ouais ouais ouais…Louis XIV avait des visées expansionnistes, et s’était déjà débrouillé pour récupérer plus ou moins l’Alsace en 1648, avec le Traité de Westphalie. Il voulait cette province riche, et un glacis militaire.
Strasbourg , restée ville libre d’Empire, n’est devenue française qu’en 1681, de force.
Louis XIV a fait mettre le siège ( 30 000 hommes) devant la ville, qui s’est résignée à se rendre deux jours plus tard.
Fin d’une grande histoire.
Ici, lien >> tableau du Musée Historique, qui représente la remise des clés à sa Seigneurie louis-quatorzième.
Damien B.
2 septembre 2017 @ 18:37
Merci Frédéric ! D’autant plus que je me rends souvent à Strasbourg, ville fascinante où j’ai des racines familiales.
Leonor
2 septembre 2017 @ 21:30
Merci pour la chouette invitation, Frédéric.
Mais pourquoi parlez-vous de matelots ? J’ai raté une étape ?
Je sais bien qu’il y a un régiment de franchissement du Rhin qui a des tas de jolis bateaux et autres trucs-machins rigolos pour marcher sur l’eau, mais … ?
Carole 007
3 septembre 2017 @ 08:27
Moi aussi je veux de la tête de veau ! ?
Margaux ?
3 septembre 2017 @ 15:15
Ne coupez pas la tête de la Pâquerette. ?
JAusten
3 septembre 2017 @ 10:01
ayant des origines très alsaciennes côté paternel, la choucroute j’aime (en même temps il y a peu de choses que je n’aime pas) ; donc j’ai répondu présent à l’appel sans rappel
AnneLise
3 septembre 2017 @ 18:28
Merci pour votre invitation, Frédéric, je me joins à vous, à toutes les frangines et à tous les matelots avec grand plaisir !
J’hésite entre la tête de veau et la choucroute, mais sans problème pour la bonne bouteille de vin d’Alsace, un petit Pinot gris, s’il vous plait !
Bonne rentrée à tous, même si les bancs de l’école sont loin pour certains, mais si le bureau, le commerce sont là pour d’autres, et si les retraités sont en vacances toute l’année ( je plaisante), c’est tout de même la rentrée !
Domilys
5 septembre 2017 @ 19:31
Merci Frédéric pour cette sympathique invitation.
Au plaisir de vous relire.
mimi
2 septembre 2017 @ 09:14
j’ai cru que c etait des cercueils…
Philippe Gain d'Enquin
2 septembre 2017 @ 20:39
La première fois, moi aussi, ce qui est extrêmement déroutant…
clémentine1
3 septembre 2017 @ 06:15
moi aussi !
Robespierre
2 septembre 2017 @ 10:37
J’ai cru voir trois cercueils mais c’étaient des bancs d’une forme un peu bizarre.
Cher ami PGE, je me serais volontiers joint à vous et Frederic Gense, même si je déteste la choucroute, mais j’aime bien le baeckof (?) et surtout le foie gras de là-bas. Pour le vin, je vous aurais fait confiance. Antoine aurait fait l’objet de tous les regards concupiscents des dames présentes. Oui, Actarus avec sa voix de velours aurait électrisé l’assistance. Moi, mon ramage ne valant pas mon plumage, je me serais tu. D’ailleurs comme disait un ami italien un peu rustre « moi quand je mange, je mange ».
framboiz07
2 septembre 2017 @ 18:11
A Strasbourg, la Marseillaise s’impose , c’est chez le maire de la ville qu’elle fut créée !
Leonor
3 septembre 2017 @ 13:28
Chez le Maire De Dietrich, dans un immeuble où plus tard naîtra … Charles de Foucauld . Le bâtiment sera détruit plus tard. Sur l’emplacement se trouve actuellement la banque de France, Place Broglie.
Ici, tableau qui représente l’épisode ( Mus. Historique, Strasbourg).
Rouget de Lisle était en garnison à Strasbourg, rimaillait, et scribouillait de la musique. Il fut inspiré un soir, et interpréta sa création un d es jours suivants, chez le Maire.
Pourquoi La Marseillaise et non La Strasbourgeoise ? Car le chant s’était propagé parmi les troupes françaises, et c’est un régiment remontant de Marseille vers les frontières du Nord qui le rendit célèbre, en le chantant le long du chemin.
Encore une occasion manquée pour la ville. C’est une habitude locale … ;-((
Philippe Gain d'Enquin
3 septembre 2017 @ 21:44
De Dietrich qui avait le » feu sacré » ce pourquoi de Lisle en est devenu rouget quand le pendule – des Volontaires pour l’armée du Rhin – opinait pour Foucauld…
Leonor
2 septembre 2017 @ 21:39
Baeckeoffe. Prononcer [ Béckeu – offeu ] = four du boulanger = terrine pomme de terres + trois viandes + vin, mise à mijoter tout doux tout doux dans le four du boulanger.
Quant au foie gras … Concurrence avec le Sud-Ouest. L’invention du foie gras n’appartient ni au Sud-Ouest ni à l’Alsace : les Egyptiens avaient déjà trouvé le truc !
Par contre, c’est bien à Strasbourg qu’a été inventé le pâté de foie gras, par le cuisinier du Maréchal de Contades, Jean-Pierre Clause, en 1780. Mais peut-être n’a-t-il fait que reprendre une recette d’Europe centrale plus ancienne encore, c’est possible. En tout cas, c’est de ce moment que date le renom du foie gras d’Alsace, et tout particulièrement de l’ancestral pâté de foie gras, dont seules deux maisons perpétuent encore la production.
Robespierre
3 septembre 2017 @ 07:22
Je savais que je m’emmelais les pinceaux avec ce Baeckeoffe . Merci, c’est si bon !
Leonor
3 septembre 2017 @ 18:43
Un p’tit verre de Riesling vous remettra les pinceaux dans le bon sens, ami Robespierre !
Robespierre
4 septembre 2017 @ 07:47
Oui, surtout si c’est en votre compagnie.
l'Alsacienne
2 septembre 2017 @ 12:48
Dommage, Frédéric, mais j’aurais bien partagé un moment avec vous, et levé un verre à la santé des intervenants du site.
Mary
2 septembre 2017 @ 13:12
Super Frédéric !
Une petite tarte aux mirabelles pour le dessert?
Jean Pierre
2 septembre 2017 @ 17:06
La seule chose que nous avons piqué aux lorrains.
isa
2 septembre 2017 @ 18:09
Je dirais plutôt une tare aux Quetsch!
isa
2 septembre 2017 @ 18:09
tarte
GENSE Frédéric
2 septembre 2017 @ 19:58
Oui volontiers ! Salutations !
Ghislaine-Perrynn
2 septembre 2017 @ 15:42
Ah l’Alsace , ah le Sundgau , ah Strasbourg
Cette région est un enchantement et en hiver cela doit être réellement extraordinaire .
Pile dans le mille Cher Frédéric Gense , la tête de veau j’en raffole !
Je me suis régalée de ce reportage , évidemment , moi la béate , la touriste venue de l’ouest dans le grand est lors de mes vacances en Alsace , j’ai avalé tout ce que j’ai pu tant en mets , qu’en sites , qu’en histoires et je m’aperçois que l’oeil acéré et malicieux de Philippe Gain d’Enquin a déniché des trésors qui me sont passés sous le nez !
Merci aux deux comparses equis dans l’humour , fin , exempt de « vacheries » que j’apprécie beaucoup .
Vous eussiez pu Frédéric Gense me mettre parmi les matelots (rire) je nage et je barre depuis l’âge de 12 ans .
Voilà qui ne va pas arranger mon identité ici (re-rire)
Margaux ?
3 septembre 2017 @ 15:17
Strasbourg, c’est le Nordgau.
Ghislaine-Perrynn
4 septembre 2017 @ 08:10
Mais évidemment Margaux je n’ai pas voulu écrire que Strasbourg était dans le Sundgau mais simplement que le Sundgau m’a impressionnée et que Strasbourg également .
Je connais assez bien l’Alsace pour ne pas mélanger les genres .
Margaux ?
4 septembre 2017 @ 16:28
Bien. Nous sommes deux à connaître alors.
Clément II
5 septembre 2017 @ 01:22
Elle connait aussi très bien, n’ayez aucune crainte. ?
Margaux ?
5 septembre 2017 @ 15:25
Merci.
Ghislaine-Perrynn, votre commentaire laissant une part de doute et je vous remercie d’avoir précisé votre propos. Lu sur petit écran, c’est tout de suite plus clair. ?
Margaux ?
5 septembre 2017 @ 15:25
* laissait une part de…
Baboula
2 septembre 2017 @ 17:45
J’apprécie cette ambiance conviviale,touristique et gastronomique ,(Il n’y a pas que la choucroute en Alsace ),loin des chiffons et commémorations.
clémentine1
3 septembre 2017 @ 06:18
il y a aussi la tarte aux groseilles, la gelée pommes/quetsches, j’en passe et des meilleurs.
isa
2 septembre 2017 @ 18:14
Merci pour ce beau reportage sur une ville magnifique que je côtoie chaque jour. J’ajouterai juste à ceux que Strasbourg tente. Ne vous contentez pas de la capitale alsacienne, osez toute l’Alsace; du Sundgau à l’Alsace Bossue. Toute cette région est une pure merveille, un écrin de richesses naturelles, culturelles et gastronomiques bien sûr.
Une Alsacienne d’adoption et de cœur.
Danielle
2 septembre 2017 @ 19:52
Merci Philippe pour ces cartes originales, l’avant dernière prête à confusion mais on réalise rapidement.
Leonor
2 septembre 2017 @ 21:26
Ces ruches se trouvent sur une portion de quai sur l’Ill interdite au public. L’initiative en revient au Service des Espaces Verts de la Ville, qui fait un remarquable travail, j’en témoigne. Très inventif, très au fait des recherches sur la nature, l’écologie au sens large, et dont le chef sait se faire respecter … des politiques ! La grande majorité des agents sont aussi très impliqués dans leur travail, se sentent responsables de leurs secteurs, etc. Ce n’est pas si souvent qu’on peut dire cela.
Ces ruches en sont un exemple.
Leonor
2 septembre 2017 @ 21:44
La boutique des Frangines, c’est … rue des Soeurs ! Sympa d’ailleurs, les frangines.
La fontaine, c’est place St Pierre le Jeune Protestant, près du Sofitel et de la rue de la Nuée Bleue ( ironie bien alsacienne : c’est là que se trouvait jusque récemment l’Hôtel de Police et Commissariat principal … ).
Par contre, Philippe, vous me posez une colle avec les deux autres photos.
Je suppose que la sculpture représentant une grande tête barbue se trouve au palais du Rhin ? Mais je n’en suis pas sûre du tout. .
Quant à l’immeuble surmonté du fronton portant la date 1901 : ? Un caducée dessus…
??
Philippe Gain d'Enquin
3 septembre 2017 @ 21:36
Chère Léonor, la tête de « Philosophe » ne se trouve pas au palais du Rhin mais au fronton d’un immeuble sur le boulevard qu’emprunte la ligne de tramway allant (pour moi) de Gallia à la Gare Centrale, quant à Mercure le Messager des Dieux, il me semble l’avoir saisi rue des Grande Arcades… Pour ce qui est de l’ancien Hôtel de Police quelle pitié de le laisser tel que je l’ai effectivement vu non loin de STPLJ, église valant à elle seule une « carte postale »… J’y ai vus et entendus quatre très jeunes prêtres en habit de clergyman menés par leur supérieur et qui s’étant dirigés vers la chapelle abritant une statue de Vierge, se sont mis à chanter naturellement a capella un hymne assez puissant, puis ont visité et sont repartis… Mais nous avons tous fait des rencontres durant nos vacances, alors je cesse espérant vous avoir bien renseignée.
Philippe Gain d'Enquin
3 septembre 2017 @ 21:37
grandeS arcades, naturellement!
Leonor
3 septembre 2017 @ 13:37
Je suis émue par tout ce que vous avez tous, admirateurs de l’Alsace, écrit sur ma » belle province ».
Mais notre histoire a été si houleuse, si difficile, si complexe. Mais nombre de Français n’en connaissent rien, et émettent des jugements insanes. Voire prennent des décisions stupides, gouvernements successifs y compris.
Comme l’écrivait Frédéric Hoffet , si je me souviens bien, dans son formidable » Psychanalyse de l’Alsace » : » L’Alsace est un cas pour Amnesty International ».
Et … je suis moi-même parfois très critique, mais si, mais si. Même si je ne permets à aucun non-alsacien de l’être sans argumentation sérieuse et/ou connaissance historique réelle. Je veux bien discuter, mais pas avec des ignares qui n’y connaissent rien, et jugent sans rien savoir.
AnneLise
4 septembre 2017 @ 07:34
Leonor, malgré l’histoire tourmentée de l’Alsace et de ses habitants dont certains portent encore les stigmates d’accusation souvent infondées, vous avez de la chance vous et d’autres de pouvoir vous réclamer d’une province, d’un coin de France ou d’ailleurs, bien défini.
Lorsque les racines sont ramifiées de la Lorraine au Limousin en passant par la Picardie, la Bourgogne, les Charentes, l’Agenais, la Catalogne pour atterrir en Ile de France, on ne sait que préférer : la place Stanislas, le marché de Brive la Gaillarde, les hortillonnages d’Amiens, les Hospices de Beaune, la Rochelle et Mouilleron en Pareds, les vergers du Lot et Garonne, la Sardane du Pays Catalan.
Et quand en remontant un peu le temps, on a aussi du sang hongrois, autrichien, italien et tchèque, là on y perd son latin.
Et pour la gastronomie, je ne veux rendre aucune province jalouse d’une autre, tant tout est bon !
Alors n’ayant pas la chance d’appartenir à une région depuis des générations, je me sens un peu chez moi partout !
Margaux ?
8 septembre 2017 @ 13:16
Vous êtes une citoyenne du monde. J’aime beaucoup ce terme, simple mais hautement évocateur d’une grande ouverture culturelle et intellectuelle.
Marie1
3 septembre 2017 @ 14:16
Merci pour cette carte, ce vagabondage est léger, rafraichissant…
Michèle
5 septembre 2017 @ 02:50
Mercure le Messager des Dieux,
immeuble dédié à Mercure, à l’angle de deux rues, Il est situé 12-28 rue des Grandes Arcades, côté passant mis en valeur, et 17 rue du Vieux Marché aux Grains. Au milieu de la façade, surplombant la rue, trône la statue de Mercure (Hermès) coiffé de son pétase (chapeau) ailé. Il est assis sur une barque et brandit son caducée (attribut servant à soigner les morsures de serpents).
Je passe très souvent devant cet immeuble, lorsque je me rends à pieds de la place Gutenberg à la place Kléber par la rue des grandes arcades.
Michèle